• 23 04 09. Récit 8

    Certains récits ne font pas mention du condom. N'oubliez pas que ceux-ci sont essentiels pour une relation sexuelle sécuritaire... Dans votre lit, vous n'êtes pas dans un récit! Protégez-vous!!!
    Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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    Soumission / Domination 28

    La veille au soir, nous avions tardé à nous coucher discutant de choses et d’autres, affranchissant Seb des pratiques en vigueurs dans notre « groupe » si bien qu’il nous avait fallu porter Ric au lit. La fatigue avait eu raison de sa résistance et comme souvent quand ils restent tous à la maison, il s’est retrouvé dans le lit d’Eric.

    Je me suis réveillé il faisait grand jour, Marc allongé contre moi bandait ferme. Je me suis glissé vers le pied du lit et entama la journée par une bonne fellation. Il ne mit pas de temps à se réveiller et j’ai soudain senti ses mains sur ma tête appuyer pour approfondir le propos.

    Rapidement je me prenais ma dose de sperme faisant bien attention de ne rien perdre. Alors que je reprenais position à ses cotés, Marc m’excita en me pinçant les tétons, me tirant les couilles et alors qu’il me mettait deux doigts dans l’oignon et que j’allais juter, il me bascula en arrière jusqu’à ce que ma bite se retrouve au dessus de ma bouche. Quelques coups de poignet et je me gavais de mon propre jus.  Trop bon !!

    Une petite douche plus tard, un jock sur ma bite et Marc en short , en descendant à la cuisine, nous sommes passés réveiller Seb. Nous l’avons attendus alors qu’il procédait aux même ablutions que nous précédemment, puis sommes allés lever les deux derniers.

    A la porte nous nous sommes rendu compte qu’ils étaient bien réveillé. Les bruits passant au travers ne laissaient aucun doute quand à l’activité se déroulant dans la chambre. Marc a alors poussé la porte et nous avons pu admirer Ric se défoncer le cul en chevauchant les cuisses d’Eric. L’angle de vision du pas de la porte nous découvrait les pieds et jambes d’Eric couché sur le lit et au dessus le cul de Ric faire des montés et descentes sur la batte de base ball noire puis le dos arrondi, les muscles bandés par l’effort.

    Les grandes mains d’Eric contrastaient sur les hanches blanches et aidaient aux va et vient.
    Occupés à atteindre la jouissance, ils n’ont pas remarqué notre présence et comme ils s’éclataient, Eric maintenant Ric enfoncé à fond sur son pieu, nous les avons surpris par nos applaudissements.

    5 mn plus tard nous étions tous à la cuisine pour un petit déjeuner/ déjeuner reconstituant. Seb un peu jaloux d’être le seul à n’avoir pas encore baisé, n’arrivait pas à débander. Marc envoya Ric sous la table pour le soulager ce qui fut fait 10 mn plus tard.

    Après un café dans le salon et pour certains une mini sieste, Marc a décidé de faire découvrir le « donjon » au nouveau membre du groupe.
    Sans nous habiller plus, nous avons mis sur nos épaules les grands manteaux de fourrure et l’avons conduit jusqu’à la porte de la grange. Je demandais à Seb de fermer les yeux puis de les rouvrir une fois la porte passée. Dans le noir complet, rien n’est perceptible hormis une odeur puissante de cuir. J’allume les spots groupe par groupe, découvrant petit à petit le domaine de jeux. L’apothéose vient avec l’illumination de la selle spéciale équipé du gode le plus gros que nous ayons.

    Durant toute la séance j’ai pu voir les yeux de Seb s’ouvrir comme des soucoupes. Je suivais Marc qui par le bras lui fit faire le tour des « agrès » et arrivant au fond de la salle éclaira la partie sanitaire carrelée de noire.

