• 23 04 09. Récit 6

    Certains récits ne font pas mention du condom. N'oubliez pas que ceux-ci sont essentiels pour une relation sexuelle sécuritaire... Dans votre lit, vous n'êtes pas dans un récit! Protégez-vous!!!
    Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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    Soumission / Domination.

    Après une bonne bière siroté au fond du canapé, nous gagnons notre lit, faisant une place à Ric entre nous deux (on ne sait jamais, une envie brutale en pleine nuit ? il vaut mieux l’avoir sous la main ? sous la bite plutôt !).   

    Durant la nuit, j’ai fait un rêve érotique. Je rêvais que je me faisait sucer, j’ai repris conscience quand je me suis mis à éjaculer. Ouvrant les yeux, je vis Ric me ventouser la bite jusqu’aux couilles avec une telle force qu’il a réussi à tout avaler avant que je n’émerge du coaltar.
    Alors que je l’engueulais tout bas pour ne pas réveiller Marc, il m’avoua lui avoir fait la même chose ½ heure au paravent. Je le traitais d’inconscient car il ne connaissait pas notre statu sérologique. Il me répondit assez justement que comme nous baisions Pierre sans Kpote c’est que nous étions clean et que son père avait fait faire des analyses et qu’ils étaient tous les deux ok aussi (son père ne baisant plus ailleurs depuis qu’il avait ce qu’il fallait à la maison).
    Nous nous sommes rendormis et je me réveillais vers 10h, cette fois seul dans le lit avec Ric.
    Une douche rapide en commun pour gagner du temps et juste une serviette sur le cul, nous rejoignons Marc à la cuisine. Le café nous attend chaud.

    Comme je lui raconte notre nuit avec notre pompeur de rêve, il se rapproche de Ric et lui tire l’oreille lui interdisant ce genre de pratique pour sa propre sauvegarde !
    Comme la piscine est hivernée, nous allons pousser de la fonte au sous sol. Les serviettes dépliées sur le skaï des bancs, c’est à poil que Ric et moi faisons nos exercices. Marc lui ne porte qu’un short vague qui laisse passer bite et couilles par les jambes.
    Après 1h1/2 de bon travail, nous filons nous détendre sous les douches. Nous y restons tellement longtemps que Marc se demande si il ne ferait pas installer un petit hammam et / ou sauna dans une partie du reste du sous sol.
    La présence de Ric nous fait bander tous les deux (même sans lui les douches à deux nous excitent). Marc nous dit de nous calmer car Eric doit nous rejoindre pour le café. Comme il est déjà 13h ça devrait le faire.

    Nous remontons nous « habiller » pour le déjeuner. Marc passe un cycliste et un tshirt, moi j’enfile un de mes « short » en jeans à même la peau et un marcel et Ric reste avec un jock pour seul vêtement.

    Eric nous rejoint 1heure plus tard, Marc lui dit de retirer son cuir pour être plus à l’aise. Il nous apparaît alors avec un shorty Aussibum qui lui fait un paquet encore plus gros que d’habitude et retirant son sweet, laisse voir un marcel débordant de muscle.
    Je m’approche et examine de plus près pour m’apercevoir que ce modèle fait partie de la collection qui soutient les boules et les empêche de glisser entre les cuisses. Ça le fait bien et je pense que je ne tarderais pas à faire l’achats de quelques exemplaires.
    Nous prenons le café et Eric demande le programme des réjouissances. Marc lui dit que nous ne serions que tous les quatre mais qu’entre moi et Ric, il y aura déjà quelques trous à boucher !
    Nous allons au donjon, pour traverser la cour en hiver, Marc a acheté une demi douzaine de grand manteaux en peau retournée qui nous arrivent aux chevilles et qui nous permettent d’être quasiment nus dessous sans avoir froid dehors.
     Ric et moi sommes menottés au mur, bras et jambes en croix. Rapidement, nous nous prenons un, deux puis trois doigts graisseux dans le cul avant de subir les assauts de leurs bites. Marc m’encule nokpote quand Ric se fait saillir par les 26cm couverts d’Eric.  Secoués par les coups de reins, nous contractons dorsaux et abdos pour éviter l’écrasement sur le mur. 
    Un bon ¼ heure de ce régime met nos muscles à rude épreuve. Le soulagement d’être détachés ne dure que l’intervalle de temps qu’il faut pour nous placer sur les slings et d’être de nouveau entravés.

