• Du 04 06 09.Récit:Une langue me lèche le cul.

    Certains récits ne font pas mention du condom.

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    Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES

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    Une langue qui me lèche le cul.


    Ca a commencé vraiment bêtement il m’allumait depuis des semaines nous étions tout les deux moniteurs dans un camp de vacances organisés par la marie de sarcelle, j’avais pris se taf d’été pour me faire du blé a la place d’aller a Ibiza avec mon ami. On s’occupaient tout les deux d’un groupe d’une dizaine d’ado exubérent mais plutôt sympa.

    Après avoir bordé toute cette jeunesse nous nous retrouvions martin et moi dans notre tente particulière placée en face de l’entrée de la tente des gamins pour pouvoir surveiller mine de rien si certains ne se faisait pas une balade nocturne, les gamins des cités n’ont pas toujours envi de suivre les directives de mecs qui ont tout juste 5 ans de plus qu’eux. Mais la n’est pas la question ni le but de cette confession intime.

    Donc comme je vous le disais martin et moi étions dans la même tente depuis le début du camp et depuis le début il me chauffait le salop, j’avais jusqu'à maintenant ignoré ses avances mais cette nuit la martin vient se placer devant moi, il agite sa queue sous mes yeux.

    - Tu me suces…

    Et la pour seule réponse, j’avale sa bite,

    Et je l’étends siffloté et qui entre ? Marc un autre moniteur avec qui je savais martin avait des rapports très intimes.. Se camp était un vrai repaire de gays c’était assez marrant, mais je me perd dans ma confession intime.. Donc, j’étais en train de lécher martin et sans savoir vraiment comment je me suis retrouvé a poil avec la langue de Marc qui m’excite et mon cul commence à se détendre.

    - Ah putain tu suces bien me dit martin

    En voyant cela, Marc m’enfonce deux doigts dans le cul. Moi je suce de plus en plus vite cette queue suintante qui me bourre la bouche, je bave dessus comme un goret.

    - Regarde martin, il aime ça.

    - Ouais, j’ai bien envie de le prendre maintenant avant qu’il me fasse jouir.

    L’oreille au aguets je m’arrête de le sucer et il vient se placer derrière moi.

    - Vu comment Marc t’a léché, je pense que je peux l y aller franco !

    - Non, vas-y doucement quand même.

    - Ok, ok pas d’inquiétude

    Marc s’est placée devant moi, il m’embrasse à pleine bouche. il s’installe confortablement, les jambes bien écartées et se branle en nous regardant. Martin commence à enfoncer son gland dans mon petit trou du cul. Je cris de douleur, je sens sa bite rentrer en moi. Enfin, il est en moi, il reste immobile un moment pour que je m’habitue à sa belle queue longue et épaisse et il commence ses va-et-vient. Doucement au début puis de plus en plus rapide, la douleur a laissé place au plaisir. Marc s’est enfoncée deux doigts dans le cul, il devient de plus en plus hystérique. il attrape ma tête :

    - Lèche-moi la bite, j’en peu plus !

    Je m’exécute immédiatement, il est complètement trempé de sueur et son gland sent fort, cela m’excite encore plus, je lui titille son braquemart et lui met trois doigts dans le cul en même temps. Je la doigte comme un sauvage il hurle, je le sens, tout comme moi, proche de l’orgasme. Martin m’a empoigné les hanches et me prend comme une bête. Mes cris sont étouffés par la bite de Marc qui me martèle le gosier qui me tient depuis le début par les cheveux. Son corps se contracte, il m’arrache les cheveux, il est entrain de jouir dans ma bouche.

    Martin gémit lui aussi de plus en plus, il se retire et s’astique devant mon visage. Il explose comme un geyser, j’ouvre la bouche pour en récupérer le maximum, Marc est dans un autre monde, j’ai toujours mes trois doigts dans son cul plus qu’humide et Il nous regarde avec un magnifique sourire. Martin termine de se vider les couilles. J’ai du sperme partout, sur le visage dans les cheveux. Marc s’approche de moi pour me lécher le visage, il récupère le foutre de son mec.

    Martin est vidé, il est assis sur son matelas tout en nous regardant.

    - Et bien les mecs, on peut dire que c’était puissant mais il y en a un qui n’a toujours pas joui.

    C’est vrai je n’avais pas encore joui. Ma bite était bandée à son maximum et mon cul me brûlait. Marc alla s’asseoir à côté de son homme.

    - Ca va être à ton tour mon beau gosse, c’est à toi de te faire enculer.

    - Maintenant ?

    - Oui maintenant, tu ne vas pas laisser ton meilleur ami dans cet état quand même ?

    - Bon d’accord.

    Martin remonte ses jambes au-dessus de ses épaules et Marc s’agenouilla pour lécher ce petit trou. Il lui faisait le même traitement qu’à moi, il était aux anges. Je m’approchai de lui et lui donna ma queue. Il la prit à pleine main pour me branler, il l’approcha de sa bouche pour la gober. Il suçait vraiment bien. Je luis pris la tête, lui retira ses mains de ma bite pour imposer moi-même le rythme.

    Marc avait enfoncé un doigt et me regardait prendre la bouche de son mec. Après ce traitement, je pris la place de Marc et j’enfonçai mon gland dans son anus. Je prenais possession de son cul en le pilonnant de toutes mes forces. Marc c’était placé dos à lui et se faisait lécher le cul. il admirait mon travail. Martin avait pris la même cadence que moi pour pénétrer avec ses doigts le cul de sa petit minet de copain. Il gémissait de plus en plus fort, moi j’arrivais au point de non-retour, je fis un dernier va et vient puis-je me retirai pour me mettre face à Marc. Il se place face à ma queue, que j’astiquais à fond, je sentis mon foutre monter et j’explosai à la gueule de cette petite tafliole de Marc. IL ouvrit la bouche pour ne pas en perdre une miette, il reçus six grosses giclées, je ne pouvais plus. Il me prit en bouche pour me nettoyer.

    Marc nous roula une énorme pelle et partie rejoindre sa tente. Il était très tard et Martin me proposa de dormir. Le lendemain matin, les gamins allaient encore nous faire gueuler. Mais bon la j’étais satisfait le cul bien élargi et les couilles vides.

     

    Antoine

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