    Seb ne revenait pas de l’installation que nous avions montée.
    Alors que nous revenions vers les selles, nous avons vu Ric s’installer lentement sur le modèle modifié et vu son anus bien graissé s’ouvrir pour avaler le gland. La couronne de 6cm lui demanda un petit effort et par un fléchissement appuyé sur les étriers, il s’est pris d’un coup un bon tiers du gode.

    Eric prenait soin de la rondelle en plein effort en assurant un graissage du pieu synthétique. Seb s’est rapproché afin de mieux voir, il croyait qu’un engin de cette taille servait juste pour la déco et n’imaginait pas un mec s’asseoir dessus.

    Ric progressait doucement, son anus s’écartant progressivement, avalant cm par cm la colonne de plastique. Je tendais les bras et lui après lui avoir attrapé les tétons commença à les tordre. Aussitôt nous avons vu sur son visage monter l’excitation d’un degré supplémentaire et alors que ses tétons s’étaient gonflés, une dernière torsion le fit s’asseoir sur la selle avalant les deniers 5 cm les plus large en une fois lui tirant un couinement de salope.
    J’allais chercher un flacon de poppers dans le frigo, le présenta sous le nez de Ric qui me remercia de la détente que cela lui procurait au cul.

    Il se releva jusqu’à déculer et Eric en profita pour ajouter une nouvelle couche de graisse sur le gode. Une nouvelle dose de poppers et il se ré enfila le gode plus rapidement.
    Marc lui demanda un trot. Prenant appui sur les étrier Ric simula les soubresauts du cheval, glissant sur le gode sur environ 10cm. Quand Marc lui demanda d’aller au galop, le mouvement s’est amplifié et c’est sur plus de 20cm en faisant attention à ce que le gland ne sorte pas que Ric s’est limé le cul.

    Tous les 4 autour, nous admirions la prestation. Ce corps imberbe à l’aspect juvénile et à la musculature harmonieuse se défoncer le cul sur un monstre en plastique, c’était presque de l’art !
    Seb tout à l ‘excitation de ce qu’il découvrait comme pratique sexuelle, me laissa lui enfoncer 2 puis 3 doigts dans le cul. Je le poussais en travers de la selle d’à coté afin qu’il continu à profiter du spectacle et commença à le pénétrer de mes 20cm graissés. Doucement je sentais ses chaires s’écarter sous l’avancée de mon gland. Bien serré, après avoir fait une petite pause au fond de son cul, lentement, j’ai entamé un va et vient, déculant complètement de temps en temps avant de le réinvestir.

    Je me suis retiré quand Eric et Marc ont fait descendre Ric de l’engin de plaisir. Seb, du coup à cru que nous allions lui dire de monter à sa place et pris peur. Je le rassurait en lui disant que même moi je ne m’asseyais pas sur celui là !

    Marc m’a appelé  pour la double sodomie. Nous nous sommes allongés sur une table basse te étroite mais assez longue pour supporter totalement nos corps allongés tête bèche, collés par nos périnées (table faite sur mesure pour cette position). Eric ordonna alors à Ric de nous enjamber et de s’asseoir sur nos deux bites accolées. Sous les yeux ébahis de Seb, Ric s’est vaillamment pris, avec l’aide de quelques passage de poppers sous le nez, l’ensemble.
    Eric pris alors la place que j’avais laissé vacante et son dard bien graissé, il se mit à enculer Seb, le plaquant de nouveau en travers de la selle.

    Il fallu quand même une bonne dose de poppers pour que son anus accepte la déformation nécessaire à l’intrusion complète du mandrin d’Eric.  
    De la où j’étais, je pouvais voir que cela ne l’avait pas fait débander et que sa bite passée sous la selle n’avait jamais été aussi grosse.

    Ric commençant à fatiguer des jambes, Marc l’avait attiré sur ses abdos, je me redressais et à partir de ce moment là, c’est moi qui m’activa, massant la bite de Marc calée bien à fond, par mes aller et retour. A coté de nous, Eric se régalait de cul presque neuf de Seb. Ce dernier bien parti, acceptait de mieux en mieux la saillie. Et comme Eric jutait dans sa Kpote en le maintenant enfoncé sur sa bite jusqu’à la garde, je le vis éjaculer sur le sol sans même s’être touché, vaincu par l’excitation procuré par son cul.

