• Irène,

    Ma vie sentimentale et sexuelle a vraiment commencée lorsque j’avais une vingtaine d’années, soit deux ans après mon mariage. Philippe mon époux a trois ans de plus que moi et avait la prétention de tout connaitre, hélas, il en était rien. Philippe est un garçon très séduisant, grand brun, toujours élégant, représentant de commerce. Je l’aime énormément. Il gagne bien sa vie, ce qui me permet de ne pas travailler et de faire un peu ce que je veux.
    Deux ans après notre mariage, nous avons changé de résidence pour un appartement plus grand et plus luxueux.
    Pour ma part, je suis brune de taille moyenne, mince, très peu de poitrine, avec malgré tout des fesses importantes. Je pense plaire aux hommes, mais c’est surtout Philippe qui m’intéresse. J’ai beaucoup de chance d’avoir connu ce garçon aux idées très larges, pas jaloux, et qui me laisse faire tout ce que je veux.

    Quelques temps après notre aménagement, j’ai fait la connaissance de Monique, ma voisine de palier. La chance ne m’a pas quittée et c’est grâce à elle que notre vie s’est transformée.
    Monique a le même emploi du temps que moi, son homme est pilote, ce qui l’amène à s’absenter très souvent. Monique, blonde avec un visage radieux, de ma grandeur, un peu plus forte surtout de la poitrine, disons qu’elle a de bonnes formes. Monique m’a plu tout de suite par son caractère et sa joie de vivre, sa gaîté, son esprit et son éternel sourire. Nous sortons très souvent ensemble au ciné ou au resto, on s’amuse à se faire draguer et à allumer les mecs. On s‘invite pour un café, un thé ou une petite bouffe.
    Il y avait bien sept à huit mois que l’on se fréquentait assidument qu’une après midi nous avons décidés d’aller au cinéma, le temps était à la pluie, je me rends chez Monique pour la prendre. Elle vient m’ouvrir et m’annonce qu’elle n’est pas prête, elle me propose de me servir un café, en faite elle n’arrive pas à se décider pour une robe ou une jupe ou un pantalon. Prenant les choses avec humour, je lui propose ma robe, ça va la changer, moi j’enfilerais un de ses pantalons.
    Chiche me lança t-elle en retournant dans sa salle de bain pour se déshabiller.
    Elle revient en sous vêtement, une petite culotte blanche et un soutien gorge très, très sexy. Ces deux pièces tranches sur sa peau bronzée, je n’avais jamais vu Monique en sous vêtement. Cet apparition subite de ce corps superbement moulé me donne un frisson. Je reste figée, éblouie par cette vision. Monique constate mon comportement et me demande si je vais bien, je réponds par l’affirmative, mais la malheureuse s’approche pour me toucher le front. La chaleur et l’odeur du corps presque nu accentuent mon désarroi. Je suis dans un état second. Bien que je ne me sois jamais demandée si j’aime les femmes, là, je suis troublée par cette anatomie, je suis séduite par Monique.
    Je me confesse à mon amie de ce qui m’arrive, touchée par mes louanges sur sa grande beauté, elle s’écarte un peu pour faire quelques pas comme le ferait un mannequin et surtout mettre un peu de gaîté pour me remettre de mes émotions. Elle s’amuse à faire des aller-retour dans le salon en bombant le torse pour mettre sa poitrine en valeur, elle prend des poses suggestives, ce qui me déclenche une excitation comme une jeune amoureuse. Je finis par rire de cette situation qui me dérange en présence de mon amie.
    Monique semble prendre plaisir à présenter ses charmes plus près de moi pour augmenter mon trouble. Je suis dans un état second et ambigüe, une force me pousse à toucher cette poitrine, Monique s’immobilise subitement au contact de ma main, elle me regarde dans les yeux, je lui dis :
    - Tu es la plus belle femme que je n’ai jamais vue.
    Touchée par mes paroles, elle prend doucement ma main et la promène sur son corps, je me laisse entraîner dans ce chemin tortueux, ma main est collée à la peau chaude du ventre à la limite de la culotte, je ne me reconnais plus, je caresse ce corps, j’ai un peu honte de moi, je voudrais partir mais la chaleur m’envahie, mon entre cuisse est mouillé, même avec mon mari je n’ai pas connu une telle ferveur. Je suis inconsciente de mes gestes, assise dans ce canapé, je caresse cette femme quasiment nue devant moi.
    La douceur de la peau est surprenante, je n’ose plus lever la tête pour regarder Monique, je fonds littéralement, elle met sa main derrière ma nuque et m’attire contre sa poitrine, j’ai le visage entre ses seins, je sens le battement de son cœur qui court à toute vitesse, je passe mes bras autour de son corps pour la serrer très fort, nous restons collées l’une à l’autre sans rien dire quelques instants. Monique me caresse les cheveux, je cherche l’agrafe du soutien gorge comme me le fait Philippe, j’enlève le minuscule vêtement aidé par Monique, c’est une poitrine magistrale que je découvre, j’enfuis à nouveau mon visage entre ces deux monticules, je respire les odeurs corporelles. Mon amie prend mon visage et lentement me présente un sein comme elle le ferait pour un bébé. Je prends sans hésiter le mamelon dans ma bouche et le suce naturellement. Monique respire plus longuement, son corps devient plus chaud, je change de sein, Monique plonge sa main dans mon chemisier pour me caresser le dos. Je suce et ressuce ces seins, mon plaisir grandi, on se détache finalement au bout de longues minutes en se regardant, je la trouve encore plus belle, plus désirable, elle s’approche de mon visage, prend mes lèvres, nos bouches se soudent dans un baiser infernal et interminable.
    Monique me ramène à la réalité en disant de sa voix la plus douce :
    - Il y a longtemps que je rêvais de cet instant, de t’embrasser, de caresser ton corps, je n’ai jamais osé te le dire et aujourd’hui c’est venu tout seul.
    Un peu surprise par ses paroles, je me recolle contre elle pour approuver son désir, nous étreignons fortement, puis Monique dit :
    - C’est bien beau tout ça, mais je veux voir ce que tu nous caches là-dessous. En montrant mes vêtements
    Aller, enlève moi tout ça, mets-toi à l’aise. Terminant sa phrase elle déboutonne ma robe, je m’abandonne, soumise à sa volonté.
    Je me retrouve nue comme elle, on s’admire, je renouvelle mes compliments, elle me les retourne en disant qu’elle adore mes petits seins et la parfaite rondeur de mon cul proéminent. Le désir monte, nous nous jetons dans les bras l’une à l’autre, on se laisse glisser sur le tapis épais, nos baisers, nos caresses n’ont pas de fin, nos jambes sont entrelacées, je frotte ma chatte trempée sur sa cuisse moite et lui demande de se laisser faire. Je descends le long du corps offert pour poser ma bouche sur la petite forêt blonde, je découvre le coquillage qui dégage des parfums inconnus pour moi, j’écarte les lèvres luisantes pour goûter cette chose sublime. Je dévore la chatte et me découvre une inspiration ignorée, c’est un délice. Monique apprécie mon œuvre, elle se démène pour se mettre en soixante neuf, elle a mon intimité sous ses yeux, je ne sais plus ou je suis, ni l’heure qu’il est, nous sommes l’une à l’autre, on se lèche, on se mange, on se secoue, on s’exprime bruyamment, les orgasmes se suivent, puis au bout de combien de temps on s’effondre épuisée toutes les deux.
    C’est à partir de ce jour que j’ai commencé à connaître le vrai plaisir du corps, nous avons passées cette première nuit ensemble comme deux amoureux.
    Cela fait maintenant plusieurs semaines que nous renouvelons nos petits jeux favoris et qui restent pour l’instant notre secret. Un jour nous nous promettons de tout avouer à nos maris.


    Quelques mois ont passées, nous décidons Monique et moi de mettre Guy et Philippe au courant de nos relations. Pour ce faire nous organisons un dîner pour ce samedi soir, nos maris s’entendent bien et selon la température des conversations nous essaierons de lâcher le morceau au bon moment. Le dîner se passe bien comme à l’habitude, après des apéritifs volontairement copieux et pas mal de vin au cours du repas, nous sommes assez gais tous les quatre, des histoires de cul sortent de toutes les bouches. Je fais passé les hommes au salon pour prendre encore quelques alcools sur la table basse. Je mets une musique douce de danse, règle la lumière sombre, afin de créer une atmosphère adéquate, il faut toutes les conditions pour que notre message passe sans trop de heurts. D’un commun accord, nous entamons un slow, enlacées assez tendrement, Philippe et Guy s’arrête soudainement de parler et de rire, muets, ils nous regardent évoluer. Il faut dire que nous mettons la dose, très serrées l’une à l’autre, joue contre joue, on se caresse le dos, le spectacle que nous leur donnons les à rendu complètement silencieux. Monique me murmure des mots tendre à l’oreille, qu’elle fini par mordiller, voyant encore aucune réaction chez nos hommes, on se regarde dans les yeux puis nos bouches se soudent dans un baiser comme jamais nos hommes ont réalisés, avec nous en tout cas. Les yeux semblent sortir de leur tête, ils doivent se demander s’ils ne rêvent pas, Monique fait descendre le clip de ma jupe qui tombe à terre, je la pousse du pied vers le canapé où sont assis nos bonshommes. Je suis en culotte mon cul est dégagé sous le regard surpris de Philippe et l’œil heureux de Guy.
    Monique a posé ses mains sur mes grosses fesses qu’elle pétrie sans timidité.
    J’en profite pour sortir sa mini jupe qui suit le même chemin que la mienne, cette fois c’est Philippe qui apprécie les rondeurs de Monique, les autres vêtements s’envolent au même rythme pour se retrouver nues toutes les deux et poursuivre notre danse comme si rien n’était. Nos cuisses jouent ensemble, on se caresse les seins, les fesses en regardant nos maris stupéfiés mais un peu plus détendus, allongés dans les canapés, le spectacle doit les satisfaire au plus haut point. Nos caresses deviennent plus précises pour que l’ambiance soit plus chaude, nous mouillons énormément de par cette situation peu ordinaire, notre désir augmente les minutes qui passent sont épuisantes de se demander comment on va terminer cette soirée, j’ai tant envie de ma chérie.
    Soudain je sens la présence de Philippe derrière moi, il est nu, la verge dressée entre mes fesses, j’ouvre les yeux et vois Guy dans la même tenue derrière Monique. J’ai retiré mes mains du cul de ma chérie par pudeur pour les mettre autour de son cou, on se regarde en souriant et se disant que l’on a réussi notre coup.
    Nous voilà prises en sandwich entre nos époux, la dureté inhabituelle de la verge de Philippe me prouve qu’il aime notre petit jeu, ses mains caressent mes seins et par la même occasion ceux de Monique. Je dois me rendre compte que je ne suis pas jalouse et au contraire terriblement excitée, je sens les mains de Guy sur mes hanches, je vais fondre.
    Nous restons tous les quatre ainsi à faire du sur-place pendant un bon moment, toutes les mains exploitent sans aucune gêne les corps chauds, nous nous laissons caresser pour notre bonheur et celui de nos hommes pendant que nos langues font la fête en appréciant ces moments inoubliables. Je frémis dans les bras de Monique, j’ai un orgasme dont je me souviendrais longtemps, ma chérie subit le même sort, secouées toutes les deux, nos maris sont obligés de nous soutenir, encore surpris par l’ampleur de notre pied.
    On se détache pour reprendre nos esprits et se retrouver dans les bras de nos époux respectifs, Philippe m’étreint fortement en me disant des mots d’amour, de leur coté Monique et Guy se bécotent comme de jeunes amoureux.
    Les hommes ont l’air super heureux, nos amis prennent leurs vêtements en paquet et file à poil dans leur appartement, il n’y a que le hall à traverser.
    Une fois seuls Philippe ne se tarit pas d’éloges pour moi et Monique, il me couvre de baisers de la tête aux pieds, il me prend d’un seul coup, il devait avoir les couilles pleines à exploser, j’ai pris un super panard.
    Notre soirée a dépassée toutes nos espérances, je n’aurais pas imaginé un si bon résultat, je serais très heureuse de renouveler cette expérience.

