• Certains récits ne font pas mention du condom.

    N'oubliez pas que ceux-ci sont essentiels pour une relation sexuelle sécuritaire...

    Dans votre lit, vous n'êtes pas dans un récit! Protégez-vous!!!

    Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES

    Pour plus d'info : www.sida-info-service.org


    Mon ami aime les grosses bites de black.


    Je m'appelle Maxime, J'ai 38 ans, et mon copain et moi avons l'habitude de réaliser des trios avec des hommes rencontrés sur le net, en général sur des sites d'échangisme gay fait pour se genre de rencontre; mon mec, Alexandre, n'a pas de tabous, il adore sucer de longues et belles queues, les engloutir au fond de sa gorge accueillante, sucer les couilles de bas en haut, lécher une bite comme une glace à la mangue; Il adore aussi se faire sodomiser, se faire enculer sauvagement et profondément, avec violence, tout en se faisant claquer les fesses comme un gros cochon pervers; et il aime par dessus tout avoir une bite dans sa bouche et l'autre dans son cul sa lui procure un plaisir intense, il a vraiment l'impression à ce moment là de se sentir chienne, ce qu'il recherche dans le triolisme.

    Cela fait quelques années maintenant que nous pratiquons les trios, et au fur et à mesure de nos expériences, Alexandre a finalement porté son choix sur les hommes noirs (moi même étant de type caucasien), en général musclés, grands, puissants, athlétiques, et bien évidemment avec un sexe énorme ! (moi j’ai une bite banale dans les 16 centimètres… on peu pas tous avoir la teub a roco non !).

    Je vais vous raconter notre dernière expérience qui date de quelques semaines, car
    le fait qu'un mec s'envoie son petit copain de minet ça me fait bander, mais que plein de mecs se branlent en pensant à cette histoire ça m'excite encore plus !


    Ce soir là, nous avions rendez-vous pour boire un verre, dans un pub, relativement discret, nous étions montés à l'étage, complètement désert, car peu de monde.

    Alexandre portait un jean bien serré, pas de culotte, et un gode de forme évasée, un plug, glissé par mes soins avant de sortir dans son anus tout chaud, de manière à le dilater à l'avance, car Joey, le black canadien avec qui nous avions rendez-vous, avait un sexe de plus de 24 cm et plus de 7 cm en épaisseur, c'était colossal, et comme il avait l'intention de l'enculer, je préférais préparer le cul à Alexandre de manière à ce que tout se passe bien, même si il avait l'habitude d'en prendre des grosses dans le cul.


    Nous étions donc en train de boire un verre, et tout en discutant de choses et d'autres pour faire connaissance, Alexandre commençait à écarter les jambes, et a se branler a travers son pantalon, de manière à montrer à Joey, assis en face, ca queue en train de grossir, une tache suspecte ne tarderais pas a apparaître… je connais mon Alexandre; Joey commença à ouvrir de grands yeux, et dut faire un effort incommensurable pour se retenir et ne pas se jeter sur lui et la baiser sur place; je voyais au travers de son pantalon que Alexandre lui faisait beaucoup d'effet, Il le remarqua également, ce qui ne manqua pas de l'exciter encore plus... on décidait alors de quitter ce pub pour rejoindre un hôtel ou nous avions réservé une chambre; arrivés dans la chambre, Joey et moi avons commencé à déshabiller Alexandre, langoureusement, puis sauvagement !! je commençais à sortir ma bite toute dure, et la glissait dans la bouche d’Alexandre, il s'empressa de me sucer comme un fou, essayant de l'engloutir entièrement, la prenant à pleine main, me massant les couilles énergiquement, les léchant, puis il me reprenait à nouveau en bouche... Joey, lui, avait enlevé le gode de l'anus a Alexandre, et commençait à l'enfourner dans son cul, jusqu'au bout, il était énorme, Alexandre commençait à gémir, à respirer fort, pendant que Joey allait de plus en plus vite, de plus en plus fort, son anus était béant !!

    Joey fit une pose et continua à lui perforer le cul avec le gode, et moi je lui bien chauffé par la pipe je lui fistais le cul, il devenait dingue en chaleur, il avait envie de se faire baiser comme une salope, Il était la comme une chienne, aux abois, attendant que l'on veuille bien le baiser encore plus fort, le prendre sauvagement, sans égards..

    Je décidais que j'allais commencer, je fis signe à Joey de venir prendre ma place pour venir se faire sucer; Alexandre était toujours en position de levrette, pret à se faire démonter; Joey présenta sa bite, elle était énorme, Alexandre la regarda, et ouvrit de grands yeux émerveillés, puis se jeta dessus avec voracité et commença à la sucer comme un ouf !!

    j'ai cru que Joey allait lui jouir tout de suite dans la bouche et l'inonder de sperme !! de mon côté, je commençais à baiser le cul a Joey, je mis du gel, lui massa l'anus, et commença à l'enculer, doucement, puis en accélérant... je sortais complètement, et rentrait d'un coup sec jusqu'au fond, ça glissait de plus en plus, son anus devenait béant, Joey et moi nous crions de plaisir, il faisait des mouvements de va et vient violents pour que je le baise plus vite et plus fort !! Et que ca bite s’enfonce plus profondément dans la gorge d’Alexandre. Je décidais de passer la vitesse supérieure et de l'enculer beaucoup plus vite et plus profond, pendant cinq minutes je lui démontais le cul ! je commençais à sentir que j'allais jouir, je suis sorti, l'attrapa par les cheveux et je lui éjaculais sur la figure, Il était comme en transes, et tout en léchant mon sperme abondant, essayant de tout prendre dans la bouche ! Joey joui dans la bouche d’Alexandre dans l’instant.

