• Invraisemblablement vrai

    Un ami, une mère, un fils.


    La sonnerie de mon téléphone me réveille tôt ce matin. Marc, un ami de la fac vient de m’envoyer un texto pour me demander si je suis libre pour une séance de cinéma à 16h. Evidemment, je lui réponds positivement et propose de le prendre chez lui. Je me rendors pour me faire de nouveau réveiller par mon portable, je devrais l’éteindre pour la nuit. Cette fois-ci ma « petite amie » m’annonce qu’elle aimerait rompre. Très bien, deux mois que l’on est ensemble mais aucun rapport sexuel sérieux. Nous nous entendons bien, mais j’ai besoin de plus d’intimité et elle s’oppose aux rapports. La rupture va me permettre de me tourner vers de nouveaux horizons, de nouvelles rencontres. Je décide de me lever, n’ayant plus le courage de me rendormir. Immédiatement, comme à l’accoutumée, je me précipite dans la salle de bain afin de me laver. Je reste longtemps, un gros quart d’heure, sous la douche. Je profite de l’absence de mes parents pour utiliser le maximum d’eau chaude. Il est maintenant midi et je prends la décision de m’offrir un sandwich dans le kebab – plutôt luxueux pour un restaurateur turc – du quartier. Dans les escaliers, je croise ma voisine d’une trentaine d’années. Une femme brune à l’allure fragile mais pleine de vie. Elle vit en couple et à une petite fille. Enfin bref, elle me fait beaucoup d’effet, mais je n’ose pas l’approcher, elle m’intimide énormément. Dans la rue, je sais que mon look « slim-vintage-cheveux-broussailleux-mal-coiffés-sexy-mystérieux » ne laisse pas indiffèrent les jeunes adolescentes que je croise. Et j’en joue ; faire craquer les filles me demande peu d’effort. Je rentre dans le petit restaurant et me commande le plat du jour. J’apprécie de rester ici, voir les gens passer sur les trottoirs ; un véritable de mode - et, parfois, de « miss » plutôt mignonnes. Il doit me rester 2/3h avant de rejoindre Marc. Je me ballade tranquillement dans le square jouxtant mon quartier. J’y rencontre quelques connaissances, des potes de l’université, essentiellement. Je retourne ensuite chez moi et me pose pour finir quelques devoirs, sans trop d’importance. 15h, il est temps que j’y aille. Marc loge dans un studio avec sa mère, à l’autre bout du quartier. Je vais sûrement arriver en avance, mais je devais voir un « truc » avec lui depuis pas mal de temps et je profiterai donc de l’occasion. Dans mes souvenirs, le studio est plutôt spacieux et assez « classe » sans être vulgaire. Je me trouve sur le perron et recherche le nom de famille de la mère de Marc sur les nombreuses sonnettes. Lévy, je l’ai trouvé et enclenche le mécanisme. Je dois dire que je n’ai jamais eu l’occasion de la rencontrer. Toujours absente. Là, surprise, c’est elle qui me répond et m’autorise à monter. Arrivé devant la porte, je frappe. Je m’attends à voir une belle femme ; Marc ne cache pas son admiration pour sa mère. Elle ouvre. En effet, je constate que pour ses 47 ans, elle est assez bien conservée. Des cheveux blonds naturels – il me semble – et un visage fin et clair faisant ressortir de magnifiques yeux verts. Elle m’invite à pénétrer dans le studio. L’ambiance est assez lourde. La décoration n’a pas changé depuis ma dernière visite.
    « -Excusez-moi, Marc est-il dans le coin ?
    -Ah, non. Je suis désolée. Il a prévu de rentrer juste avant 16h. Vous devez aller au cinéma tous les deux, c’est bien ça ?
    -Oui, nous allons voir « Les Témoins » de Téchiné.
    -Je vois. Les critiques qui me sont parvenues étaient plutôt positives.
    -Je l’espère. »
    Elle parle d’une voix claire, douce, agréable. Elle reprend la conversation et discute de mon allure.
    « -J’apprécie tes vêtements et ton look. Et puis, il te va assez bien. Marc est plus sérieux, moins extravagant quant à son apparence. Selon lui, ça lui permet de ne pas se faire remarquer.
    -Merci. J’avoue prendre soin de mon apparence, même si j’en ai pas vraiment l’air. »
    Elle laisse échapper un rire léger, loin d’être désagréable. Aussi, elle sourit souvent, et j’aperçois deux rangées de dents blanches éclatantes. Elle prend soin d’elle, elle est coquette.
    « -Tu peux rester ici en attendant Marc, si tu le souhaites.
    -Vraiment ? Je n’attendais pas mieux. C’est qu’au moment de rentrer dans le hall de l’immeuble, il s’est mis à pleuvoir. Ressortir sous la pluie, ne serait pas super.
    -Il n’y a aucun problème, tu peux rester ici jusqu’à son retour. Tu veux boire quelque chose ? De l’eau ?...
    -Volontiers. Un verre d’eau. Merci.
    -Je reviens. »
    Comme elle se retourne vers la cuisine, je peux admirer un superbe corps, un fessier accueillant. Elle est vêtue d’un pantalon en toile blanc et d’une chemise brune de soie fine. Et visiblement sa lingerie est plutôt classe et sexy. Vraiment, elle paraît beaucoup plus jeune que son âge réel. Elle revient avec les verres d’eau et quelques biscuits, le tout posé sur un plateau moderne en argent. Le sol du studio est constitué d’un superbe parquet et l’on trouve de belles boiseries au niveau de la cheminée. Nous nous asseyons sur les canapés en cuir du salon. Je m’attends à ce qu’elle s’affaisse dans le fauteuil en cuir opposé, mais elle se pose à mes côtés, ce qui ne me déplait pas. Elle place le plateau sur la table basse au centre du salon, se penche et me dévoile ainsi sa croupe généreuse. Une pulsion instantanée et je la prenais de mes deux mains. Il en a fallu de peu. La mère de Marc est vraiment excitante. Tellement que je ne peux me contrôler et une vive érection déforme mon jean, qui par malheur est un slim, donc très serré au niveau de mes entrecuisses.
    « Je dois vous dire que vous ne faîtes pas votre âge.
    -J’en suis consciente, me répond elle avec un sourire malicieux »
    Je n’en peut plus. Je me lâche complètement et me jette sur elle. Nous sommes assis côte à côte. Je la prends par la taille. Je ne rencontre aucun geste de résistance de sa part pour le moment. Nous nous regardons longtemps dans les yeux. J’approche progressivement mon visage du sien. Nos lèvres sont sur le point de se toucher quand elle tourne brutalement sa tête ainsi que son corps. Elle repousse mes bras qui l’enlacent encore. Elle porte une main sur sa bouche et quitte furtivement la pièce. Je m’en veux de n’avoir su contrôler mes instincts. C’est la mère d’un ami proche, après tout. Je lui dois du respect et j’ai cruellement manqué de tact. Je pars la rejoindre pour m’excuser. Je la cherche dans la cuisine, en vain. J’essaye donc les autres pièces. J’arrive près de sa chambre. J’ai une montée d’adrénaline. Je l’aperçois, elle, en sous vêtements, étendue sur son lit. Je m’approche. Elle se redresse immédiatement.
    « -Je suis prête, dit elle avec une joie non-dissimulée »
    Pourquoi m’a-t-elle repoussé il y a un instant ? Je ne comprends pas, mais ne cherche pas à comprendre non plus. C’est une invitation aux plaisirs charnels. Je ne peux résister, qui puis est avec une femme expérimentée aussi charmante.

