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Par Francky 94 le 8 Mai 2009 à 15:13Etonnantes rencontres,aucun commentaire
Par une belle journée d’été, mon téléphone sonne. C’est Steve, le patron d’une boîte de travestis qui m’appelle.
- Allo Sandra, j’ai quatre nouvelles qui t’attendent au club.
- Merci de m’avoir appelée, j’arrive le plus vite possible, lui dis-je en raccrochant.
Je suis heureuse de son coup de fil, car il me présente souvent des partenaires excitantes et très féminines.
Comme toujours, je ressens l’excitation particulière du premier rendez-vous.
Dans ces étreintes sans lendemain, je peux vivre mes fantasmes les plus intimes avec l’unique but de prendre et de donner du plaisir.
J’agrafe avec fébrilité ma guêpière en plaçant avec soin mes prothèses en silicone dans mes bonnets 105/C.
Puis, je glisse sur mes hanches un adorable slip ouvert qui me laisse prête à faire l’amour en toute circonstance.
Car, j’aime être prise dans les lieux publics : parc, porche, escalier, arrière salle de café…
La crainte d’être surprise dans ces moments là redouble mon excitation.
J’enfile mes bas en les fixant aux quatre paires de jarretelles et caresse avec émotion ces fibres de nylon qui m’électrisent les sens.
Je fais quelques pas dans la chambre en frottant mes cuisses l’une contre l’autre pour faire crisser les mailles à chacun de mes pas.
Sortant d’un tiroir un préservatif féminin, je m’allonge sur le lit et l’enfonce dans mon fourreau en déployant la corolle en latex autour de ma rosette.
Cette protection est très pratique, car je peux la laisser en place toute la journée et faire l’amour sans devoir la changer entre deux rapports.
Elle me permet aussi en fin de séance de voir le volume de sperme que j’ai recueilli dans mon ventre.
Devant ma coiffeuse, je pose mes faux cils en me coiffant d’une perruque blonde coupée au carré et j’achève ma métamorphose en donnant une légère retouche à mon maquillage.
Je plaque mon sexe vers l’arrière en le fixant avec un adhésif avant d’agrafer à ma taille une jupe marron très courte que j’assortis à un corsage plus clair.
Puis, je m’entraîne devant le miroir à retrouver les poses et attitudes qui accentuent ma féminité.
Les fesses et la poitrine bien cambrées, j’adopte une démarche souple et sensuelle.
Je prends beaucoup de plaisir à me transformer peu à peu en une fille crédible et attirante.
Enfin prête, je quitte mon appartement d’un pas rapide juchée sur mes talons aiguilles.
Dans la rue, je prends conscience du regard des hommes qui me dévisagent et j’amplifie mon déhanchement en les fixant dans les yeux quand je les croise.
Ils sont attirés par mon côté sexe mais semblent craindre de ne pas être à la hauteur de mon tempérament volcanique.
Les femmes plus subtiles, devinent ma double identité et me considèrent d’emblée comme une dangereuse rivale.
Je leur adresse alors mon plus beau sourire en leur montrant que je ne suis pas indifférente à leur charme.
Déstabilisées, elles ne savent plus alors quelle attitude adoptée.
Arrivée au club, j’interpelle Steve en montant l’escalier quatre à quatre.
- Envoie moi ta première protégée dans la chambre « chevalier d’éon » et demande lui de ne garder que ses dessous.
J’ai à peine le temps de m’allonger sur le lit que Betty apparaît dans l’embrasure de la porte.
C’est une charmante blonde visiblement débutante et timide qui reste figée sur place.
Elle porte une nuisette transparente et un collant moule son sexe en la rendant provocante malgré elle.
Son maquillage excessif et son rouge à lèvres peu discret témoignent d’une faible expérience en la matière.
C’est donc avec amusement que je me décide à assumer le rôle d’initiatrice dans cette rencontre.
- Approche toi, lui dis-je en me déshabillant.
J’enlève mon corsage et dévoile mes seins comprimés dans ma guêpière pendant qu’elle s’avance d’un pas hésitant.
J’ai encore le temps de retirer ma jupe avant qu’elle n’atteigne mon lit.
Je décalotte son gland en le frottant lentement sur les fibres de nylon de son collant.