    Nous n’avons pas trainé à nous revoir, c’est le lendemain matin, il était plutôt midi et encore au lit que la sonnette nous sort d’un sommeil long, Philippe va ouvrir, c’est Monique et Guy avec les mains chargées de croissants, nous les recevons en peignoir, les yeux ébouriffés, Je prépare le café, Philippe installe les couverts, pendant que nous avalons le petit dèj, les hommes y vont de bons trains sur cette soirée, ils nous complimentent plus que jamais. Monique et moi échangeons un coup d’œil complice.
    Au fur et mesure de la conversation, le température des corps monte, Philippe me caresse la cuisse depuis un moment, je passe ma main dans l’ouverture du peignoir et je dis en m’adressant à nos invités :
    - Mais c’est qu’il bande mon Philippe.
    Pour éviter toute jalousie et pour faire comme moi, Monique porte une main sur braguette de Guy, mais ne pouvant pas faire ce qu’elle veut, elle détache la ceinture, ouvre la fermeture éclair et sort l’objet.
    - Comme vous pouvez le constater mon Guy bande aussi.
    - Nous ne pouvons pas laisser nos chéris dans cet état. Dis-je en m’adressant à
    Monique avec un rire amusé.
    J’enlève mon peignoir et dis à Philippe :
    - Regarde mon chéri comme je mouille !
    Il n’en fallait pas tant pour que Philippe pousse la vaisselle sur le plateau afin de dégager la table, il quitte son peignoir, me couche sur la table, écarte mes jambes s’agenouille sous le regard de nos invités et me lèche copieusement la chatte. J’apprécie d’autant plus cette offrande sachant que Monique me désire, je lui tends les bras pour l’inviter à m’embrasser, elle se penche un peu, ses lèvres trouvent les miennes, ce qui augmente non excitation, Philippe me pénètre délicatement, nos amis se déshabillent complètement, Monique se couche à coté de moi mais dans l’autre sens, j’ai son ventre sous mes yeux, Guy la pénètre à son tour, je sens les soubresauts sur son corps, Guy est plus violent que Philippe, je caresse le visage de Monique bloqué contre ma taille. Mon Philippe me travaille plus doucement, c’est sa technique, il me caresse la poitrine ainsi que celle de Monique. Je m’adresse à lui :
    - Embrasse-la mon chéri.
    Mon mari me regarde et se penche pour déposer un petit baiser sur la bouche de Monique.
    - Mieux que ça mon amour, tu n’as pas envie d’embrasser Monique ?
    Philippe se penche à nouveau vers Monique qui lui tend les lèvres et sans quitter ma chatte, ils s’embrassent amoureusement sous le regard de Guy et du mien, je sens sa verge se durcir dans mon vagin, le baiser de Monique fait son effet. Je caresse les deux visages réunis avec un plaisir inouï et en profite pour caresser les cuisses de Guy, je parviens à atteindre la verge qui fait son va et vient entre les cuisses de son épouse, il s’écarte un peu pour me laisser de la place, j’entoure la verge de ma main comme pour prolonger la chatte de Monique. Je vois que Guy voudrait m’embrasser, mais pas possible dans cette position. Nos hommes me surprennent par leur ouverture d’esprit, hélas les positions ne sont pas très convenables.
    Je fais signe à Monique de se lever et de venir dans notre chambre qu’elle connaît très bien. Nous nous détachons et allons directement sur le lit, je me jette sur ma chérie et la dévore comme nous avons l’habitude quand nous sommes seules, pour montrer à nos maris ce que nous pouvons faire toutes les deux. On se lèche, se suce comme des malades devant nos hommes, trempées de désirs, nous jouissons plusieurs fois encouragées par l’attention de nos époux.
    Je sens des mains qui courent dans mon dos, les hommes s’occupent enfin de nous, le pénis de Guy est à quelques centimètres de ma bouche, je le prends dans ma bouche pour la première fois, son odeur est agréable, pas la même chose que Philippe, je déguste la friandise sous l’œil amusé de mon mari et la présente à l’entrée de la chatte de son épouse, la pénétration sous mes yeux est sublime, ce spectacle m’excite, on le serait à moins, je malaxe les boules poilues, reprends la verge en bouche pour savourer le mélange des deux intimités, pendant ce temps mon mari me pilonne tranquillement, je pense que Monique n’en perd pas une miette car je sens son souffle et la douceur de ses doigts sur mes lèvres intimes. Je replonge la trique dans la foune en lui caressant les fesses. Les hommes poussent des cris de bête dans leurs coups de boutoir synchronisés, ils se répandent dans nos corps, notre jouissance vient en suivant, Monique me serre de joie, nous sombrons dans un océan de voluptés euphoriques.
    Nous avons pris des plaisirs complémentaires inconnus et réussi l’impossible. Tous les quatre sommes extraordinairement bien, les hommes se trouvent de nouvelles amitiés.
    C’est ainsi que nous avons appris que nos maris raffolent de voir nous aimer, ce qui nous excite encore plus et voudrions aller plus loin dans nos relations. Pendant que nos hommes travaillent on s’envoient en l’air en fantasmant sur d’autres séances d’amusement à quatre.


    Après un mois de ce week end sulfureux, nous décidons de se refaire une soirée chaude, c’est ainsi que ce samedi soir le dîner se passe normalement, bien arrosé, pour se prolonger au salon. Sur une musique douce et lumière adéquat, nous dansons avec nos maris respectifs, puis on change de partenaire en continuant de se caresser en regardant nos maris évoluer vers de nouvelles aventures. Guy prend ma bouche, ce baiser réchauffe mes sens, on se rapproche de Philippe et Monique, les vêtements tombent un à un. Complètement nus, nous continuons de danser, nos caresses se précisent, nous formons un cercle où les verges sont dirigées vers le centre, n’y tenant plus Monique se penche pour sucer son mari, je fais la même chose sur le mien, après quelques instant nous changeons de sucette, la saveur de Guy est appétissante pour la suite de la soirée.
    On se retrouve tous les quatre couchés sur l’épais tapis dans un mélange torride. Les spermes giclent, les cris fusent, tous les quatre jouissons en cœur. Allongés, nous nous détendons en buvant quelques verres et prendre une légère douche.
    Monique et moi sommes jamais rassasiées, on se paluche en s’embrassant et peut-être redonner un peu de vigueur à nos hommes, on se retrouve en soixante neuf pour montrer à nos amoureux combien leurs épouses s’aiment. Ma langue pénètre la pastille dilatée, je tente de pénétrer mon index, le suce sous les yeux excités des hommes, Monique se déchaîne, elle me fait la même chose, sa langue et son doigt transperce mon orifice secret. Les hommes sont de chaque coté de nous en se masturbant et ne pas perdre une miette de ce spectacle. On se décide de nous occuper de nos chéris, ils sont chauds maintenant, nous les couchons sur le dos, la verge pointée vers le plafond, nous entamons une masturbation savante, Monique sur mon mari et moi sur Guy.
    Philippe caresse mon visage alors que je m’applique sur Guy, il effleure mes lèvres de ses doigts que je suce comme une petite bite puis je prends sa main et très très tendrement, je la pose sur la verge tendue de Guy. Philippe marque un temps d’arrêt, tous les trois on se regarde pour savoir ce qu’il va faire, Monique à bien compris mon idée, Philippe réfléchit à ce qu’il doit faire, il n’a sûrement jamais pensé à une pareille éventualité, je sais qu’il m’aime comme un fou, il ne peut pas reculer, en effet il referme sa main sur la verge de Guy et commence une masturbation lente, pour l’accompagner je caresse les roustons de Guy d’une main et le visage de Philippe de l’autre. C’est un grand moment très existant, notre fantasme commence à se concrétiser, Monique manifeste sa joie en suçant mon Philippe pendant que Guy se détend sous les caresses de mon mari et des miennes.
    Soudain Guy se déplace pour aller rejoindre la bouche de sa femme qui cède sa place émerveillée par son audace, en effet, il s’est emparé de la verge de Philippe, il la suce comme un gourmand. On se regarde avec Monique, nos yeux sont remplis de joie, nos hommes sont tête bêche et maintenant, mon Philippe a pris la tige de Guy entre ses lèvres, ils se sucent tous les deux, nous sommes comblées par nos hommes. Nous nous installons derrière nos maris respectifs, je lui mordille les fesses, les écarte pour lécher la raie poilue, je sens l’excitation montée de mon mari, j’enfonce mon doigt dans l’étui chaud et serré pour lui donner un maximum de plaisirs, son orgasme est violent, il accélère ses mouvement sur Guy, ils avalent l’abondante giclée, on voit bien jusqu’où le désir peut aller.
    Les hommes se regardent en souriant, une nouvelle source de bonheur est née dans cette ardeur tonifiante, pour manifester notre joie, nous nettoyons avec notre bouche les verges ramollies. Nos maris se tiennent par la main, ils sont très charmants dans cette position, nous les embrassons tour à tour. Monique et moi sommes de vraies sorcières.

