• Du 04 06 09.Récit:Cul et bouche baiser par un latin.

    Certains récits ne font pas mention du condom.

    N'oubliez pas que ceux-ci sont essentiels pour une relation sexuelle sécuritaire...

    Dans votre lit, vous n'êtes pas dans un récit! Protégez-vous!!!

    Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES

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    Cul et bouche baiser par un latin .

     

    Je devais partir pour Madrid et hélas à cause des conditions climatiques impossible d'y aller par avion.. J'étais dans l'obligation de prendre le train.

    Donc arrivé à la gare a 22h, je trouve mon train couchette. J'arrive dans on compartiment, ma cabine est de deux couchettes.. Ah avec ma chance je vais me retrouver avec un ronfleur.

    Je commençais par m'installer tant bien que mal quand j'entendis du bruit qui venait de la cabine de toilette juste dans l'angle de la cabine, je suis toujours épaté par le nombre de truc qu'ils peuvent mettre dans un endroit aussi étroit.

    Sur le moment je ne prêtais pas attention au bruit venant de du cabinet, je finis de m'installer en me demandant qui pouvait bien partager la deuxième couchette ?

    Je m'installais dans mon lit en espérant pouvoir m'endormir rapidement, qu'il fut ma grande surprise quand je vis la porte du cabinet de toilette s'ouvrir sur un super mec, un vrai bogoss musclé et bronzé, sans doute un espagnol, son corps superbe se dessina dans l'ouverture, ce super spécimen masculin n'était revêtu que d'un boxer il avait des jambes musclées et poilues c'était vraiment d'un érotisme qui ne me laisse pas indifférent la lumière qui venais de beau male rendait encore la situation plus excitante.

    Une bosse commencer à ce voir dans mon lit celui-ci s'approchât de moi et me dit:

    - bonsoir moi c'est Alphonso et vous c'est comment ?

    je voulus lui répondre mais aucun son ne sorti de ma bouche tellement je suis subjuguer et excité par beau mec raclant ma gorge j'arrivais à lui répondre

    - bonsoir moi c'est maxime, enchanté de vous connaître alphonso

    Avec une voix remplis d'émotion, que alphonso perçu très bien.

    Celui-ci profita de ce que mon corps trahissant mes émotions pour s'asseoir sur mon lit. Nous échangeâmes les banalités qu'impose cette situation.

    alphonso tout en parlant ne pus que constater qu'une bosse c'était formé et commença à passer ces doigts dans mes cheveux qui eu pour effet de m'exciter un peu plus, Je me rendit compte que c'était alphonso qui pris en main mon désir, moi qui suis plutôt maître de mes pulsions et qui d'habitude c'est moi qui prend moi-même en main ce genre de jeu érotique.

    Une petite voix intérieure me dicta de me laisser faire que je pourrais en apprendre plus avec se superbe brun beau comme un apollon grec, quand je repris mes esprits alphonso continuer à me dire des choses, que je n'aurais imaginé que puisse me dire un inconnu dans un truc roulant vers Madrid et quelques minutes après notre rencontre

    -Tu bandes dure mon cochon, je suis flatté que je te fasse cet effet.

    Je mis quelque seconde à lui répondre car d'habitude c'était moi qui commence à ouvrir les hostilités, mais quel plaisir que se soit quelqu'un d'autre qui le fasse.

    - Oui tu me rends dingue, tu sais bien faire réagir mon corps à tes caresses.

    Il saisit avec une main mes cheveux et me força à l'embrasser, il me rentra sa langue à l'intérieur de ma bouche, Il fit le tour de ma langue avec la sienne et quand il voulut arrêté le baissé torride il mordis ma lèvre cela à eu pour effet de faire dresser les draps qui ce trouver sur moi en forme de chapiteau tellement ma queue était dure.

    Sans que je mis attende, il tira brusquement sur les draps et les fis valsée jusqu'au pied de la couchette. Je me trouvais tétanisé tellement son geste fut brusque. Le voici qui ce jette sur ma queue tel un rapace sur sa proie, il aspira ma queue dans sa bouche et pratiqua une sucions savante qui me coupa la respiration.

    Tout en aspirant ma queue il titilla le bout avec sa langue qui me fit passer un fluide glacial dans mes reins, il continua se traitement pendant quelque minute qui pour moi m'ont s'embler durer des heures. Je me die en moi même voila un homme qui connaît bien son sujet .

