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  • Certains récits ne font pas mention du condom.

    N'oubliez pas que ceux-ci sont essentiels pour une relation sexuelle sécuritaire...

    Dans votre lit, vous n'êtes pas dans un récit! Protégez-vous!!!

    Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES

    Pour plus d'info : www.sida-info-service.org


    Rencontre amoureuse au cinéma.



    Je vais vous raconter l'histoire de mon aventure sexuelle ça c'est passé au cinéma. J'étais avec un ancien camarade de classe et j'ai eu la main baladeuse elle se balladé sur son entre jambe et sur sa bite je ne savais pas qu'il était gay mais je voulais le savoir en le tripotant . 

    Il me disait rien jusqu'à ce que je voyant son sourire  il ma tripoté et j'aimais ce qu'il me faisait.

    On a été au toilette du cinéma c'était pipe,branlette,baize et embrassade.

    Tous les mois on se retrouve au cinéma j'aime aller le chercher en ville car
    on prend le temps de discuter de chose et d'autre on va souvent dans un magasin
    acheter ce qu'il faut pour se protéger et mater de beau film porno gay on se
    retrouve chezmoi après c'est formidable de pouvoir lui rouler des pelles et de le
    sadomiséon préfère la féllation et la branlette j'aime lui enlever ses vêtements
    et sous vêtement pouvoir sentir se bite dans ma bouche c'est qu'il m'excite le
    plus et en plus j'ai même testé un 69 c'est bon de de faire sucer en même temps
    que tu le suce j'aime quand il me prend sans capote car notre couple c'est sans
    capote que l'on baise et on préfère tu sens mieux la bite de ton partenaire dans
    le cu.maintenant c'est finit mais j'ai trouvé quelqu'un d'autre pour m'amuser.


    Vous pouvez mettre mon adresse @ mail je suis à la recherche d'un mec sur saumur
    pour baise et partager des sentiments.


    lebeauolivier@hotmail.fr

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    Une langue qui me lèche le cul.


    Ca a commencé vraiment bêtement il m’allumait depuis des semaines nous étions tout les deux moniteurs dans un camp de vacances organisés par la marie de sarcelle, j’avais pris se taf d’été pour me faire du blé a la place d’aller a Ibiza avec mon ami. On s’occupaient tout les deux d’un groupe d’une dizaine d’ado exubérent mais plutôt sympa.

    Après avoir bordé toute cette jeunesse nous nous retrouvions martin et moi dans notre tente particulière placée en face de l’entrée de la tente des gamins pour pouvoir surveiller mine de rien si certains ne se faisait pas une balade nocturne, les gamins des cités n’ont pas toujours envi de suivre les directives de mecs qui ont tout juste 5 ans de plus qu’eux. Mais la n’est pas la question ni le but de cette confession intime.

    Donc comme je vous le disais martin et moi étions dans la même tente depuis le début du camp et depuis le début il me chauffait le salop, j’avais jusqu'à maintenant ignoré ses avances mais cette nuit la martin vient se placer devant moi, il agite sa queue sous mes yeux.

    - Tu me suces…

    Et la pour seule réponse, j’avale sa bite,

    Et je l’étends siffloté et qui entre ? Marc un autre moniteur avec qui je savais martin avait des rapports très intimes.. Se camp était un vrai repaire de gays c’était assez marrant, mais je me perd dans ma confession intime.. Donc, j’étais en train de lécher martin et sans savoir vraiment comment je me suis retrouvé a poil avec la langue de Marc qui m’excite et mon cul commence à se détendre.

    - Ah putain tu suces bien me dit martin

    En voyant cela, Marc m’enfonce deux doigts dans le cul. Moi je suce de plus en plus vite cette queue suintante qui me bourre la bouche, je bave dessus comme un goret.

    - Regarde martin, il aime ça.

    - Ouais, j’ai bien envie de le prendre maintenant avant qu’il me fasse jouir.

    L’oreille au aguets je m’arrête de le sucer et il vient se placer derrière moi.

    - Vu comment Marc t’a léché, je pense que je peux l y aller franco !