    De notre coté, quelques instants plus tard, nous unissions nos spermes au fond de Ric quand il se répandait à son tour, sur les abds de Marc. Couchés les uns sur les autres, nous avons repris notre souffle doucement, nos queues débandantes libérant progressivement Ric de notre possession.

    Ce n’est qu’un bon ¼ heure plus tard que nous avons gagné les douches collectives. L’eau bouillante et les savonnages/massages mutuels à défaut d’un jacuzzi, nous ont bien délassé.

    De retour à la maison devant un thé bien chaud, après qu’Eric nous ait quitté, Seb demanda l’autorisation à Marc de pouvoir baiser des meufs à l’occasion afin de voir si ce qu’il préférait c’était les mecs seulement ou bien les deux, mecs et meufs !

    Marc lui dit que c’était Ok mais qu’il devait impérativement se Kpoter pour que de notre coté nous puissions continuer sans en toute confiance. Comme il nous en faisait la promesse, je lui dis que je le comprenais car c’était même la première chose que j’avais faite après m’être fait dépuceler par Marc. Mais avec le temps, le meufs ne m’intéressent plus sauf  la mère de Jean mais là c’est purement intellectuel. Soumettre toute la famille à ma bite, me donne un sentiment de puissance qui flatte mon égo !!

    Rompu de fatigue tant musculaire que nerveuse Seb est rentré chez lui alors que je remmenais Ric à son paternel.

    L’hivers passant, je retournais chez Jean pour une vérification de l’état du jardin, et voir par la même occasion les dégâts des différents coups de vent.

    J’arrivais en début d’après midi un samedi où je savais le mari pris par ses affaires. La mère de Jean me viola carrément. Les jeunes bites des copains de son fils ne savaient la satisfaire et surtout son cul était en manque de défonce !

    Happé dès le passage de la porte d’entrée, je me suis retrouvé propulsé sur un canapé, chevauché par une meuf en furie ! mes fringues ont volées autour de nous et je me suis vite retrouvé à poil. Excité par la situation, je bandais bien et sans attendre mon gland s’est retrouvé au plus profond de sa gorge. A croire qu’elle s’était entraînée sur un gode tellement ça entrait facile ! Sa fellation valait presque celle de son fils.

    2mn après elle me Kpotait et m’enjambait pour enfiler ma bite dans sa chatte. Elle était brûlante ! d’elle même, après deux ou trois va et vient, elle changea de trou et profitant de la lubrification de la Kpote enfonça ma bite au fond de son cul. Après 5 bonnes minutes de sodo,
    Jean attiré par le vacarme, nous trouva dans cette position. Sa mère ne fit aucun commentaire, j’en déduisis qu’elle s’était habitué à sa fonction de « pute ».

    J’ordonnais à sa mère de me chevaucher en me tournant le dos afin de libérer sa chatte et dis à Jean de ramoner sa mère. elle se coucha sur moi et bientôt je sentais le sexe de Jean progresser dans son vagin. Nos deux bites se frottaient l’une contre l’autre juste séparées par les deux fines parois vaginale et intestinale.
    De mes mains, je pressais se seins et comme elle avait les tétons bandés, j’ordonnais à Jean de les sucer.

    A partir de ce moment là, elle a vraiment décollé et nous l’avons entendu gémir de plaisir, nous demandant de la défoncer encore plus, qu’elle était notre pute, notre vide couille, que pour une telle baise elle serait prête à tout…un vrai délire !!
    Alors qu’elle jouissait pour la deuxième fois, Jean s’est vidé dans sa mère alors que je déculais et arrosais copieusement ses couilles, la chatte et le cul de sa mère d’une bonne dose de sperme.
    Comme Jean s’était retiré, je basculais la mère sur le canapé et ramassant mes affaires nous sommes montés à sa chambre, la laissant seule malgré ses envies de câlins !
    Après une bonne douche, il me fit voir sur son PC les enregistrements de sa mère en train de baiser avec ses potes.

