• Certains récits ne font pas mention du condom.

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    Un nageur fripon m’encule sous une cascade

     

    Le mois d’août était chaud.. Très chaud même 34° sous le parasol, j’étais en vacances dans un petit village du pays basque ou normalement il y a toujours se petit micro climat qui fait qu’il faut moins froid ou plus chaud suivant la saison, mais manque de veine cette année se n’était pas le cas.

    J’étais donc allongé bien isolé dans une petite crique avec ma serviette mon parasol et mon huile de bronzage.. Quand la chaleur devenait trop étouffante j’aillais faire quelques brasses et c’était reparti pour une séance de brûlage intégral !

    Pour résumer je glandais et je commençais à m’emmerder ferme, je pensais que j’allais me faire un plan boite de nuit avec un petit couple avec qui j’avais sympathisé a l’hôtel ou j’étais descendu.

    Et la je vois arriver dans ma petite crique isolée un homme.. Quand je dis un homme c'était un beau massif de muscle dans les 1m85 voir 90 avec un corps de nageur, un torse et des abdos parfaitement bien dessinés et imberbes, des cuisses bien faites, un cul à se damner et en plus a en juger dans son slip de bain noir tout moulant il y avait également du répondant.

    Il m’a fait un petit signe de la main, m’a souris et a plongé dans la mer, après quelques secondes il a réapparu à la surface de la mer et s'est mis a nagé. L’invite de l’eau fraîche se fait urgente. Décision prise, je me levais a mon tour et courrais vers la mer.. J’avais dans l’idée de le mater l'air de rien... Mais pris qui croyait prendre lui aussi avait le coup d’œil et il avait un petit peu capter mon manége.

    Il c’est arrêté de nager a ressorti sa tête de l'eau et m'a regardé en me faisant un grand sourire, j’étais un peu voir beaucoup gêné, je ne savais plus où me mettre, et a par prendre mon matériel et foutre le camp de la crique je n’avais pas beaucoup de solution.


    Je me suis remis à nager, lui de même et nous n’arrêtions pas de nous croiser en nous souriant a chaque passage.

    Las de se jeu je décidais de partir à la petite chute d’eau qui surplomb la crique un maigre ruisseau vient se jeter la et fait office de douche a défaut d’être une cascade convenable. Lui me fit un petit signe de la main et continua a nager. L’eau était fraîche, c’était très agréable d’être fouetter par cette eau glaciale par rapport à l’air ambiant, pour faciliter l’évacuation des grains de sable et dans le but de rincer mon maillot de bain j’étais nu.

    Je n’avais rien entendu le bruit de la cascade et l’eau tombant sur ma tête ne m’avait pas prévenu quand je sentis à un moment des mains se poser sur mes épaules, je me suis retourné un peu inquiet, et la devant moi j'ai vu mon beau nageur.

    Il m'a mis un doigt... sur la bouche pour me faire taire avant que j’ai émis un son et m'a embrassé dans le cou et mon dieu ! Quel baiser, il s'est mis à me frotter le thorax comme pour me savonner partout sur le corps, j’étais troublé. Se joli apollon sorti de nul part était un don divin fait a moi homme abandonné dans cette terre inhospitalière d’hétéro. Vaincu j’ai accepté son baisé, et nous nous sommes embrassé à pleine bouche, les secondes passant les caresses devenaient plus précises et plus intenses.

    Nous rentrions dans le vif du sujet.. Il m'a caressé la queue et les couilles doucement et tendrement et est descendu en m'embrassant sur le torse, le ventre et enfin la queue qu'il a engloutit dans sa bouche Il a fait tourné sa langue autour de mon gland qui a commencé à bien durcir j’étais vraiment ravi de cette après midi.

    De façon naturelle mais experte il s'est mis à me sucer comme un pro, le sexe.. Ensuite les couilles.. Le long de la verge.. Le gland et ainsi de suite, mais cela n’avait rien de mécanique c’était beau. Avec son autre main il caressait mon anus qui ne demandait qu'a s'ouvrir et il y a mis un doigt, puis deux et a commencé à me doigté tout en me sucent.

    C'était GENIAL... J’étais aux anges


    Il suçait tellement bien que j'aie fini par lui venir dans la bouche, en trois rapides giclés. Il ne recracha pas mon sperme mais l’avala, je l'ai relevé et je lui ai roulé une pelle pour mélanger le reste de foutre entre nos deux bouches.

    Je l'ai ensuite branlé doucement, je voyais son désir monter.. Et le mien reprendre, la tête contre la falaise j’ai offert ma croupe. Son sexe m’a pénétré après qu’un préservatif et mystérieusement apparu sur sa verge. Après de lents vas et viens dans mon cul j’en senti qu’il allait jouir. Je me suis dégage et je l’ai branlé jusqu'a ce qu'il jouisse dans ma main, j’ai léché et avalé le sperme sur mes doigts.