    Nous nous reposons tous les quatre, nous parlons de cet évènement nouveau qui nous a émoustillé tous les quatre et d’un commun accord nous sommes prêts à recommencer cette expérience. Guy et Philippe sont l’un à coté de l’autre, à la suite de cette conversation, ils ont une main posée sur le sexe de l’autre dans un geste amical.
    Nous prenons une douche les uns après les autres, on boit une coupe et je décide d’amener ce beau monde dans notre chambre. Guy et Philippe sont assis les jambes étendues, Monique est couchée sur le ventre entre les jambes de son mari, je me mets dans la même position entre les jambes de Philippe. Guy caresse le torse légèrement velu de mon mari pendant que je m’amuse avec son service trois pièces juste à ma disposition. La bête commence tranquillement à reprendre des formes prometteuses,
    Je m’aperçois que Monique suit mon exemple, nos hommes savourent nos hommages,
    Nous les prenons en bouche, mon index titille la rondelle plissée, je sais que c’est son pêché mignon, au bout d’un bon moment nous changeons de place, me voilà entre les jambes de Guy pour lui administrer les mêmes gestes que sur Philippe, Guy apprécie particulièrement mon index dans son fondement, sa verge est dure comme de l’acier, je ne peux plus attendre, je me positionne sur la tige bien droite et l’enfile directement dans ma chatte. Quel bonheur, je commence un va et vient, Monique fait exactement le même chose avec mon mari, nous nous enlaçons en nous embrassant sur un rythme de yoyo extravaguant. On se caresse, s’embrasse, jusqu’au moment ou nous explosons, nos chéris nous soutiennent dans des cris de joie.

    Après ce week end d’amour, nous ne cessons de se remémorer les souvenirs de ces aventures entre nous quatre, nos maris sont les meilleurs amis du monde, ils ne se quittent plus. Nous projetons une nouvelle soirée avec des nouveautés que nous mijotons Monique et moi. La soirée commence comme d’habitude avec un repas au resto pour nous libérer, et se retrouve dans l’appartement de nos voisins. Nos maris nous ont fait beaucoup de compliments sur notre beauté. Monique et moi complimentons à notre tour la galanterie de nos hommes, qui eux même se font des éloges sur la beauté de leur verge. Guy soutient que c’est Philippe qui a la plus belle et vis versa. Monique demande :
    - Il n’y a qu’à faire voir votre matériel pour que l’on serve de jury.
    Voyant la tournure des évènements, Monique nous entraîne à la chambre à coucher, on s’installe confortablement sur le lit et nos deux compères font un strip tease, ils se retrouve à poil, après quelques pitreries qui nous font bien rire, nos amants ne sont pas dans une forme où on peut réellement juger l’ampleur de leur anatomie sexuelle, de plus nos éclats de rire n’arrangent pas les choses et nous ne désirons pas intervenir pour ne pas fausser les règles du jeu.
    Guy use d’un autre stratagème, il pose une main sur l’épaule de Philippe, lui prend la verge de l’autre main et la manipule doucement, mon mari se laisse aller sous la caresse.
    Monique me dit à l’oreille :
    - Je crois que l’on va avoir du spectacle.
    On se détend en se collant l’une à l’autre pour se préparer à recevoir une bonne dose d’excitation. La verge de Philippe prend des proportions importantes, on se demande comment nos chéris vont poursuivre leur désir. Philippe qui était passif devient entreprenant par la douceur que lui procure son ami, à son tour il prend le biscuit plus ou moins mou pour entamer une masturbation. Le spectacle revêt un aspect beaucoup plus chaud, les verges grossissent à vue d’œil, nos amants expriment de petits sourires de satisfaction en nous regardant, ils ne pensent plus qui a la plus belle, complètement envoûtés par ces impulsions novatrices. C’est encore Guy qui prend l’initiative, il s’agenouille devant Philippe, le prend dans sa bouche avec beaucoup de tendresse. Monique et moi mouillons abondamment, de plus en plus serrées l’une contre l’autre, une main entre nos cuisses ouvertes, jamais nous aurions imaginé de tels fantasmes. Philippe à posé une main sur la tête de Guy pour l’accompagner dans sa sucette. Guy se dégage en disant :
    - Je ne sais pas si c’est la plus belle, mais je suis sûr que c’est la meilleure.
    Il reprend le morceau en plaquant ses mains sur les fesses pour l’attirer et maîtriser les mouvements, il dévore la tige raide et luisante. Philippe emporté par le tourbillon se laisse tomber sur le lit à nos pieds, on se retire pour laisser la place, nos maris se retrouvent en soixante neuf, les deux hommes se sucent mutuellement et goulûment. Nous nous régalons du spectacle, j’ai la chatte complètement imbibée, Monique est dans le même état, ma main fait un clapotis entre mes cuisses. Nos chéris adorés sont bien exposés, nous contemplons tout, ils sont très mignons dans cette position. Ils n’hésitent pas à passer leurs langues entre les fesses.
    N’y tenant plus, on se bouge pour rejoindre le couple déluré, Monique se place entre les jambes de son Guy, moi entre celles de mon Philippe, je soutiens la tête de Guy de mes mains, ce qui fait redoubler son activité sur Philippe, je me mets à genoux pour qu’il pose sa tête sur mes cuisses, ce qui me permet de masturber son goupillon pendant que Guy lui suce le petit trou. Je prends un coussin que je place sous la tête de Guy et me mets entre les deux hommes pour téter mon Philippe pendant qu’il se fait faire une feuille de rose. Je sens les vibrations de mon homme qui doit avoir la bouche pleine, il se mets à crier comme une bête en rut, Monique accélère son action sur son Guy qui fond lui aussi. Nous les embrassons sur la bouche où on retrouve des odeurs de sperme familières.
    Pendant ces quelques minutes qui servent de repos à nos amants, on échangent quelques baisers pour se retrouver à notre tour tête bêche sous les regards admiratifs de nos époux. Très vite nos maris sont déjà là, les attributs en ordre de marche, quelle santé. C’est un mélange incroyable de quatre corps, quand soudain je vois Guy derrière Philippe, je fais signe à Monique en se demandant si il ne va pas le pénétrer, nous n’avons jamais pensé à une pareille éventualité, mais curieusement ça ne nous rebute pas, le temps de quelques secondes, nos regards se croisent, on admire nos hommes, sans rien se dire, dans un synchronisme, Monique se place devant Philippe et moi derrière Guy, on les câline avec notre douceur habituelle pour faire monter encore plus l’adrénaline, Monique embrasse mon Philippe à pleine bouche en le masturbant, Guy est placé derrière Philippe lui caresse le torse et moi derrière Guy lui frottant mes seins dans le dos. Je triture sa verge hyper tendue et tente de l’insérer entre les fesses rebondies de mon Philippe. Monique a bien compris mon stratagème, elle se baisse doucement en tirant Philippe sur elle pour qu’il se courbe en avant afin que mon travail soit plus aisé. Mon mari est à genoux la tête dans les seins de Monique et les fesses offertes. Je crois que c’est le plus beau spectacle de ma vie, c’est quelque chose d’exaltant, je prends l’objet précieux de Guy, le promène de haut en bas entre les parties charnues de mon mari, je suçote le gland baveux, le porte à l’entrée de l’orifice qui a tendance à s’ouvrir de plus en plus, Philippe se prête aux mouvement que j’occasionne, je suce la pastille plissée au plus profond de ses entailles, il s’ouvre comme une fleur, Guy lui caresse le dos, on dirait que tout est coordonné, que les choses doivent évoluer ainsi, j’aimerais savoir si Monique est aussi heureuse que moi. Le membre de Guy pénètre le cul de Philippe, c’est vertigineux, cette chose s’introduit progressivement dans ce fondement. Guy s’active derrière son girond, Monique est venue me rejoindre et s’extasie de la réalité de la scène, ses yeux scintillent comme mille étoiles. Nous nous jetons sur nos amours avec un acharnement sans précédent, nous les bouffons de la tête aux pieds, je suce mon Philippe en accusant les coups de boutoir de Guy qui s’éclate dans mon chéri qui à son tour se lâche dans ma bouche. Les deux hommes sont abattus l’un sur l’autre dans une totale plénitude. Monique se jette sur ma chatte, je prends la sienne, nous sommes parties dans une série de spasmes incontrôlés, on se serre à s’étouffer pour tomber complètement épuisées à notre tour.

    Nous avons passé de nombreuses soirées de ce type et nous ne sommes pas prêts à nous arrêter.

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  • Je suis de Rochefort en Charente maritime, 39a 1m82, 85kg, plutôt mâle, poilu un peu dégarni (ni minet ni beau gosse). Je suis hors milieu (divorcé) et je n'ai eu que 5 petites expériences minables et courtes, sauf une que je vais vous conter.

    Cette histoire est entièrement vraie, elle m'est arrivée il y a 3 ans.

    Je discutais sur internet, j'étais à la recherche d'un vrai mec qui saurait faire de moi un vrai passif, et j'étais tombé sur "Sylvio", un soit disant "beau male actif TBM". Cela faisait plus d'une heure qu'on s'excitait sur le tchat, je lui promettais de lui faire du bien, d'être bien docile et passif, il promettait de s'occuper de mon cas et de me traiter comme il se doit. Nous avions convenu d'un rendez vous. Il devait me rejoindre à mon bureau, vers 19h, quand tout le monde serait parti (le bureau c'est 200 m2 à Rochefort sur mer, plusieurs salles, moquettes, tables, fauteuils, bien isolé bref, sans risque)

    Je me suis dépêché de choisir une des salles, le plus petit des bureaux, (16m²), j'ai commencé à y faire un peu de ménage, ranger les papiers, laisser les 2 grandes tables bien vides, replacer les chaises devant. J'ai été chercher un halogène que j'ai allumé pour qu'il n'y ai plus qu'une toute petite lumière (genre lampe de chevet atténuée), ensuite je suis parti dans les toilettes pour me laver les parties intimes, le sexe mais aussi le cul, je me suis fait un petit lavement à l'aide d'une grosse seringue, opération répétée plusieurs fois afin d'être propre et bien rincé. Je me retrouvais prêt, assis dans le bureau, à moitié tremblant en me demandant ce qui allait m'arriver.