    Joey encore dur et puissant retourna Alexandre et se mit à l'enculer lui aussi; je vis les yeux d’alexandre devenir exorbités, la bouche grande ouverte de douleur, du sperme ruisselant encore sur son visage, puis il finit par se détendre, Joey accélérait les mouvements, sortait, rentrait, sortait, rentrait ! sa queue était énorme, je me demandais comment il arrivait à tout rentrer !

    La suite de ce qui se passa cette nuit là fut encore plus chaud que ce que vous pouvez imaginer, mais je peux vous dire que le cul d’Alexandre et le mien ont bien morflé… se Joey c’est une sacré épée.


    Maxime

     


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  • Avec la copine de mon meilleur pote.


    C'était un samedi et je devais passer mon week-end chez Romain mon meilleur pote. Après une soirée bien arrosé, Romain et sa copine Ludivine, une superbe brune allèrent se coucher. J'étais en train de regarder la télé quand je suis tombé sur un film de cul. Je me mis à l'aise dans le canapé et sorti ma queue pour me branler.
    J'arrivais quasiment à l'extase quand j'entendis :

    - Tu veux un coup de main ?

    Je me retournais toujours ma bite à la main et je vis Ludivine, la main sous sa jolie petite nuisette.

    - Romain dort, je m'ennuyais toute seule alors je suis descendue...

    Elle s'approcha de moi, pris ma bite dans sa main et commence à me masturber.

    - Tu sais, tu m'as bien fait mouiller quand je te matais !

    Et elle se pencha et me lécha le gland puis pris ma bite dans sa bouche.

    - Attends ! Romain peut se réveiller...
    - T'inquiète pas, il dort bien... Depuis le temps que j'ai envie de toi !

    J'étais aux anges, je me faisais sucer par la meuf de mon meilleur pote ! Elle savait y faire. Elle s'arrêta et me dit :

    - Lèche moi !

    Je ne me fis pas attendre, je lui retirai sa nuisette, elle avait des seins magnifiques. Je léchais ses tétons puis je descendis vers sa chatte qui était vraiment toute trempée. Je lui titillai le clitoris et je lui enfonçai deux doigts dans sa petite grotte. Elle ne gémissait plus, elle criait :

    - Fais moins de bruit, tu vas réveiller Romain !
    - J'm'en fous, c'est trop bon !

    Elle se releva m'embrassa et me dit :

    - Prends moi maintenant.

    Elle était tellement humide que ma queue s'enfonça comme dans du beurre. Je la pris en levrette tout en caressant son petit anus. Je lève la tête et la, je vis Romain, à poil en train de se branler en nous regardant !

    - Continue, elle ne va pas tarder à jouir !

    J'étais sur le cul, mon meilleur pote me disait de continuer à troncher sa belle brune ! Il s'approcha de nous et donna sa queue à sucer à Ludivine. Elle était totalement déchaînée. Elle nous demanda de la prendre en même temps. Je laissai ma place à Romain pour aller préparer le petit trou de cette petite salope. Je lui mis un, deux et puis trois doigts dans son cul. Je lui redonnai ma queue à sucer pour qu'elle soit bien dure.
    Je m'enfonçai dans ce trou bien serré, elle n'eu aucun mal à me prendre tellement elle était excitée. Nous la limions à deux, son mec dans sa chatte et moi dans son cul. Avec ce traitement, elle ne mit pas longtemps à venir et elle eut un magnifique orgasme. Je me retirai de son cul et lui donnai ma queue à sucer après deux ou trois va-et-vient, je lui envoyai mon foutre dans sa bouche, sur son visage, dans ses cheveux.

    Quand à Romain, il voulu que ce soit moi qui le fasse jouir.

    - T'es malade ! Luis dis-je
    - Allez, je t'ai laissé baiser ma copine, tu peux bien me rendre ce service !
    - Je vais t'aider, me dit Ludivine tout en me branlant à nouveau.

    Je pris la bite de Romain dans ma main et je la branlai.
    - On va le sucer, me dit Ludivine !

    J'étais tellement excité par le traitement que me faisait Ludi, que je lui obéis. Je pris sa petite bite dans ma bouche, Ludivine me remplaça pendant que je lui léchais les couilles. Elle pris ma main et la plaça devant le trou de Romain, je lui enfonçai un doigt, Ludivine aussi et il projeta des saccades de sperme, j'en avais partout. Ludi m'allongea et me lécha pour récupérer son sperme ensuite elle me pris en bouche et me fit jouir une nouvelle fois.

    Pour me remercier Romain me branla, je lui pris sa bite et la branlai également. Ludivine nous regardais en se masturbant elle aussi.

    Nous avons joui tous les trois ensemble. Je pris une douche et allai me coucher aussitôt.
    Le lendemain matin, je me réveillai et je vis que Ludivine était en train de me sucer et que Romain la prenait en levrette. La journée commençait bien...


    Merci encore pour cette surprise, si elle a d’autres fantasmes à réaliser je suis partant !

    - Elle en a plein d’autres ! Elle aimerait bien… non laisse tomber…
    - Bah allez dit… qu’est-ce qu’elle aimerait bien ?
    - Elle aimerait qu’on s’encule !!!
    - Non sérieux ? Elle a vraiment des drôles d’idées ta meuf !
    - Et oui !
    - Mais je serais partant quand même !
    - Partant pour qu’on baise ensemble ?
    - Bah ouais pourquoi pas…

    Ludivine arriva dans la cuisine avec une minuscule serviette de bain.