    Après nous nous sommes frotté mutuellement avec un peu de mon foutre, et nous nous sommes rincés, et nous nous sommes embrassés longuement sous l'eau de la cascade qui coulait sur nos corps.


    Après, chacun est parti de son coté pour poursuivre ça journée. Mais je n’avais qu’une hâte c'était de retourner demain à la crique pour retrouver mon mystérieux et viril nageur.

    Brice

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    Fou de fringue et de sexe.



    Je suis dingue de fringue, des sages et aussi des excentriques cela peut aller du cache-sexe au harnais, en passant par la salopette. J’aime bien faire les boutiques et justement je suis dans en train de faire un peu de recherche dans une petite boutique au puce a la porte de Clignancourt a Paris.

    Le vendeur qui travaille ce jour-là est un mec de la fin trentaine. Il a le look parfait pour l’emploi : grandeur moyenne, plutôt sec mais pas maigre, crâne rasé, barbe de deux jours, yeux bruns. On peut dire qu’il est plutôt beau garçon se mec. Il porte des pantalons de cuir noir. Son pantalon est assez ajusté, de sorte qu’on devine bien la bosse que forme sa queue sur le devant. De dos, on aperçoit de belles fesses assez bombées, bien moulées dans le cuir.

    Je me promène lentement entre les rayons, regardant négligemment les divers articles. Le beau vendeur vient vers moi.

    - Tu cherches quelques chose de précis? Me dit-il, avec un sourire.

    - Oui, des pantalons.
    - OK, quel style?
    - Comme des jeans, mais en cuir.

    Il me montre ce qu’il a en magasin. Le modèle me plait vraiment. C’est exactement ce dont je rêve dans mes fantasmes. Le vendeur me demande alors si je veux les essayer. Ça y est! C’est exactement ce que je voulais! Essayer des pantalons de cuir sans avoir à les acheter pour autant! J’aimerais bien les essayer.

    - Quelle taille? Me demande-t-il.
    - Je porte normalement du 32 mais je veux quelque chose d’assez ajusté… Tu comprends?
    - Bien sûr! C’est ce que veulent la plupart des clients. Je te propose deux points plus bas. Essaie le 30.

    Je prends les pantalons qu’il me tend et je me dirige vers la cabine d’essayage. Je retire mes jeans et j’enfile les pantalons de cuir. Avant de partir de chez moi, j’ai pris soin de mettre un g-string rouge en satin, question d’amplifier le plus possible le contact de ma peau avec le cuir et de mettre en évidence ma bite. Je réussis à enfiler complètement le pantalon… Ouf! Il est quelque peu difficile de fermer la fermeture éclair mais j’y parviens. En me regardant dans le miroir de la cabine, je constate que le pantalon de cuir est hyper serré, exactement comme je le voulais. Sur le devant, on devine parfaitement la forme de ma queue. Je sors de la cabine. Le vendeur vient me rejoindre.

    - Et puis? Me demande-t-il sans trop me regarder.

    - Je me sens bien. Mais j’aimerais bien me voir de dos.

    Le vendeur me regarde alors.

    - Wow! C’est parfait. Tu es très séduisant. Ce pantalon est taillé sur mesure pour toi.

    - Merci. As-tu un miroir pour que je me vois les fesses?

    - Oui, juste ici.

    Je me regarde alors le dos. Jamais je n’avais vu mes fesses aussi apparentes dans un vêtement. Le vendeur me regarde sans relâche. Je me penche pour bien essayer le pantalon. Une fois accroupi, la bosse que forme ma queue est encore plus apparente, ce qui me fait bander. Je me relève. Je demande alors au vendeur :

    - Dis- le moi franchement, est-ce que ça me va bien?

    - Oui, très bien. Je te le jure.

    - Je veux quelque chose de sexy. Qu’est-ce que tu en penses?

    - Je te dis qu’on voit très bien toutes tes formes…

    En disant cela, le vendeur s’approche de moi et passe sa main droite sur le bas de mon dos, s’attardant sur la couture entre mes fesses. Je frémis à sentir sa main palper mon corps.

    - Ce pantalon te va très bien, les coutures sont ajustées à ta taille et mettent en évidence ton corps. Juste à toucher, on voit bien que tu es à l’aise là-dedans.

    - Oui, je me sens très bien dans ce pantalon. Juste le porter et je bande…

    - C’est ce qu’il faut! Me répond le vendeur en ricanant.

    - Est-ce que ça paraît?