    A tour de rôle, Marc et Eric s’occupe de nous. Pendant que j’avale la bite d’Eric dans ma gorge et celle de Marc dans mon cul, Ric peut nous mater et inversement quand c’est au tour de Ric de passer à la casserole.
    Nous en redemandons dès que l’un de nos deux enculeurs cesse un instant. Un peu de poppers et c’est à mon tour de subir la teub d’Eric dans mon trou du cul pendant que je pompe Marc comme un affamé depuis 8jours au moins !

    Comme j’ai déplacé et modifié le système de suspension au plafond que j’avais installé dans la salle de muscu, (cf. soumission 14), nous allons le tester.
    Le nouveau système prend les poignets et les cuisses. Les chevilles sont tirées vers le haut de façon réglable (le but est de faire passer les jambes au dessus du plan de l’anus), le tout suspendu à une grosse chaîne dont nous pouvons maîtriser la montée et la descente d’une grosse poulie accrochée à une poutre par l’intermédiaire d’un gros ressort.
    Nous y installons Ric et le suspendons à environ 1m du sol. Mar et Eric se couche l’un en face de l’autre pour accoler leurs deux bites ensemble. Je les équipe de Kpotes et fait couler dessus une grosse dose de lubrifiant. Doucement je fais descendre Ric jusqu’à ce que son anneau soit posé sur les deux glands. Marc tient l’ensemble serré et d’un signe m’ordonne de relâcher d’un coup. 

    Dans un cri, Ric se fait empaler par les deux grosses bites. Je le laisse, les fesses posées sur les 4 cuisses le temps qu’il se fasse à la nouvelle dilatation de son anus puis doucement remonte la chaîne jusqu’à ce que seuls les deux glands soient prisonniers de son trou et la bloque.

    Maintenant, il suffit à Marc ou à Eric d’appuyer sur ses hanches pour l’enfoncer sur leurs bites. Dès qu’ils le relâchent, le ressort fait son effet et le remonte à sa position initiale.
    J’enjambe Marc et présente ma bite aux lèvres de Ric. Pour leur éviter le « travail »,c’est moi qui impulse le mouvement en appuyant sur les épaules de Ric ce qui permet aux deux enculeurs de restés couchés sur le dos à ne s’occuper que des sensations de plaisir que leur transmettent leurs queues.

    Aux désir de nos deux « maîtres », je ralentis ou j’accélère le rythme, alternant de courts massages des glands avec des limages sur toute leur longueur de bite. De temps en temps je fixe Ric au plus bas, maintenant la pression pour qu’il reste emmanché à fond sans bouger.
    C’est très excitant d’autant plus qu’il ne cesse de me bouffer la bite. J’accélère le mouvement, je me recule brusquement et jute su les pecs de Ric une quantité de sperme dont je ne me croyais pas capable ! Ric que je maintiens enculé au maxi pendant que je me vide sur lui se met à gicler sur Marc et lui en met jusque dans les cheveux. Du niveau du sol nous parviennent deux feulements. Je relâche brusquement Ric et le ressort le remonte cette fois jusqu’à le déculer, laissant apparaître les deux glands baignant dans le sperme prisonniers des Kpotes.
    Doucement, je détache les chevilles et les cuisses du harnais pour que Ric se tienne debout et lui défait les poignets. Je le soutiens le temps qu’il se fasse à la position verticale. Puis nous allons nous asseoir sous les douches ouvertes en grand nous laver, reposer, notre énergie vidée par la dernière baise. Nous sommes vite rejoint par nos deux aînés. Un bon bouchonnage mutuel et nous voilà bien secs. Nous regagnons la maison nus, emmitouflés dans nos grands manteaux. Nous restons un bon moment devant la cheminée à somnoler pour récupérer nos forces.