    - Alors les garçons, on complote dans mon dos ?
    - Non, en fait pour te remercier, on va réaliser un des tes fantasmes !
    - Et lequel ?
    - Tu rêves de voir deux mecs s’enculer et bien on va le faire pour toi.
    - C’est vrai ?
    - Oui mais suce-nous pour nous mettre en forme.
    - Pas de problème.

    Ludivine s’est assise entre nous avec une queue dans chaque main. J’en profite pour passer ma main sous sa serviette pour lui caresser la chatte, elle encore super humide, l’idée de voir deux mecs s’enculer l’excite plus que tout. Elle nous suce comme si sa vie en dépendait. Elle m'embouche jusqu'au fond de sa gorge tout en branlant énergiquement son mec, j’enfonce deux doigts dans sa chatte, elle gémit de plus en plus. Ludi retire ma queue de sa bouche :

    - Alors qui se fait enculer en premier ?
    - Moi, je veux bien.
    - Ok Math, met toi à quatre pattes sur le canapé, je vais te préparer.

    J’obéis aux ordres de Ludivine et je sens sa langue experte me lécher le cul, elle enfonce sa langue le plus loin possible. Romain vient se placer devant moi, il agite sa queue.

    - Tu me suces…

    Pour seule réponse, j’avale sa bite, la langue de Ludi m’excite et mon cul commence à se détendre.

    - Ah putain tu suces bien.

    En voyant cela, Ludivine m’enfonce deux doigts dans le cul. Moi je suce de plus en plus vite cette queue.

    - Regarde Romain, il aime ça.
    - Ouais, j’ai bien envie de le prendre maintenant avant qu’il me fasse jouir.

    Je m’arrête de le sucer et il vient se placer derrière moi.

    - Vu comment elle t’a léché, je pense que je peux il y aller franco !
    - Non, vas-y doucement quand même.
    - Ok

    Ludivine s’est placée devant moi, elle m’embrasse à pleine bouche. Elle s’installe confortablement, les jambes bien écartées et se caresse le clito. Romain commence à enfoncer son gland dans mon petit trou. Je cris de douleur, je sens sa bite rentrer en moi. Enfin, il est en moi, il reste immobile un moment pour que je m’habitue à sa queue et il commence ses va-et-vient. Doucement au début puis de plus en plus rapide, la douleur a laissé place au plaisir. Ludivine s’est enfoncée deux doigts, elle devient de plus en plus hystérique. Elle attrape ma tête :

    - Lèche-moi la chatte, j’en peu plus !

    Je m’exécute immédiatement. Elle est complètement trempée, je lui titille son clito et lui met trois doigts. Je la doigte comme un sauvage, elle hurle, je la sens, tout comme moi, proche de l’orgasme. Romain m’a empoigné les hanches et me prend comme une bête. Mes cris sont étouffés dans la chatte de Ludi qui me tient depuis le début par les cheveux. Son corps se contracte, elle m’arrache les cheveux, elle est entrain de jouir. Romain gémit lui aussi de plus en plus, il se retire et s’astique devant mon visage. Il explose comme un geyser, j’ouvre la bouche pour en récupérer le maximum, Ludivine est dans un autre monde, j’ai toujours mes trois doigts dans sa grotte plus qu’humide et elle nous regarde avec un magnifique sourire. Romain termine de se vider les couilles. J’ai du sperme partout, sur le visage dans les cheveux. Ludi s’approche de moi pour me lécher le visage, elle récupère le foutre de son mec.

    Romain est vidé, il est assis dans un fauteuil tout en nous regardant.

    - Et bien les mecs, on peut dire que c’était puissant mais il y en a un qui n’a toujours pas joui.

    C’est vrai je n’avais pas encore joui. Ma bite était bandée à son maximum et mon cul me brûlait. Ludivine alla s’asseoir à côté de son homme.

    - Ca va être à ton tour mon chéri, c’est à toi de te faire enculer.
    - Maintenant ?
    - Oui maintenant, tu ne vas pas laisser ton meilleur ami dans cet état quand même ?
    - Bon d’accord.

    Romain remonta ses jambes au-dessus de ses épaules et Ludi s’agenouilla pour lécher ce petit trou. Elle lui faisait le même traitement qu’à moi, il était aux anges. Je m’approchai de lui et lui donna ma queue. Il la prit à pleine main pour me branler, il l’approcha de sa bouche pour la gober. Il suçait vraiment bien. Je luis pris la tête, lui retira ses mains de ma bite pour imposer moi-même le rythme. Ludivine avait enfoncé un doigt et me regardait prendre la bouche de son mec. Après ce traitement, je pris la place de Ludivine et j’enfonçai mon gland dans son anus. Je prenais possession de son cul en le pilonnant de toutes mes forces. Ludivine c’était placé dos à lui et se faisait lécher le cul. Elle admirait mon travail. Romain avait pris la même cadence que moi pour pénétrer avec ses doigts le cul de sa meuf. Elle gémissait de plus en plus fort, moi j’arrivais au point de non-retour, je fis un dernier va et vient puis je me retirai pour me mettre face à Ludi. Elle se place face à ma queue, que j’astiquais à fond, je senti mon foutre monter et j’explosai à la gueule de cette petite salope. Elle ouvrit la bouche pour ne pas en perdre une miette, elle reçus six grosses giclées, je ne pouvais plus. Elle me prit en bouche pour me nettoyer.