    - Heu… Je t’avoue qu’on voit bien les formes de ta queue, mais je ne peux savoir si elle bandée ou non… Ça dépend des mecs, comme tu sais sans doute… Encore là, il faudrait que je touche pour voir si c’est parfait.

    - Vas-y, je veux être sûr de mon achat.

    Le vendeur touche alors à la bosse que forme ma queue. Il la palpe. Je le laisse faire. Ma queue bande de plus en plus. Je remarque que sa queue a aussi changé de forme sous son pantalon de cuir. Il me dit :

    - Je crois bien que tu es bandé. Ta queue est bien dure.

    Il continue à palper la bosse formée par ma queue. Je ferme doucement les yeux et j’apprécie chaque moment. Le vendeur est assez près de moi. J’avance lentement ma main vers le bas de son corps. Je lui touche aussi les formes de sa queue. Il bande. Je le caresse. Nous sommes tous les deux en train de nous caresser, en pantalons de cuir, en pleine boutique. Toutefois, nous sommes seuls. Il n’y a pas d’autres clients. Je sens qu’il bande fort sous mes caresses. De mon autre main, je lui caresse les fesses. Il se laisse faire. Il s’approche la tête de la mienne, sa langue lèche le bas de mon cou, il me mordille le lobe de l’oreille gauche et murmure :

    - Si tu veux mon jolie minet, j’appelle un collègue pour me remplacer et on va continuer de s’amuser dans un coin tranquille.

    - D’accord.

    Il me laisse et va appeler un collègue qui descend immédiatement le remplacer. En arrivant, le jeune homme aux cheveux blonds jette un regard complice à mon vendeur qui lui répond par un clin d’œil. Ce type de service personnalisé semble une habitude dans ce commerce!

    Le vendeur revient vers moi, me prend par la taille et me dirige vers une porte qui donne dans l’arrière boutique. Là, nous nous trouvons au travers des outils pour fabriquer le cuir et des dizaines d’échantillons et retailles de cuir.

    Le vendeur ferme la porte et s’approche de moi. Il me prend par la taille et m’embrasse. Nos langues se touchent pendant que nos mains nous caressent mutuellement. Je sens toutes les formes de son corps, sa bite contre la mienne, toujours dans nos pantalons de cuir. Il fait alors un mouvement de va-et-vient de son bassin contre le mien. Nos deux bosses se frottent l’une contre l’autre. C’est génial!

    Après quelques minutes de ce petit jeu, il dégrafe mon pantalon et insère sa main à l’intérieur. D’un coup, il descend le pantalon à la hauteur de mes genoux. Je suis en g-string satinée de couleur rouge. Il le palpe vigoureusement avec sa main droite tandis que la gauche caresse mes fesses. Il m’embrasse.

    Je fais la même chose que lui. Je baisse son pantalon et je découvre que le mec porte aussi un g-string, mais de couleur blanche. Je le caresse. Nous continuons à nous frotter mutuellement, tous les deux en g-string. Je le fais tourner, son dos face à moi. Il a de magnifiques petites fesses qui gobent le mince fil de son g-string blanc. Je m’approche de lui, je colle ma bite entre ses fesses et je lui pince les mamelons par derrière. Je mordille ses deux oreilles à tour de rôle. Mes mains descendent caresser la bosse formée par son g-string. Mon mec est bandé au max. Moi aussi d’ailleurs et il semble le sentir entre ses fesses.

    Je m’accroupis et je baisse son g-string. Le mec se penche, écarte les fesses avec ses mains. J’y glisse ma langue et commence à lui embrasser l’anus. Hmmm… il goûte bon. Ma langue force sa rosette. J’insère le plus loin possible ma langue dans son cul. Je sens que le mec aime ça. Je lui prend la queue et la ramène par derrière, entre ses fesses. De cette manière, je peux lécher sa queue puis son cul. J’adore cette position. Je sors ma queue de mon g-string et je commence à me masturber pendant que je continue mon travail sur son arrière-train.

    Soudainement, le mec se tourne et me présente en face sa grosse bite bandée. Je vois qu’il mouille.

    - Allez, suce moi à fond, mec. Mange ma queue; me lance-t-il sur un ton très viril.

    J’ouvre la bouche et il y fourre sa bite. Elle est énorme. Il la pousse jusqu’au fond de ma gorge. Je le pompe du mieux que je peux, en m’attardant sur la petite fente au bout de son gland. Je le chatouille avec ma langue. Pendant ce temps, je continue à me crosser.

    - Ahhhh… Je vais jouir mec, je vais jouir…

    Je retire alors la queue du mec de ma bouche et je continue à le lécher, tout en le masturbant au même rythme que je me masturbe moi-même. Je vois son gland tout mouillé devenir rouge. Le gars éclate! Il éjacule puissamment. Sa semence vient se jeter sur ma figure, sur mes yeux, sur mon nez, sur ma bouche. Je passe la langue autour de ma bouche pour bien le goûter.

