• 10 05 09.Récit: Je me suis sacrifié pour elle.

    Je me suis sacrifié pour elle

    Un homme se sacrifie pour sa femme



    Ma femme et moi aimons les randonnées. C'est un loisir agréable qui nous permet de nous ressourcer et que nous veillons à pouvoir pratiquer pendant nos vacances.

    Ce jour là, nous étions en randonnée de moyenne montagne, dans les Alpes, en route vers le Lac Bleu. Nous étions partis tôt le matin pour pouvoir passer la journée la haut. C’était en juin, hors saison, et pour ainsi dire désert. Après 4 heures de marche à un bon rythme, nous arrivâmes sur notre objectif. C'était splendide. Nous étions ravis.

    Nous nous installâmes donc pour pique niquer au bord de ce lac d'un bleu incroyable. Tout autour de nous, les montagnes rases nous surplombaient. Quel bel endroit.

    Notre déjeuner terminé, seuls au monde et avec le soleil qui donnait à plein, on s’était finalement effeuillé un peu pour profiter de ses rayons bienfaisants, caché par un énorme rocher qui nous surplombait de deux trois mètres. Je ne portais plus que mon string et ma femme était seins nus. Un parfum d'excitation flottait dans l'air. Je la sentais réceptive et en ce qui me concerne, j'étais déjà tout à fait excité par la situation.

    - On se baigne ?
    - Tu es fou, elle doit être à 10 degrés.
    - Il fait si bon dehors, ça donne envie. J'ai envie de toi, je me sens …. prêt à tout !
    - Je sais que tu es toujours prêt à tout, obsédé, je pourrais te demander n'importe quoi !
    - Exactement, demande moi n'importe quoi !

    Elle ferma les yeux sans répondre. Elle souriait et était sans doute en train d'imaginer le gage qu'elle allait me donner.
    - J'aimerais que tu fasses le tour du lac tout nu.
    Le lac n'est pas si grand pensais-je en l'observant. Et puis on n'est pas sur les champs elysées, ça doit être possible.
    - J'attends, il faut me mériter.
    Je tombais le string, affichait une semi érection qui attira le regard de ma femme. Elle fit une moue dubitative.
    - Mouais, pas mal.

    Je partis donc par la gauche pour faire le tour de ce lac, sous le regard amusé de mon épouse qui resta à se prélasser au soleil. Je marchais d'un bon pas. Je la vis se lever et sans doute pour me narguer, elle retira son short puis son string. Elle était maintenant nue. Quel bonheur !

    Soudain, j'aperçus au sommet d'une butte quatre hommes. Il était dans son dos, elle ne pouvait les voir. Quant à moi, j'étais nu. J'allongeais la foulée. Les hommes entamèrent la descente vers le lac, et donc vers elle qui, toujours pour me narguer, faisait mine de se caresser la poitrine.
    J'avais encore une boucle de 200 mètres à faire. Je lui fis signe.
    Elle passa la main entre ses cuisses, tenant un sein à pleine main pour le relever vers sa bouche.
    Les hommes l'avaient en point de mire. J'étais tenté de me mettre à courir. Je réitérais mes signes. J'entendis sa voix atténuée par la distance : viens vite me prendre, je t'attends, je suis toute mouillée.
    100 mètres. Je trottinais en évitant les cailloux.
    - Viens vite me baiser, j'en peux plus !!
    Les hommes étaient maintenant sur le rocher et observaient ma femme.
    En me voyant courir vers elle, elle s'installa au sol, cuisses largement ouvertes, en appui sur les coudes.
    - Allez prend moi ! Je veux ta queue !

    - Bonjour Messieurs ! Dis-je à l'adresse des quatre types patibulaires qui observaient ma moitié en pleine extase.