    Alors que je m’étonnais des mecs qui la baisaient, il me dit qu’il avait préféré ouvrir le « marché » aux terminales car seuls 4 de ses potes de cours avaient été intéressés.
    J’ai donc pu admirer quelques beaux mecs, correctement foutus (sports-co oblige)et quelques un bien montés. On pouvait voir d’ailleurs que sa mère en profitait bien et qu’elle appréciait plus la chose qu’avec les petites bites de ses potes.

    Il y eu notamment un couple de jumeaux super mignon et bien foutus, (dans les 1m80, 65 Kg, montés 18/19 larges, de l’équipe de foot du lycée selon Jean) qui l’on prise chacun à leur tour et à la demande de la mère à deux comme nous venions de le faire. Là j’ai pu voir qu’ils kiffaient comme jamais ! dans l’enregistrement, nous les entendions la traiter de salope qui n’en n’avait jamais assez. D’elle même nous la voyons se limer toute seule sur les deux bites, le mec du dessous caressant les hanches de son frère. Vers la toute fin alors que l’excitation était au plus fort, les deux jumeaux se sont rapproché par dessus la meuf et se sont roulé une pelle. C’est à ce moment là que nous avons pu voir leurs corps se crisper sous l’effet de leurs plaisirs.

    Le spectacle des deux corps semblables s’embrassant amoureusement par dessus le réceptacle de leur jouissance ma fait bander aussitôt. On devinait que la femme ne servait que d’intermédiaire et qu’il y avait plus entre eux que de baiser la même meuf !
    Comme je demandais plus de renseignement à Jean, il me dit qu’effectivement quand après ils ont pris leur douche ensemble, leurs savonnages réciproque ressemblait plus à des caresses qu’autre chose.

    J’enregistrais sur ma clef USB l’ensemble des baises des terminales. Et en attendant la fin du chargement je descendis mon pantalon pour que Jean me suce la bite. Comme toujours il le fit avec beaucoup d’enthousiasme et de « profondeur ». Me repassant le film des jumeaux dans ma tête, je me dis qu’il faudrait que j’arrive à me les faire !
    Par contre la mère allait payer l’offre de son cul aux jumeaux. Je ne lui avais autorisé que l’utilisation de sa chatte dans ses dépucelages !!
    Je me concentrais sur la superbe fellation de Jean et finalement la trouvais quand même meilleurs que celle de sa salope de mère !

    Jean me Kpota et baissant juste son jeans sous ses fesses vient s’asseoir sur mes genoux, s’enfilant ma bite au fond de son cul. J’appréciais la douce chaleur de son intérieur et la puissance de contraction de son anneau. Malgré l’usage assez intensif que je lui faisais subir, il continuait les exercices et si son anus était devenu capable d’accepter les très très gros calibres, mes 5cm de diamètre se trouvaient encore bien serrés.

    Je le basculais sur le sol, à 4 pattes et les mains sur ses hanches j’augmentai la cadence et la puissance/violence de la pénétration. Je sortais mon gland de son cul tout en restant serré entre ses fesses puis le rentrais d’un puissant coup de reins. Ce petit jeu eut vite fait de faire monter mon excitation au top et dans une dernière pénétration, je me verrouillais au fond de son cul le temps de remplir la Kpote de 6 bons jets de sperme, dépassant la capacité de la réserve de la Kpote et noyant mon gland d’un gel gluant.
    Après m’être retiré et jeté la Kpote , Jean est venu nettoyer mon gland avec sa langue. c’était trop bon pour que je l’arrête ! 
    Je décidais de sacrifier un samedi matin de muscu avec le père de jean afin de surprendre sa mère baiser avec les jumeaux. J’ordonnais à Jean d’organiser ça le plus tôt possible .