    Quelques secondes plus tard, j’éjacule à mon tour sur le plancher de l’arrière boutique.

    Je lèche la queue du mec pour bien l’essuyer. Ensuite, il remonte son g-string, ses pantalons et fais quelques pas en arrière. Il prend une serviette et il me la lance.

    - Tiens, essuie-toi et le plancher avec. Le patron n’aime pas qu’il reste des traces…

    Sur ces mots, il quitte la pièce et retourne tout bonnement à son travail.

    Quant à moi, je m’essuie la bite. J’essuie ensuite le plancher. Je remets mon g-string et je remonte le pantalon de cuir. Il faut bien que je ressorte de cet endroit! Je retourne dans la boutique. Il ne reste que le collègue de mon vendeur. Celui-ci semble disparu. Je retourne chercher mes vêtements dans la cabine d’essayage. Je ressort en tendant les pantalons de cuir au jeune vendeur aux cheveux blonds. Je lui dit :

    - Tu peux les remettre sur le support. Ils ne font pas…

    Ben
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    Partie a trois hot dans le centre commercial.



    Pour moi le coin top pour draguer cela reste les cafétérias des centres commerciaux de mon coin . On fait toujours d’excellente rencontre.. C’est d’ailleurs grâce a une de ses rencontres que j’ai découvert le site polisson.fr ou va paraître cette petite histoire vrai.

    Un après midi de semaine alors que je sirotais un café a la cafétéria du casino du centre commercial de Rosny (je suis commercial pour une boite de cosmétique et je suis tout le temps fourrer dans des officines de produits de beautés des centres commerciaux).

    Je matais donc aux alentour d’un œil distrait à la recherche de beaux mâles en rut, comme sœur Anne ne voyant rien venir je me décidais a me balader dans les allées du centre l’esprit aux aguets et les couilles serrés dans mon slip.

    Je croisais de nombreux hommes, plutôt âgés, qui me dévisageaient ; bon l’aprem faut pas s’attendre a croiser du jeune minet avide de foutre a tout les coins de magasin…

    Je descendais faire un petit tour du coté du parking et là, surprise, un tas de jeunes mecs tous plus bandants les uns que les autres tournaient aux alentours de l’escalator. L'un d'eux attira d'emblée mon regard : il portait un jean qui mettait en valeur son cul musclé et bombé et un tee-shirt blanc très moulant qui laissait apparaître un torse divin...

    Je me suis arrêter pas trop loin comme si j’attendais quelqu’un; et j'ai attendu. Mes yeux croisaient souvent les siens : le petit salaud avait bien saisi mon objectif mais il s'amusait à me faire languir et jouait un petit jeu qui ne laissait pas indifférent ma bite...

    Quand il s'aperçut que ma braguette était au bord de l'explosion, il dit a ses potes qu’il avait envi de pisser et fit quelques pas en direction d'un endroit isolé.. Une suite de couloir interminable qui permette de passer sous le centre commercial sans avoir a se taper toutes les allées des boutiques. Toujours d’un air dégagé je faisais celui qui en avait marre d’attendre et partie a la suite du jeune minet bandant...

    Dans l’encoignure d’une porte j’entendis un soupir.. je jetais un œil, il s'était installé la a même le sol et avait quitté son tee-shirt : son corps d'athlète brillait sous les néons d’une sorte d’hall on devait être entreposé les marchandises le matin avant dispatche dans les différentes officines du centre. Il se passait les mains sur les pectoraux et se caressait les abdos.

    Puis sa main gauche vint titiller ses tétons pendant que sa main droite allait et venait sur son sexe : je distinguais largement à travers son jean une queue épaisse et sûrement très longue. Il me fit signe d'approcher... Arrivé à sa hauteur, il me prit par la taille et se mit à me lécher l'oreille puis sa langue chaude vint couvrir ma nuque... Il enleva ma cravate et ma chemise pourtant déjà largement ouverte sur mon torse.

    Il me lécha les tétons, l'abdomen et plaça sa langue sur mon pantalon, à l'endroit précis où ma queue formait une véritable montagne !


    Lentement, il descendit mon pantalon, il fit rouler mon slip le long de mes cuisses et s'empara de ma bite pour la sucer pendant de longues minutes. Langoureusement, il s'affairait sur mon engin gonflé à donf... C'est alors que je sentis des mains se poser sur mon cul : un autre mec, m’avait suivi, il nous observait certainement depuis longtemps...