    Encore un peu fatigué, je ne me sens pas de piloter une moto et je reconduis Ric chez son père en voiture.
    Comme à chaque fois, dès que nous avons passé la porte, son père lui ordonne de le sucer pendant que je lui fait mon rapport.
    Se soir, il semble avoir envie de parler et m’invite à entrer au salon. Nous nous installons dans de vastes fauteuils et Ric trouve sa place à genoux entre les jambes de son père à continuer sa fellation.

    Au bout de 5 mn, le père, bien chaud, me dit qu’il aimerait bien voir son fils se faire enculer par plusieurs mecs. Je lui dis que ce qu’il souhaite s’appelle un gang bang où un seul mec se fait utiliser par plein d’autre.
    Il me dit que par contre il ne sait pas comment faire. Je lui dis qu’il faut que j’y réfléchisse mais que cela ne m’a pas l’air impossible à organiser. (dans ma tête je pense à mes « clients » de Jean qui ne seraient sûrement pas contre un tel trip, avec Marc et Eric nous pourrions être 9 !).
    Je le quitte en promettant de le rappeler dans la semaine pour en discuter.

    Dès mon retour à la maison, je parlais à Marc de l’envie du père de Ric de faire un gang bang sur son fils.
    Cela ne l’a pas surpris, il était évident que ce type allait en vouloir plus avec le potentiel de sa progéniture.
    Je lui propose alors d’organiser cela avec tous les clients que m’avait refilé Eric. En plus du père, il y aurait les 6 autres plus Eric, lui et moi. Soit 9 grosses bites plus la mienne (moyenne) pour le larver !

    Je pense que là je peux me faire un max. de blé. Du Père qui me commandite la séance et des 6 autres clients qui je pense seront près à raquer pour ça.
    Comme Marc est d’accord, je commence à passer quelques coups de téléphone. Le Père de Ric que j’appelle en premier est enchanté de mon idée, il me demande juste d’organiser cela en terrain neutre , je propose un gîte rural il est d’accord et me dit qu’il règlera ça, que je dois aussi prévoir de quoi se restaurer et aussi tout ce qu’il faut en matière d’hygiène et de protections.
    Marc me demande combien je vais prendre aux participants ? et me dit de le décider avant de les appeler. Sachant que tous les frais seront supportés par le père de Ric, en plus de mon cachet d’ « organisateur de festivités », je propose le double d’une séance avec Jean. Cela lui semble raisonnable.
    Je commence à appeler mes « clients ». ils sont tous partant mais il me faut en faire trois fois le tour pour réussir à trouver un jour commun. La proposition tarifaire passe sans remarques.

    Dans la semaine qui a suivit, j’ai trouvé un gîte qui correspondait à notre histoire. Isolé, avec 5 chambres, toutes avec WC, bain ou douche et un grand séjour avec un grand écran plat fixé au mur, où nous ferons notre affaire.
    Après l’avoir montré à Marc, je le retiens pour le W E fatidique (opération prévue à 21h le samedi), il se pourrait que certains aient du mal à repartir aussitôt ! je préviens de l’heure du rendez vous et leur donne l’adresse.

    Dans la semaine qui a précédé, j’ai acquis le matériel nécessaire. Outre les Kpotes et le gel en quantité, Marc m’a fait acheter de quoi protéger les literies (alaises et draps).

    Dans l’après midi du jour J, je suis allé installer la réception, seul, Marc m’en laissant l’entière responsabilité. Je plaçais un bon dvd de cul dans le lecteur CD et vérifiait le bon fonctionnement, ça marchait. Je remplissait le frigo des plateaux préparé par le traiteur et des boissons reconstituantes (Red Bull, Coca black, reconstituant pour sportif) et de flacons de poppers. Quelques bouteille d’alcool prirent place sur la table basse repoussé contre un mur. Puis je tirais un lit une place au centre de la pièce principale et le recouvrait de sa protection ce sera le lieu ou nous nous finirons tous sur Ric. J’accrochais à chaque pied une petite chaîne équipées de menottes en cuirs qui si on le désirait nous permettrait de fixer Ric en croix. La table à manger servirait aussi pour le larvage de Ric.
    Je choisis la plus grande chambre pour la préparation de Ric. Je plaçais la canule au flexible de la douche et sur la table basse devant le lit, plugs et godes au cas ou.