    Elle ne cherche pas à profiter de l’instant et déboutonne avec rapidité mon jean. Je me retrouve en boxer. Elle me demande de m’asseoir à ses côtés. Elle enlève mon haut, puis me caresse le torse de ses mains douces. Je me laisse manipuler pour le moment, je ne tente rien sur sa personne. Ce n’est pas le moment de la perturber. Progressivement elle descend ses mains sur mes cuisses. Elle touche mon sexe à travers le tissu de mon boxer. Je me retrouve entièrement nu, livré aux mains d’une femme âgée de 47 ans qui en paraît 38. Elle entame, de ses longues mains, la masturbation de mon organe sexuel. Elle fait ceci avec une douceur merveilleuse. Elle passe le creux de sa main sur mon gland et le touche de cette façon. Elle, est toujours en lingerie. Des sous vêtements en dentelle, blancs. Elle me bascule sur le lit. Je suis étendu sur le dos. Elle tend mon pénis vers le plafond et continue de le masturber lentement. De son autre main, elle caresse mes réserves de semence puis descends vers mon anus. Elle fait circuler son doigt sur ce chemin si délicat. Ensuite, elle rapproche ses lèvres à proximité de mon sexe dressé. Elle les pose dessus, sur mon gland qu’elle aspire lentement. Elle dissimule complètement mon sexe dans sa bouche. Entièrement ! Elle accélère le mouvement de bas en haut. Elle suce goulûment avec rapidité. C’est une fellation divine. Si bien que je ne peux me contrôler. Je la préviens mais elle continue. Ma semence arrive et sa bouche englobe encore totalement mon sexe. Elle reçoit une quantité impressionnante de sperme dans son gosier. Elle manque de s’étouffer et recrache toute ma semence sur mon gland. Elle s’excuse, alors que c’est de ma faute. Même avec plein de sperme autour de la bouche, elle est toujours aussi belle. Maintenant, c’est à mon tour de lui faire plaisir. Je commence par la prendre au niveau du bassin et fait en sorte qu’elle s’allonge à l’endroit où j’étais il y a peu. Allongée, je lui retire délicatement son soutien-gorge, de grande taille. Ses seins sont étonnamment fermes et volumineux pour son âge. Je les malaxe lentement, je les presse, je caresse ses magnifiques tétons pointant joliment vers moi. Je fais circuler ma langue tout autour de ses mamelles pour ensuite – littéralement – les sucer. Je continue de prendre ses deux globes à pleines mains. J’adore, ils sont exceptionnels, proportionnés idéalement. Nous sommes silencieux, seuls nos gémissements troublent le silence ambiant. Pendant que je joue avec ses lobes de chair, nous nous embrassons sensuellement. Ses lèvres sont fines et douces, une bouche de grande classe que je me fais un plaisir à triturer. Une de mes mains s’aventure entre ses hanches, sa culotte en dentelle est toujours en place. Cette dame mouille incroyablement. Je porte ma main près de mon visage afin de sentir ce liquide « mûr ». C’est un plaisir, jamais je n’ai senti une telle odeur. J’approche ma bouche, ma langue près de cette partie si incroyable. Je la lèche à travers son sous-vêtement. Elle se cambre de plus en plus, preuve de sa sensibilité. Je lui fais plaisir. Je baisse lentement sa culotte, lui retire et la porte à son visage, alors elle pousse un gémissement de plaisir équivoque. Je continue. Je replace ma tête entre ses hanches et entame un cunnilingus. Je passe ma langue partout jusqu’à trouver le point le plus sensible, alors j’insiste, je redouble d’effort pour lui donner un maximum de plaisir. Ses petits cris deviennent plus forts et stridents. Enfin, elle explose littéralement et son jus se projette sur mon visage. C’est à ce moment que le bruit d’une clé dans une serrure se fait retentir. Elle a immédiatement compris que c’est son fils, étant donné que j’ai rendez-vous avec lui pour aller au cinéma.
    Ainsi, elle se rhabille prestement, tout comme moi. Nous nous servons des serviettes à disposition pour débarbouiller nos visages dégoulinant de semences. Nous sommes légèrement débraillés, mais pas assez pour se rendre compte que l’on était nues comme des vers il y a instant. Par chance, l’appartement est assez grand et nous pouvons nous rendre dans la cuisine sans croiser Marc.
    Et nous nous installons comme si de rien n’était, assis sur les tabourets du bar, deux verres posés sur celui-ci.
    « -Il y a quelqu’un ?
    -Oui, mon chéri, nous sommes dans la cuisine. »
    Marc rentre dans la cuisine et se réjouit de me voir déjà chez lui.
    « -Super, nous serons, pour une fois, à l’heure pour la séance de ciné. Tu es là depuis combien de temps ?
    -Oh, pas longtemps. Je suis arrivé il y a 5 minutes. Nous bavardions.
    -Oui, et ton ami m’a dit que vous alliez voir un film d’auteur ? Ca ne te ressemble pas, remarqua la mère de Marc.
    -Il y a un début à tout, tu sais…
    -Je sais bien…
    -Bon, je fais un tour au toilette et on y va, conclut Marc »
    Nous restons silencieux et évitons le regard de l’autre. Nous avons été stupides et nous nous en rendons compte. Marc revient. Une expression inattendue barre son visage.
    «-Tu es là depuis combien de temps, en réalité ?
    -Je suis arrivé 5 minutes avant que tu ne reviennes.
    -D’accord. Alors, pourrais tu m’expliqué ce que fait ta ceinture, celle que tu exhibes sans arrêt, sur le lit de mère, à proximité d’une culotte de celle-ci ? »
    Il ne semble pas choqué, ni outré et même une certaine malice se dessine sur son visage.
    « -Laisse le tranquille, Marc. Il est arrivé en avance, je les trouvé séduisant, je n’ai pas su résister à son charme. Je l’ai emmené dans ma chambre. Nous n’avons pas été aussi loin que tu ne le penses, nous nous sommes arrêtés aux préliminaires.
    -Tu es quand même une putain de trainée. A ton âge...
    -Tu n’as pas le droit de me traiter de trainée, ni de putain ! »
    Sur le coup, elle éclate en sanglot. Et moi, j’essaye de m’excuser calmement envers Marc. Lui, s’excuse tant bien que mal auprès de sa mère, mais en vain. Elle le prit de déguerpir. Et nous sortons pour nous rendre au cinéma.
    Je suis quand même étonné que nous allions toujours au cinéma après ce qui vient de se passer. Mais Marc évite de parler de ce sujet. Sur le trajet, nous discutons de la fac, de musique, comme si de rien n’était. Nous achetons les tickets au guichet et nous installons aux meilleures places car la salle est quasiment vide, soit dans le fond. Les bandes-annonces défilent, toutes plus niaises les unes que les autres. Enfin, le film démarre. Le synopsis du film :
    Paris, été 1984.
    Manu débarque à Paris, où il partage la chambre de sa soeur Julie dans un hôtel modeste. Il fera la connaissance d'Adrien et nouera une amitié chaste et joyeuse avec ce médecin quinquagénaire, qui lui fera découvrir le style de vie de son milieu.
    Au cours d'une balade en bateau, Adrien présentera à Manu Sarah et Mehdi, un couple de jeunes mariés qui vient d'avoir son premier enfant.
    Une passion amoureuse imprévue et l'irruption de l'épidémie du sida, encore perçue dans les médias et l'imaginaire collectif comme une peste moderne et honteuse vont bouleverser le tranquille agencement de ces destins particuliers. Chacun va devenir acteur et témoin d'un drame contemporain, où ceux qui ne mourront pas ressortiront peut-être plus forts, mais en tout cas pas indemnes.
    Nous avons le droit, tout au long du film à des scènes de sexe plutôt explicites. Ainsi, nous découvrons les seins d’Emmanuelle Béart et les postérieurs de Sami Bouajila et Johan Libéreau. Je dois avouer avoir bandé lors des ébats sexuels de Béart malgré le sujet grave du film. Elle a un corps vraiment magnifique. Toujours est-il que le film peut faire naître des pulsions refoulées. Il en a la vocation.
    « -Certaines scènes sont torrides, chuchote Marc
    -A quelles scènes penses-tu ?
    -La première rencontre entre les deux hommes, répond il. »
    Je suis interloqué. Je ne m’attendais pas à cette scène-ci. Ainsi, dans la continuité de l’ambiguïté latente, Marc approche sa main près de mon entre-jambe. Il empoigne ma partie génitale à travers mon jean. Je ressens la virilité d’un homme mais aussi la douceur d’une femme, d’une mère plus particulièrement. Je ne sais pas ce qui arrive à Marc, à moi non plus, d’ailleurs. Je ne peux m’empêcher de bander, dur en plus. Il le sent et glisse sa main dans mon boxer. Il me masturbe mais l’étroitesse de mon jean empêche de plus grandes « manœuvres ». Alors, je me déboutonne discrètement et remonte mon boxer pour laisser s’échapper ma verge. Il la ressaisit et recommence donc la masturbation. Nous sommes seuls dans cette rangée et personne n’est derrière nous. Si bien que nous profitons pleinement de la situation. La main de Marc est plus forte. C’est une autre sensation, toute aussi excitante. Après quelques minutes de masturbation, il pose ses lèvres sur mon sexe dressé, lèche mon gland rougi, l’aspire et joue avec mes couilles. Il entame ensuite une longue fellation. Jamais je ne me suis fait sucer par un homme et je le regrette. Marc suce aussi merveilleusement que sa mère. Pendant la fellation, il n’hésite pas à explorer mes autres orifices. Il caresse mon anus et rentre un doigt ou deux pour faire augmenter mon plaisir. Bientôt, j’explose de quatre ou cinq secousses et j’arrose le visage de Marc ainsi que nos sièges respectifs. Nous nous embrassons langoureusement. Il me repousse tendrement