C’est avec une certaine émotion que je vois sa queue se gonfler pleine de désir.
Puis, je masturbe Betty en lui pressant tendrement les bourses.
Cela l’excite fortement et elle se met à trembler de désir.
Sachant qu’elle ne tiendra pas longtemps, je l’aide à retirer son collant en lui disant :
- Viens vite ma chérie avant qu’il soit trop tard.
J’écarte lentement les cuisses en lui montrant par la fente de mon slip ouvert mon œillet qui palpite d’impatience.
Betty, s’agite fébrilement et hésite encore à céder à ses pulsions.
- Fais moi l’amour, lui dis-je d’une voix chaude en l’encourageant du regard.
A ces mots, elle se jette sur moi comme un chien fou et j’ai à peine le temps de saisir son sexe pour le guider dans mon fourreau.
Elle me baise avec fougue sur un rythme effréné.
Très vite ses gémissements m’annoncent l’imminence de son orgasme.
Je me presse contre elle et croise mes jambes dans son dos pour l’immobiliser.
- Jouis maintenant ma chérie, lui dis-je à l’oreille en lui enfonçant mon majeur dans l’anus.
Le corps en arc de cercle, elle reste tétanisée un instant.
Puis, elle explose par saccades en m’inondant de la sève de ses vingt ans qu’elle n’en finit plus de déverser dans mes reins.
Mes doigts pressent son périnée et sa queue pour faire sortir ses dernières giclées de sperme.
Après l’avoir vider, je la retourne sur le dos en lui écartant les fesses.
En forçant son passage, je me rends compte qu’elle est pratiquement vierge.
A l’évocation de cette pensée et ayant ma queue fortement serrée dans son fourreau, je ne tarde pas à exploser en elle.
Lorsque je me retire, elle éponge de son mieux le flot de sperme qui sort de ses fesses et coule le long de ses cuisses.
Je la câline un moment avant de lui demander à regret de me quitter.
A peine rhabillée, je vois entrer Claudia, une superbe rousse transsexuelle.
Elle porte un corset et des cuissardes de couleur rouge et noir qui m’indiquent clairement ses penchants de dominatrice.
Je rentre immédiatement dans son jeu en rabattant craintivement ma jupe sur mes cuisses comme pour me protéger.
- N’aie pas peur de moi ma belle, me dit-t-elle en sortant une queue massive de son slip brésilien.
Je remarque que son gland est épais et qu’il va me donner plus de plaisir.
Sans perdre de temps, Claudia me trousse sans vergogne en glissant une main assurée sous ma jupe.
Je serre mes cuisses pour ralentir sa progression.
Ma résistance l’excite et elle devient plus entreprenante.
Quelques instants plus tard, ses caresses me déclenchent une érection spectaculaire.
Je finis par craquer en laissant sa main se glisser dans la fente de mon slip.
Surprise par la taille de mon clito, elle me dit :
- On dirait que je te fais de l’effet ma chérie.
C’est vrai qu’elle m’a tellement excitée que je n’arrive plus à lui résister.
Elle s’en rend compte et me dit d’une voix autoritaire.
- Maintenant allonge toi sur le ventre et donne moi tes fesses.
Ses doigts inquisiteurs se glissent dans mon sillon en s’immobilisant sur ma corolle en latex.
- Retire cela immédiatement, me dit-t-elle d’un ton sans réplique.
- Je t’en prie, laisse moi le garder, c’est un préservatif spécial que j’ai mis pour amplifier ton plaisir, lui dis-je en l’implorant du regard.
La voyant hésiter, je la masturbe d’une main experte pour la faire fléchir.
- Je veux bien essayer me répond-t-elle finalement.
Elle se met entre mes cuisses et je cambre les reins lorsque son gland turgescent se presse contre ma rosette.
- Pousses dés que je commence à t’enfiler ma chérie, me dit-t-elle avec une pointe d’excitation dans la voix.
Je l’aide de mon mieux en sentant mon anneau résister à la pression.
Claudia insiste et mes sphincters finissent par s’ouvrir sous la violence de l’assaut en laissant son dard s’engouffrer d’un coup dans mes reins.
Après une brève douleur, j’éprouve beaucoup plaisir à sentir cette queue me fouiller le ventre.