    - Eh bien, on peut dire que vous avez réalisé un autre de mes fantasmes. Vous m’avez fait mouiller comme une folle. On recommence quand vous voulez.
    - Je suis pas sûr de recommencer tout de suite, j’ai le cul en feu, pas toi Romain ?
    - Si, tu me l'as explosé.
    - Vous voyez ce que je subis ! Bon il est tard je vais me coucher, merci mes chéris.

    Elle nous roula une énorme pelle et monta se coucher. Il était très tard et Romain me proposa de dormir ici. Le lendemain matin, Romain me réveilla :

    - Je vais courir, tu viens avec moi ?
    - Il est quelle heure ?
    - 10 h 30
    - Tu peux aller courir tout seul, je reste ici. Ludivine est levée ?
    - Nous elle dort encore, bon j’y vais.
    - Ouais salut.

    Il m’avait réveillé et impossible de me rendormir. Je montai à la salle de bain, la porte de leur chambre était entre ouverte, je m’approchai et mon érection matinale refit surface. Ludivine était dans son lit, les jambes écartées et elle s’amusait avec un gode, avec son autre main elle se caressait les seins. La journée commençait bien…

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  • Une étrange expérience sensuelle

    Comment un jeune homme androgyne découvrit un doux fétichisme pour le nombril.


    C’était une fin d’après-midi pendant les vacances d’hiver. J’avais passé toute la journée à la maison à lire dans ma chambre ou à écouter de la musique dans le salon, profitant pleinement de toute cette journée d’oisiveté. J’étais habillé de manière assez débraillée, d’une paire de jeans moulants et d’un vieux t-shirt raccourci arbitrairement à la paire de ciseaux. J’avais 17 ans à cette époque, j’étais assez grand et imberbe, quasiment aucun poil n’avait poussé sur mon corps à l’exception du pubis. J’avais la peau extrêmement lisse et laiteuse, j’étais mince sans être maigre, j’avais d’ailleurs pas mal de chair au niveau des hanches et un ventre comme j’imaginais celui d’une fille mais en plus de tout ça, j’avais une taille un peu trop fine pour un garçon et par contraste des hanches beaucoup trop larges, les proportions de mon bassin me semblaient vraiment anormales. J’étais très pudique à cause de toutes ces particularités et des regards que je voyais souvent s’attarder sur moi; je faisais vaguement le lien et ça ne m’inquiétait que quand je me sentais en position de faiblesse, en général j’essayais de masquer le plus possible ces particularités. Voilà pour mon apparence physique de l’époque, je dois ajouter que je portais les cheveux très longs ce qui accentuait mon androgynie.
    J’avais donc passé ce jour d’hiver affalé lascivement dans la chaleur de la maison que j’avais pour moi seul jusqu’à tard dans la soirée. On sonna à la porte alors que je n’attendais personne et que ma mère n’avait laissé aucun message indiquant que quelqu’un était susceptible de passer. J’allais à la porte et je reconnus un vieil ami de ma mère, Fabrice. Il était bouquiniste, un intime de la maison que je connaissais moi-même depuis quelques années. Je fréquentais sa librairie de temps à autre, il avait une caisse de bouquins dans les bras et me dit qu’il avait reçu l’après-midi même un arrivage dont certains ouvrages pourraient m’intéresser. Je l’invitais à entrer pour poser les bouquins. Je lui demandais s’il voulait un café, car j’allais m’en préparer. Il accepta et me suivit dans la cuisine. Il me regardait assez fixement ce qui me mit tout de suite mal à l’aise. Ce n’était pas la première fois que je remarquais ce regard posé sur moi, j’évitais d’y penser et allais chercher le café. Tandis que je me hissais sur la pointe des pieds pour le prendre, il était situé tout en haut d’une étagère, je surpris son regard posé au beau milieu de ma personne. En me jetant un coup d’oeil furtif je notais qu’en m’étirant pour atteindre la boîte de café mon t-shirt fort vieux et trop petit d’au moins deux taille avait largement découvert mon ventre. Honteux de cette exhibition involontaire et très gêné par ce regard qui continuait à se poser ostensiblement à ce niveau, je rentrai ouvertement et du mieux que je pouvais mon t-shirt alors même que je l’avais coupé trop court et me concentrais sur la préparation du café tout en me maudissant de ne pas m’être changé.