    « -A ton tour, maintenant.
    -Marc, je suis désolé. Je ne peux pas.
    -Très bien. Tu préfères ma mère.
    -Non, tu es parfait. Mais je refuse. Je ne suis pas homo.
    -Etonnant… Tu n’as pas bronché.
    -Oui, mais…
    -Laisse tomber, j’ai compris »
    Le générique de fin fait son apparition. Nous sortons tranquillement de la salle. Aucun mot sur la fellation. Je raccompagne Marc chez lui. Arrivé au bas de l’immeuble, il me propose de monter pour boire un coup. J’accepte volontiers, surtout dans le but de voir sa mère. Nous rentrons dans l’appartement, c’est elle qui nous ouvre. Elle affiche un sourire, une joie de vivre, elle est décontractée comme si les évènements de cet après midi ne s’était jamais déroulés. Elle nous propose de prendre l’apéro dans le salon. Nous la suivons. Je remarque qu’elle a changé de vêtements. Ceux-ci sont nettement plus sexy. Moi et Marc nous asseyons sur le divan pendant qu’elle part chercher le vin et les verres. Elle apporte le plateau mais à notre grande surprise, celui-ci ne contient ni verres ni alcool. Posés sur le plateau, il y a un tube de gel lubrifiant, des préservatifs, deux ou trois godes de formes étranges et d’autres jouets sexuels farfelues. Je me retourne vers Marc, m’attendant à voir un visage outrée et choquée. Mais celui-ci semble tout excité. Ainsi, je le deviens à mon tour. L’issue de cette soirée est implacable.

    La suite de cette soirée dans peu de temps…
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  • Je me suis sacrifié pour elle

    Un homme se sacrifie pour sa femme



    Ma femme et moi aimons les randonnées. C'est un loisir agréable qui nous permet de nous ressourcer et que nous veillons à pouvoir pratiquer pendant nos vacances.

    Ce jour là, nous étions en randonnée de moyenne montagne, dans les Alpes, en route vers le Lac Bleu. Nous étions partis tôt le matin pour pouvoir passer la journée la haut. C’était en juin, hors saison, et pour ainsi dire désert. Après 4 heures de marche à un bon rythme, nous arrivâmes sur notre objectif. C'était splendide. Nous étions ravis.

    Nous nous installâmes donc pour pique niquer au bord de ce lac d'un bleu incroyable. Tout autour de nous, les montagnes rases nous surplombaient. Quel bel endroit.

    Notre déjeuner terminé, seuls au monde et avec le soleil qui donnait à plein, on s’était finalement effeuillé un peu pour profiter de ses rayons bienfaisants, caché par un énorme rocher qui nous surplombait de deux trois mètres. Je ne portais plus que mon string et ma femme était seins nus. Un parfum d'excitation flottait dans l'air. Je la sentais réceptive et en ce qui me concerne, j'étais déjà tout à fait excité par la situation.

    - On se baigne ?
    - Tu es fou, elle doit être à 10 degrés.
    - Il fait si bon dehors, ça donne envie. J'ai envie de toi, je me sens …. prêt à tout !
    - Je sais que tu es toujours prêt à tout, obsédé, je pourrais te demander n'importe quoi !
    - Exactement, demande moi n'importe quoi !

    Elle ferma les yeux sans répondre. Elle souriait et était sans doute en train d'imaginer le gage qu'elle allait me donner.
    - J'aimerais que tu fasses le tour du lac tout nu.
    Le lac n'est pas si grand pensais-je en l'observant. Et puis on n'est pas sur les champs elysées, ça doit être possible.
    - J'attends, il faut me mériter.
    Je tombais le string, affichait une semi érection qui attira le regard de ma femme. Elle fit une moue dubitative.
    - Mouais, pas mal.

    Je partis donc par la gauche pour faire le tour de ce lac, sous le regard amusé de mon épouse qui resta à se prélasser au soleil. Je marchais d'un bon pas. Je la vis se lever et sans doute pour me narguer, elle retira son short puis son string. Elle était maintenant nue. Quel bonheur !

    Soudain, j'aperçus au sommet d'une butte quatre hommes. Il était dans son dos, elle ne pouvait les voir. Quant à moi, j'étais nu. J'allongeais la foulée. Les hommes entamèrent la descente vers le lac, et donc vers elle qui, toujours pour me narguer, faisait mine de se caresser la poitrine.
    J'avais encore une boucle de 200 mètres à faire. Je lui fis signe.
    Elle passa la main entre ses cuisses, tenant un sein à pleine main pour le relever vers sa bouche.
    Les hommes l'avaient en point de mire. J'étais tenté de me mettre à courir. Je réitérais mes signes. J'entendis sa voix atténuée par la distance : viens vite me prendre, je t'attends, je suis toute mouillée.
    100 mètres. Je trottinais en évitant les cailloux.
    - Viens vite me baiser, j'en peux plus !!
    Les hommes étaient maintenant sur le rocher et observaient ma femme.
    En me voyant courir vers elle, elle s'installa au sol, cuisses largement ouvertes, en appui sur les coudes.
    - Allez prend moi ! Je veux ta queue !

    - Bonjour Messieurs ! Dis-je à l'adresse des quatre types patibulaires qui observaient ma moitié en pleine extase.