    19h tout est prêt. J’attend Ric et son père à 20h pour le préparer. Trop tendu pour manger, j’enfile un Red Bull.
    il est 19h 45 quand j’entends la Merco arriver. Je sors accueillir L’Objet du soir et son père. Il porte juste un shorty très moulant, et une paire de Converse.
    Je les fais entrer, leur fait faire le tour du gîte et de l’organisation que j’ai prévu, le père approuve. J’envoie Ric à la salle de bain commencer à se laver intérieurement pendant que nous parlons affaire avec son vieux. Je lui donne le montant des coûts factures à l’appuis. Il me remercie de tant de sérieux et me fait un cheque auquel il ajoute les 2 000 euros de mon salaire d’organisateur. J’empoche et part voir où en est Ric. Je le trouve accroupi dans la baignoire, la canule enfoncée jusqu’au flexible (20 bons cm) pour la troisième fois. Je surveille quand il se vide, nickel !

    ce soir, une bête de concours !). Je vérifie que pas un poil ne subsiste. C’est le cas car il sort d’un rendez vous chez l’esthéticienne.
    Bien sec, je lui enfonce un tube de lubrifiant au fond du trou et en vide la moitié. Il en aura besoin pour ne pas se faire arracher les parois quand il se prendra les mastards qui équipent le groupe.

    Il est 21h, avec son père, nous le plaçons à 4 pattes sur le lit au centre de la pièce. Tout est dégagé autour, ceux qui arriverons ne verrons que lui.
    Je mets en route le dvd et sur l‘écran géant, on peut voir une jeune mec qui va se faire partouzer dès que Marc et Eric arrivent.
    Marc fait le tour du « propriétaire » et me félicite de l’organisation. Je les présente au paternel. Les 6 autres arrivent dans la demi heure qui suit. Je récupère leur participation à leur descente de voiture puis après les avoir fait entrer, présente tout le monde par leurs prénoms, et nous nous retrouvons à prendre l’apéro autour de Ric qui est palpé, caressé, pincé, puis dans un deuxième temps, doigté. Les mecs lui ouvrent la bouche et le cul, le bol de graisse que j’ai placé au pied du lit, se vide a vue d’œil et j’en place un deuxième. Tous les mecs lui ont mis au moins trois voir quatre doigts dans le cul.

    Pour lancer l’affaire, je me mets à poil et commence à défoncer la gueule de Ric. Aussitôt, tous les autres se déloquent et les paquets retenus dans les slips, se déploient. Sans en avoir l’air tous se matent pour savoir qui a la plus grosse ! connaissant les engins du groupe, je me presse d’aller faire mon passage dans le cul de Ric avant qu’il ne soit tellement dilaté que je ne sentirais plus rien ! je fais signe à Marc de me succéder, malgré ses 22x6, il sera vite dépassé.
    Ric à 4 pattes, subit sans broncher les assauts de sa bouche. tous arrivent à lui mettre leur bite dans la gorge. Seules les trois plus grosses laissent quelques cm en dehors. Je remarque qu’il faudra mettre Ric sur le dos pour les faire entrer totalement. Son cul est lui aussi prit d’assaut. Et les 10 bites le ramone à tour de rôle. Les Mecs se succèdent sans jouir pour en profiter un maximum, alternant les passage de la bouche au cul. (la consommation de Kpote est impressionnante).