Mon désir monte crescendo lorsque j’entends le claquement de son bassin sur mes fesses et s’amplifie quand je sens ses bourses me fouetter le périnée à chaque va et vient.
C’est pourtant Claudia qui jouit la première en déversant de puissantes giclées de foutre dans mes fesses.
Je l’entends gémir de plaisir lorsque je contracte mes muscles intimes sur sa queue pour finir de la vider.
Puis, elle se rhabille et sort de ma chambre sans dire un mot en me laissant dans un état d’excitation intense.
Heureusement, deux ensorcelantes brunettes lui succèdent dans l’encadrement de la porte.
Natacha et Sabrina portent la même adorable guêpière gris perle ornée de dentelle rose.
Je les regarde s’approcher de moi.
Elles ont un visage avenant, la taille fine et des cuisses fuselées.
Fascinées par mon sexe en érection, elles m’expliquent qu’elles sont venues au club pour réaliser leur fantasme qui est de me faire l’amour toutes les deux en même temps.
Les sens mis en ébullition par Claudia, j’accepte leur proposition en les masturbant jusqu’à ce que leurs clitos atteignent une taille respectable.
- Allonge toi sur le lit, dis-je à Natacha.
Lui tournant le dos, je m’accroupis sur son ventre en m’empalant lentement sur son sexe.
Puis, je m’allonge sur elle en ouvrant les cuisses pour inviter Sabrina à venir me baiser à son tour.
- Je t’attends ma chérie, lui dis-je d’un regard provocant.
Figée par ce spectacle, elle ne peut détacher ses yeux du sexe de son amie qui va et vient en moi.
Elle finit par m’embrocher lentement en se frayant un passage dans mes reins.
Très souple, elle se penche pour me gratifier d’une fellation d’enfer pendant qu’elle continue à m’empaler en duo avec Natacha.
Doublement sodomisée et pompée, je sens ma sève monter irrésistiblement dans mes reins et je décharge dans sa bouche en gémissant de plaisir.
Enfin calmée, je décide de m’occuper de Natacha.
- Tu vas jouir la première, lui dis-je d’une voix chaude.
Attentive, je suis sur son visage la montée de son orgasme en me trémoussant de plus belle sur sa queue.
Le moment venu, je l’achève en déclenchant de lentes et puissantes bascules du bassin qui la font défaillir.
Tremblant de la tête au pied, je l’entends crier de plaisir lorsqu’elle explose dans mes reins dans une succession de spasmes.
Le souffle court devant ce spectacle, Sabrina poursuit ses va et vient en voyant la sève de Natacha couler à l’intérieur de mes cuisses.
Très excitée, elle place alors mes jambes sur ses épaules en m’empalant jusqu’à la racine de son sexe.
Elle ne peut s’empêcher de sourire quand elle voit mes jambes gainées de nylon battre l’air de manière anarchique et témoigner ainsi du plaisir qu’elle me donne.
Reprenant mes esprits, je l’attire vers moi et éperonne sa croupe avec mes talons aiguilles pour l’encourager à me pilonner.
Telle une mante religieuse, je resserre mon étreinte pour mieux dévorer son sexe.
Saisissant un gode de dessous l’oreiller, je le vrille sournoisement dans ses reins en le tournant de droite à gauche pour l’enfoncer plus vite.
Surprise, elle se redresse pour tenter d’échapper à ce dard mais, je l’empale de plus belle en la faisant exploser dans une succession de spasmes.
Elle se retire de ma grotte en laissant échapper une coulée de sève qui dessine des arabesques blanchâtres sur mes bas.
Avant de me lever, je m’enfonce un plug dans l’œillet pour garder la semence que j’ai en moi.
Puis, je raccompagne Sabrina et Natacha à la porte en fixant la date de notre prochaine rencontre.
Restée seule, j’agrafe rapidement ma jupe sur mes hanches pour aller rejoindre Mirella qui m’attend chez elle.
C’est une transsexuelle de la Jamaïque arrivée depuis deux ans à Paris que je rencontre régulièrement.
Elle m’ouvre la porte dans un superbe déshabillé ivoire qui fait ressortir la couleur de sa peau.
Je ne résiste pas à l’envie de palper ses seins qui sont magnifiques.
M’invitant à m’asseoir prés d’elle, elle me caresse les cuisses en relevant mes dessous.