    Elle se retourna, leva la tête, poussa un petit cri et attrapa ses habits pour se cacher.
    - Quel dommage ! dit une grosse voix, nous sommes arrivés trop tôt.
    Je pris mon string et le passais. Ils disparurent et je les entendis rire en faisant le tour du rocher. Ils débouchèrent devant nous. Quatre types robustes, plutôt jeunes, vêtus comme des bergers et d'allure un peu rustique.
    - Regardez comme ils sont mignons, les gars
    - Ouais, c'est pas tous les jours qu'on voit ça.
    - Depuis deux mois que je n'ai pas vu un autre cul que les vôtres, ça fait du bien !
    - Tu vois l'monsieur, il s'apprêtait à en profiter et puis à cause de nous y peut pas !
    - Oh moi jm'en fous y peut y aller.
    L'un deux me jeta un regard soudain glacial :
    - Ça vous dit plus, elle en voulait ya pas deux minutes.
    - …
    - Et vous ma petite dame, vous gueuliez pour avoir une queue, c'est fini ?
    - Écoutez, laissez nous maintenant, c'est du harcèlement ! répondit-elle fâchée.
    - Ouais, c'est vrai, on a bien envie de vous harceler un peu. L'homme tendit son long bâton et le glissa habilement dans les vêtements que ma femme maintenait contre elle. Elle semblait apeurée. D'un geste précis de ce bâton, il fit tomber les vêtements de ma femme qui se retrouva donc nue face à eux.
    - Ou est l’intérêt de cacher un corps que nous avons déjà vu ? Madame se doigte devant nous, s’allonge les cuisses grandes ouvertes en gueulant « baise moi », et après elle joue la sainte ni touche.

    Ils s'approchèrent d'elle. Je fis un pas pour m'interposer.
    - C'est bien, nous avons aussi un beau chevalier au string protecteur ….
    Ma femme se leva et se colla contre moi.

    Le premier des bergers, le regard braqué sur ma femme, lâcha ses affaires et ouvrit les boutons de sa chemise, tout doucement, sur un torse musculeux.
    - Les gars, dit-il, ce qui les gêne c'est d'être à poil alors que nous sommes habillés, alors on ne va pas les gêner plus longtemps, c'est pas poli.
    Il lança sa chemise et se pencha pour défaire ses chaussures. Puis il défit son pantalon. Les trois autres l'imitèrent et bientôt tout le monde fut nu. Je sentis le corps de ma femme se coller encore plus au mien. Elle avait chaud.
    - On ne vous fera pas de mal, vous aviez une furieuse envie de baise et ça nous convient tout à fait !
    - Faut nous comprendre, on a pas une vie facile en montagne 5 mois par an, entre hommes.
    - On s'arrange bien entre nous mais une femme ! C'est pas pareil.

    - Vous n'avez qu'à vous branler, ça passera, dit-elle furieuse.
    - Mais c'est ce qu'on fait, mais se branler devant une femme qui vient de crier « Viens vite me baiser, j'en peux plus !! », ce serait cracher dans la soupe.
    - Ouais … et une femme, un nouvel homme, ç’est très tentant …
    - T’as raison, le monsieur aussi avait envie de baiser, faudrait pas le laisser sur le carreau.

    Ma femme était tétanisée …

    - Ecoutez, je veux bien vous branler, et puis vous partez !
    Mon cri résonna dans la cuvette et surtout dans ma tête.

    Ma femme me regardait stupéfaite.
    - Une simple branlette ?
    - Ouais, faudrait au moins nous sucer.
    - Chéri, suce les, qu'on en finisse ! En plus ……….. tu en rêves.
    - C'est vrai ? Regarde nos grosses queues, elles sont bonnes à sucer, on a les couilles bien pleines et on va te remplir la bouche.
    - Oh oui, mon chéri, fais le !

    Ses seins pointaient. Peur ou excitation ? Elle s'approcha de moi. Son regard avait changé.

    - Allez fais le, sinon ils vont vouloir me baiser moi. Tu ne veux pas qu'ils me baisent devant toi ?! Elle passa derrière moi et baissa mon string faisant surgir ma bite tendue.

    Elle posa ses mains sur mes épaules et appuya.
    - Ca m'excite, dit-elle doucement en m'accompagnant à genoux. Fais le pour moi, c'est l'occasion.

    Je fléchis les jambes.
    Elle me tenait par les hanches. Son bas ventre était collé à mes fesses. Elle bouillait littéralement, je sentais la chaleur de son sexe contre mes fesses.
    Un homme s'approcha, sa bite qui me parut énorme se balançait devant son ventre.
    - Regarde cette bite, je n'en ai jamais vue une comme ça. Ça va être bon.
    L'homme était devant moi. Au bout de son gland turgescent perlait une grosse goutte translucide.
    - Allez, suce moi, ma salope.
    Il posa sa main sur mes cheveux et m'attira. Son gland se posa sur mes lèvres. Sa goutte s'étala dessus.
    - Vas-y, mon chéri

    Je fermais les yeux, ouvrit la bouche. L'homme y glissa sa queue.
    Ma femme se releva.
    - Je vais filmer, ça ne vous dérange pas ?
    - Tout ce que tu veux ma belle, on va te donner un beau spectacle !
    - Oh oui, s'il vous plaît, qu'il s'en souvienne ! Elle installa le caméscope sur un rocher et le déclencha.

    L'homme commençait à coulisser dans ma bouche, jusqu'au fond. Il me baisait.
    - Chéri, un effort, lance toi !
    Je levais une main tremblante vers la hampe.
    - Oui, c'est bien, dit-elle.
    Je caressais les couilles velues et arrachait un soupir à l'homme. Petit à petit ma bouche se fit de plus en plus active.

    Un verrou venait de sauter.

    Je salivais abondamment, trempant la bite. Ma langue virevoltait autour du gland baveux, glissait sous la hampe fortement veinée. Je la lançais sous les couilles, vers le périnée. Je savais ce que moi j'aimais, alors j'y allais.
    L'homme gémit, se cambra, m'ouvrit ses cuisses.
    - Ah mon chéri, mais tu aimes ça !?
    - Putain oui il aime ça, la dernière qui m'a sucé comme ça, c'était une pute à Grenoble, elle m'a coûté deux cent balles.
    Les trois autres m'entouraient maintenant. Ils présentaient la même raideur que leur acolyte.
    Les flashs prouvaient que ma femme immortalisait tout.
    La proximité de ces queues tendues pour moi me rendait fou. Ma langue glissa plus loin sur le périnée de ma victime.
    - Quelle salope ! La feuille de rose ? J'adore, allez lèche moi le cul !
    L'homme se retourna et écarta ses fesses à deux mains. Je vis son œillet et fondit dessus langue en avant. Je lapais cet endroit avec passion.
    Soudain, une nouvelle queue arriva contre ma joue. Je la pris en main et la caressait vigoureusement. Abandonnant un peu mon activité bucco anale, j'avalais ce nouveau prétendant.
    - Ah mon chéri, tu m'excites continue, donne leur tout ce qu'ils veulent, lâche toi !

    Ce commentaire, s'il me fit plaisir, était inutile car j'étais lâché. De la queue et encore de la queue sous les yeux de mon épouse. Voilà ce que je voulais maintenant.
    J'entendais les commentaires graveleux de ces quatre types qui se plaisaient à me traiter de salope et de pute.
    - Je crois que je vais lui faire le cul, dit le meneur.
    - Oh oui, prenez le, je veux l'entendre gémir !
    Ma femme semblait dans un état d'excitation incroyable. Je ne cessais de sucer la belle queue coulante et alternait avec l'œillet que j'avais réussi à dilater pour le lécher en profondeur pour faire haleter l'homme de plaisir.
    - Je veux que vous le baisiez bien tous les quatre !