    Je déplace Ric sur une table haute dans un autre coin de la pièce et le fait se coucher sur le dos. Je lui regroupe les poignets et chevilles et les lie ensemble.
    Les trois mecs qui n’avaient pu se faire sucer totalement tirent la tête de Ric en dehors du plateau, poussent le menton en arrière et ce coup ci lui défoncent la gorge totalement. Ils sont tellement excités de voir la pomme d’Adam de Ric se soulever au passage de leur gland qu’il ne tardent pas à lui jouir dessus entraînant tous les participants à juter sur ses pecs, son ventre ou sa bite.
    C’est impressionnant la quantité de foutre que l’éjaculation de 10 mecs représente. Ça lui coule sur les abdos et dégouline de chaque coté. Je le détache et à 4, nous le portons par l’alaise de protection jusqu’à la baignoire. J’ouvre en grand le robinet et nous le laissons sous le jet de la douche.
    Les mecs se rince leurs bites dans les diverses salle d’eau et nous nous retrouvons tous autour des plateaux de bouffe à reprendre des forces.
    Je retourne voir Ric et le sort puis le sèche. Je lui demande si cela va, il me répond qu’il a pris un super pied. Je lui dit de se pencher et lui remet une dose de gel dans le cul avant de venir lui boucher le trou par un plug de belle taille.

    Nous rejoignons les mecs qui discutent entre eux des prouesses de Ric. Je pousse ce dernier à genoux et lui ordonne de raidir les mecs par une bonne pipe. Tout en continuant à discuter, les sexes se redressent sous la langue experte et les massages buccaux.
    Le premier qui aventure une main vers son cul, trouve le plug en place et rameute les autres avant de jouer avec, sortant et enfonçant le jouet sous les yeux excités de ses comparses.
    Son père décide de passer à la vitesse supérieur et décide de tenter les doubles sodo !
    Je le prend à part et lui explique qu’avec deux queues de 24 à 27 x 7 il risque de l’abîmer méchant ! et j’arrive à convaincre tout le monde de ne le faire qu’avec moi qui ait la plus petite bite. Par groupe de 5 nous investissons le corps de Ric. Deux dans son cul, un dans sa bouche et un dans chaque main. J’ai du mal à me retenir de jouir sous les frottements et compressions de ma bite par toutes celles du groupe, au fond du cul de Ric. C’était trop bon de sentir nos glands se frotter bien serrés par les parois du trou de Ric
    Lorsque la deuxième fois nous le recouvrons de sperme, le gang bang se termine. Sans s’en apercevoir, cela fait 4 heures que nous baisons !

    Les mecs partent se doucher et se rhabiller. Je m’occupe de Ric qui ne tiens plus sur ses jambes tellement nous l’avons sollicité puis rejoint les mecs avant qu’ils ne partent.
    Je dis à Marc que je ne rentrerais que le lendemain après avoir déposé Ric car il me reste a remettre le gîte en état et que je suis trop naze pour revenir en moto et que Ric a besoin d’une bonne nuit de sommeil.

    Seuls, nous nous endormons (Ric dans mes bras) dans le grand lit.
    Je me réveille, il fait grand jour et Ric me pipe en expert de la chose. Je contient mon plaisir et savoure les stimuli qui excitent mon gland, ma hampe et même mes couilles. Arrivé au seuil de mon éjaculation, je le repousse en arrière et lui jute au visage.
    Nous nous douchons ensemble et nous nous lavons réciproquement. Il me remercie du plan que j’ai organisé. Je lui précise que l’idée vient de son paternel. Ça l’étonne car il le pensait très possessif. Je lui confirme qu’il est surtout très vicieux !
    Il m’aide à faire disparaître toutes les traces de la nuit précédente et nous nous débarrassons des déchets dans de grands sacs poubelle noirs.