    Comme je l’ai dit, j’avais toujours trouvé mon bassin un peu trop spectaculaire, j’en avais fait les frais je ne sais combien de fois à la piscine et j’évitais pour cette raison d’y aller. Les filles me regardaient d’un drôle d’air et pouffaient dans mon dos, quant aux garçons, ils étaient tellement étonnés et certains avaient tellement de mal à cacher leur intérêt que je ne préférais pas trop m’appesantir sur ce qu’ils pouvaient penser.
    Pendant tout le temps de la préparation régna un silence assez pesant. Je regrettais de l’avoir invité à rester, je prenais conscience que j’étais vraiment trop débraillé et par dessus tout je ne pouvais m’empêcher de penser au regard que j’avais vu brillé dans les yeux de Fabrice. A la fin, le café étant prêt, je lui dis de me suivre au salon. Je m’installais sur le sofa, lui dans un fauteuil en face de moi. Je m’allongeais tout naturellement sur le côté, lui faisant face. Il buvait lentement son café et je remarquais qu’une fois de plus son regard, qui furetait un peu partout dans la pièce, marquait un temps à chaque fois qu’il passait sur moi. Me regardant je vis que dans cette position on voyait plus que jamais mon ventre. On voyait précisément une de mes hanches que j’ai bien rondes et un peu de mon bassin juste au dessous du nombril à un endroit où j’ai la peau particulièrement douce et pâle, mon nombril noir et allongé me donnait l’impression de faire de l’oeil à Fabrice. Un peu exaspéré par cet intérêt et ma stupidité de porter des vêtements mettant autant en valeur ce “défaut”, je ne cessais d’esssayer de remettre en place ce t-shirt.
    Il finit par rompre le silence en me disant, visiblement embarrassé, “Tu sais que tu es assez androgyne?”, je lui répondis assez énervé mais désarçonné par la remarque, “Ouais, c’est possible et alors?”, il me répondit, “Ecoute, ne le prend pas mal, mais habillé comme tu l’es aujourd’hui, tu révèles toutes les particularités remarquables de ton physique, en fait pour tout te dire, je te trouve sexy” je ne répondis rien, interloqué, fixant ma tasse. Il poursuivit, “Tu as un vrai ventre de femme à ce que je peux voir, ta peau m’a l’air douce, tu n’as pas un poil et ton nombril est profond, vertical, vraiment bien dessiné, très joli à voir”. En bref, il avait mis le doigt ou plutôt les yeux exactement sur toutes ces particularités qui m’étaient vraiment une source de tracas. Il continua: “J’avais remarqué la finesse de ta taille en contraste avec la largeur de tes hanches, j’avais toujours souhaité les voir dénudées, tu sais j’aime beaucoup cette partie du corps, pas toi?” je lui dis, me sentant soudain bizarrement intrigué par ce discours que j’avais bien conscience de tout ça, et que je trouvais mon ventre et mon nombril bien trop féminins, mais que j’aimais beaucoup voir ceux des filles et qu’en fait il m’arrivait de rester devant le miroir pas mal de temps à observer mon bassin en me disant que même s’il me gênait je le trouvais pas mal et que j’y prenais même du plaisir. Il me dit: “Oui, tu aimes bien ceux des filles bien sûr et moi aussi, mais le tien est justement pareil aux plus beaux que j’ai pu voir, j’aimerais bien te toucher, est-ce que tu veux bien me laisser faire?”.
    Excité par la curiosité d’être touché par quelqu’un d’autre que moi, en même temps que flatté, je lui répondis qu’après tout il pouvait essayer. Je m’étendis alors complètement sur le dos, relevant mes bras par dessus ma tête, laissant cette fois mon t-shirt remonter et dévoiler toute ma taille. Il s’approcha assez lentement dévorant des yeux ma peau et se décida à me caresser. Je me laissais assez vite aller au contact de ses doigts sur ma peau. Il les fit glisser dans le creux de ma taille, puis tout autour, sur toute la surface généreuse de cette partie de mon corps. Il finit par appliquer complètement ses paumes sur ma peau, puis il s’approcha de mon nombril il s’y attarda. Il me massait assez pesamment mais la sensation était très surprenante et totalement décontractante. Il tourna lentement et longuement en cercles concentriques autour de mon nombril, le regardant fixement, avant de peu à peu le cerner de son index et l’y faire très doucement pénétrer. Il humecta son doigt de sa salive et le replongea dans ce puits qui l’absorba. Mon nombril que je trouvais incroyablement profond était plus étiré que jamais dans cette position et il absorba une phalange complète de l’index de Fabrice, se refermant dessus. Fabrice fit tourner lentement son doigt, sentant cet orifice béant l’envelopper, il l’enfonça un peu plus contre le fond que je sentais bouger contre mes entrailles, résistant infailliblement à cette intrusion, innondant tout mon ventre d'une chaleur brûlante, irradiant dans tout mon bassin, m'hypnotisant. J'étais même un peu estomaqué du plaisir que tout çela me procurait et m’abandonnais un peu plus au fur et à mesure qu’il doigtait cet étrange orifice originel et fermé tout en continuant à palper, caresser, mes hanches, la peau de ma taille, mes côtes, jusqu’aux limites de ma cage thoracique. Je fermais les yeux de délice.