    Il ne cessait de palper mon cul ferme et après cette étape de manipulation, entreprit de me travailler plus en profondeur ... Pendant que le premier s'obstinait à me lécher le sexe, le bel étalon enfonçait l'un après l'autre ses doigts dans mon trou humide. Sans plus attendre, il enfonça sa queue dans mes entrailles : un râle de plaisir m'envahit : entre la fellation de mon premier hôte et la pénétration sauvage du second, je n'avais qu'à me laisser aller à la jouissance... Je ne tardais pas à prévenir mes camarades de jeu de la montée prochaine de mon sperme chaud.

    Le rythme de chacun se fit plus rapide et en même temps nous éjaculions : moi dans la bouche du premier mec, le second dans mon cul. Nous avons alors changé de position, et j'ai englouti dans ma bouche les deux bites tendues vers moi. Le premier gars avait un sexe énorme (24 cm m'a-t-il avoué), le second avait une bite moins longue (19 cm quand même...) mais tellement épaisse que j'avais beaucoup de mal à reprendre mon souffle. Il n'a pas fallu beaucoup de temps à mes deux partenaires pour décharger leur foutre chaud et épais dans ma bouche ravie de laper autant de substance virile en une seule fois.

    Mais il était déjà presque l’heure de mon rendez vous.. un étape dans les toilettes du centre pour reprendre face humaine et j’étais partie pour mon dernier rendez vous de l’après midi, mais j’avais déjà bien gagné ma journée. J’avais en poche deux numéros de téléphones et déjà en perspective de putain de partie a trois ou nous allions nous régaler sévère.

    Fabrizio

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    Sous la douche du vestiaire
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    Tout c’est passé un beau mercredi de juin. Comme tous les mercredis, j’étais sur le terrain de rugby de la petite équipe de mon village. Perturbé par le demi de mêlé de l’équipe adverse, je n’ai pas très bien joué. C’est pour cette raison que Etienne un garçon sympa qui nous fait office d’entraîneur m’a fait sortir. Un dernier petit regard vers le rempart de l’autre équipe et je suis rentré au vestiaire.

    J’étais seul dans le vestiaire et j’allais pouvoir prendre ma douche tranquillement j’étais moite j’avais eu bien chaud . Je me suis donc foutu a poil : godasses, maillot, short, chaussettes … j’en était au caleçon. L’esprit toujours rempli par l’image du beau apollon de l’équipe adverse que je n’ai jamais connu, je sentais bien la petite bosse qui déformait mon slip.

    Ca m’était déjà arrivé une fois auparavant dans le vestiaire. Mais entouré par mes coéquipiers, un peu honteux, j’avais attendu que ça se calme pour me mettre nu. Mais là, j’étais seul dans le vestiaire. Je décidai donc le laisser tomber mon slip, essayant de penser à un autre sujet pour éviter une plus grande érection.

    Je pénétrai dans les douches et commençait a faire couler l’eau. Le jet, puissant m’aspergeait la nuque, cela me procurait beaucoup de plaisir. Je commençai à me nettoyer de bas en haut. Pendant que je me mettais du savon liquide sur le torse, je sentais que mon érection se faisait de plus en plus forte. Je baissai alors les yeux et observai, un peu perturbé, la lente montée de mon sexe rouge et gonflé. Lorsqu’il toucha mon nombril, je m’aperçu qu’il serait difficile de perdre cette érection digne du plus viril des étalon.

    Après tout, à quoi bon s’enlever un plaisir : j’étais seul, tranquille sous ma douche. Je me retournai afin de placer ma verge sous le jet de la douche tiède. Je caressai alors lentement mes bourses gonflées de suc. La douche était bien chaude et cette chaleur m’excitait terriblement l’esprit et le gland. Je montai mes doigts et après la bonne quinzaine de centimètres de plaisir, j’atteignis mon gland. Il était dur, et sensible a chaque jet de douche qui tombait sur lui.

    J’entrepris alors une chose qui m’étonna : je satisferais bien cette érection. Une petite masturbation rapide m’aurait fait le plus grand bien. Etant donnée la situation, le lieu, la chaleur environnant, je crois que j’aurais pu régler très vite l’affaire. Je ne suis pas éjaculateur précoce mes amants vous le dirons mais quand je suis excité comme cela, je peux aller très vite et comme dans ses cas la il n’y a que moi a satisfaire.. pourquoi se perdre en vil attente. En plus, une chose très importante m’apportait encore plus de stimulation : j’entendais les gens crier à deux mètres de moi.

    Ce sentiment de ne pas être seul est extraordinaire lors de la masturbation solitaire. La dernière fois que j’ai eu ce sentiment, c’était dans un centre hippique : voir autant de jolies minets sur des chevaux me faisait beaucoup d’effet. Mais prétextant une envi pressante j’avais été m’isolé dans les toilettes du centre hippique. Je n’avais pu résister et je m’étais lancé dans un raid solitaire. Ou plutôt : une raide solitaire. J’entendais les gens qui parlaient dans le couloir, à à peine dix centimètres de moi. J’avais vécu un formidable moment et j’avais éjaculé timidement mais avec vigueur pour ne pas repeindre les parois des chiottes.