    Je le reconduis chez son paternel. Ce dernier nous accueille avec effusions, il félicite son rejeton pour les exploits qu’il a réalisé la nuit précédente et me glisse en supplément quelques billets pliés dans ma poche de poitrine. Comme je vais pour protester, il me coupe me disant n’avoir jamais pris un tel plaisir à baiser. Il me dit qu’il me rappellera bientôt.
    Je les quitte, enfourche ma moto et rentre à la maison.
    Je retrouve Marc. Il me serre dans ses bras et me complimente pour la soirée d’hier. Il a trouvé que c’était pas mal, bonne organisation et bon trip. Je sors les billets de ma poche et les froissant entre mes doigts lui assure que c’est aussi l’avis du père de Ric. Nous finissons le dimanche bien calme moi, passant la majorité du temps au creux de ses bras.

    Le samedi suivant le gang bang, je reprenais mes « cours » de sport. Le boss étant pressé ce jour là m’avait fixé rendez vous en début de matinée., du coup j’avais fixé ma séance de sport avec Seb pour 10h.
    Quand je passe l’entrée, ce n’est pas mon pote qui est de garde. Il faudra que je fasse attention aux caméras !

    La secrétaire qui m’accueille me prévient que Monsieur a une réunion importante et que la séance devra être terminée dans 1 heure douches comprises.
    Je le rejoint, il m’a l’air un peu stressé. Je lui propose juste un peu de footing sur 5 Km ce qui devrait nous prendre ½ heure à peine et un bon « massage » pour le détendre.
    Je me change dans sa salle de bain et nous partons courir.

    Au retour, nous nous douchons ensemble dans sa salle de bain privée, pas question de laisser des enregistrements traîner sur le PC ! il est distrait en ne profite pas de mon excitation sexuelle. Nous nous séchons et comme il me tourne le dos et se penche pour essuyer ses pieds, je m’enKpote discrètement crache dessus et le bloquant par les hanches lui enfonce mes 20cm dans son cul. Il se redresse en protestant mais je le tiens bien bloqué contre le meuble lavabo. Il gueule qu’il n’a pas la tête à cela mais après quelques va et vient, il abdique et se concentre sur ses sensations.

    Comme je le sais pressé, je cadence rapide et dans le ¼ heure qui suit, nous jutons tous les deux, moi dans ma Kpote au fond de son cul et lui sur la faïence du lavabo.
    Alors que nous nous rhabillons, il me remercie pour le moment de détente qui l’a finalement bien dé stressé.
    Je prend mon salaire en partant et part à la salle de muscu où je dois retrouver Seb.

    Je remets en tenue de sport et commence un peu de cardio en attendant Seb.
    10 h il me rejoint. Nous nous coursons sur les rameurs 1/4heure avant de passer aux poids. Vers 11h30 nous rejoignons les douches et comme il n’est pas très tard, il me propose de passer chez lui après.

    En moto, je suis son Audi jusque chez lui.
    Dès que j’ai posé mon sac dans l’entrée, Seb me saute au cou et me roule une pelle impatiente. Je le plaque contre moi et sent au travers des tissus et de mon cuir, la barre bien dure que fait sa bite se frotter contre la mienne qui ne tarde pas à arriver au même état.
    Je le déshabille rapidement alors qu’il peine à me sortir de ma combi moto.
    Nous nous retrouvons finalement en shorty face à face.
    Il glisse le long de mon corps et s’agenouille le nez sur mon sexe. Il baisse l’élastique, libérant du même coup ma bite qui lui saute au nez. Je n’ai rien à dire car il l’engouffre aussitôt dans sa bouche. je le laisse faire. Il suce bien le gland puis doucement, cm par cm, il absorbe une bonne partie de mes 20cm.

    Je suce deux de mes doigts et les faisant glisser le long de sa colonne vertébrale, les pousse jusqu’à sa rondelle. Penché en avant, ma queue s’enfonce encore un peu plus dans sa bouche et après avoir massé son anus, je pousse difficilement un doigt dedans.
    Je me redresse et l’entraîne dans sa chambre. je me couche sur le dos et lui demande de venir s’agenouillé au dessus de moi en 69.
    Il reprend ma queue en bouche et moi, passant mes bras derrière ses genoux, lui écarte les fesses de mes deux mains afin de dégager sa rosette.
    Il me montre alors un superbe anus bien fermé, la peau nickel plissée en rayons bien réguliers.
    Je pose mes lèvres dessus et pointe ma langue sur son petit trou. Il sursaute, en lâche ma bite et j’entend sa respiration s’accélérer sous le stimuli.