    Je jetais un coup d'œil à ma moitié qui m'offrait aux désirs de ces inconnus. Elle se massait les seins avec passion. Elle était surexcitée. Tout en la regardant faire, j'avalais une nouvelle queue. J'y mis toute ma fougue, exagérant mes gestes pour qu'elle perçoive bien mon intention.

    - Laissez moi le préparer, dit-elle alors, je ne veux pas que vous l'abîmiez !

    Elle prit place derrière moi et je sentis sa main caresser ma raie. Je me cambrais plus encore. Elle étala un produit lubrifiant, du beurre qui restait de nos sandwiches.
    Elle me tartina la raie puis glissa un doigt dans mon anus.

    - Je sais que tu aimes, ils vont bien te sodomiser. Je vais te mettre un deuxième doigt pour bien t'ouvrir.
    Elle commença à m'enculer avec ses deux doigts et petit à petit la douleur disparut totalement. Elle écartait ma rondelle que je laissais s'ouvrir. Les hommes la regardaient faire en branlant leurs bites géantes pour se tenir raide.

    - Bon allez, je crois qu'il est prêt dit alors le meneur.
    - Toi, je te baiserai bien aussi, dit-il en s'agenouillant derrière moi.
    Je sentis ses grosses mains m'attraper aux hanches.
    - Laissez moi vous mettre dans son cul.
    Elle prit la hampe et frotta le gland contre mon œillet.
    - Mon chéri, tu sais il est gros, tu vas aimer.
    Je sentis le gland pousser et pénétrer mes reins. J'étais cambré au maximum, tête rejetée en arrière, extatique, attendant le moment où il allait disparaître en moi.
    La bite me pénétra lentement. L'homme m'attirait à lui, ses doigts cramponnés à mes hanches. Et je me laissais aller. J'entendis la respiration haletante de ma femme.
    Un homme vint s'agenouiller devant moi. Il n'eut rien à demander et je le pris en bouche avec gourmandise. Ma femme se pencha vers moi :
    - C'est bon mon chéri, je t'adore en salope ! Tu vas me faire jouir !
    Je suçais propulsé au rythme des coups de reins qui me baisaient. La bite me perforait les reins. Le ventre se collait à mes fesses, les mains étaient maintenant crispées sur mes épaules.
    - Ah putain, il va me faire jouir, prend ma place !
    Un nouveau venu prit possession de mon cul et le quatrième de ma bouche.

    Je ne sais combien de temps ni combien de fois les types m'enculèrent ou profitèrent de ma bouche accueillante mais leur désir ne cessait de grandir, leur ardeur et même une certaine violence. Je n'avais plus aucune retenue et les incitais à plus de force.

    Ma femme sentit venir le moment crucial.
    - Je veux vous voir éjaculer sur son visage !

    Je fus mis sur le dos. Deux types prirent place. Je les repris en bouche un moment. Leurs sexes étaient gras de mes sécrétions anales, je les nettoyais parfaitement.
    Le premier manifesta des signes de fatigue. J'ouvris la bouche et le branlais de ma main, faisant tourner ma langue sous le frein. Soudain, l'explosion. Sa semence gicla et je la reçus sur ma langue et mes joues. Ma femme me regardait, passionnée.
    Le second eut droit au même traitement avec le même résultat, tout aussi abondant.
    Pour parfaire le spectacle, je regardais ma femme et jouant avec ma langue qui baignait dans les semences qui m'avaient inondées, mais sans avaler. Les deux autres vinrent se soulager sur moi.

    Les types, soulagés, s'écartèrent et ma femme approcha. Elle me chevaucha, saisit ma queue et la dirigea vers son sexe. Elle était tellement trempée et ouverte que je m'y plantais à fond d'un coup. Elle se pencha, approcha sa bouche de la mienne et m'embrassa, tout en ondulant sur ma bite. Nous nous partageâmes tout le plaisir de ces quatre hommes, jusqu'à l'orgasme final.

    Nous regardons parfois le film, dernier souvenir réel de cette expérience que ma femme avait secrètement organisé.


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  • Cette histoire vraie, c'est passée à Chamonix. Il y a presque 20 ans.

    A 19 ans, je suis très sportif et pratique la randonnée. Assez solitaire, je parcours seul les sentiers de montagne.

    Après le troisième jour de randonnée, je prépare l'itinéraire du lendemain au pied de ma tente. En cette fin d'après-midi de septembre, le soleil est encore très agréable.
    Un type s'approche de moi, la 60aine, nous échangeons des civilités, et il m'annonce qu'il est masseur.

    - Lui: tes mollets sont très tendu.
    - moi: Oui, les descendes sont raides et ils encaissent.
    - Lui: si tu veux je peux te les masser. Tu verras ça te fera un bien fou.

    J'accepte et avec un empressement suspect il va chercher son talc.
    De retour, il demande de m'allonger sur mon matelas mousse et commence son travail. C'était la première fois que je me faisais masser. Après quelques minutes de traitement, mes muscles étaient totalement détendu.

    - Lui : si tu veux, je peux également te masser les jambes et le dos.
    - Moi : Volontiers.
    - Lui: Ce serait plus facile si tu enlevais ton short (j'étais torse nu). Tu pourras te couvrir d'une serviette.
    - Moi: Pas de problème. Rentrons dans ma tente. Je suis naturiste et la nudité ne me dérange pas.

    Tout en entrant dans la tente igloo, je surpris une drôle de lueur dans ses yeux. Comme de l'envie ?
    J'enlève mon short, il me sourit. Je m'allonge sur le matelas.
    Il recommence son massage. Les jambes, le dos. Il était vraiment très doué.
    Puisque je n'ai pas de serviette, il passe de temps en temps sur mes fesses. Léger au début, ses attouchements se font plus ferme.
    Prétextant qu'il y a là, également des muscles, il n'a aucune gène à me peloter fortement les fesses.
    J'ai un doute sur ses réelles intentions, mais ça ne m'effraie pas. Je sais que s'il tente quoique ce soit contre mon gré, il en sera à ses frais.
    Il écarte légèrement mes jambes et s'attarde sur mon cul. Ses mains me découvrent de temps à autres mon anus.
    Mon ventre se noue, pas de peur ni de honte, mais d'envie !
    Il accentue ses mouvements, passant quelques fois sur ma rondelle vierge. Je n'ai qu'un désir: qu'il me pénètre.
    Mais il en reste là.

    - Lui: Si tu veux, je peux te masser de l'autre coté ?
    - Moi: Avec plaisir.
    Je ne sais pas ce qu'il lit sur mon visage, mais il a l'air satisfait. Rapidement, il me masse les jambes, le visage, le torse.
    Pour en venir à mon bassin. Au début, il touche ma verge par inadvertance. Devant mon absence de protestation, il la provoque de plus en plus et cette partie de mon corps fait maintenant intégralement partie du massage.
    Il prend mon silence pour un encouragement et se focalise uniquement sur ma verge et ma bourse. C'est divinement bon, sans toute fois provoquer une érection.
    Il m'explique que c'est un massage sexuel sans masturbation.
    Ma respiration s'accélère. J'ai envie de sexe. Fort. Même, surtout avec un homme. J'ai envie qu'il me pénètre avec son sexe.
    Il continue son délicieux travail et j'en viens à laisser échapper ces goutes translucides annonciatrice d'un plaisir certain.
    C'est à se moment qu'il décide d'arrêter.
    - Lui : tu as déjà touché le sexe d'un homme ?
    Je lui réponds un non timide. Il enlève son short, prend délicatement ma main et la pose sur sa verge.
    Mes doigts se referme sur sa hampe. Elle est douce, délicate.
    Je tire légèrement son prépuce pour découvrir son gland. Je le remonte et commence à le masturber. Il soupire de plaisir.
    Ça m'encourage. J'ai très envie et sans réfléchir, je me penche, ouvre les lèvres et fait disparaître son gland dans ma bouche.
    Quel plaisir de sentir cette verge frotter sur mes lèvres, toucher ma langue. Il est très surpris et gémis de plaisir.
    Je joue avec sa bourse d'une main tandis que je lui procure une fellation comme j'en ai souvent vue dans les films pornos.
    Il n'arrête pas de gémir et ses mains me caressent maintenant le corps.
    Il ne bande pas très fort, enfin pas comme un jeune homme de 19 ans, mais prend visiblement son pied. Sa respiration s'accélère, ses cris se font plus fort. Sa verge se durcit, ses boules remontent, ses jambes se contractent. Il vient de jouir mais aucune goute de sperme n'est sortie. J'avais tant envie d'y gouter.
    Il me remercie, me pose des questions car il est très étonné que ce soit ma première fois avec un homme.
    C'est pourtant vrai. Mais la nuit passée, j'avais fait un rêve érotique très troublant. Je suçais un homme qui éjaculait dans ma bouche. Au réveil j'avais constaté que c'est moi qui avait éjaculé dans mon sac de couchage. Troublé mais pas honteux.

