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    Certains récits ne font pas mention du condom. N'oubliez pas que ceux-ci sont essentiels pour une relation sexuelle sécuritaire... Dans votre lit, vous n'êtes pas dans un récit! Protégez-vous!!!
    Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
    Pour plus d'info : www.sida-info-service.org





    Quand j’avais 15 ans, j’étais à l’internat du lycée et les mercredis après-midi étaient parfois un peu long, nous n’avions pas cours et il fallait trouver des occupations pour ne pas trop s’ennuyer, alors je me rendais aux WC Public qui était à 800 mètres du lycée, j’aimais particulièrement l’un des 5 toilettes parce qu’il y avait un trou dans la cloison qui séparait 2 chiottes.


    Je rentrais discrètement dans le WC et je m’accroupissais pour regarder à travers le trou de la cloison. Je bandais comme un dingue rien qu’à l’idée de penser qu’un mec pouvait rentrer dans le chiotte pour pisser… J’attendais parfois très longtemps avant d’apercevoir un mec…


    Un mercredi après-midi du mois de mai, j’étais dans le chiotte entrain d’attendre tout excité, quand soudain, la porte s’ouvrit et un mec rentra en fermant sa porte à clef.


    Le mec commença à pisser, je voyais sa queue, une queue lourde non circoncise qu’il tenait entre ses doigts. J’avais du mal à voir son visage, j’ai dû me pencher vers le sol pour apercevoir sa tête et à ma grande surprise, j’ai reconnu le mec ! C’était Vincent, un camarade qui était dans la même classe que moi…


    Mon cœur s’est mis à battre très fort, j’avais peur qu’il regarde par le trou et qu’il me reconnaisse…


    Soudain, je me suis reculé, car Vincent s’est baissé pour regarder par le trou de la cloison, je me suis vite redressé et me suis planqué au fond du toilette pour pas qu’il puisse voir mon visage et ainsi me reconnaître…


    Au bout de quelques secondes, j’ai aperçu sa bite passer à travers le trou, je voyais uniquement sa queue à moitié dure qu’il faisait remuer de haut en bas…


    J’ai très vite compris ce qu’il voulait et sans hésiter, je me suis accroupi devant sa belle queue et j’ai commencé à lui toucher la bite en le masturbant. Son gland était humide et mouillait ou bien, c’était sans doute le fait qu’il avait pissé juste avant, mais quand j’appuyais sur le bout de son gland, je pouvais apercevoir une goutte qui sortait, cela m’excitais beaucoup…


    Après l’avoir branlée un court instant, j’ai rentré sa bite dans ma bouche et j’ai entamé une fellation… Je me souviens encore du goût de sa bite, un vrai goût de Teub d’un mec après une journée d’école bien remplie…


    Je m’appliquais comme je pouvais, j’étais plutôt bon suceur de bites, ce n’était pas la première que je suçais dans ce chiotte et ce ne sera pas la dernière… Je salivais bien sur le gland et j’enfonçais parfois sa queue en entier dans le fond de ma gorge, je pouvais l’entendre gémir de l’autre côté de la cloison… Son gland me lâchait de la mouille se qui rendait ma salive légèrement épaisse, j’avalais ma salive de temps en temps, c’était comme si j’avalais quelque chose tellement c’était épais dans ma bouche…


    J’accélérais progressivement les vas et viens et je le masturbais en même temps dans ma bouche tout en passant ma langue sur son gland humide pour finir ensuite dans le plus profond de ma gorge…


    Passé quelques minutes à cette cadence, Vincent n’a pas mi longtemps à éjaculer dans ma bouche. Dès que j’ai senti ses jets de sperme jaillir de son gland, j’ai enfoncé sa bite en entier dans ma bouche, je sentais couler son jus dans ma gorge, il jouissait beaucoup et gémissait comme un vrai mâle de l’autre côté de la cloison…


    Quand il eut fini de jouir, il s’est retiré. Je me suis rapidement redressé de peur qu’il mate par le trou et qu’il me reconnaisse. Je l’ai entendu sortir des toilettes, je suis resté plus de 30 Minutes dans les WC, je craignais qu’il attende devant les chiottes pour apercevoir la personne qu’il lui avait vidé les couilles…


    Cela me faisais bizarre après de le voir en cours avec ses potes, je n’ai jamais su si Vincent était Homosexuel, il n’a jamais su non plus que c’était moi qui l’avait sucé…


    J’ai rêvé de lui toute les nuits de l’année scolaire, je me branlais en repensant à ce superbe moment qui ne sait jamais reproduit.                                            

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