    Mais revenons dans le vestiaire du stade. Mes souvenirs furent interrompus par le grincement de la porte qui s’ouvrait : c’était un de mes coéquipiers Xav, également remplacé. Je plaçai immédiatement ma main et mon gant devant mon sexe. Il ne vit heureusement pas la dureté de celui-ci. A son tour, il se déshabilla. Lorsqu’il enleva son caleçon, le contraste me frappa : entre la grandeur de mon sexe au garde-à-vous et la petitesse de son sexe a peine formé. Il avait 18 ans, comme moi, mais son pénis mesurait maximum 5 centimètres. J’étais souvent attiré par les sexes des garçons qui se douchaient avec moi et je préférais les petits. Il entra à son tour dans la douche et alluma celle en face de la mienne. Il me dit quelques mots dont je ne me rappelle plus.

    Lorsque je laissai tomber ma bouteille de shampoing, je m’abaissai pour la ramasser et senti mon gland effleurer mon ventre : une sensation très agréable. Tellement agréable que j’oubliai de remettre ma main pour cacher mon appendice préféré. Mon ami me regarda, gêné et ne sachant que dire. Il prononça juste ces deux mots : « belle bête !!!». Moi, honteux, je me contentai de détourner le regard. C’est à ce moment qu’il versa une goutte de shampoing dans ces cheveux et qu’il se les lava. Ses yeux fermés, il m’était plus simple d’observer son sexe. Et c’est alors que je le vis s’allonger et s’élever lentement. Il était certainement excité par la vue de mon sexe en érection. Toujours est-il qu’il ne s’en rendit pas tout de suite compte.

    C’est seulement ses yeux dégagés et ouverts qu’il s’aperçut de la chose. « Ex æquo », lui dis-je en plaisanterie. Pour profiter de cette occasion, il me proposa une petite gâterie. Poliment, j’acceptais l’aubaine bien que je pensais encore a l’adversaire qui ne connaîtrait jamais mes caresses buccales, la situation était vraiment super excitante. Xav a quatre patte devant moi en train de me lécher la queue de belle façon. J’étais déjà super excité donc je n’ai pas vraiment profité de la pipe.. quelques secondes plus tard après avoir reculé la tête de Xav, j’aspergeait son visage de mon sperme a grosses giclés poisseuse.

    Après nous être nettoyés je proposais a Xav un verre au troquet du stade pour le remercier de cette joyeuse et impromptu pipe.

    Bernie

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    Rencontre chaude dans le bus avec Rachid.

    Bus pour rentrer a Nice. Je dois l’avouer j’ai pas trop d’expérience, j’ai juste sucé un ou deux beaux jeunes mecs pour voir la sensation que cela fait d’avoir une queue en bouche ; mais j’aime mater les beaux gosses qui passent.

    Je suis pas contre réessayer a sucer une queue mais je pensais pas trop draguer, c’est pas mon style. Surtout dans le bus. Il faisait très chaud puisqu’on était au mois de juillet, c’est le mois où on bande tout le temps.. La trique perpétuelle. Alors, je matais comme ça. J’ai 19 ans, brun, mince, jean a la mode, tee-shirt noir, basket, et un blouson bleue clair.

    Un beau minet a commencé à me mater discret. En passant. Puis il s’est retourné de son siège un peu, moi aussi. Je l’ai trouvé tout de suite a mon goût il m’a fait bander rien qu’a me regarder. Le genre 25 ans, un tee-shirt blanc un peu large, un short blanc, je regarde la couture d’un coup d’œil rapide, des boutons, on devine la queue, des jambes légèrement poilues, la peau mate et les cheveux crépus, un beur. J’ai mon cœur qui bat.

    Il me regardait avec insistance, un petit sourire en coin, entendu, j’ai compris, je flippe. Y a pas grand monde dans le bus Il s’approche et me dit : - Salut. - Salut… - Tu vas où ? A Nice ? - Vi… et toi ? - Pareil. Ca tombe bien, on va descendre au même arrêt ensemble. - OK… On reste silencieux.

    Personne devant.. personne derrière, il passe sa main le long de son mollet dénudé, doucement, il remonte sur la cuisse, je suis du regard, discret, il passe doucement sur sa bite, s’y arrête un peu. - Moi, c’est Rachid - Moi, jilou. – Mon ami est partie en vacances… - Ah bon. - Oui… sa fait longtemps que j’ai pas niqué. - Moi non plus… - Ca va être chaud alors ? - Hm…. Il repasse sa main sur sa cuisse, sur sa queue, un sourire complice, un petit coup de langue contre sa joue, j’aime être sucé ça veut dire, ok, ok… Enfin, Nice. - On va chez moi. - OK Rachid. Je le suis. C’est un petit bâtiment, il est au second.