    - Non, vas-y doucement quand même.

    - Ok, ok pas d’inquiétude

    Marc s’est placée devant moi, il m’embrasse à pleine bouche. il s’installe confortablement, les jambes bien écartées et se branle en nous regardant. Martin commence à enfoncer son gland dans mon petit trou du cul. Je cris de douleur, je sens sa bite rentrer en moi. Enfin, il est en moi, il reste immobile un moment pour que je m’habitue à sa belle queue longue et épaisse et il commence ses va-et-vient. Doucement au début puis de plus en plus rapide, la douleur a laissé place au plaisir. Marc s’est enfoncée deux doigts dans le cul, il devient de plus en plus hystérique. il attrape ma tête :

    - Lèche-moi la bite, j’en peu plus !

    Je m’exécute immédiatement, il est complètement trempé de sueur et son gland sent fort, cela m’excite encore plus, je lui titille son braquemart et lui met trois doigts dans le cul en même temps. Je la doigte comme un sauvage il hurle, je le sens, tout comme moi, proche de l’orgasme. Martin m’a empoigné les hanches et me prend comme une bête. Mes cris sont étouffés par la bite de Marc qui me martèle le gosier qui me tient depuis le début par les cheveux. Son corps se contracte, il m’arrache les cheveux, il est entrain de jouir dans ma bouche.

    Martin gémit lui aussi de plus en plus, il se retire et s’astique devant mon visage. Il explose comme un geyser, j’ouvre la bouche pour en récupérer le maximum, Marc est dans un autre monde, j’ai toujours mes trois doigts dans son cul plus qu’humide et Il nous regarde avec un magnifique sourire. Martin termine de se vider les couilles. J’ai du sperme partout, sur le visage dans les cheveux. Marc s’approche de moi pour me lécher le visage, il récupère le foutre de son mec.

    Martin est vidé, il est assis sur son matelas tout en nous regardant.

    - Et bien les mecs, on peut dire que c’était puissant mais il y en a un qui n’a toujours pas joui.

    C’est vrai je n’avais pas encore joui. Ma bite était bandée à son maximum et mon cul me brûlait. Marc alla s’asseoir à côté de son homme.

    - Ca va être à ton tour mon beau gosse, c’est à toi de te faire enculer.

    - Maintenant ?

    - Oui maintenant, tu ne vas pas laisser ton meilleur ami dans cet état quand même ?

    - Bon d’accord.

    Martin remonte ses jambes au-dessus de ses épaules et Marc s’agenouilla pour lécher ce petit trou. Il lui faisait le même traitement qu’à moi, il était aux anges. Je m’approchai de lui et lui donna ma queue. Il la prit à pleine main pour me branler, il l’approcha de sa bouche pour la gober. Il suçait vraiment bien. Je luis pris la tête, lui retira ses mains de ma bite pour imposer moi-même le rythme.

    Marc avait enfoncé un doigt et me regardait prendre la bouche de son mec. Après ce traitement, je pris la place de Marc et j’enfonçai mon gland dans son anus. Je prenais possession de son cul en le pilonnant de toutes mes forces. Marc c’était placé dos à lui et se faisait lécher le cul. il admirait mon travail. Martin avait pris la même cadence que moi pour pénétrer avec ses doigts le cul de sa petit minet de copain. Il gémissait de plus en plus fort, moi j’arrivais au point de non-retour, je fis un dernier va et vient puis-je me retirai pour me mettre face à Marc. Il se place face à ma queue, que j’astiquais à fond, je sentis mon foutre monter et j’explosai à la gueule de cette petite tafliole de Marc. IL ouvrit la bouche pour ne pas en perdre une miette, il reçus six grosses giclées, je ne pouvais plus. Il me prit en bouche pour me nettoyer.

    Marc nous roula une énorme pelle et partie rejoindre sa tente. Il était très tard et Martin me proposa de dormir. Le lendemain matin, les gamins allaient encore nous faire gueuler. Mais bon la j’étais satisfait le cul bien élargi et les couilles vides.

     

    Antoine

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    Cul et bouche baiser par un latin .