    Je commençais à laisser trahir ma soumission, ainsi que mon plaisir qui ne pouvait que monter, vu le travaille qu'il produisait sur ma queue. Il s'arrêta aussi vite qu'il c'était acharné sur celle-ci. Il me regarda avec un regard qui voulait en dire long sur le supplice qu'il avait décidé de m'appliquer.

    -Alors Alphonso ça fait quoi de se faire traiter ainsi par un inconnu, me dit il

    -Te dire que je reste de bois ça serait insulter ton égaux, je n'ai qu'a me laissé faire car il me semble que tu es un expert dans ce domaine.

    J'avais à peine finie de dire ces mots qu"il se dressa au-dessus de moi qui était toujours coucher, pris ma pine suintante en main le colla contre son anus et se laisse tomber sur mon sexe sans ménagement, je ressentis une douleur indescriptible. Mon prépuce était en feu.

    Après un moment ou il était rester immobile sur moi ma bite entière dans son cul, je croisais son regard qui en dit long sur sa joie de me dominer. Il commença son vas et vient, avec une opulence à varier le vite et le lent pour faire monter mon plaisir et le stopper aussi vite qu'il était monté, un rire vient de déchiré le silence, on aurait dis un rire d'une personne qui savouré son manége de coquin. Je n’ai pas une énorme bite mais un bon 18 centimètres et il se l’était fourré a sec sans problème.

    Il appliqua se traitement pendant un long moment et quand il sentit que j'allais jouir il se retira de la position qu'il avait prise et revient vers moi pour me refaire le même baiser torride du début. Cella à eu pour effet de me faire crier un NON qui venait du fond du coeur. Il me surprit une nouvelle fois quand il ma somma un ordre sec:

    _Maintenant léché moi toute ma sueur petite salope.

    Il m'attrapa par les cheveux et me mis le nez sur sa queue qui était énorme, je mis ma langue en mouvement et il tenait toujours mes cheveux. C’est comme cela qu'il guida ma langue là ou il voulait, il dirigea son regard vers mon sexe pour mieux se rendre compte de mon plaisir. Il ne me fallut pas long temps pour de nouveau bandé. Las de se jeu a priori il me pris par les deux oreilles et commença a me baiser la bouche. Je pensais impossible d’avoir cette longue queue intégralement dans le bec, mais je me trompais.. Mi suppliant les yeux pleins de larme, j’arrivais a peine a respirer et je bavais sur sa longue tige, j’étouffais et lui intraitable m’enfonçais des gros coups de sa grosse bite dans le gosier.

    Je sentis sa grosse queue commencer a vibrer, il redoubla ses coups de queue et je senti de long jet de sperme passer directement du fond de ma bouche a mon estomac sans que j’ai besoin de déglutir.

    Il relâcha mes cheveux et parti vers la cabine de toilette qui me laissa le temps de reprendre mes esprits et mes sensations corporelles.

    Quelques instant plus tard il ressorti de la cabine, j’étais pantelant sur le lit, sans cérémonie il me retourna me fit soulever ma croupe et fis rentrer sa bite dans mon trou sans ménagement, je m'entendis crier de douleur d'abords, puis celui-ci se transformât en complainte du plaisir., j’étais devenu une vrai chienne.

    Une fois au fond il s'arrêta pour reprendre son souffle et aussi pour laisser le temps a mon petit trous de se faire au passage de sa grosse queue. Je m'entendis, lui dire.

    • Oui, vas si pilonne-moi, encore.

    Ces mots on eu pour effet de le relancer à faire coulisser sa queue dans mon trou avec acharnement. Je m'entends lui dire a nouveau

    - Oh oui vas-y, vas y bourre-moi cochon d’enculé

    Il continua a me labourer et bientôt je senti un liquide m’envahir le fondement, sous l’effet de la sensation je joui a mon tour sur le drap.

    Nous retombions ensemble sur ma couchette épuisée par ces jeux érotiques. Il se blotti contre moi et s'endormis avec sa queue nichée encore dans mon petit trou.

    Le reste du voyage se fis endormis, jusqu'à l'arrivé ou la je me suis réveillé seul car tous ce-ci n'était qu'un rêve.

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