    On est tous les deux dans l’escalier. J’ai trop envie. Lui aussi. Il me prend la main et la pose sur sa queue, il bande, il murmure : - Tu vas me lécher, t’as une petite bouche bonne pour sucer… - Oui… - Ca me plait… je vais te la remplir. J’appuie encore plus contre sa grosse bite. Je sens les deux couilles bien lourdes qui se balancent, je passe ma main entre les deux, je remonte le long de la tige dure qui part sur la droite. - Les queues circoncises, t’as déjà essayé ? - Non. - T’as envie, hein ? - A mort… - Tu vas voir, c’est les meilleures. On rentre chez lui, vite fait, il a du mal a ouvrir la porte tellement il est excité et pressé. Pourtant, on décide d’attendre encore un peu. Il me propose une bière, on s’installent tous les deux sur le canapé de son salon. Il se déchausse, se caresse l’intérieur des cuisses et remonte jusqu’aux couilles, il passe sa main doucement, j’ai la bouche humide et le regard scotché sur sa main qui monte et descend.

    Comme je me penche vers lui, on se roule une grosse pelle.. C’est vraiment chaud. Lui il pense qu’à enfoncer sa langue le plus profond dans ma bouche. Pour me chauffer. - Attends, j’ai mieux que la langue Jilou. Vite il enlève la ceinture tout en continuant à se caresser la queue. Je tire sur son short et arrive a lui enlever. - Vas-y toi aussi, enlève ton jean et ton tee-shirt. Je les arrache. Lui aussi. Il a la peau mate, le torse mince et sculpté. Je passe ma langue sur ses tétons délicats, je les entoure et les contourne et je descends jusqu’au slip : il est blanc, je m’use la langue contre l’élastique un peu puis je lui lèche l’intérieur des cuisses, à quelques millimètres de ses couilles poilues, je soulève l’élastique et laisse ma langue errer un peu. - Vas-y enlève ton slip, j’ai envie de te sucer maintenant. - Oui… Il baisse le slip me permettant de voir sa virilité.

    Sa queue est bien droite, fine, deux couilles finissent de pendre, et un pubis brun bien fourni. Je me frotte un peu les joues contre les grosses couilles poilues, je les sens bailler, rouler, à deux centimètres de mes lèvres. Rachid se branle doucement. J’essaie de m’enfourner la longue queue fine. - Attends, profites de mes grosses couilles d’abord. Je les lèche lentement, jouant avec ma langue par petit coup régulier . J’en prends une en bouche, puis l’autre, puis les deux en même temps. Elles roulent sur mon palais et contre ma langue rose. - Vas-y, suce ma queue maintenant… et il dirige sa verge dressé vers mes lèvres entrouvertes, droites, pointées, je pense qu’il va m’éjaculer direct sur le visage, mais non, elle rentre un peu, juste le gland. Je m’enfile un peu, ma langue profite de l’aubaine : je tourne autour du gland suintant, joue un peu avec, je vais et je viens. - Attends, jolie minet, c’est pas sucer ça… on va augmenter la cadence. IL s’assoit sur le canapé. Ecarte bien les jambes. - Viens là. A genoux. J’exécute comme une chienne que je suis. Je reprends le gland et commence à l’enfoncer. Alors, Rachid me plante ses mains derrière la nuque bien serrés. - T’es prêt a rentrer dans un autre monde mon mignon ? Je vais te baiser la bouche.. tu vas connaître la sensation de se faire niquer en oral. – Hum ! Et il appuie un grand coup , sa queue vient toucher le fond de ma gorge, je râle mais je peux rien faire. Et il commence à me baiser la bouche, me prend la tête, la fait tourner, sa tige au fond de ma gorge, j’ai la bouche remplie à fond, sur les joues, sur la langue, sous la langue, bien profond. Je me retire un peu pour reprendre ma respiration. Je me redresse et le regarde. Il me mate avec un grand sourire. - Faut que tu la sentes entière, ok ? - Ok ? - Laisse toi faire mon jolie. Il la replante dans mes lèvres et il appuie doucement, elle rentre encore plus profond, j’ai l’impression d’un sabre qui me pénètre et m’écartèle littéralement , j’ai presque envi de vomir et je peux plus bouger mais je suis dur comme du bois. Je m’accroche à ses fesses, son cul est bandés et musclés, ses cuisses sont écartées au max.