    15 minutes plus tard, une voiture se garait sur le parking. Il était bien venu et il était a l'heure. Il s'approchait de l'entrée du bureau et je pris les devants. J'ouvris la porte pour qu'il rentre directement sans s'attarder devant, il rentra avec une brève vérification :
    - bonjour, je suis Sylvio,
    - bonjour, moi c'est Yann.

    Il s'avança un peu, attendant dans le hall pendant que je fermais à clé en laissant la clé sur la porte pour être sur que nous ne risquions pas d'être dérangés, au pire si quelqu'un revenait, nous aurions le temps de nous rhabiller et j'aurai pu feindre une visite d'un membre de ma famille.

    Il était plutôt balaise dans le hall, plutôt musclé, au moins 1m90, je n'ai rien dit de plus, j'étais intimidé. Je regardais presque mes chaussures en lui disant "tu me suis on va aller dans une salle" il me répondit "d'accord" et je passais devant pendant qu'il me suivait.

    Nous sommes rentrés dans le bureau à la lumière tamisée, je repoussais la porte mais ne la fermais pas pour entendre au cas ou ..
    Il est resté dans l'entrée du bureau, regardant à droite et à gauche, semblant apprécier l'endroit. Il ne disait rien, je passais à coté de lui pour aller plus loin dans le fond du bureau, puis je me suis retourné, face a lui et là j'attendais, ne sachant plus quoi faire, étant à sa disposition, sans dire un mot.

    Il m'a regardé juste 10 secondes, et il a commencé à passer sa main sur son sexe à travers le jean. Je regardais sa main, ma respiration s'accélérait, puis d'un ton plutôt sec "fous toi a poil". J'ai été surpris, mais c'est exactement ce que j'attendais, pas de chichi, pas de blabla, on savait tous les deux ce qu'on voulait, et ce ton direct relançait mon excitation. Je m'exécuta rapidement, sans réfléchir, je devais faire ce qu'il me demandait, je me déshabilla sans même oser le regarder mais je savais qu'il se caressait toujours.

    En une minute je me retrouvais entièrement nu, à 2 mètres de lui, debout, figé, ne bougeant plus, ne regardant que le niveau de son sexe pour ne pas croiser son regard. Là il m'observait en poussant un petit "humm". Il est resté à sa place, debout dans l'entrée, et il a défait sa braguette, ôté les boutons du jean et sorti sa queue pour commencer à se l'astiquer, elle était déjà dure.

    Ce fut un choc, sa queue était énorme, il m'avait promis 23cm et il les avait, pour une épaisseur de 5 cm a peu prés, bref, une queue magnifique. J'avais les yeux grands ouverts, la bouche bée pour mieux respirer, je haletais déjà de le voir juste se masturber. Je ne disais rien. Au bout de quelques secondes une seconde phrase vint percer le silence : "ben viens ici la sucer puisque tu voulais la sucer !"

    Ca me plaisait, c'était direct et radical, je me suis vite approché, je me suis rapidement mis a genoux, ma main gauche sur sa cuisse, ma main droite autour de son manche. Le l'ai vite pris dans la bouche en fermant les yeux, je l'ai entendu "ohhhhhhhh" et j'ai commencé a m'en occuper. Je faisais des efforts pour faire bien, je voulais vraiment qu'il y prenne plaisir, je massais doucement de haut en bas. J'essayais d'aspirer en même temps que je remontais et redescendais doucement, tournant la tète à droite ou à gauche, frottant ma langue en même temps autours du gland. J'étais heureux, j'étais à lui, pour lui, une vraie salope. Je gémissais, je gloussais, j'essayais de lui faire tout ce que j'avais vu dans les films et il semblait apprécier "oh tu suce bien salope".

    Au bout de deux minutes il m'a repoussé la tète. Je restais à genoux, devant lui la bouche ouverte à reprendre ma respiration. Il se déplaçât dans la salle "suis-moi !". je le rejoignais à genoux, tandis qu'il s'installait confortablement dans un fauteuil. Arrivé à son niveau je me repenchais pour reprendre sa queue dans ma bouche et il mis sa main sur ma tète pour m'accompagner. J'ai repris ma fellation, je le gobais, l'aspirais, le masturbais, je gémissais et je l’ai entendu gémir aussi.

    Il me repoussa d'un coup sec, je me retrouvais là, à genoux devant lui, à poil alors qu'il était encore habillé, ayant accompli ce que je devais faire, haletant, regardant sa verge, fier de moi. Il tenait sa queue dans sa main, bien raide, luisante de ma salive, apparemment il était temps, il a failli venir (dommage, j'aurai bien essayé de me faire éjaculer dans la bouche, pour recracher aussitôt, juste pour voir le gout, ou juste pour me sentir possédé).

    Je ne bougeais plus. Il semblait récupérer, attendre de redescendre un peu. Il me parla à nouveau "oh tu suce bien salope" j’adorais ça. "tourne toi que je te la mette !". Mon cœur s'est mis à s'accélérer, je me suis relevé, je me suis retourné, je me suis mis à plat ventre sur le bureau devant lui, mes mains tenaient le rebord opposé du bureau, comme pour m'accrocher au bord d'un précipice, mes pieds au sol, jambes écartées, mon cul débordait bien offert, face à lui, plus haut que le reste de mon corps. Je savais qu'il me regardait, je savais ce qu'il tenait dans les mains et je n'en pouvais plus, je n'étais rien d'autre que "sa chose", son "vide couille" je gémissais avant même qu'il ne commence, juste à me sentir comme ça, à sa disposition. Je bougeais déjà mon cul, attendant fébrilement que ça ne commence.

    Je l'ai entendu faire du bruit derrière moi, un petit coup d'œil et je l'ai vu enfiler le préservatif. Il me dominait, il avait mon cul à sa disposition, j'étais rabaissé et je voyais son membre énorme, je retournais la tète pour ne pas le regarder et j'attendais avec impatience. "tu la voulais hein, tu vas la sentir !" (c'est vrai que je l'avais pas mal allumé et provoqué au moment du Tchat), j'ai senti ses deux mains de chaque coté de mes hanches, il me claqua un peu les fesses, je sursautais, il passait ses mains sur mon cul, je n'en pouvais plus. Il mouilla un de ses doigt et commença à me caresser la rondelle, je bougeais de plus en plus, je gémissais. Il m'avait rentré le doigt, il bougeait à l'intérieur, je le sentais, je bougeais en suivant ses mouvements. Ca a duré 30 secondes, j'étais déjà bien dilaté, tellement offert, tellement excité. Il retira son doigt, me repris les fesses, plaça ses jambes entre les miennes, m'écarta les jambes avec les siennes tout en m'appuyant sur le bas du dos, "ohhhhhhhh" j'étais complètement plaqué contre la table, le cul relevé, saillant, bien offert.

    J’ai senti son sexe contre ma rondelle, je me suis raidi tellement j'ai été surpris, mais rien !
    Il s'est arrêté au bord, je le sentais là, le gland positionné comme il faut, juste une toute petite pression, suffisante pour que je la sente mais insuffisante pour qu'il la rentre « ohhhhhhhh" je relevais la tète, je respirais plus fort encore, je le sentais là, prêt a partir, mais rien ne se passait, juste cette petite pression constante que je sentais, comme je respirais fort mon cul faisait d'infimes mouvements, cela avait pour effet de faire varier la pression de son gland sur mon anus, me faisait respirer plus fort encore, me faisant bouger plus fort encore. Sans que je m'en rende compte j'étais entrain de m'ouvrir moi même sur son gland, apeuré, attendant avec inquiétude le moment fatidique.

    Il eu une technique absolument incroyable, une petite pression "ohhhhhhhh", il se recule d'un cm, une seconde pression "ohhhhhhhh", il se recule à nouveau, une 3e pression "ohhhhhhhh" je n'en pouvais plus, chaque pression me faisait m'écarter un peu plus, chaque pression me détendait un peu plus l'anus, à chaque fois j'avais peur qu'il ne rentre et je me contractais un peu ... mais non, il ne rentrait pas ... je commençais à me détendre, "ohhhhhhhh" 6e pression "ohhhhhhhh" j'étais de plus en plus souple, de plus en plus détendu, je commençais à ne plus penser à la pénétration, juste le plaisir de ce bélier qui faisait mine de vouloir rentrer mais qui se retirait dés qu’il commençait à m'écarter. Je me laissais aller, ses mouvements étaient plus rapides, mon anus n'avait plus le temps de se resserrer que la pression suivante arrivait, jusqu'au moment ou par surprise il ne s'est pas reculé mais en me cramponnant les fesses il a poursuivi la pression jusqu'a ce que mon anus à moitié ramolli ne s'écarte en épousant la forme de son gland.

    Il est rentré tout seul, sans douleur, sans déchirement. Il avançait doucement, dans un mouvement continu, sans s'arrêter. Je sentais chaque centimètre de sa queue me parcourir, je sentais mon ventre se remplir, je me cramponnais à la table. Je laissais partir mon cul en arrière, jusqu'au moment de la douleur. Je l'ai senti buter, freiner, je me retrouvais entièrement comblé, rempli, écarté.

    Il semblait apprécier "oh ouiiii, c'est ça que tu voulais hein ? Tu voulais la sentir ? Tu la sens maintenant ?". Il commençait déjà à reculer doucement, pour se renfoncer un peu plus loin ensuite. Je l'ai senti buter au fond, m'arrachant un cri de douleur "Aïe !, ouiiii c'est bonnnnnn". il recula à nouveau, se renfonça un peu plus loin, il recommença plus vite, plus vite encore, plus loin, au bout de deux minutes je me faisais labourer le ventre sans ménagement "Paf ! Paf ! Paf ! ». Il tapait fort, m'arrachant un cri de douleur a chaque fois mais le plaisir était plus grand encore.