    Tout à coup je sentis quelque chose d’humide et chaud, je regardai, il était maintenant en train de me lécher. Je trouvais ça encore meilleur et le laissais faire, ne trouvant rien à redire, m’enfonçant un peu plus dans le sofa. Après un temps assez long, il vint avec moi sur le vaste sofa, plongeant sa tête sur mon ventre, y enfouissant son nez, son visage. Il continuait à me lécher, mes côtes, la crête de mes hanches, il n’oubliait pas une seule portion de ma peau, je fondais tranquillement, me laissant complètement faire, plongé dans une torpeur complète. Il finit par s’allonger carrément contre moi, je me laissais complètement faire et lui laissais une place. Il se pressait contre moi, je sentais son souffle dans mon cou, je sentais aussi beaucoup plus bas contre mon bassin quelque chose grossir, mais je ne m’en inquiétais pas, mon pantalon était bien fermé et trop moulant pour pouvoir être retirer facilement, et puis la sensation de ce qui grossissait contre la chair de mon bassin me plaisait.
    Je ne sais à quel moment cela arriva, ni combien de temps s’était écoulé, mais à un moment je sentis quelque chose de brûlant, lourd contre la peau de mon ventre. Un peu alarmé j’ouvris les yeux et vis qu’il avait sorti son sexe en pleine érection et qu’il se masturbait sur ma peau. Il était très excité, son sexe était assez imposant, épais et long, il le posait tout contre mon ventre, son gland bien décalotté allant jusqu’à buter contre mon nombril. Je fus stoppé net dans ma frayeur en découvrant que j’étais moi même extrêmement excité par ce mouvement et cette sensation, mon sexe s’était durci d’un coup. En fait je trouvais délicieuse cette nouvelle manière d’honorer mon ventre. Il pressait très fort sa queue durcie, imprimant des mouvements de va et vient, il la prenait dans une main et pointait son gland dans mon nombril dans lequel il le poussait inlassablement.
    De toute façon ça ne dura pas très longtemps, il haletait un peu plus fort et je commençais à soupirer ouvertement, les yeux fermés, pressant mon bassin contre sa queue en réponse à ses mouvements. Devenant assez vite frénétique, il finit par éjaculer partout sur ma peau, me couvrant d’une chaude et épaisse semence. La sensation de cette liqueur étalée partout sur ma peau m'acheva totalement, j’éjaculais dans mon jeans. J’essayais de me remettre et de me contrôler pendant qu’il se rajustait l’air très pressé et honteux. Je me rasseyais bien vite laissant son sperme couler partout sur ma peau sous mon t-shirt complètement humide. Je me sentais trempé et attendais de voir ce qu’il allait me dire, souhaitant maintenant être seul le plus vite possible. Il me dit qu’il était très content, que c’était vraiment sympa de l’avoir laissé faire, que j’avais vraiment un corps qui lui plaisait et que si ça m’avait plu on pourrait remettre ça un jour de façon moins précipitée et plus complète. Je lui répondais confus que si ça n’allait pas beaucoup plus loin je lui permettrais de le refaire parce que j’étais plutôt agréablement surpris de découvrir à quel point mon ventre pouvait me procurer tant de plaisir si simplement. Il me regardait encore, mon t-shirt trempé me collait à la peau et moulait mes hanches, ma taille, laissant apparaître un peu de ma peau luisante. J’étais un peu étourdi et lui aussi. Il me dit qu’il était lui aussi un peu surpris du plaisir qu’il y avait pris mais qu’après tout ce n’était pas grand chose, qu’il était rassuré que je n’y avais pas vu de mal, que c’était vraiment délicieux, que la prochaine fois qu’on se reverrait je devrai porter le même type de vêtements et qu’il m’appellerait avant pour qu’on prenne rendez-vous et qu’on fasse ça vraiment plus longuement. Nous nous quittâmes là dessus ce soir-là et je le revis épisodiquement pendant longtemps par la suite pour bénéficier du même traitement...


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  • Ma première fois avec un homme

    Ma première expérience homosexuelle tout simplement.


    Ma première fois avec un autre homme

    Je vais vous évoquer mon dépucelage par un homme. Je suis un jeune homme de 21 ans et j'ai ressenti une attirance pour les hommes depuis le lycée. Je refoulais souvent ce désir. A plusieurs reprises j'ai voulu me lancer mais j'ai fait marche arrière, et puis il y a quelques mois j'ai cherché via le net un homme pour me dépuceler dans ma région. Je l'ai trouvé et cette fois-ci je ne me suis pas défilé.

    On s'était donné rendez-vous en ville, d'où il devait m'emmener chez lui; à la cam je n'avais vu que son visage ( c'est ce qui m'avait donné confiance de le rencontrer ), mais le corps était pas mal. Il était un peu plus grand que moi, assez bien fait.

    Arrivé chez lui, je n'arrêtais pas de parler. Mais une fois dans le " salon " il m'a embrassé soudainement. Je ne l'ai pas vu venir, sa langue a envahi ma bouche, ses mains se sont posées sur mon corps, et il m'a collé contre lui. Je ne saurais trop dire ce que j'ai ressenti à ce moment-là, j'étais dans les bras d'un homme et je n'avais pas envie de les quitter.

    Il m'a fait asseoir sur son canapé " clic clac " ( y a pas que le canapé qui a fait clic clac ;) ), et nos caresses se sont poursuivies. On s'est déshabillé lentement mutuellement, pendant qu'il m'embrassait dans le cou, me suçait l'oreille, me léchait les tétons. Sa main effleurait mon sexe, le clic clac a fini par être mis sous forme de lit, et on s'est allongé l'un contre l'autre, s'embrassant. Il prenait sans cesse l'ascendant sur moi, s'allongeait sur moi me bloquant les mains derrière la tête. Je pouvais sentir son sexe contre moi à travers son boxer, puis il se baissa, ses mains le long de mon torse, se glissa entre mes jambes, me caressa par dessus mon boxer avant de le retirer. Je bandais déjà et il entama une douce fellation. Il me fixait en même temps, me caressait le torse, me mangeait le sexe sans les mains. Je gonflais petit à petit dans sa bouche, c'était excitant de le voir me manger le sexe. Puis, il s'arrêta, remonta vers moi, m'embrassa, et on changea de position. Je m'assis sur lui, il m'embrassait, posait ses mains sur mes fesses et commençait à s'approcher de mon anus doucement, par de petites caresses laissant présager la suite, mais ce n'était pas encore l'heure.