Soudain, son doigt inquisiteur se pose sur la tâche blanchâtre qui macule mon bas.
Soupçonneuse, elle remonte sa main sous ma jupe et découvre la présence de mon préservatif.
- Suis moi que je t’examine de plus prés, me dit-t-elle en faisant tomber mes vêtements à mes pieds.
Ses yeux s’attardent sur ma lingerie quand je m’allonge sur la table d’examen.
- Je te trouve craquante ma chérie, me dit-t-elle avec une lueur de perversité dans le regard.
Après m’avoir fixé les pieds dans les étriers, elle prend place entre mes cuisses pour m’enlever le plug et ma protection féminine.
- Je vois que tu ne t’aies pas ennuyée, siffle-t-elle en agitant le latex devant mes yeux.
- Il contient encore au moins 20cl de sperme rajoute-t-elle scandalisée.
Je sourie en pensant que certaines fois je rentre chez moi avec ma protection totalement pleine.
- Puisque tu es aussi chaude, je vais m’amuser avec toi, ajoute-t-elle d’un air équivoque.
Après m’avoir lubrifié abondamment l’anneau, elle plonge trois doigts dans mes fesses pour me faire bander.
Elle les fait coulisser un long moment dans ma grotte sur des rythmes lents et rapides en me masturbant.
Puis, quand elle me voit bien excitée, elle m’aide à me lever et m’entraîne dans la pièce voisine.
Je découvre alors un étrange objet ayant l’apparence d’un cheval d’arçons.
- Mets toi en selle, me dit-t-elle avec un sourire narquois.
Elle règle sa hauteur pour que j’aie les jambes bien tendues et bloque mes pieds au sol dans des attaches spéciales.
Lorsque je suis totalement immobilisée, elle appuie sur le bouton d’une télé commande qui déclenche l’ouverture d’une trappe sous moi.
- Tu as un plug en métal de vingt cinq centimètres placé sous tes fesses ma chérie, me dit-t-elle suavement.
- Il va t’empaler lentement et t’ouvrir progressivement à un diamètre de sept centimètres.
Mirella appuie sur une autre touche et le plug commence à s’enfoncer imperceptiblement mais inexorablement dans mes fesses.
Ma rosette se contracte au contact de ce cylindre d’acier qui s’engage dans mon fourreau.
- Détends toi ma belle, me dit Mirella en me masturbant d’une main experte.
Ses caresses irrésistibles lèvent mes dernières craintes et je me laisse embrocher sans résistance.
Mes chairs s’écartent lentement sous la poussée du pal en me faisant découvrir des sensations plutôt agréables.
Le fait d’être complètement soumise à cette machine sans pouvoir l’arrêter redouble mon excitation.
La pression devient de plus en plus forte et je découvre un plaisir étrange mêlé de douleur.
J’ai la respiration coupée en ayant l’impression d’être ouverte en deux.
Vingt minutes plus tard, je suis empalée jusqu’à la garde en voyant avec surprise ma queue dressée prête à exploser.
- J’ai incliné le plug vers l’avant pour qu’il appuie sur ton point G, m’explique Mirella.
- C’est pour cela que tu bandes magnifiquement, rajoute-t-elle en souriant.
- Te voilà bien ouverte et ton anneau a maintenant le diamètre d’une bouteille, me dit-t-elle avec une lueur trouble dans le regard.
Cette comparaison me surprend et j’ai du mal à la croire.
- Tu as le droit à une petite gâterie, ma chérie.
Elle me lèche la queue pendant que l’engin plongé dans mes reins se met à vibrer intensément.
Je craque lorsqu’elle fait glisser lentement son ongle sur toute la longueur de mon frein.
- Contracte tes muscles intimes sur le plug, me chuchote-t-elle à l’oreille en voyant les premières gouttes de sperme perler à la surface de mon gland.
Je gémis doucement lorsqu’une coulée de sève épaisse et continue sort lentement de ma verge en se déversant dans sa gorge.
Cette longue éjaculation me donne un bonheur sans égal.
Complètement sonnée, je contemple le mince filet de sève qui s’échappe encore de mon sexe et que Mirella recueille sur sa langue.