    Il s'approche de moi et me couche sur le dos avec une certaine autorité. Il ne bande toujours pas, mais ne veut visiblement pas en rester là. Il s'allonge sur moi, place son sexe sur le miens et commence des vas et vient avec son bassin. Je suis soumis, passif. Il me prend la tête entre ses mains et me couvre de baiser. Le cou, le menton, les joues, la bouche. Je soupire de plaisir.
    Je ne peux l'expliquer, mais le contact de son corps sur le mien me procure un bien fou. Ton mon corps reçoit des caresses. Il m'immobilise la tête et tente de rentrer sa langue dans ma bouche. Je ne sais pourquoi, je refuse.
    Il y introduit alors un doigt. Je ne me méfie pas et le laisse faire. Il le déplace sur le coté de ma bouche, m'obligeant à l'ouvrir un peu plus. Il approche de nouveau sa langue.
    Je suis pris au piège. Si je veux lui interdire de me pénétrer, je dois le mordre violemment. J'y renonce. Il enfonce sa langue entre mes lèvres.
    J'abandonne, ma langue part à la recherche de la sienne. On s'échange un long et passionné baiser. Il n'arrête pas de m'embrasser. Je ne reste plus passif. Mes mains se promènent sur son corps. Moi aussi j'empoigne ses fesses. Il jouit encore une fois, toujours à mon grand regret sans éjaculation.
    On se regarde tendrement, on ne vient pas de baiser, mais de faire l'amour.

    On en reste là. Il me parle de moi, comme s'il me connaissait déjà très bien. Il me dispense de nombreux conseils pour mes relations sexuelles et sentimentales futures.
    Il m'annonce entre autre que je ne suis pas gay, mais que j'aime simplement aussi, faire l'amour avec des hommes.

    De nombreuses fois, je me suis masturbé en pensant à cet après-midi.

    L'absence de pénétration a fait naître en moi un puissant fantasme, que j'ai assouvis bien des années plus tard...



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  • Première sodomie

    Je réalise enfin mon fantasme : me faire sodomiser


    Bien des années ont passées depuis ma première fois à Chamonix. Je suis maintenant marié et ma femme et moi pratiquons couramment le libertinage.
    Je travaille à Bruxelles. Un jour après le boulot, j'en profite pour visiter un sauna gay. Rien de passionnant à écrire. J'y ai bien sucé quelques bites, et on m'a masturbé, mais la seule fois où un homme a voulu me sodomiser, il voulait le faire sans préservatif ! Allons donc, le sexe sans protection avec un inconnu au bout de 10 minutes ... incroyable !

    Ce fantasme de me faire pénétrer est trop fort. Quand je fais l'amour avec ma femme il me vient même parfois l'idée d'un homme qui me pénètre ! C'est décidé, je vais le faire. Je surfe sur un site de rencontre libertine. On y a déjà rencontrer plusieurs couples très charmants et ... très chaud. Mais cette fois, je cible mes recherches sur "homme pour homme". Je finis par trouver un homme qui se dit décidé et expérimenté. Je l'appellerai ici, Andrée. On échange quelques mails et je lui explique que je désire me faire sodomiser pour la première fois. Au début, il n'y croit pas trop. Beaucoup d'hésitant également sur ce genre de site. Les gens ont du mal à passer du virtuel au réel.

    On fixe un rendez-vous pour mercredi, fin d'après-midi.
    Je commence ma journée très tôt pour pouvoir me libérer. Que cette attente fut longue. J'avais le ventre noué comme un adolescent à son premier rendez-vous. J'arrêtais d'y penser. Je n'ai pas du faire grand chose ce jour là. Midi passe, je m'éclipse dans une salle de réunion pour l'appeler. Il est agréablement surpris de m'entendre et me donne son adresse. Il insiste pour être bien certain que ça va être ma première fois. Devant cette insistance, je lui dis simplement que j'ai déjà essayé un des godes de ma femme, mais sans vraiment éprouver du plaisir.

    Je quitte le boulot et prends la route. La boule au ventre ne m'a pas quittée. Je me gare devant chez lui, dans une rue calme. Un couple de jeunes gens jouent au badminton dans la rue.
    Andrée vient m'accueillir. Son annonce n'était pas accompagnée d'une photo de son visage et je suis un peu surpris : il est assez âgé. Il doit avoir la 50aine. Peu m'importe s'il est en forme. Il salue le couple de la main.