    Elle se retourna, leva la tête, poussa un petit cri et attrapa ses habits pour se cacher.
    - Quel dommage ! dit une grosse voix, nous sommes arrivés trop tôt.
    Je pris mon string et le passais. Ils disparurent et je les entendis rire en faisant le tour du rocher. Ils débouchèrent devant nous. Quatre types robustes, plutôt jeunes, vêtus comme des bergers et d'allure un peu rustique.
    - Regardez comme ils sont mignons, les gars
    - Ouais, c'est pas tous les jours qu'on voit ça.
    - Depuis deux mois que je n'ai pas vu un autre cul que les vôtres, ça fait du bien !
    - Tu vois l'monsieur, il s'apprêtait à en profiter et puis à cause de nous y peut pas !
    - Oh moi jm'en fous y peut y aller.
    L'un deux me jeta un regard soudain glacial :
    - Ça vous dit plus, elle en voulait ya pas deux minutes.
    - …
    - Et vous ma petite dame, vous gueuliez pour avoir une queue, c'est fini ?
    - Écoutez, laissez nous maintenant, c'est du harcèlement ! répondit-elle fâchée.
    - Ouais, c'est vrai, on a bien envie de vous harceler un peu. L'homme tendit son long bâton et le glissa habilement dans les vêtements que ma femme maintenait contre elle. Elle semblait apeurée. D'un geste précis de ce bâton, il fit tomber les vêtements de ma femme qui se retrouva donc nue face à eux.
    - Ou est l’intérêt de cacher un corps que nous avons déjà vu ? Madame se doigte devant nous, s’allonge les cuisses grandes ouvertes en gueulant « baise moi », et après elle joue la sainte ni touche.

    Ils s'approchèrent d'elle. Je fis un pas pour m'interposer.
    - C'est bien, nous avons aussi un beau chevalier au string protecteur ….
    Ma femme se leva et se colla contre moi.

    Le premier des bergers, le regard braqué sur ma femme, lâcha ses affaires et ouvrit les boutons de sa chemise, tout doucement, sur un torse musculeux.
    - Les gars, dit-il, ce qui les gêne c'est d'être à poil alors que nous sommes habillés, alors on ne va pas les gêner plus longtemps, c'est pas poli.
    Il lança sa chemise et se pencha pour défaire ses chaussures. Puis il défit son pantalon. Les trois autres l'imitèrent et bientôt tout le monde fut nu. Je sentis le corps de ma femme se coller encore plus au mien. Elle avait chaud.
    - On ne vous fera pas de mal, vous aviez une furieuse envie de baise et ça nous convient tout à fait !
    - Faut nous comprendre, on a pas une vie facile en montagne 5 mois par an, entre hommes.
    - On s'arrange bien entre nous mais une femme ! C'est pas pareil.

    - Vous n'avez qu'à vous branler, ça passera, dit-elle furieuse.
    - Mais c'est ce qu'on fait, mais se branler devant une femme qui vient de crier « Viens vite me baiser, j'en peux plus !! », ce serait cracher dans la soupe.
    - Ouais … et une femme, un nouvel homme, ç’est très tentant …
    - T’as raison, le monsieur aussi avait envie de baiser, faudrait pas le laisser sur le carreau.

    Ma femme était tétanisée …

    - Ecoutez, je veux bien vous branler, et puis vous partez !
    Mon cri résonna dans la cuvette et surtout dans ma tête.

    Ma femme me regardait stupéfaite.
    - Une simple branlette ?
    - Ouais, faudrait au moins nous sucer.
    - Chéri, suce les, qu'on en finisse ! En plus ……….. tu en rêves.
    - C'est vrai ? Regarde nos grosses queues, elles sont bonnes à sucer, on a les couilles bien pleines et on va te remplir la bouche.
    - Oh oui, mon chéri, fais le !

    Ses seins pointaient. Peur ou excitation ? Elle s'approcha de moi. Son regard avait changé.

    - Allez fais le, sinon ils vont vouloir me baiser moi. Tu ne veux pas qu'ils me baisent devant toi ?! Elle passa derrière moi et baissa mon string faisant surgir ma bite tendue.