    Il se retira sans ménagement et sans me prévenir "Aïe !". Je me retrouvais le cul ouvert, éclaté mais je ne bougeais pas de ma position, j'avais vraiment du mal à reprendre ma respiration. Il approcha une chaise à ma droite, une autre à ma gauche, me pris chaque jambe pour me positionner les genoux sur les chaises, toujours à plat contre la table, toujours cramponné. J'avais maintenant les genoux sur deux chaises, le cul plus cambré encore, plus haut, plus offert, plus écarté. Il me repris sans avertissement, rentrant d'un coup brutal jusqu'au fond, jusqu'à ce que mon cul se retrouve écrasé contre ses poils. J'hurlais, je m'abandonnais, il allait tellement vite, si fort, je sentais mes intestins se liquéfier, je ne la sentais plus passer maintenant tellement j’avais l’anus limé, je sentais uniquement les coups au fond.

    Il accéléra encore, plus vite, plus fort, jusqu'à ce qu'il se mette à hurler en me plaquant une dernière fois au maximum contre lui. Il explosa dans le préservatif, au fond de mon ventre j'hurlais en même temps tellement je sentais son gland énorme plaqué au fond de mon ventre, me faisant mal. Il eu des mouvements saccadés, me tirant a nouveau des cris....

    Il resta là quelques secondes, à récupérer, alors que moi j'avais toujours mal de sa queue qui restait plaquée au fond. Je râlais toujours. Il prit ma queue dans sa main, et en maintenant la pression sur mon cul, se mit à m'astiquer très rapidement. J'explosai en moins de 10 secondes, par saccades, avec un cri a chaque fois, chaque saccade me faisant faire un sursaut, chaque sursaut me faisant sentir son sexe au fond de moi avec douleur, chaque douleur me faisant crier et exploser un nouveau jet, nouveau jet qui me faisait bouger sur sa queue, jusqu'a ce que je n'en puisse plus et que je me torde pour qu'il retire sa main de ma queue et son sexe de mon cul.

    Il se retira doucement et se positionna derrière moi. Je restais plaqué sur la table, gémissant encore, les mains relâchées, parcouru de sursauts et de spasmes, ma queue pendante entre mes jambes écartées, des gouttes de sperme s'en échappant encore, mon cul encore offert, laissant paraitre le trou béant de mon anus complètement dilaté. Je n'arrivais pas à récupérer, je l'ai vu retirer la capote, me la jeter dessus, pleine de liquide chaud, elle pendait là, sur mon dos, je l'ai vu s'essuyer avec un sopalin, rentrer sa queue et refermer son pantalon, après une minute comme ça, j'étais toujours allongé, reprenant mon souffle. "bon ben je te remercie, c'était bien", je me redressais, et je l'accompagnais à l'entrée, nu, j'ai ouvert la porte, il m'a dit "à bientôt peut être" je lui ai répondu "au revoir" et il est parti .....

    Je suis retourné dans la salle et je me suis assis. J'ai bien mis 30 minutes à m'en remettre. Je l'ai senti encore pendant un bon moment dans mon ventre, j'étais bien, je me sentais souillé mais j'avais pris beaucoup de plaisir.

    Cette histoire est entièrement vraie, dans les moindres détails, chacun avait eu ce qu'il voulait et ce qu'il avait cherché, pour moi je me sentais salope, vide couille, j'en avais pris plein la bouche, plein le cul. Pour lui il avait trouvé une chienne docile, le tout sans blabla et sans discours, chacun s'était fait du bien.

    Je ne l'ai jamais revu ensuite mais il n'est plus jamais reparu sur le site. C'est dommage, j'aurai bien essayé d'autres choses encore, d'autres positions, me faire prendre par devant, ou encore que je m'empale ou encore tester avec plusieurs mecs actifs, pourquoi pas une nuit entière, être salope le soir, la nuit et le matin, dans la cabine d’un routier, ou même avec une femme car curieusement je suis plutôt TBM et actif avec les femmes. Bref, j’aurais aimé aussi être son « officiel », n’attendre que lui, à sa disposition, j'attends avec impatience une prochaine expérience de ce genre.

    Yann


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  • 6 Récits et ensuite les Vidéos.


    Le soleil pour témoin...

    Le Sahara s’étendait devant nous. Manu et moi avions entrepris une aventure qui allait bientôt nous plonger dans une autre dimension…

    Nous ne connaissions rien de ce nouvel environnement. Manu mon jeune compagnon, à la peau maintenant bronzée par cet immense soleil d’Afrique, me précédait torse nu et je pouvais admirer ses muscles que la sueur faisait briller.

    Nous étions sur des dromadaires plutôt revêches - loués à Tamanrasset - et qui avaient du mal à nous obéir. Tant et si bien que soudain, celui de mon compagnon se cabra, et que Manu en tomba. L’animal s'est alors enfui au-delà de l’horizon et alors qu’on essayait de le rattraper le mien - profitant de l’occasion - fit de même.

    Leur perte était très grave car toute notre eau était partie avec eux ainsi que nos espoirs de survie.
    Manu me dit : « Qu’allons-nous devenir ici sans eau, il n’y a pas d’ombre, je ne porte qu’un short comme toi, on va brûler au soleil, de plus je commence déjà à avoir très soif… »

    - « Surtout ne pas s’affoler, j’ai ma boussole, nous allons aller droit au Nord, on n’est pas si loin de l’oasis de Foumwalah Awkouhl… »

    Nous entreprîmes donc de marcher vers cet espoir de survie que - je le pensais sans le dire - nous n’atteindrions sûrement jamais.

    Le temps passait et Manu n’en pouvant plus s’allongea sur le sable les yeux perdus dans le ciel. Désespéré, il pleura.

    - Je dis : « Je sais tu as soif, mais il faut tenir le coup, moi aussi, et… (une idée me vint soudain à l’esprit) …attends je crois que j’ai une solution… C’est pas tout à fait de l’eau, mais faute de grive…. » Je désignais de mes mains mon entrejambe et celui de mon compagnon.

    - « Quoi, nos couilles… ? J’ai compris… ! Notre sperme ! ! »

    Aussitôt, assoiffés que nous étions, nous jetâmes nos shorts dans le sable, découvrant nos paquets et nous nous livrâmes à un 69 salvateur. Manu dont la soif était extrême m’astiquait de ses lèvres restées douces malgré le manque d’eau. Je voulais qu’il se désaltère au plus vite et me forçais à jouir dans ce but. Je lorgnais pour cela son corps superbe, avec son dos en V, qui se tordait dans l’effort et était encore une fois l’instrument du plaisir…

    - « Serre mes couilles pour en faire sortir le maximum de jus quand ça viendra, comme je le ferai pour toi aussi !»

    Le plaisir montait, le soleil au zénith était le seul témoin de la scène, du moins le croyais-je.

    Soudain, je n’en pus plus, je criai « ça y est, vas-y bois, n’en perds pas la moindre goutte !»

    Je sentis alors que Manu m’aspirait de toutes ses forces, ses doigts entourant fortement mes couilles, cela afin d’absorber ce liquide qui, bientôt, le désaltèrerait.

    Manu avait un visage juvénile, mais la pilosité de son corps, notamment son torse, ses avant-bras et ses mains avaient été les éléments déclencheurs qui m’avait poussé à le draguer quelques années plus tôt sur une plage du Sud. Il était le genre de mec que j’avais toujours recherché, de plus sa musculature avait été la cerise sur le gâteau, alors je n’avais pas hésité…

    Et maintenant nous étions là, et le plus bel organe de son corps, lui allait et venait dans ma bouche reconnaissante…

    Lorsqu'il éjacula abondamment à son tour je le bus jusqu’à la lie et poussa un gémissement de satisfaction. Sa bite au plus profond de ma gorge, libéra son liquide qui bien que chaud, n’en était pas moins la chose la plus merveilleuse que je n’en pouvais recevoir…

    Un râle de plaisir commun termina cet échange spermatique…

    Rassasiés, nous restâmes, les jambes écartées, nos sexes dardés.

    Un moment plus tard nous léchâmes les derniers vestiges de plaisir qui suintaient du bout de nos bites un peu moins dures maintenant.

    Au-delà des dunes, un garçon du cru avait lorgné la scène avec appétit, il descendit vers nous et se présenta un sourire sur les lèvres.

    - « Vous êtes français, j’ai entendu et… vu. Je m’appelle Ahmed Mélahla de la tribu Touareg des Fokia, si vous voulez je vais vous accompagner à Foumwalah Awkouhl … mais à une condition… vous me buvez moi aussi… »

    Notre soif fut complètement oubliée quelques minutes plus tard, le jeune homme ayant un débit plus qu’abondant en l’occurrence…

    Il tint sa promesse.

    Voilà, je me souviendrai toujours de cet épisode de ma vie où je fus sauvé par ces deux sexes vigoureux et généreux que je pourlèche et bois maintenant avec toujours autant de reconnaissance et encore plus de plaisir que par le passé, Ahmed partant désormais tous les ans en vacances avec nous.




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  • Comme tous les ans, je m’étais rendu à la réunion sportive qui réunissait des homos de la région dans plusieurs disciplines.

    Cette année-là, celle que j’avais choisie c’était la boxe.

    Il est vrai que j’étais débutant mais mon amour du sport et ma pratique de la musculation, du rugby, du foot et d’autres sports m’avait permis de m’adapter très vite à celui-là, d’ailleurs j’avais passé l’année entière à m’entraîner dur afin de ne pas foirer dans cette fameuse manifestation.

    Les autres mecs qui comme moi concourraient pour la boxe s’étaient retrouvés et discutaient en riant dans un coin du gymnase tandis que moi le novice, je restais un peu à l’écart en lorgnant sans retenue ces gabarits plus impressionnants les uns que les autres.

    C’était l’été, et tous portaient des débardeurs qui laissaient apparaître leurs formes généreuses. Je réalisai que moi-même, plutôt bien baraqué et vêtu d’un marcel, ne semblais pas les laisser indifférents, les œillades intéressées des uns et des autres qui s’opéraient dans ma direction sans trop de discrétions là aussi, me le prouvaient bien.

    Il faut dire qu’entre pédés sportifs, ce genre de comportement est plus ou moins la règle, car, au-delà de la compétition en jeu, un mec qui te branche et que tu voudrais bien te faire, est sûrement un enjeu pour les autres types du coin, alors la compétition prend une autre dimension et là il faut savoir placer ses marques et jouer des coudes pour pas se le faire piquer.