    Arrivé à la maison, je copiais les enregistrements sur le disque dur et les montra à Marc. Le passage avec les jumeaux a attiré son attention plus particulièrement. Et lorsqu’il les a vu s’embrasser avant de jouir, j’ai vu son jeans se tendre sous la pression. Vite je me suis agenouillé entre ses cuisses et après avoir sorti avec difficulté son sexe, je me suis mis à téter son gland puis l’ensemble de sa bite. Il repassait en boucle sur le PC la baise des jumeaux et surtout la fin où on les voit se bouffer la langue. 5mn lui ont suffi pour envoyer la purée. Comme je me relevais en me léchant les lèvres, il me demanda de me débrouiller pour les lui amener. Je ne le surpris pas en lui disant que j’avais déjà envisagé la chose et que j’étais en piste pour cela, ayant prévus de les surprendre sur la mère de Jean un des 3 samedis suivants.

    Marc me caressa la joue, me félicita pour mon initiative puis se pencha pour me rouler la pelle du siècle ! comme je n’avais pas encore joui et que je bandais comme un âne, Marc me coucha sur le dos puis me relevant le cul jusqu’à ce que je ne repose que sur la nuque, il entreprit de me bouffer l’oignon. Pendant ce temps là je me branlais et rapidement sous la double stimulation, j’ai juté. Ma bite, au dessus de ma tête, libérait mon sperme directement dans ma bouche. Comme Marc m’interdisait de l’avaler, je me suis retrouvé les joues gonflées de jus. Il abandonna mon anus et posant sa bouche sur mes lèvres fermées me demanda de les entrouvrir. Lentement alors que je les desserrais, j’ai senti mon jus couler entre mes dents vers sa langue qui venais le chercher. Bientôt, bouches grandes ouvertes, nos langues se battaient dans ma sauce.

    Trop bon ! Nous n’avons cessé que lorsque tout le sperme a été bu !

    Il fallu 15 jours à Jean pour réorganiser une baise entre les jumeaux et sa mère. Ces derniers s’étaient fait un peu tirer l’oreille sous prétexte que la nouveauté n’y serait plus ! Jean avait trouvé les arguments qu’il fallait car finalement, ils étaient revenus.
    J’arrivais de bonne heure et après avoir installé la mère à poil sur les matelas de la maison de la piscine et passé 10 mn à l’exciter histoire que sa chatte soit brulante, j’attendis avec Jean leur arrivée. Installé devant le PC, je voyais l’enregistrement en direct des caméras et pouvais choisir l’une ou l’autre en particulier.
    Dès leur entrée, Jean les a conduit à sa mère. J’ai vue leur entrée dans le bungalow. La mère de Jean en bonne salope, s’était roulée à 4 patte le cul vers la porte et d’une main passée entre ses cuisses, elle se stimulait le clito ou s’enfilait deux doigts une fois dans la chatte, une fois dans le cul. 

    Les deux jeunes se sont mis à poil instantanément et leurs bites se sont raidies direct.
    Jean leur a donné une boite de Kpote et est venu me rejoindre. Sur l’écran j’ai pu les voir tourner autour de la meuf, cette dernière essayait de leur attraper la bite pour les sucer. Finalement un des jumeaux lui enfila sa bite au fond de la gorge en la traitant de pompe à foutre et lui tenant la tête fermement s’est mis en devoir de lui limer la gorge.
    Le second s’est placé derrière son frère et collé contre son dos, il se mit à le caresser et a l’embrasser. Soudain celui qui se faisait pomper a tourné la tête en arrière et son frère est venu l’embrasser sur les lèvres.
    Je bandais bien serré par le jeans.
    Jean et moi avons pu voir leur grande complicité en matière de sexe quand celui qui était derrière est venu se placer au dessus de la meuf et que celui qui se faisait pomper s’est penché pour lui sucer la bite.