    Elle posa ses mains sur mes épaules et appuya.
    - Ca m'excite, dit-elle doucement en m'accompagnant à genoux. Fais le pour moi, c'est l'occasion.

    Je fléchis les jambes.
    Elle me tenait par les hanches. Son bas ventre était collé à mes fesses. Elle bouillait littéralement, je sentais la chaleur de son sexe contre mes fesses.
    Un homme s'approcha, sa bite qui me parut énorme se balançait devant son ventre.
    - Regarde cette bite, je n'en ai jamais vue une comme ça. Ça va être bon.
    L'homme était devant moi. Au bout de son gland turgescent perlait une grosse goutte translucide.
    - Allez, suce moi, ma salope.
    Il posa sa main sur mes cheveux et m'attira. Son gland se posa sur mes lèvres. Sa goutte s'étala dessus.
    - Vas-y, mon chéri

    Je fermais les yeux, ouvrit la bouche. L'homme y glissa sa queue.
    Ma femme se releva.
    - Je vais filmer, ça ne vous dérange pas ?
    - Tout ce que tu veux ma belle, on va te donner un beau spectacle !
    - Oh oui, s'il vous plaît, qu'il s'en souvienne ! Elle installa le caméscope sur un rocher et le déclencha.

    L'homme commençait à coulisser dans ma bouche, jusqu'au fond. Il me baisait.
    - Chéri, un effort, lance toi !
    Je levais une main tremblante vers la hampe.
    - Oui, c'est bien, dit-elle.
    Je caressais les couilles velues et arrachait un soupir à l'homme. Petit à petit ma bouche se fit de plus en plus active.

    Un verrou venait de sauter.

    Je salivais abondamment, trempant la bite. Ma langue virevoltait autour du gland baveux, glissait sous la hampe fortement veinée. Je la lançais sous les couilles, vers le périnée. Je savais ce que moi j'aimais, alors j'y allais.
    L'homme gémit, se cambra, m'ouvrit ses cuisses.
    - Ah mon chéri, mais tu aimes ça !?
    - Putain oui il aime ça, la dernière qui m'a sucé comme ça, c'était une pute à Grenoble, elle m'a coûté deux cent balles.
    Les trois autres m'entouraient maintenant. Ils présentaient la même raideur que leur acolyte.
    Les flashs prouvaient que ma femme immortalisait tout.
    La proximité de ces queues tendues pour moi me rendait fou. Ma langue glissa plus loin sur le périnée de ma victime.
    - Quelle salope ! La feuille de rose ? J'adore, allez lèche moi le cul !
    L'homme se retourna et écarta ses fesses à deux mains. Je vis son œillet et fondit dessus langue en avant. Je lapais cet endroit avec passion.
    Soudain, une nouvelle queue arriva contre ma joue. Je la pris en main et la caressait vigoureusement. Abandonnant un peu mon activité bucco anale, j'avalais ce nouveau prétendant.
    - Ah mon chéri, tu m'excites continue, donne leur tout ce qu'ils veulent, lâche toi !

    Ce commentaire, s'il me fit plaisir, était inutile car j'étais lâché. De la queue et encore de la queue sous les yeux de mon épouse. Voilà ce que je voulais maintenant.
    J'entendais les commentaires graveleux de ces quatre types qui se plaisaient à me traiter de salope et de pute.
    - Je crois que je vais lui faire le cul, dit le meneur.
    - Oh oui, prenez le, je veux l'entendre gémir !
    Ma femme semblait dans un état d'excitation incroyable. Je ne cessais de sucer la belle queue coulante et alternait avec l'œillet que j'avais réussi à dilater pour le lécher en profondeur pour faire haleter l'homme de plaisir.
    - Je veux que vous le baisiez bien tous les quatre !