    Il me serre un verre et me complimente sur mon physique. Il me parle de lui, de son ancien couple, de comment il est arrivé à être gay après une vie d'hétéro. Je lui parle un peu de moi, de mon envie. Il m'avoue qu'il ne voit qu'un seul amant de manière régulière et qu'il n'a pas pour habitude de faire des rencontres. J'ai hâte de passé à l'action, mais je n'ose pas m'approcher de lui. La conversation est sur un domaine trop sentimentale.
    Quand il me propose de passé dans sa chambre, je suis soulagé et très excité. On se déshabille chacun de notre coté. Je rassemble mes affaires au pied du lit. Quand je me retourne, il est déjà nu, allongé sur le lit. Il me sourit en flattant sa verge nonchalamment. Il bande déjà très fort ! Sa verge est tellement tendue qu'elle ne touche pas son ventre. Je n'en reviens pas, et avec le recul, je le soupçonne de s'être fait aidé.
    Je m'approche, m'allonge à coté de lui et l'embrasse sur la bouche, avec la langue. Il est agréablement surpris par cette initiative et m'embrasse de plus belle. Sa langue est chaude et agréable. Il n'embrasse pas comme une fille. Moi, généreux, je n'ai aucune retenue et lui permet de fouiller ma bouche comme il l'entend.
    Je pose ma main sur son sexe. Il est complètement rasé. C'est très agréable. Je me penche, approche mon visage et observe son sexe. Il a de très grosses testicules et en a un peu honte. Je ne trouve pas ça déplaisant. Je m'approche encore. Il sent bon. Ce genre de parfum d'homme, viril. J'ouvre ma bouche et fais glisser lentement sa hampe à l'intérieur, tout en enserrant sa verge d'une main. Il soupire tout en me caressant. Ses mains passent de mes cuisses à mes fesses. Petit passage par ma bite. Il retourne sur mes fesses et flatte mon anus d'un doigt humidifié. Il m'attire à lui et me demande de m'installer en 69. Je le suce sans retenue et je sens ma hampe rentrer dans sa bouche. Elle est chaude c'est très agréable. Je quitte son sexe tendu à l'extrême pour lécher sa bourse. Je voudrais descendre plus bas avec ma langue, mais ça position m'en empêche. Lui par contre, à tout le loisir de mater mon petit trou. Il abandonne rapidement mon sexe pour me titiller l'anus avec sa langue. Que c'est bon. Il alterne grand coup de langue bien mouillé avec de petite pénétration avec celle-ci. Pas de doute c'est en expert. Je dois sortir son sexe de ma bouche pour laisser passer mes gémissement.
    J'ai trop envie, je suis au bord de l'explosion. Mon sexe n'arrête pas de suinter de liquide translucide. Je me retourne ver lui, lui demande où sont les préservatifs. Il m'annonce qu'il n'en a pas. Que comme je peux être considéré comme une personne à faible risque et que lui même à un compagnon fixe, il n'y a pas de problème. Je ne suis pas convaincu, mais je suis tellement excité que je passe outre cette précaution. Il me tend un tube de gel et me demande d'en disposer à mon anus. Il n'en veut pas sur sa verge.
    N'ayant jamais pratiqué, je lui fais confiance.
    Il reste sur le ventre, le sexe tendu. Je passe une jambe de chaque coté de son corps, mon cul à la vertical de sa verge. Je descends, approchant mon œillet lubrifié de son dard. Il me laisse faire. "Comme ça tu pourras régler la pénétration si tu as mal". Mais ça ne rentre pas, ça glisse avec le gel et mon impatience. Il me calme et je recommence.
    Son gland écarte mon œillet. Ça y est, il me pénètre. C'est bon, je sens son gland franchir mes barrière. Un peu de douleur se mêle à mon plaisir, mais je n'ai pas envie de m'arrêter. Je continue à m'empaler sur son sexe. Il me rempli les entrailles. Quel différence avec un gode en plastique. Je sens le contact de son bas ventre sur mes fesses. Il est complètement rentré. Je me relève pour sortir un peu son sexe. Ses mains puissantes sur mes anches m'empêchent de ressortir son gland de mon anus. Je ne suis pas encore prêt pour cela. Mon cul doit d'abord s'habituer à la grosseur de son sexe. Ses mains guident mes mouvements, mais je dirige la pénétration. Je soupir, le plaisir se fait de plus en plus fort. Les ondes qui traversent mon ventre n'ont rien en comment avec ce que j'ai connu jusqu'à présent.
    Je me retire et me place en levrette. C'est comme ça dans mon fantasme. Il se place derrière moi et rentre son sexe délicatement. Il est doux et attentionné avec moi. Il accélère ses mouvements. Je pousse mon cul vers lui pour lui signifier que je veux le sentir fort. Il comprend et je sens sa verge entrer plus profondément. Il m'accroche pas les hanches et me possède maintenant totalement. Son sexe touche quelque chose en moi qui m'envoie des décharges de plaisir à chaque pénétration. C'est fort, trop. Je hurle mon plaisir. Il me prend comme une bête.
    Il se retire de moi, sans avoir jouit. Il est épuisé à me pistonner ainsi. Il se couche, mais j'en veux encore. Je m'empale à nouveau, mais cette fois je suis à genou et non accroupi. L'angle de son sexe dans mon cul est parfais. Je fais non pas des vas et vient, mais je balance mon bassin d'avant en arrière, très vite. Voilà, c'est là, les décharges recommencent. Il me masturbe, c'est trop. Je ne bande pas. Je n'en peux plus, je suis exténué.
    André était au bord de la jouissance. Je fais disparaître son sexe entre mes lèvres. Par chance, il n'est pas souillé. Je fais coulissé l'entièreté de son sexe dans ma bouche, puis m'attarde sur son gland, sur la partie la plus sensible. Il ne tient plus. Il repousse ma tête. Il va jouir. J'écarte ses mains et reprends de plus belle son sexe. Juste à temps pour accueillir un longue saccade de sperme. S'en suive une autre, encore une autre, il m'emplit la bouche et continue d'éjaculer. Je ne veux rien en perdre. J'en recrache un peu dans la main pour pouvoir contenir le reste. Je joue avec son liquide dans ma bouche. Il a bon gout. Je l'avale lentement pour prolonger se plaisir. Je reprends son sexe en bouche. Je suis doux, je sais comment le gland peut être sensible à se moment. Il gémit encore et ses mains sur ma tête m'encourage à continuer cette caresse. Après quelques minutes de se traitement, il n'en peux plus et libère son sexe de mon étreinte buccale.
    N'ayant pas encore jouit, il me masturbe avec agilité. Je l'embrasse sur la bouche. Le plaisir monte, je m'accroche à lui. Il accentue sa caresse et je décharge mon sperme sur son ventre.
    Il se nettoie avec un cleenex. On discute gentiment. Je lui signale au passage, que mes fantasmes gays disparaissent toujours après avoir éjaculé. Pas d'importance pour lui. On a passé un bon moment et il apprécie que je m'offre à lui sans retenue.
    Je cajole sans trop y penser son sexe. Qui commence à grossir. Cette odeur de sperme qui emplit la chambre, ce gout si particulier qui réside encore dans ma bouche, commence à provoquer en moi un désir nouveau. J'en veux encore. Il me masturbe à son tour et à notre surprise, je bande fort. Nos corps se touche, se confonde. Il me couche sur le dos, relève mes jambes, les places sur ses épaules. Il approche son gland et me pénètre sans s'arrêter, d'un coup jusqu'à. Je suis surpris. Il y va plus fort que la première fois. Mon anus est encore un peu dilaté et l'accepte sans douleur. La pénétration est différente dans cette position. Il alterne long et lent mouvement avec des saccades rapides. Au passage, il se penche et m'embrasse. J'adore sa langue. Il reprend un rythme régulier avec son bassin. Diabolique, le plaisir inonde tout mon bassin. Difficile de dire d'où vient se bonheur. Il m'enserre le sexe d'une main et commence à me masturber. Je ne bande plus, mais ce qu'il me fait par derrière se propage à ma verge. Je sens la jouissance monté, encore et encore. Normalement je devrais exploser dans une forte gerbe de sperme. Mais ça ne vient pas. Je suis arrivé à un plateau de jouissance, mais pas de délivrance. Je perds pied, ma respiration se fait courte et superficielle. Je ne parviens pas à gémir, à crier. Tout devient sombre, la chambre disparait, je ne voit plus Andrée. La jouissance est trop longue. Je n'entends pratiquement plus rien, je perds toute sensation à part cette jouissance. Au bord de l'inconscience, je laisse échapper mon orgasme. Pas de saccade, juste un flot continu de sperme sur mon ventre.
    Je reprends lentement pied. André c'est retiré et posé à coté de moi, m'embrasse. Je me retourne pour lui faire face et nous nous enlaçons. Mon sperme s'étale sur son ventre. Nos langues s'échangent un long baiser. Torride.

    Il me proposera de renouveler l'expérience, de devenir son deuxième amant habitué.
    Sur la route pour rentrer chez moi, je repense à nos ébats, mais une image commence à s'imposer : pas de préservatif.
    Quel con j'ai été. Et si ...
    Une prise de sang quelques mois plus tard me soulagera. Mais je ne le reverrai pas.

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  • Paris, je quitte la station Réaumur-Sébastopol et me dirige un sourire sur les lèvres vers le bar nudiste dont j’ai repéré l’adresse sur un dépliant trouvé dans le Marais…

    Ce sera ma première prestation en un tel lieu et des tas d’images, de mots, et de situations, me reviennent à l’esprit.