    D’ailleurs, celui que j’avais repéré parmi eux, était vraiment exceptionnel, une bombe : la vingtaine, un corps d’athlète trop bien proportionné avec un cul si bien fait qu’il n’existe aucun adjectif pour en décrire une si grande perfection, une gueule d’ange agrémentée d’une barbe de quelques jours que des yeux bleus d’azur illuminaient, des cheveux noirs et coiffés dans l’air du temps, des poils abondants et soyeux qui dépassaient abondamment de son débardeur. De plus, il était très souriant, et avait ce tic sexy et sympa qui semblait le caractérisait, celui de s’envoyer la main au paquet chaque fois qu’il terminait une phrase. Puis, cerise sur le gâteau, à voir comme ça dépassait, le chibre et les couilles qui s’entassaient dans son short moulant devaient avoir une taille démesurée.

    Je me promis que cette supposition soit très vite corroborée par une inspection en règle suivie bien évidemment d’une baise de circonstance.

    Le président de l’organisme sportif de la manifestation commença à faire son discours habituel de bienvenue.

    Nous, nous n’y prêtions pas attention, monopolisés par l’intérêt bestial que nous nous portions les uns aux autres, et communément envers Cédric. Ainsi se prénommait ce jeune que nous lorgnions tous maintenant, et je comptais bien coiffer les autres sur le poteau, car il n’était pas question qu’un autre que moi puisse se le payer.

    Je dis « ce jeune », mais notre différence d’âge ne devait pas excéder un ou deux ans, j’en avais vingt-trois cette année-là…

    Je commençais alors à me joindre réellement au groupe en me présentant à eux.

    - « Salut les gars, moi c’est JP ».

    Les autres au nombre de sept, me saluèrent à tour de rôle, Paul, un des plus baraqués, et qui avait dû remarquer l’intérêt que je portais à notre proie commune, il n’y avait plus de doute là-dessus maintenant, me serra la main avec force, surpris cela me provoqua une douleur que, pris de court, je dissimulais avec difficulté. Pour couronner le tout, un sourire narquois accompagnait ce « geste de bienvenue ».

    Ce connard n’était pourtant pas mal, et en d’autres temps je n’aurais pas craché dessus, mais nous étions en compète, et plus que la coupe qui attendait le gagnant, Cédric, serait lui, le véritable trophée à conquérir et à déguster. Cela semblait désormais avoir tacitement été convenu entre nous tous…

    Mais pour l’instant il fallait que ce soit cet enculé de Paul qui déguste et je me dis dans mon for intérieur, que je ferai de mon mieux pour lui en mettre plein la gueule. Ce ne sont pas ses quatre-vingt-dix kg, son mètre quatre-vingt cinq à vue de nez qui m’effrayaient pour l’instant, mais plutôt l’expérience qu’il devait avoir dans la boxe, d’ailleurs concernant son gabarit nous avions plus ou moins le même.

    Son visage tuméfié avait toutes les séquelles du boxeur qui s’en était pris plein la tronche, et vu son état il devait avoir de nombreux combats à son actif…

    Mais quand je veux quelque chose, rien ne peut m’arrêter, et je me dis que je mettrai tout en œuvre pour y arriver.

    Sans plus attendre la compétition allait commencer. On nous demanda d’aller nous mettre en tenue dans les vestiaires avant d’assister au tirage au sort qui déterminerait les binômes de combat.

    Nous voici donc, tous ensemble réunis, huit mâles en rut, qui doivent pourtant se battre aux poings. Guerriers qui se matent maintenant les uns les autres dans une ambiance électrique.

    Cédric, moins belliqueux, et à qui je semble ne pas déplaire a choisi son placard tout près du mien. Paul, comme il fallait s’y attendre, a joué l’incruste près de nous deux.

    Nous nous adonnons maintenant tous à des strip-teases obligés, ce qui ne déplaît à personne. Jouant tour à tour le rôle de l’exhibitionniste et du voyeur, chacun essaie de mettre en valeur sa musculature et son membre viril.

    Face à face, n’ayant plus que nos dessous comme vêtements, Cédric et moi nous regardons avec appétit, le cœur battant la chamade et l’envie au bord des lèvres. Je comprends, en le voyant préparer une serviette et du gel de bain, qu’il va prendre une douche. Le volume impressionnant qui envahit de plus en plus l’espace réduit de son slip distendu ne laisse aucun doute dans ce qui se passe et va se passer… Paul, qui n’a rien perdu de l’événement et se voyant distancé, maudit le ciel, car un mec est venu le chercher à cause d’un problème d’inscription ou de cotisation, peu importe du moment qu’il se casse, ce con…

    Sans plus aucun obstacle, nous arrivons tous deux au local des douches, celles-ci sont visibles de tous et nous avec. Mais qu’est-ce que ça peut foutre, entre mecs et de surcroît entre pédés, ça ne peut qu’agrémenter la joute sexuelle qui va commencer…

    Tout mon être semble à cet instant se réaliser dans mes couilles et ma bite, celle-ci ne m’a jamais semblé aussi dure, tellement que c’en est presque douloureux. Mais aurait-il pu en être autrement. Cédric, qui cumule tous les attributs nécessaires du mâle parfait, Cédric dont les pectoraux dénudés, au dessin divin, dont le paquet maintenant est à son extension maximale, la bite dardée, les couilles gonflées de désir, le tout ne demandant qu’à exploser de plaisir, vont être à moi, comme tout mon être déjà lui appartient corps et âme…

    Le temps est aboli, l’envie est seule maîtresse de l’instant, plus rien n’existe que lui pour moi et moi pour lui, je le lis dans ses yeux. On se jette l’un sur l’autre sans plus attendre et nos sexes dans le mouvement s’entrechoquent. On se gamelle goulûment, nos deux corps ne font déjà plus qu’un seul. Ma main saisit son chibre si dur et si doux, ses couilles que la chaleur a faites molles comme je les aime, sont dans mon autre main et je remue l’ensemble au rythme de nos pulsions passionnées. Je continue à l’embrasser ou, tout du moins, je dévore sa langue et ses lèvres chaudes comme le sont nos deux corps tout entiers. Son visage quitte le mien pour se diriger vers mon entrejambe, déjà sur son ouvrage, son appétit semble ne pas avoir de fin. La façon qu’il a de passer sa langue sur mes valseuses et tout de suite après d’avaler avec force et profondément ma trique dans un bruit d’aspiration calculé, me porte au nirvana de la jouissance. Mais je dois résister, ne pas cracher pour que tout cela puisse durer le plus longtemps possible, afin que ce plaisir lui non plus n’ait pas de fin.

    Mon liquide pré séminal, que la situation a rendu abondant, semble être une gourmandise pour lui car il s’en pourlèche sans cesse les doigts. Il presse ma bite pour en faire sortir encore. Ce mec irréel génère chez moi un plaisir sans cesse renouvelé, augmenté, et, au bord de l’extase, je veux lui rendre la pareille. Dans un moment d’abandon j’entrevoie, dans un brouillard érotique, les autres mecs qui se branlent tout autour de nous, si excités à la vue d’un tel spectacle.

    Avec son petit accent marseillais, Cédric désireux au possible mais timide, me lâche un « Je voudrais que tu m’encules… s’il te plaît… ». Ne voulant pas le faire attendre, je le fais se tourner, je rapproche son cul rebondi contre mon paquet dont la bite pulse au rythme de mon excitation. Je pose mes deux mains sur ses seins que je manipule avec amour, puis demande à l’un des spectateurs de la scène de m’apporter une capote de circonstance…

    Il m’en ramène une des siennes rapidement.
    L’expérience aidant, je l’ai mise en place en un éclair. J’amène mon visage au niveau du trou de balle de Cédric. Je le badigeonne goulûment de ma salive et j’en profite pour enfoncer ma langue dans cet orifice qui allait donner tant de plaisir à ce membre contondant et on ne peut plus dur qui se dresse d’entre mes jambes et qui pointait dans la direction de ma victime si merveilleusement consentente…

    Je pénètre son corps. Bientôt je commence à le besogner. A un rythme lent, je passe petit à petit à la vitesse supérieure en faisant le mouvement le plus ample possible, de la pointe de ma bitasse jusqu’à essayer de m’enfoncer jusqu’aux couilles. Elles n’arrivent pas à entrer mais je ne suis pas si loin du compte. Pendant ce temps les râles de bonheur de ce jeune confirment que je m’y prends bien . D’ailleurs, ses « Putaiiin ! con… » qu’il ne cesse de chuchoter et parfois à crier m’indiquent que ce minot prend bien son pied, ce qui me donne une motivation et un plaisir sans cesse renouvelés…

    Ne pouvant plus me retenir, je m’éjecte de lui, mets mes deux mains sur ses épaules et le précipite au niveau de ma queue, au comble de l’excitation. Son visage juvénile, tourné maintenant vers l’extrémité de mon engin attend sa juste récompense… qui ne tarde pas… il ouvre sa bouche juste au moment ou mon sperme se met à jaillir. Abondant celui-ci remplit cet orifice qui veut en recueillir le maximum. Ma came, lourde et chaude y trouve le repos et s’y dépose abondamment. Puis la langue du jeune Cédric touille tout ça, fait se mélanger cette purée dans sa bouche et finalement l’avale dans un dernier mugissement d’extase non feinte.

    La baise est générale maintenant, tout le monde s’y est mis…

    La compétition est oubliée de tous maintenant, nous ne sommes plus des soldats ennemis mais des déserteurs qui, au lieu de se vouloir du mal, ne veulent s’adonner qu’aux plaisirs de l’amour et plus jamais à la guerre.

    Du moins…

    Du moins car ce connard de Paul avait rappliqué et avait joué des coudes pour écarter les branleurs, (au sens propre du terme), et se tenait devant moi, les mains sur les hanches, l’écume à la bouche, symbole de la haine qu’il éprouvait envers moi…

    Je me plaçais encore plus prés de lui et de son rictus repoussant, de manière autoritaire mais en prenant soin de mettre Cédric derrière moi, avec un geste de douceur de ma main, pour le protéger de ce qui se préparait. Le contraste de ces deux attitudes conjuguées exprimait bien la position qui était la mienne, je protégeais mon nouveau mec, et me dressais contre celui-là même qui avait la volonté cynique de me le prendre.