    Enfin, je suis planté sur sa bite et je sens ses couilles contre mon menton. - Voilà, profite un peu de ma pine… - … - Après, on va continuer autre chose. Il se retire. - Allez vite Jilou, enlève ton boxer, t’as chaud aux fesses… - Attends, je me suis jamais fait prendre par la. - Bah raison de plus, faut que t’essaies, tu vas adorer mon jolie petit minet puceau de l’anus. - Non… - C’est bon, fais pas ta vierge effarouché.. vu comment tu m’as bien sucer, ce sera de la rigolade de prendre ma pine dans ton petit derrière qui j’en suis sur n’attend que cela. – Je le sens pas. - Si, si, tu vas la sentir… Et même très bien la sentir. Et il se marre. - Enlève, ton slip, profite, si tu veux pas on arrête, mais je vais profiter de ta bite moi aussi. Il me dit ça sur un ton doux rassurant.. avec sa queue super tendue dans sa main. Je m’assoie à ses côtés et il m’enlève le slip. Il se met alors à me sucer la pine doucement. Lui aussi s’attarde sur les couilles et enfonce bien profond ma queue luisante de sa salive. Une de ses mains me caresse tour à tour le pubis et les abdos, l’autre, s’attarde sur les couilles, passe à leur base et commence à chercher mon cul. Jusqu’à ce que j’écarte bien les jambes. Il se mouille l’index d’une manière gourmande et égrillarde. - Attends mon minou, on y va cool, si tu veux plus tu me dis, on stop. - Ok… Il passe sa main sur mon trou du cul, s’y attarde, reprend de me sucer bien profond, je me retiens de jouir, j’attends, ça y est, son doigt est là… Dans mon cul, c’est chaud en moi. Il joue avec mon cul, délicatement. Il arrête de me sucer mais son doigt continue et il en enfonce un autre, moi, je râle, je peux plus m’empêcher de le laisser faire, j’écarte les jambes à fond, ses mains me caressent partout. Il me présente sa bite de côté. - Vas-y encore un peu, chauffe toi, prépare ton anus avec ta bouche… Il me l’enfonce super doucement, une minute pour qu’elle y soit à fond de ma bouche, je la sens collée contre le palais, j’ai les yeux mi-clos, et il continue à m’ouvrir le cul avec ses doigts inquisiteurs.

    J’entends un petit déchirement, il a retiré sa main mais j’ai toujours la queue en bouche. - Vas-y mets moi la capote sur ma charmante queue. Avec sa tige bien profonde dans ma gorge, je peux même pas répondre, je lui prends le condom des mains, je l’enfile sur le long de sa pine, en massant au passage le gland, la veine, jusqu’à ses boules gonflées de suc. - Tu vas apprécier, on y va tranquillement… - d’accord dis je dans un souffle - Tourne toi.. montre moi tes belles fesses de minet sexy. Je me retourne à son invite, sur le bord du canapé je me positionne alors que je sens ses deux mains qui m’agrippent fermement les hanches et les amène vers lui. Je suis fait comme une dinde je ne peu plus m’échapper , je me dis, je vais y passer il va me faire reluire le petit conduit.

    Son gland vient cogner mon trou du cul, il l’enfonce un peu, une deux, trois fois, le cale bien dans l’anus. - T’es prêt a la prendre ? – je pense oui.. - On y va mon beau mec… Ses mains se crispent sur mes hanchent, il les tire et file un bon coup de rein. Putain, je la sens qui s’enfonce bien profond dans mon anus. Je peux même pas m’empêcher de crier de douleur trouble. Il laisse sa queue un peu au plus profond de moi. Je râle mi douleur mi plaisir. Je sens ses couilles sur mes fesses, c’est bon. - On continue mon minet… Et il se met à limer ferme, un coup bien fort et profond, des petits coups tranquilles, un gros coup fort.. Pour bien me chauffer. Il adore m’entendre geindre, lui aussi : - Ouiii, c’est bon, quel beau cul et qui aime bien se faire reluire en plus… Quelques minutes plus tard, je suis bien astiqué et effondré de fatigue le cul en compote mais satisfait. Je suis trempé de sueur et lui aussi, lorsque je me tourne, je vois son torse tendu. - Je vais jouir maintenant. Retourne toi vite mon petit cochon. Il arrache la cho7, la jette, me prend la nuque et m’enfonce sa pine dans la bouche. Deux trois coups, se retire, se branle et éjacule joliment sur mon torse imberbe. Moi aussi je jouis a mon tour, j’attendais que ça pour me vider. Je m’essuie un peu. - Repose toi un peu mon mignon, tu me re-pompes le dard dans 5 minutes et je te rembourre ton petit cul.. Apres je te raccompagne au bus.

    Jilou

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