    Quand je cesse, il recule par dessus ma tête et vient m’embrasser en me disant qu’il n’avait jamais ressenti cela avant. Je lui dis de se replacer et de continuer à me sucer. Je reprend ma feuille de rose et doucement, fait pénétrer ma langue de plus en plus profondément.
    Je suce mon majeur droit et l’enfonce ce coup ci facilement. Rapidement j’y joint mon majeur et tout en bavant autour, les fait doucement tourner.
    Il se redresse de nouveau et me souffle que c’est trop bon ce que je lui fais. Je pense qu’il est mûr pour la sodomie !

    Je me dégage et après l’avoir placé à 4 pattes, recommence à lui bouffer le cul tout en lui écartant l’anus avec mes deux majeurs. Il gémit de plaisir et réclame « plus fort » !
    Je m’enkapote, ajoute une bonne dose de lubrifiant et pose mon gland devant son petit trou. Je pose mes mains sur ses épaule et lui demandant de pousser fort, je m’enfonce en lui. Le passage du gland lui tire une grimace. Je le laisse s’habituer à l’idée et à l’écartement. Je sors puis rentre rapidement un cm de plus. J’exécute ce mouvement jusqu’à ce que je sois entré d’environ 15cm. Il souffle à chacun de mes coup de reins. Je passe mes mains sur son torse, attrape ses tétons et les fait rouler entre mes doigts.
    L’excitation supplémentaire se traduit par un relâchement de son sphincter et j’en profite pour investir totalement la place.

    J’attend quelques instant puis commence à le limer doucement, ajoutant du lubrifiant à chaque nouvelle entrée. Il me faut bien ¼ h avant que je ne coulisse confortablement dans son boyau et que lui même commence à y prendre du plaisir. Le passage répété de mon gland sur sa prostate finit par l’exciter tellement qu’il se met à jouir. Les contractions de son anus à chaque éjaculation massent ma bite si fort qu’avant son dernier jet, je rempli ma Kpote d’une bonne dose de jus.

    Nous nous affalons cote à cote sur le dos, en silence. Quelques minutes plus tard, je me redresse sur un coude et l’observe, nu, sur le dos, la bite mole posée sur une cuisse, la respiration apaisée, le visage serein. Je vois quand même une larme couler le long de sa joue.
    Je lui demande si ça va et sa réponse me rassure. Il me dit avoir joui comme jamais avec une meuf !

    Je retombe sur le dos. Il roule vers moi, et vient poser ses lèvres sur les miennes pour un baiser léger puis vient caler sa tête dans mon cou.
    Je le laisse gérer ce moment je me souviens de ma première avec Marc et je sais ce qui peut lui passer dans la tête : enculé = pédale, fiotte…, tout le monde va s’en apercevoir en me regardant …

    Le résultat de ses cogitations doit être positif car je ne me prends pas de pains dans la gueule et ne me fait pas éjecter de son appart.
    Nous prenons ensemble notre douche, en profitant pour nous caresser le corps avec nos mains savonneuses. Comme nous nous séchons mutuellement, l’excitation revient et les sexes se regonflent un peu. Je lui propose de finir le w e à la maison. Il hésite car il sait que je n’y vis pas seul. Je le rassure en lui certifiant qu’il ne lui arrivera rein qu’il n’aura voulu.

    Il accepte et je téléphone aussitôt à Marc pour lui annoncer la nouvelle. Il n’est pas encore renté mais me dit que c’est Ok qu’il n’a qu’Eric à décommander car il devait passer le dimanche, car il ne faut pas effrayer notre petit poisson trop vite !

    Je raccroche et confirme l’invitation à Seb. Je l’aide à faire son sac, lui précisant d’emporter des fringues et chaussures de sport.
    Il me suit en voiture jusqu’à la maison.

    Jardinier

    sasha72@hotmail.fr

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