    A mon tour, je me glissais entre ses jambes, le malheureux avait toujours son boxer. Je me laissai totalement aller, je léchais son sexe par dessus son boxer, de façon peut-être un peu maladroite, avant de retirer ce morceau de tissu et de libérer son sexe. Je le regardai un court moment, commençais par le branler, puis je me suis mis à le lécher pour enfin le mettre dans ma bouche. J'y allais de tout mon coeur, je le tenais avec ma main à sa base et de mon autre main je caressais ses couilles. Je m'amusais avec son gland, je m'amusais comme un fou avec sa bite, puis au bout d'un moment, il changea de position. Il vint me resuçer à son tour et on entama un 69 sur le côté. Je le sentais me sucer tout en le suçant, je bandais comme un fou dans sa bouche, cela dura un moment et ses coups de langue eurent raison de moi. je lui dis d'arrêter et allongé sur le dos j'ai joui sur le ventre, la tête en arrière, tandis qu'il me regardait jouir. Je m'excusa de façon timide mais il me dit que ce n'est pas grave, que ça prouve que j'ai aimé. Je me suis essuyé et on en profita pour faire une pause.

    [ENTRACTE]

    Il me fit à manger, ahh un homme nu qui fait la cuisine hmm. On mangea tout en regardant un de ses films préférés. Bref, durant le film, il me prit dans ses bras. J'étais allongé dans ses bras, un peu comme une femme dans les bras de son homme mais je me sentais bien. Il me caressait lentement, je le caressais, posais ma main sur mes cuisses. Le film passa, c'était un moment de détente dans ses bras, très agréable. Puis vint la fin du film.

    [FIN DE L'ENTRACTE]

    Là, les caresses reprirent, il s'allongeait sur moi, me dominait. J'essayais de faire mine de résister, on jouait un petit peu au chat et à la souris , puis il me dit dans l'oreille : " mets toi sur le ventre ". Je me suis allongé sur le ventre et il s'est allongé sur moi, me donnant des petits coups de bassin me laissant présager la suite. Je sentais sa chaleur contre moi. Il se leva pour prendre du gel et un préservatif, alors que je restais allongé, et il commenca à "préparer le terrain". Il passa du gel entre mes fesses, c'était un peu froid, puis il commença à me doigter doucement. Il savait ce qu'il faisait.

    Dans ma tête, je me disais "ça y est, je vais y passer". J'étais offert à un homme. J'avais un peu d'appréhension, je me sentais à la place d'une femme, c'était un drôle de sentiment. Il commençait à me mettre un deuxième puis un troisième doigts, je ne sais pas trop comment dire ce que je ressentais, c'était une petite intrusion dans mon intimité, plutôt agréable. Ensuite il enfila le préservatif et me fit écarter les jambes avant de s'allonger sur moi.

    Il était très attentionné, assez prévenant il me demandait si ça allait, me précisant que si ça n'allait pas on arrêtait. Mais je le rassurais, tout allait bien pour moi. Il m'écarta un peu plus les jambes, me caressa les fesses ... j'étais tout à lui. Enfin, il se mit à me pénétrer doucement, je sentais son gland essayer de rentrer, mon anus s'ouvrir. C'était un peu douloureux, je respirais fort, il me demandait toujours si ça allait, j'acquiesçais. Puis il progressa sérieusement et là mon anus l'aspira. Il rentra en moi. Je ne pouvais plus bouger. Il s'allongea complètement sur moi, me tenant les mains, et m'écarta un peu plus les jambes avec les siennes, avant de commençer les va-et-vient. J'étais pris, je ne pouvais bouger. Il faisait des petits mouvements de bassin et alla très doucement pendant plusieurs minutes. je ne ressentais plus de douleurs, le plaisir venait petit à petit. Puis il me glissait des baisers dans le cou, me suçait l'oreille ( il adore faire ça et le fait très bien ;) ).

    Ensuite il me fit changer de position, m'allongea sur le dos et me releva les jambes. Sur le coup je ne comprenais pas. Il était face à moi au-dessus de moi, et il glissa mes jambes par-dessus ses épaules. Puis il reprit sa place entre mes reins. Là je n'ai ressenti aucune douleur (c'est rentré comme dans du beurre). La position était très excitante, par moment je le regardais dans les yeux et il ne cessait de me regarder avec un air si ferme, si sur de lui, qui semblait prendre plaisir à me prendre. Par moment je regardais les mouvements de son bassin, je le voyais me pénétrer, je me voyais me faire enculer. Je voyais son pubis taper contre mes fesses et il commença à accélérer la cadence. Il allait au plus profond de mon cul et j'étais coincé sous lui. Parfois il descendait pour m'embrasser, calmait le rythme de ses coups de reins.

    Cela dura un moment et on changea de nouveau de position. Il me fit mettre assis sur lui mais on ne reste pas longtemps dans cette position, je n'étais pas à l'aise. Alors il me fit mettre à 4 pattes, je me sentais comme une chienne, ses mains qui se baladaient sur mes hanches, ses couilles qui tapaient sur mes fesses. J'aurais même aimé qu'il me claque les fesses, des frissons parcouraient mon corps, une chaleur se faisait ressentir intensément.

    Enfin nous sommes revenu dans la position initiale. Il me bloquait les mains plus fermement. Là il devint plus bestial et il me démonta le cul pour tout dire. Il accélérait de plus en plus, je ne cessais de gémir, je m'abandonnais totalement à ses coups de butoir. il s'arrêtait par moment pour me donner un coup de sexe profond, j'adorais quand il faisait ça. Je transpirais, je ne sais pas si c'était ce qu'on appelle un orgasme mais j'étais en pleine extase. Je ressentais des spasmes dans le dos, j'étais ailleurs ...