    Soudainement, m’y étant préparé, je plongeais ma main dans la poche de son pantalon de survêt’ car j’y avais deviné la présence d’un objet contondant qui n’était pas sa queue, non, mais un cran d’arrêt de grande taille, en voyant cela, les autres prirent position en ma faveur en lançant des insultes envers Paul, qui me détestait encore plus maintenant. Me doutant que ce n’était pas le seul accessoire qu’il devait posséder, et fort du soutien des autres, je lui lançais, en un cri autoritaire :

    - « Tu veux me prendre Cèd’, alors, ouais, on va se battre, mais à poil maintenant ! »

    Je ne voulais pas commencer à trop palabrer et me placer ainsi en position d’infériorité, une fois qu’il s’était foutu à poil, en un temps record d’ailleurs car il en voulait lui aussi, il aura eu cette réaction fatale de me faire face et de me toiser sans bouger, à attendre, les bras ballants. Il n’attendit pas longtemps, un direct du gauche lui éclata sa gueule et son appendice nasal explosa, le défigurant sur place. Aussitôt, une giclée rouge avait aspergé ma main qui s’en était trouvée ainsi récompensée.

    Sa surprise, totale, le fit réagir de façon désordonnée, vraiment j’avais fait ce qu’il fallait. De plus ses kilos qui ne m’avaient jamais impressionnés étaient devenus son handicap. A moitié sonné , il gesticulait dans le vide et si quelques uns de ses coups portaient, au contraire de me déstabiliser, ceux-ci me donnaient encore plus de raison et de pêche pour réagir avec violence et sans pitié aucune…

    Bref, je menais la danse, et alors que je tournoyais autour de l’autre, que ma bite devenue molle frappait mes cuisses à la cadence de mes coups, je voyais Cédric, toujours à poil, figé près de là. Finalement, il ne comprenait pas trop la raison du pourquoi, et certainement pas le fait qu’il avait été, bien à son insu, l’initiateur de ce combat prématuré car hors compétition… officielle en tout cas…

    Paul, pitoyable maintenant reçut le coup de grâce avec un uppercut de derrière les fagots que je lui réservais depuis un bon moment maintenant. J’avais travaillé ce coup pour lui comme tout mon entraînement, sur des sacs de sable et m’en étais fait une spécialité, il fut le premier être plus ou moins humain donc à en avoir connu la primeur.

    Maintenant qu’il gisait là sur le sol, son sexe ridiculement petit, si bizarrement tordu, à l’image de son corps, celui-ci me renvoyait l’image de la merde qu’il était et avait toujours été à mes yeux, j’éprouvais vraiment, au contraire d’une quelconque mansuétude, l’envie irrésistible de le finir.

    La raison n’était pas seulement Cédric. Si j’avais entrepris de m’inscrire dans cette compète et de m’y préparer très dur pendant toute une année, c’est que tout avait été initié par ce qui était arrivé à mon petit Jérôme, mon amour perdu à jamais, et qui semblait me dire en cet instant.

    -« Ne fais pas ça, je sais c’est lui qui m’a enlevé à toi et à ce monde, mais est-ce que ça en vaut la peine, en souvenir de moi, arrête maintenant, il a eu son compte, arrête, s’il te plaît… »

    Cette voix, en écho à celle de Cédric, toutes deux irréelles finirent de me convaincre.

    Paul, avait tué Jérôme, mon mec, dans un autre tournoi de boxe, l’année dernière, et il avait triché pour cela, j’avais tout fait pour mettre en lumière cette horreur, mais ce genre d’individu a toujours plus de chance que ses victimes et avait été blanchi alors que tout l’accusait.

    Jérôme, qui était très sportif pratiquait la boxe depuis toujours mais face à un adversaire qu’il ne connaissait pas et dont il ne connaissait surtout pas la fourberie s’était fait surprendre. Le gant qui l’avait frappé contenait du métal. Conséquence ultime, après ce combat inégal, je l’avais vu s’éteindre dans un hôpital, sans pouvoir lui dire une dernière parole, car sa mort fut précédée d’un comas qui ne dura qu ‘un seul jour, trop blessé pour survivre, il s’était endormi pour toujours alors que je tenais encore sa main…

    La seule envie qui m’était alors restée sur Terre, après le fiasco de l’enquête, c’était faire justice moi-même, et j’étais convaincu de pouvoir aller jusqu’au bout.

    Mais en souvenir de lui et de son influence rassurante et éternelle, je m’étais retenu.

    Finalement j’expliquais à Cédric, après avoir repris quelque peu mes esprits, tout ce qui était arrivé et celui-ci avait été très compréhensif. Il prit alors une place presque aussi grande que celle qu’a Jérôme dans mon cœur et qu’il conservera toujours.

    L’histoire s’arrêtait là, le tournoi et ce qui s’en suivrait n’avait plus d’importance, la seule chose qui en avait eu une à mes yeux et dont j’ai eu connaissance par la suite, c’est que Paul, ne pourrait plus jamais se battre, je l’avais si bien amoché que mes coups avaient provoqué la paralysie de son bras droit et il ne pourrait ainsi plus jamais faire à d’autres le mal qu’il nous avait fait à Jérôme, et à moi à travers lui.

    Jérôme, qui restera l’amour de ma vie comme bientôt Cédric le sera certainement tout autant, lui aussi.

    Cédric qui partage maintenant ma vie et m’a redonné une raison de vouloir continuer et qui m’a fait encore lui écrire…


    Quand ton membre pénètre,
    Au plus profond de mon être,
    Quand ta bouche s’ouvre,
    Et que mon sexe y trouve,
    Le plaisir simple mais ô combien suprême,
    De celui qui donne et sait recevoir.
    Je sais que toujours en moi reste l’espoir,
    D’un instant qui jamais ne voudrait finir.
    Car toi, tu me lis cette nuit,
    Et qui sait, je pourrais t’aimer
    un jour, une vie, une éternité,
    plus que je ne saurais le dire…

    Et si ça te branche quelque peu,
    si à ton tour, tu le veux,
    Il te reste alors, toi aussi à l’écrire.

    JP pour t’aimer, te chérir et te servir…

    (Fiction écrite le Vendredi 02 Juin 2006,
    améliorée le Samedi 29 décembre 2007.)

    internath13@laposte.net
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  • Nous sommes chez toi dans ton salon, assis côte à côte, dans un divan et nous sommes nus.
    Je suis à ta droite, pendant que je titille mon mamelon droit avec mon majeur, ma main gauche caresse tes couilles dures et pleines prêtes à exploser.
    Toi, tu me masturbes lentement, très lentement.
    Ma main remonte doucement sur ta colonne de chair, je te la saisis et commence également une lente masturbation. Quel pied de sentir ta queue grossir dans la paume de ma main !!!
    - Ne vas pas trop vite, me dis-tu. Oui comme ça…continue.
    Je te regarde, tu sembles apprécier car tes yeux son fermés. A chaque mouvement ma main vient contre tes couilles, tu grimaces :
    - Je t’ai fais mal ?
    - Non…Putain que c’est bon !!!! Ne t’arrête pas…
    Ton gland pointe fièrement vers le haut, à chaque monté mon pouce vient titiller le sommet de celui-ci.
    J’apprécie également tes caresses et ma queue toute raide a trouvé une main protectrice qui n’arrête pas de la cajoler.
    Après quelques instants passés dans cette position, tu me demandes :
    - Suce-moi un peu.
    Je m’installe à genoux entre tes jambes, ma bouche s’approche de ta colonne de chaire. Tu bouges ton bassin pour que le contact de ta queue et de ma bouche se fasse plus vite.
    Ca y est, je l’ai en bouche. Je commence à te sucer, ma main droite continue à te branler tandis que l’autre caresse tes couilles que je vais rouler dans ma main.
    Je te regarde avec des yeux de salope car cela m’excite de sucer une bite pareille pendant que tu poses tes mains pour imprimer le rythme que tu veux.
    Ton bassin commence à onduler de plus en plus, tu lâches des petits qui m’annoncent que le feu d’artifice s’est pour bientôt :
    - Ouchhh…vas-y …putain que c’est bon….
    Je ressors ta queue de ma bouche pour me frapper le visage avec vingt centimètre de chair bien dure. Ton gland est si violacé que tu me forces à te reprendre en bouche mais cela ne te suffit pas encore.
    Tu te lèves et ce n’est plus moi qui te suces mais toi qui me baise littéralement la bouche. Je sens que tes coups de hanches sont plus violents, mes mains agrippent tes fesses, à chaque poussée je sens tes couilles sur mon menton.
    Ma bouche n’est plus qu’un trou que tu me défonces sans ménagement, maintenant tu te gênes plus pour m’insulter pendant que tu me baises la bouche :
    - Prends ça ma salope…tu vas en prendre plein la gueule…
    Mes bruits d’étouffements tu t’en moques tellement tu es parti, tes jambes commencent à trembler.
    Sans me prévenir, tu me bloques la tête, ta bite est au fond de ma bouche :
    - Ca y est ….ça viiiient…
    Je sens un premier jet de foutre chaud s’écraser au fond de mon gosier, j’ai un mouvement de recule mais tu me maintiens toujours !
    Au second tu recules, j’avale ce que tu m’as mis en bouche pour ne pas étouffer mais le troisième se prépare.
    Tu tiens ta queue dans ta main droite, la gauche maintien ma tête, tu te masturbe de plus belle :
    - Prends tout dans ta gueule..., cries-tu dans un dernier effort,…ouiiiiiiiiiii
    Le dernier jet de sperme s’écrase sur mon visage, tu n’en peux plus ! Les jambes tremblantes, tu me badigeonnes tout le visage avec ta bite visqueuse. J’ai du sperme partout : sur le front, les joues, dans les yeux, et que dire de ma bouche qui n’est plus qu’un bac à foutre !!!
    Je reprends ton sexe en bouche pour le nettoyer. Une fois fini, je me relève, la bite au garde à vous, pour aller me laver mais tu m’en empêches :
    - Restes ici, je vais m’occuper de toi maintenant.

    - Assis-toi…
    Timidement je m’assieds sur le rebord du divan. Et c’est là que tout commença, t’agenouillant devant moi en me souriant et, moi je me laissais faire en te rendant ton sourire, heureux de savoir ce qui allait m’arriver.
    Je bandais vraiment fort. Putain c’est fou ce que tu m’excitais avec ton sourire, ma queue déjà bien irriguée restait posée le long de ma cuisse.
    Tu commençais à embrasser doucement le gland, puis la base en le tenant doucement dans sa main, avec ton petit regard de salope. Je me laissais agréablement faire en bandant de plus belle, le cœur battant.
    C’était la toute première fois que je vivais ça et en plus avec un mec ! Tu me regardais et me masturbais doucement, c’était vraiment agréable par un autre.