    Je me remémore, en voyant se profiler à l’horizon cette silhouette virile et pourtant si contrastée par le visage angélique de son propriétaire, un petit texte que j’avais écrit bien des années plus tôt : " La croisée des désirs ".

    " A la vue de ce garçon je ne peux retenir mon souffle.
    Ma volonté voudrait que je regarde ailleurs mais en dehors de lui rien n’existe. M’arrêter pourtant me semble impossible et plus que tout je souffre.
    Il est là, se rapproche, me frôle, nous marchons sur la même piste, la même route.
    Nous nous éloignons et déjà l’envie fait place aux souvenirs, tant de destins croisés, tant d’images oubliées se rassemblent en un puzzle fascinant.
    Au loin une autre silhouette se dessine, la scène va bientôt recommencer.
    Je pense alors que la vie n’est que souvenirs bons et mauvais jusqu’à l’ultime néant… "

    Je chasse de mon esprit cette dernière phrase car tout ce que je veux ce soir c’est m’éclater. Je tourne et ne mets pas longtemps à me trouver devant l’entrée du fameux bar.
    Personne alentour quand bien même j’en n’ai rien à foutre.

    J’appuie sur la sonnette…

    La réponse ne se fait pas attendre. Un beau mec ouvre et me demande d’entrer.

    - Tu sais où tu es et comment ça se passe ici ?
    - Pas trop. Je suis de Marseille et c’est ma première virée dans ce bar
    - Bon, tous les clients ici sont à poil, je te file un sac en plastique, tu y mets tes affaires et tu le donnes au barman qui te remettra un ticket. Tu ne gardes que tes chaussettes et tes pompes, rien d’autre.

    Pendant qu’il parlait j’essayais de me convaincre de ne pas me mettre à bander devant les mecs qui seraient là …

    Je paye l’entrée, et passe la seconde porte. Sur le côté un comptoir, où discutent des types de tous âges, certains semblent désinvoltes d’autres plus réservés, mais un point commun les réunit, ils sont tous nus comme des vers.

    Je joue l’habitué et me livre à un strip-tease sous les yeux de ces étranges compagnons de fortune. Je sais qu’ils me matent et feins d’ignorer leurs regards.
    Une fois le slip enlevé je me rechausse, je bande à demi et ça me réconforte, d’autant plus que ceux qui m’entourent ont leur sexe dans des situations plus ou moins analogues.

    Je dépose mon sachet et glisse mon ticket dans une de mes chaussettes. La fête va commencer…

    Au barman, je demande " Et en bas c’est quoi " " Ah, en bas il faut y aller pour voir… "

    Je descends l’escalier, et là c’est la cinquième dimension. La plupart des mecs branlent leur sexe, certains l’ont très gros, il y en a de plus ou moins bien foutus, plus ou moins jeunes, de tous les gabaris. J’entreprends de faire un repérage, la bite droite comme un " i " maintenant.

    Au plus profond de l’endroit ça sent le mâle, des mains me caressent dans l’obscurité alors que je passe devant des corps enlacés qui émettent des gémissements de plaisir qui emplissent l’espace.

    Je ne m’attendais pas du tout à ça. Je me trouve à la limite de ce sous-sol, le lieu est assez éclairé et un jeune homme, à peine m’a-t-il vu, se dirige dans ma direction. Je me retourne il n’y a personne derrière. Putain, c’est moi qu’il veut…
    Il me chuchote " Viens, suis-moi ". Putain, le cul qu’il se paye, je rencontre ce mec à peine arrivé, c’est trop.
    On va dans une sorte de cabine dont un genre de filet de camouflage militaire recouvre l’entrée. Là il me regarde, commence déjà à m’astiquer la queue de sa main puis se baisse et la porte à sa bouche. Il sait s’y prendre, son va-et-vient parfait et imaginatif me porte rapidement à l’extase. Il passe alternativement sa langue sur tout mon sexe sans oublier de s’attarder langoureusement sur mes couilles. Je caresse ses cheveux. Il laisse alors là son ouvrage et emmène ses lèvres sur les miennes. J’ai pu encore voir son visage dans un rayon de lumière. Il est trop bandant ce petit mec, trop belle gueule, brun, cheveux courts, jeune mais le torse poilu comme je les aime, des pecs assez bien développés et tout et tout.
    A mon tour je mets ma bouche au niveau de son sexe et tout de suite le gobe avec délice. Un goût de plaisir charnel prend vie dans ma bouche, alors que mes mains cherchent des bouts de seins dont le relief montre que je ne suis pas le premier à les manipuler.

    Un moment de pompage savant de ma part passe et il m’annonce " Je vais jouir " et je réponds " putain ! moi aussi ". On a éjaculé quasiment en même temps et dans un même râle.

    Il disparaît aussitôt parmi les autres ombres de ce lieu que d’aucuns appelleront " de perdition " que je nommerai moi : " de résurrection ".

    A mon étonnement j’en veux encore, et retourne au fond, là où j’ai rencontré ce petit mec. Je me poste près d’un groupe qui "s’amuse" dans son coin.

    Là le temps est un peu plus long, je ne drague pas, j’attends le prochain volontaire. Il se plante devant moi, il est âgé par contre, au moins 55 ans. J’avais à peine la quarantaine mais en voyant son sourire sur son visage buriné, sa chevelure argentée qui coiffait un visage sympathique, je me dis en moi-même, " Il a de l’expérience ".
    Voyant que je ne suis pas revêche, il commence illico à me faire des choses que jusqu’ici je ne connaissais pas. Il me mordille sur les côtés du buste et ailleurs, à la frontière de la douleur et du plaisir. Il s’active ensuite sur mon sexe avec une ardeur qui contraste avec son âge que j’ai maintenant oublié… Je respire son corps qui est contre le mien, et lui murmure "tu sens trop bon". Il me sourit et m’embrasse tendrement, putain il va me faire éjaculer lui aussi. Et c’est le cas. Pendant qu’il m’astique le chibre d’une main, les couilles de l’autre, et qu’il sent que je crache dessus, au lieu de diminuer il augmente encore le rythme. " Ah, putain, assez, assez, je n’en peux plus ". Il me sourit, serre ma bite, en fait sortir la dernière goutte et susurre " Salut mec, je vais aller me laver les mains maintenant". Il m’embrasse et lui aussi s’évanouit dans la pénombre.

    Putain je m’en vais maintenant, je suis vanné.

    Un mec à genoux me barre le passage et me dit, " éjacule sur ma poitrine j’adore ça ".
    Reconnaissant de ces premiers contacts en ce nouveau lieu, je commence à me branler sans trop de conviction néanmoins, mais d’autres mecs se joignent à nous, se sèguent en cadence avec moi autour de l’autre. Monte une tension indicible, je ne sais pas ce qui a provoqué cette dernière réaction, mais l’excitation générale fait que je vais encore gicler. Trois fois dans la même soirée, certainement l’effet de la nouveauté.
    Du groupe, c’est moi qui expulse son sperme, ou ce qui en reste, le premier. Le mec s’en badigeonne les pectoraux et s’en passe sur sa langue gourmande. Je n’attends pas le résultat des autres et décide alors de rentrer à l’hôtel, repu et vidé.

    Dehors rien n’a changé. Je croise de gentils couples hétéros qui ne pourront jamais imaginer que moi le mec au look bien sage, je viens de me perdre et désirerais me perdre encore et encore…

    Ce n’est que partie remise… J’ai débarqué ce matin et je suis là pour la semaine entière.
    Tiens, un mec au loin s’avance. Je me mets à rire et récite quasiment à haute voix la fameuse " croisée des désirs… ". Je n’ai plus peur de rien ce soir, j’existe…

    internath13@laposte.net
    j:p)
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