     

    Je devais partir pour Madrid et hélas à cause des conditions climatiques impossible d'y aller par avion.. J'étais dans l'obligation de prendre le train.

    Donc arrivé à la gare a 22h, je trouve mon train couchette. J'arrive dans on compartiment, ma cabine est de deux couchettes.. Ah avec ma chance je vais me retrouver avec un ronfleur.

    Je commençais par m'installer tant bien que mal quand j'entendis du bruit qui venait de la cabine de toilette juste dans l'angle de la cabine, je suis toujours épaté par le nombre de truc qu'ils peuvent mettre dans un endroit aussi étroit.

    Sur le moment je ne prêtais pas attention au bruit venant de du cabinet, je finis de m'installer en me demandant qui pouvait bien partager la deuxième couchette ?

    Je m'installais dans mon lit en espérant pouvoir m'endormir rapidement, qu'il fut ma grande surprise quand je vis la porte du cabinet de toilette s'ouvrir sur un super mec, un vrai bogoss musclé et bronzé, sans doute un espagnol, son corps superbe se dessina dans l'ouverture, ce super spécimen masculin n'était revêtu que d'un boxer il avait des jambes musclées et poilues c'était vraiment d'un érotisme qui ne me laisse pas indifférent la lumière qui venais de beau male rendait encore la situation plus excitante.

    Une bosse commencer à ce voir dans mon lit celui-ci s'approchât de moi et me dit:

    - bonsoir moi c'est Alphonso et vous c'est comment ?

    je voulus lui répondre mais aucun son ne sorti de ma bouche tellement je suis subjuguer et excité par beau mec raclant ma gorge j'arrivais à lui répondre

    - bonsoir moi c'est maxime, enchanté de vous connaître alphonso

    Avec une voix remplis d'émotion, que alphonso perçu très bien.

    Celui-ci profita de ce que mon corps trahissant mes émotions pour s'asseoir sur mon lit. Nous échangeâmes les banalités qu'impose cette situation.

    alphonso tout en parlant ne pus que constater qu'une bosse c'était formé et commença à passer ces doigts dans mes cheveux qui eu pour effet de m'exciter un peu plus, Je me rendit compte que c'était alphonso qui pris en main mon désir, moi qui suis plutôt maître de mes pulsions et qui d'habitude c'est moi qui prend moi-même en main ce genre de jeu érotique.

    Une petite voix intérieure me dicta de me laisser faire que je pourrais en apprendre plus avec se superbe brun beau comme un apollon grec, quand je repris mes esprits alphonso continuer à me dire des choses, que je n'aurais imaginé que puisse me dire un inconnu dans un truc roulant vers Madrid et quelques minutes après notre rencontre

    -Tu bandes dure mon cochon, je suis flatté que je te fasse cet effet.

    Je mis quelque seconde à lui répondre car d'habitude c'était moi qui commence à ouvrir les hostilités, mais quel plaisir que se soit quelqu'un d'autre qui le fasse.

    - Oui tu me rends dingue, tu sais bien faire réagir mon corps à tes caresses.

    Il saisit avec une main mes cheveux et me força à l'embrasser, il me rentra sa langue à l'intérieur de ma bouche, Il fit le tour de ma langue avec la sienne et quand il voulut arrêté le baissé torride il mordis ma lèvre cela à eu pour effet de faire dresser les draps qui ce trouver sur moi en forme de chapiteau tellement ma queue était dure.

    Sans que je mis attende, il tira brusquement sur les draps et les fis valsée jusqu'au pied de la couchette. Je me trouvais tétanisé tellement son geste fut brusque. Le voici qui ce jette sur ma queue tel un rapace sur sa proie, il aspira ma queue dans sa bouche et pratiqua une sucions savante qui me coupa la respiration.

    Tout en aspirant ma queue il titilla le bout avec sa langue qui me fit passer un fluide glacial dans mes reins, il continua se traitement pendant quelque minute qui pour moi m'ont s'embler durer des heures. Je me die en moi même voila un homme qui connaît bien son sujet .