    - T’as vraiment une grosse bite toi.
    - Merci, te souriais-je.
    - Tu sais faut jouir tous les jours, c’est important.
    - Ouais, ouais. Je lui caressais les cheveux.
    - Faut qu’une fille profite de cette bite dis donc.
    - Bah faut que je la trouve aussi.
    Tu commençais tout doucement à me sucer le gland. Ah quel bonheur ! Quelle douceur, quelle chaleur ! J’offrais pour la toute première fois ma bite à un mec.

    - Tu sais les mecs sucent mieux que les filles car on connaît mieux ce qui nous fait plaisir.
    A chaque fois que ma bite sortait de ta bouche, un courant d’air la rafraîchissait.
    Tu me pompais le nœud d’une manière qui aurait pu me faire jouir en deux secondes. Je bandais vraiment fort et prenait beaucoup de plaisir à te voir me sucer dans ton salon.
    Au bout de deux minutes, tu as relevé la tête tout en restant à genoux devant moi, la bouche ouverte à reprendre ta respiration.
    J’ai failli venir, dommage, j'aurai bien voulu éjaculer dans ta bouche.

    Sans un mot, tu t’es relevé et en voyant ton sexe :
    - Mais tu bandes encore !
    J’ai eu droit pour seule réponse :
    - Suis-moi !!!
    Nous étions debout près de la table du salon, le sexe en érection, les corps en sueur et moi j’avais toujours ton sperme séché sur le visage.
    Je ne bougeais plus, tu me parlas à nouveau :
    - Tournes toi salope que je te la mette !
    Mon cœur s'est mis à s'accélérer, je me suis retourné, je me suis mis à plat ventre sur la table devant toi, mes mains tenaient le rebord opposé de la table, comme pour m'accrocher au bord d'un précipice, mes pieds au sol, jambes écartées, mon cul débordait bien offert, face à toi, plus haut que le reste de mon corps.
    Je savais que tu me regardais et je savais ce que tu tenais dans tes mains et je n'en pouvais plus, je n'étais plus rien d'autre que "ta chose", ton "vide couille". Je gémissais avant même que tu ne commences, juste à me sentir comme ça, à ta disposition. Je bougeais déjà mon cul, attendant fébrilement que ça ne commence.

    Tu me dominais, tu avais mon cul à ta disposition, j'imaginais ton membre énorme, je retournais la tète pour ne pas le regarder et j'attendais avec impatience.
    - Tu la voudrais ? Et tu vas la sentir, petite pute!!
    C'est vrai que je t'avais pas mal allumé et provoqué au moment du tchat et j’adorais ta façon de me parler.
    J'ai senti tes deux mains de chaque coté de mes hanches, tu me claquais un peu les fesses, je sursautais, tu passais tes mains sur mon cul, je n'en pouvais plus. Tu mouillais un de tes doigts et commençait à me caresser la rondelle, je bougeais de plus en plus, je gémissais.

    Tu m’avais rentré le doigt, il bougeait à l'intérieur, je le sentais, je bougeais en suivant ses mouvements. Ca a duré 30 secondes, j'étais déjà bien dilaté, tellement offert, tellement excité. Sans douceur aucune, tu retirais ton doigt, me reprenais les fesses, plaçais tes jambes entre les miennes, m'écartais les jambes avec les tiennes tout en m'appuyant sur le bas du dos. J'étais complètement plaqué contre la table, le cul relevé, saillant, bien offert.
    J’ai senti ton sexe contre ma rondelle, je me suis raidi tellement j'ai été surpris, mais rien !
    Tu t’es arrêté au bord, je le sentais là, ton gland positionné comme il faut, juste une toute petite pression, suffisante pour que je le sente mais insuffisante pour qu'il rentre !

    Je relevais la tète, je respirais plus fort encore, je le sentais là, prêt a partir, mais rien ne se passait, juste cette petite pression constante que je sentais, comme je respirais fort mon cul faisait d'infimes mouvements, cela avait pour effet de faire varier la pression de Ton gland sur mon anus, me faisait respirer plus fort encore, me faisant bouger plus fort encore. Sans que je m'en rende compte j'étais entrain de m'ouvrir moi même sur son gland, apeuré, attendant avec inquiétude le moment fatidique.

    Tu as une technique absolument incroyable : une petite pression, tu te recules d'un centimètre, une seconde pression, une troisième pression, à la sixième, je commençais à me détendre, j'étais de plus en plus souple, de plus en plus détendu, je commençais à ne plus penser à la pénétration, juste le plaisir de ce bélier qui faisait mine de vouloir rentrer mais qui se retirait dés qu’il commençait à m'écarter. Je me laissais aller, tes mouvements étaient plus rapides, mon anus n'avait plus le temps de se resserrer que la pression suivante arrivait, jusqu'au moment où par surprise tu ne t'es pas reculé mais en me cramponnant les fesses tu poursuivais la pression jusqu'a ce que mon anus à moitié ramolli ne s'écarte en épousant la forme de ton gland.
    Il est rentré tout seul, sans douleur, sans déchirement. Tu avançais doucement, dans un mouvement continu, sans t'arrêter. Je sentais chaque centimètre de ta queue me parcourir, je sentais mon ventre se remplir, je me cramponnais à la table. Je laissais partir mon cul en arrière, jusqu'au moment de la douleur. Je l'ai senti buter, freiner, je me retrouvais entièrement comblé, rempli, écarté :
    - Ohhhhhhhhhh…c’est….bon….
    Tu semblais apprécier également ;
    - Ooh ouiiii, c'est ça que tu voulais hein ? Tu voulais la sentir ? Tu la sens maintenant ?
    Tu commençais déjà à reculer doucement, pour t’enfoncer un peu plus loin ensuite. Je t'ai senti buter au fond, m'arrachant un cri de douleur :
    - Aïe ! … ouiiii c'est bonnnnnn".
    Reculant à nouveau pour te renfoncer un peu plus loin, tu recommença plus vite, plus vite encore, plus loin, au bout de deux minutes je me faisais labourer le ventre sans ménagement : Paf ! Paf ! Paf !
    Il tapait fort, m'arrachant un cri de douleur à chaque fois que ton bas-ventre touchait mes fesses mais le plaisir était plus grand encore.

    Tu t’es retiré sans ménagement et sans me prévenir :
    - Aïe !".
    Je me retrouvais le cul ouvert, éclaté mais je ne bougeais pas de ma position, j'avais vraiment du mal à reprendre ma respiration. Tu approchas une chaise à ma droite, une autre à ma gauche, me pris chaque jambe pour me positionner les genoux sur les chaises, toujours à plat contre la table, toujours cramponné. J'avais maintenant les genoux sur deux chaises, le cul plus cambré encore, plus haut, plus offert, plus écarté. Tu me repris sans avertissement, ta grosse pine s’enfonçait d’une seule poussée, m’arrachant un cri de gorge à la superbe femelle rentrant d'un coup brutal jusqu'au fond, jusqu'à ce que mon cul se retrouve écrasé contre tes couilles.
    - Ouiiiiiiiiiiiiiii, saa…aaa…aa…laud, tu me fais du…u…u bien…, ouiiiiiiiiii,
    en…en…en…en…core, plus fort, plus au fond, aaaaaaah ta gro…oo…oo…osse
    biii…ii…ii…iite me faii…iii…it du…u…u bien… !

    Tu allais tellement vite, si fort, je sentais mes intestins se liquéfier, je ne la sentais plus passer maintenant tellement j’avais l’anus limé, je sentais uniquement les coups au fond.
    Tu accélérais encore plus la cadence, plus vite, plus fort, jusqu'à ce que tu te mettes à hurler en me plaquant une dernière fois au maximum contre lui.

    Tu explosais au fond de mon ventre :
    - Saaaaaaaalope, ouaiiiiiiiiii, t’es une saaaaaaaaaaalope, une pute même, ouaiiiiiiiiiiiiiii, c’est
    çaaaaaaaaaaaa, une puuuuuute, …Saloooooooope, prends ça, tiens, encoooooooooooore,
    ouiiiiiiiiiiiiiiii, tiens, bien au fond… ahhhhhhhhhhhh, je jouis encore…..
    J'hurlais en même temps tellement je sentais ton gland énorme plaqué au fond de mon ventre, me faisant mal. Il eu des mouvements saccadés, me tirant a nouveau des cris....
    - Ouiiiiiiiiiiiiiii, saa…aaa…aa…laud, tu me fais du…u…u bien…, ouiiiiiiii
    en…en…en…en…core, plus fort, plus au fond, aaaaaaah ta gro…oo…oo…osse
    biii…ii…ii…iite me faii…iii…it du…u…u bien… ! Défonce-moi, ouiiiiiiiiii, défonce moi
    tu peux pas imaginer l'effet que ça fait d'avoir une biiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite pareille qui te
    transperce le corps

    Restant là quelques secondes, à récupérer, alors que moi j'avais toujours mal de ta queue qui restait plaquée au fond. Je râlais toujours. Il prit ma queue dans sa main, et en maintenant la pression sur mon cul, tu te mis à m'astiquer très rapidement. J'explosai en moins de 10 secondes, par saccades, avec un cri a chaque fois, chaque saccade me faisant faire un sursaut, chaque sursaut me faisant sentir son sexe au fond de moi avec douleur, chaque douleur me faisant crier et exploser un nouveau jet, nouveau jet qui me faisait bouger sur ta queue, jusqu'a ce que je n'en puisse plus et que je me torde pour que tu retires ta main de ma queue et ta bite de mon cul.

    Tu t’es retiré doucement et pour te positionner derrière moi. Je restais plaqué sur la table, gémissant encore, les mains relâchées, parcouru de sursauts et de spasmes, ma queue pendante entre mes jambes écartées, des gouttes de sperme s'en échappant encore, mon cul encore offert, laissant paraître le trou béant de mon anus complètement dilaté.
    Je n'arrivais pas à récupérer, le sperme chaud qui coulait de nos orifices tu l’étalais sur mon dos, après une minute comme ça, j'étais toujours allongé, reprenant mon souffle.

    Finalement, je me suis redressé et tu es venu me caresser le sexe une dernière fois :
    - Viens on a mérité une bonne douche !!
    Dans la salle et je me suis assis. J'ai bien mis 30 minutes à m'en remettre. Je l'ai senti encore pendant un bon moment dans mon ventre, j'étais bien, je me sentais souillé mais j'avais pris beaucoup de plaisir.


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