    Là, j’ai ouvert mon jeans et Jean s’est mis à genoux entre pour me sucer. Je lui demandais d’y aller cool car j’étais très excité.
    Puis celui qui se faisait sucer par son frère s’est écarté et après s’être Kpoté, il s’est enfilé entre les lèvres brûlantes de la meuf en chaleur. Deux coup de rein seulement et je l’ai vu changer de trou et il a dit  alors que « quand même, un cul c’est meilleur qu’une chatte, la température est plus modérée et surtout on y est plus serré ! » son frère était d’accord et il ajouta  « pour les pipes aussi dans une bouche de mec c’est mieux fait ».
    On ne pouvait plus douter que ces jumeaux étaient de bon petit PD qui venaient, à l’occasion qui leur était offerte, de tester les meufs !

    Celui qui se faisait piper, se dégagea et glissant entre les jambes de la mère se plaça pour lui baiser la chatte. Quand il y fut, il commenta que « le seul truc fun était de pouvoir sentir leurs deux bites se frotter l’une contre l’autre dans la même meuf ! ».
    Là je me dis qu’il y avait une piste pour les attirer : la double sodomie !

    Je décidais avec Jean de débarquer dans la mini-partouze. Nous avons abandonnés l’écran et sommes descendu au jardin. 1mn plus tard, nous entrions dans le cabanon et les trouvions dans la même position.
    Les deux mecs furent surpris car il ne connaissaient pas.
    Je leur dis de continuer et Jean confirma sous leurs regards interrogatifs. Je m’approchais d’eux et mettant un doigt dans la bouche de sa mère, je tirais pour qu’elle me regarde dans les yeux. Je l’engueulais en lui rappelant que son cul m’était réservé exclusivement et finissait en lui mettant une claque. Les jumeaux étaient un peu troublés de me voir si directif avec la mère de Jean.

    Pour détendre l’atmosphère, je leur demandais s’ils étaient content de la meuf , ce à quoi ils me répondirent que c’était pas mal car ils pouvaient être tous les deux sur le même « chantier » et en même temps !
    Je leur faisait remarquer qu’on pouvait même être trois. Je me suis mis à poil et ai présenté mes 20 cm à la bouche de la mère. La tenant fermement je me suis mis à lui ruiner la gorge en enfonçant totalement ma bite. J’ai senti un regain de vigueur chez les jumeaux. En me penchant un peu, j’ai pris celui du dessus par les lèvres et profitant de l’effet de surprise j’ai introduis ma langue pour un  palot bien appuyé. Ma main droite est descendu le long de sa colonne vertébrale et le doigt que j’ai glissé entre ses fesses a pu apprécier la souplesse de son anus. Ce dernier n’était sûrement plus vierge ! et mon doigt est entré sans douleur.
    Je leur ai proposé alors un truc encore plus fun qui les rapprocherait à se toucher. Intrigués, il me dirent OK.

    Je sorti ma bite de la bouche de la mère et leur demanda de faire de même des trous qu’ils bouchaient. Je relevais la meuf et lui ordonna de nous laisser et de se finir seule si elle le désirait mais hors de vue. Les jumeaux étaient stupéfaits du ton que j’avais pour parler à la mère de Jean.

    Je demandais à Jean encore vêtu de se mettre à poil. Aussitôt fait, je lui mis deux puis trois doigts dans le cul puis mon sexe Kpoté l’envahi. Les jumeaux n’avaient pas imaginé que Jean pouvait être PD. Mais ils se reprirent vite et en se plaçant de chaque coté de nous, lui ont présenté leurs bites à sucer. Alors que je l’enculais virilement, sa tête passait de droite à gauche pour avaler jusqu’aux couilles les bites jumelles. Juste en tendant les bras, j’ai rapproché leurs visages du mien et nous nous sommes roulés une pelle à trois. Les deux « petits » étaient bien ferrés, je pouvais maintenant y aller. Je me retirais de Jean et leur dit de me remplacer pour éviter qu’il ne se referme. Aussitôt le trou fut bouché et alternativement ils se sont relayés. Quand je demandais à Jean de masser leurs bites en serrant bien son anneau, les mecs ont trouvé cela bien meilleur que la chatte de sa mère. De mon coté, à l’aide du jumeau restant, je palpais, caressais, plantais un ou deux doigts dans le cul de celui qui enculais Jean.
    L’excitation montait bien, je ralentissais tout le monde quand je voyais que ça frisait l’éjaculation.