    Je commençais à laisser trahir ma soumission, ainsi que mon plaisir qui ne pouvait que monter, vu le travaille qu'il produisait sur ma queue. Il s'arrêta aussi vite qu'il c'était acharné sur celle-ci. Il me regarda avec un regard qui voulait en dire long sur le supplice qu'il avait décidé de m'appliquer.

    -Alors Alphonso ça fait quoi de se faire traiter ainsi par un inconnu, me dit il

    -Te dire que je reste de bois ça serait insulter ton égaux, je n'ai qu'a me laissé faire car il me semble que tu es un expert dans ce domaine.

    J'avais à peine finie de dire ces mots qu"il se dressa au-dessus de moi qui était toujours coucher, pris ma pine suintante en main le colla contre son anus et se laisse tomber sur mon sexe sans ménagement, je ressentis une douleur indescriptible. Mon prépuce était en feu.

    Après un moment ou il était rester immobile sur moi ma bite entière dans son cul, je croisais son regard qui en dit long sur sa joie de me dominer. Il commença son vas et vient, avec une opulence à varier le vite et le lent pour faire monter mon plaisir et le stopper aussi vite qu'il était monté, un rire vient de déchiré le silence, on aurait dis un rire d'une personne qui savouré son manége de coquin. Je n’ai pas une énorme bite mais un bon 18 centimètres et il se l’était fourré a sec sans problème.

    Il appliqua se traitement pendant un long moment et quand il sentit que j'allais jouir il se retira de la position qu'il avait prise et revient vers moi pour me refaire le même baiser torride du début. Cella à eu pour effet de me faire crier un NON qui venait du fond du coeur. Il me surprit une nouvelle fois quand il ma somma un ordre sec:

    _Maintenant léché moi toute ma sueur petite salope.

    Il m'attrapa par les cheveux et me mis le nez sur sa queue qui était énorme, je mis ma langue en mouvement et il tenait toujours mes cheveux. C’est comme cela qu'il guida ma langue là ou il voulait, il dirigea son regard vers mon sexe pour mieux se rendre compte de mon plaisir. Il ne me fallut pas long temps pour de nouveau bandé. Las de se jeu a priori il me pris par les deux oreilles et commença a me baiser la bouche. Je pensais impossible d’avoir cette longue queue intégralement dans le bec, mais je me trompais.. Mi suppliant les yeux pleins de larme, j’arrivais a peine a respirer et je bavais sur sa longue tige, j’étouffais et lui intraitable m’enfonçais des gros coups de sa grosse bite dans le gosier.

    Je sentis sa grosse queue commencer a vibrer, il redoubla ses coups de queue et je senti de long jet de sperme passer directement du fond de ma bouche a mon estomac sans que j’ai besoin de déglutir.

    Il relâcha mes cheveux et parti vers la cabine de toilette qui me laissa le temps de reprendre mes esprits et mes sensations corporelles.

    Quelques instant plus tard il ressorti de la cabine, j’étais pantelant sur le lit, sans cérémonie il me retourna me fit soulever ma croupe et fis rentrer sa bite dans mon trou sans ménagement, je m'entendis crier de douleur d'abords, puis celui-ci se transformât en complainte du plaisir., j’étais devenu une vrai chienne.

    Une fois au fond il s'arrêta pour reprendre son souffle et aussi pour laisser le temps a mon petit trous de se faire au passage de sa grosse queue. Je m'entendis, lui dire.

    • Oui, vas si pilonne-moi, encore.

    Ces mots on eu pour effet de le relancer à faire coulisser sa queue dans mon trou avec acharnement. Je m'entends lui dire a nouveau

    - Oh oui vas-y, vas y bourre-moi cochon d’enculé

    Il continua a me labourer et bientôt je senti un liquide m’envahir le fondement, sous l’effet de la sensation je joui a mon tour sur le drap.

    Nous retombions ensemble sur ma couchette épuisée par ces jeux érotiques. Il se blotti contre moi et s'endormis avec sa queue nichée encore dans mon petit trou.

    Le reste du voyage se fis endormis, jusqu'à l'arrivé ou la je me suis réveillé seul car tous ce-ci n'était qu'un rêve.

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