    Il se retira sans avoir éjaculé et on s'allongea l'un contre l'autre. On se roula une très longue pelle en se branlant mutuellement, puis dans un élan, je me suis glissé entre ses jambes. Je l'ai sucé, je voulais le sentir jouir en moi. je faisais de long va-et-vient et il ne tarda pas à venir, me fit signe d'arrêter. Je le regardais en même temps lui montrant que je ne m'arrêterai pas, puis il se mit à gémir. Je sentis son jus chaud dans ma bouche, plusieurs petits jets, j'avalais tout ce que je pouvais, un peu de son sperme coulait le long de mes lèvres, sur mon menton et on s'arrêta là. Je m'essuya et m'allongea contre lui. On resta un moment comme ça, sans rien dire. Je savoura ce moment avec une cigarette en pensant que je n'avais jamais pris autant de plaisir avec une femme. Ce n'était pas une simple lubie. Puis la soirée s'est terminée. Il me donna des conseils à propos de ma sexualité avant de me ramener chez moi et je n'ai pas osé le rappeler de suite. Il m'avait dit que c'était à moi de voir ... j'ai récemment essayé de le recontacter mais en vain.

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  • Premiers Desirs

    les premiers désirs homosexuels d'un lycéen.


    A l’époque je m’apprêtais a faire ma rentrée au lycée dans le pensionnat privé du vieux. Les dortoirs étaient de petites pièces assez spartiates pouvant accueillir deux élèves et je me faisais une joie de retrouver mon copain de chambrée. Il s’appelait Maximilien, mais bien entendu tout le monde l’appelait Max. Il avait le même âge que moi , blond avec de magnifiques yeux verts. L’avantage des douches communes m’avait permis de découvrir son corps finement musclé, ses petites fesses fermes et bien rebondies, mais surtout son sexe, une verge magnifique, épaisse longue au gland a demi découvert.

    Il faut dire qu’à l’époque je me découvrais une certaine attirance pour les garçons et leur anatomie. Lorsque je me masturbais l’excitation montait plus vite en imaginant de belles grosses bites tendues que des fentes humides. Même si j’avais déjà eu quelques aventures avec des jeunes racailles et maghrébines de cité, qui d’ailleurs c’étaient limitées à des cunnilingus et des sodomies au détour d’une cave, j’éprouvais de plus en plus d’envie de sentir une verge dans ma bouche, et gouter ces nouvelles saveurs. Un soir après les cours je me retrouvais seul dans le dortoir, max était sorti faire quelques courses pour ses fournitures scolaires, mon esprit se mit à vagabonder et je sentis l’érection faire gonfler mon slip. Je me débarrassais de mon pantalon et le slip sur les chevilles je m’allongeais sur le lit. Les yeux fermés je parti au paradis des bites turgissantes, des glands cramoisis, et des longues éjaculations blanches et gluantes. Ma main me prodiguait de douces caresses lorsque tout a coup une voix me sortie de mes rêves :

    - Bah dis donc c’est une grosse envie… te gène pas continu j’aime bien regarder les bites qui éjaculent…

    C’était Max il était revenu et entré sans que je l’entende. Je le regardais un peu gêné mais comme par reflex ma main continua ses mouvements de va et viens. Max se rapprocha de moi et baissa en une seul fois son pantalon et son boxer.

    - Tu permets… j’adore mater des bites pour me branler…
    - Vas y je t’en pris…

    Rouge des oreilles aux joues je fixais son sexe. Apres quelques va et vient son sexe pris des dimensions incroyables, tout du moins pour moi, car c’était la première verge que je voyais en érection et d’aussi prés.

    - Gicle pas avant moi on s’attend hein ?

    Je ralentissais mon mouvement n’osant rien dire mais hochant de la tête.

    - On se gicle dans la bouche hein ? Comme ca on n’en mettra pas partout…. Vas y ouvre je sens que ça vient….

    Totalement ahuri et en même temps tellement excité a l’idée de gouter du jus de garçon, j’ouvrais ma bouche. Il rapprocha son gland qui vint se poser sur mes lèvres, et en quelques secondes je ressentis quatre longues giclées m’engluer le palais et la bouche. Je refermais la bouche en faisant glisser ma lèvre supérieure sur son gland pour bien le « nettoyer ». J’avalais ce nectar nouveau, chaud et un peu acre. Je dois dire que j’ai aimé tout de suite cette texture gluante. A son tour il se pencha sur mon gland pour le prendre entre ses lèvres. A leur contact j’ai éjacule tout de suite, j’avais l’impression de me vider, que tout le sperme de mes couilles était aspiré et expulsé. En avalant et passant sa langue sur ses lèvres :

    - T’as plutôt bon gout…. Si tu veux on pourra le refaire ce soir c’est tellement plus cool de le faire à deux.

    Un large sourire m’illumina :

    - Ouai bien sûr trop cool
    - T’aime ça toi mater des bites ?
    - Bah ouai j’avoue ça me fais bien bander
    - Je t’emmenais aux WC de la place, tu verras dans la cabine du milieu il y a des trous ou des mecs mettent leur bites, il y en a des énormes…. après tu les branles ou tu suces…. Tu verras c'est trop cool. Enfin si tu veux, moi je kiff bien ça…
    - Ouai trop cool mais j’ai encore jamais sucé…
    - Tu verras c’est naturel, ça vient tout seul… on y va demain si tu veux….
    - Cool

    Mais ça c’est une autre histoire….

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