    Je demandais aux jumeaux, quelles étaient leurs expérience en ce domaine et ils me dirent qu’ils s’étaient jusque là principalement contentés de leurs relations incestueuses, que la mère de Jean était leur deuxième meuf et Jean leur  « premier mec ».
    Je leur proposais alors de prendre Jean à deux. Ils m’ont regardé avec des yeux ronds, je leur expliquais alors que si ils voulaient essayer, ils pouvaient enculer Jean en même temps.
    Ils n’ont pas réfléchi longtemps pour me demander comment.
    J’en ai fait coucher un sur le dos, ai demandé à Jean de le chevaucher. Une fois la bite bien au fond de son cul, je l’ai poussé aux épaules pour le plaquer sur le torse de son enculeur puis ai dit au second jumeau de s’agenouiller et de placer son gland contre l’anneau sur la bite de son frère.

    D’une poche de mon jeans je tirais un flacon de poppers et en même temps que Jean en sniffait, j’ai ordonné au deuxième de rentrer sa bite.
    Jean a poussé un cri au passage du gland ce qui a figer l’ensemble. Les jumeaux ayant eu peur d’avoir « cassé » quelque chose !
    Je refaisais sniffer Jean et leur dit qu’ils pouvaient le limer. Il leur fallut quelques minutes pour régler les mouvement et enculer de concert le trou de notre petit Jean. Ils prenaient vraiment leur pied et kiffaient de sentir leurs deux bites bien serrées au chaud du même cul.
    Absorbés par l’étrangeté du plan, ils ont accepté sans problème ma participation, baiser, prise de couilles en mains, doigts dans le cul…

    Quand ils ont été bien chaud, j’ai remis une Kpote et plaquant l’enculeur du dessus sur le dos de Jean, j’ai entré mes 20cm dans son cul d’une seule poussée lente mais ferme et inexorable.
    Sous l’effet de ma pénétration, il s’est redressé et comme il tournait la tête vers moi, j’ai pris ses lèvres pour lui rouler une pelle avant qu’il ne se mette à protester.
    Son frère, prisonnier de nos trois corps, nous dit alors que la bite de son frère avait encore grossie tout contre la sienne. L’effet de mon enculage sûrement !
    C’est dans cette position que nous avons tous joui, les enculeurs dans leur Kpotes et Jean sur les abdos d’un jumeaux.

    Après un bon ¼ heure de récupération, nous avons pris une douche, et discuté un peu. Les jumeaux voulaient en savoir plus sur mes relation avec Jean et sa mère, etc.
    Je me contentais de leur demander si ce genre de plan leur avait plut. Ils me dirent qu’ils avaient kiffé à mort, alors je leur proposais d’autres expériences chez moi (et Marc) sans leur en dire plus et leur demandais leurs disponibilités. Ils me dirent OK, qu’ils étaient très libre de leur emploi du temps le WE, leur père les laissait gérer leur vie comme ils le désiraient en totale confiance. Lui même, veuf, vivait sa vie sans complexe, découchant ou ramenant des meufs chez eux.

    Je téléphonais à Marc et après une brève discussion, nous les avons invité pour le lendemain. Je leur proposai de venir les chercher en voiture (le trajet en scooter serait un peu long), à 10h.
    Ils demandèrent à Jean si ça craignait pas et ce dernier leur a garanti qu’il n’y aurait aucun problème que nous étions réglos.

    Jardinier

    sasha72@hotmail.fr

     

     

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