    Je jetais un coup d'œil à ma moitié qui m'offrait aux désirs de ces inconnus. Elle se massait les seins avec passion. Elle était surexcitée. Tout en la regardant faire, j'avalais une nouvelle queue. J'y mis toute ma fougue, exagérant mes gestes pour qu'elle perçoive bien mon intention.

    - Laissez moi le préparer, dit-elle alors, je ne veux pas que vous l'abîmiez !

    Elle prit place derrière moi et je sentis sa main caresser ma raie. Je me cambrais plus encore. Elle étala un produit lubrifiant, du beurre qui restait de nos sandwiches.
    Elle me tartina la raie puis glissa un doigt dans mon anus.

    - Je sais que tu aimes, ils vont bien te sodomiser. Je vais te mettre un deuxième doigt pour bien t'ouvrir.
    Elle commença à m'enculer avec ses deux doigts et petit à petit la douleur disparut totalement. Elle écartait ma rondelle que je laissais s'ouvrir. Les hommes la regardaient faire en branlant leurs bites géantes pour se tenir raide.

    - Bon allez, je crois qu'il est prêt dit alors le meneur.
    - Toi, je te baiserai bien aussi, dit-il en s'agenouillant derrière moi.
    Je sentis ses grosses mains m'attraper aux hanches.
    - Laissez moi vous mettre dans son cul.
    Elle prit la hampe et frotta le gland contre mon œillet.
    - Mon chéri, tu sais il est gros, tu vas aimer.
    Je sentis le gland pousser et pénétrer mes reins. J'étais cambré au maximum, tête rejetée en arrière, extatique, attendant le moment où il allait disparaître en moi.
    La bite me pénétra lentement. L'homme m'attirait à lui, ses doigts cramponnés à mes hanches. Et je me laissais aller. J'entendis la respiration haletante de ma femme.
    Un homme vint s'agenouiller devant moi. Il n'eut rien à demander et je le pris en bouche avec gourmandise. Ma femme se pencha vers moi :
    - C'est bon mon chéri, je t'adore en salope ! Tu vas me faire jouir !
    Je suçais propulsé au rythme des coups de reins qui me baisaient. La bite me perforait les reins. Le ventre se collait à mes fesses, les mains étaient maintenant crispées sur mes épaules.
    - Ah putain, il va me faire jouir, prend ma place !
    Un nouveau venu prit possession de mon cul et le quatrième de ma bouche.

    Je ne sais combien de temps ni combien de fois les types m'enculèrent ou profitèrent de ma bouche accueillante mais leur désir ne cessait de grandir, leur ardeur et même une certaine violence. Je n'avais plus aucune retenue et les incitais à plus de force.

    Ma femme sentit venir le moment crucial.
    - Je veux vous voir éjaculer sur son visage !

    Je fus mis sur le dos. Deux types prirent place. Je les repris en bouche un moment. Leurs sexes étaient gras de mes sécrétions anales, je les nettoyais parfaitement.
    Le premier manifesta des signes de fatigue. J'ouvris la bouche et le branlais de ma main, faisant tourner ma langue sous le frein. Soudain, l'explosion. Sa semence gicla et je la reçus sur ma langue et mes joues. Ma femme me regardait, passionnée.
    Le second eut droit au même traitement avec le même résultat, tout aussi abondant.
    Pour parfaire le spectacle, je regardais ma femme et jouant avec ma langue qui baignait dans les semences qui m'avaient inondées, mais sans avaler. Les deux autres vinrent se soulager sur moi.

    Les types, soulagés, s'écartèrent et ma femme approcha. Elle me chevaucha, saisit ma queue et la dirigea vers son sexe. Elle était tellement trempée et ouverte que je m'y plantais à fond d'un coup. Elle se pencha, approcha sa bouche de la mienne et m'embrassa, tout en ondulant sur ma bite. Nous nous partageâmes tout le plaisir de ces quatre hommes, jusqu'à l'orgasme final.

    Nous regardons parfois le film, dernier souvenir réel de cette expérience que ma femme avait secrètement organisé.


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