Un moment plus tard, elle me détache en me faisant passer une séduisante combinaison en satin rouge et noire par-dessus ma guêpière.
- Va m’attendre dans la chambre pendant que je me prépare.
Je me dirige vers son lit, troublée de sentir la tension de mes bas quand je marche et d’entendre le crissement du nylon sur mes cuisses.
Mirella me rejoint rapidement.
En plus de son déshabillé, elle porte à la taille un impressionnant gode ceinture.
Je m’aperçois avec surprise que son sexe est à l’intérieur.
- J’espère que ce jouet te comblera ma chérie, me dit-t-elle en le tenant à deux mains.
Il a des dimensions comparables au plug et je comprends mieux la raison de mon initiation précédente.
Elle s’allonge prés de moi et m’embrasse à pleine bouche en plaquant ses seins contre ma poitrine.
Puis, me mettant sur le dos, elle place deux cousins sous ma croupe pour me mettre à la hauteur du pal qui se balance lourdement entre ses cuisses.
- Maintenant remonte ta combinaison ma chérie.
Je la retrousse fébrilement sur mes hanches en dévoilant mes bas et mes jarretelles tendus à craquer.
Elle m’écarte les cuisses en contemplant ma rosette qui s’ouvre comme une fleur.
Je contrôle mal mon émotion et ma queue jaillit d’un coup par la fente de mon slip ouvert.
Mirella ne se laisse pas distraire et m’enfonce son majeur dans les fesses en le recourbant vers le haut pour me masser la prostate.
Elle regarde fascinée mes sphincters se contracter sur son doigt qui lui montrent que je ne reste pas insensible à ses caresses.
Elle me masturbe en même temps d’une main experte pour m’étourdir de plaisir.
- Je crois que tu es suffisamment ouverte ma chérie, me dit-t-elle en glissant son énorme dard entre les cuisses.
Pointant le gode à l’entrée de ma grotte, elle l’engage par petites pressions successives.
- Tu vas prendre une queue de sept cent grammes dans les fesses, me dit-t-elle d’un air prometteur.
Puis, elle la plonge dans mon oeillet en me regardant droit dans les yeux.
Haletante, la poitrine palpitante, je sens le pieu s’engouffrer dans mes reins malmenés.
Mirella utilise le poids de son corps et presse sur mes hanches d’une manière forte et continue pour m’empaler littéralement sur le gode.
Soudée à moi, elle se tortille avec une habilité diabolique.
Elle pilonne avec précision ma glande d’amour qui proteste en faisant gicler quelques gouttes de sève sur ses bas.
Je ne suis plus qu’un pantin entre ses mains dont elle use et abuse.
Quelques instants plus tard, ne pouvant plus retenir la coulée de lave qui monte en moi, j’explose en inondant ma guêpière d’un flot de sperme.
Mirella se lève pour détacher son gode ceinture et réajuster ses jarretelles en me jetant un regard enflammé.
Puis, elle se masturbe avec un érotisme torride en me rejoignant sur le lit.
Décidée à la surprendre à mon tour, je l’allonge sur le dos en lui enfonçant mon orteil dans les fesses.
Je décalotte ensuite son gland en le frottant longuement contre le nylon de mes bas.
Elle tremble de désir lorsque lui faisant face, je m’assois à califourchon sur sa queue tout en poussant une à une des boules anales dans ses fesses.
Sa respiration devient haletante quand je bascule mon bassin d’avant en arrière en tournant lentement ma croupe sur son pivot de chair.
Je contracte alors mes muscles intimes qui deviennent une véritable pompe à sperme en me trémoussant sur sa queue jusqu’à ce qu’elle succombe à mon massage fessier.
Quand elle explose en moi agitée de nombreux spasmes, je tire sur le fil qui pend entre ses cuisses en sortant d’un coup les boules anales de son fourreau.
Elle pousse un cri rauque et a un dernier soubresaut avant de s’immobiliser.
Epuisées et comblées nous ne tardons pas à nous endormir dans les bras l’une de l’autre.
Envoyez moi vos suggestions à : sandratvtg@yahoo.fr -
Par Francky 94 le 8 Mai 2009 à 15:08Expérience libertine De Maeva et Jean Claude.aucun commentaire
Ceci est l’histoire vraie de notre toute première expérience libertine de couple Maeva mon épouse et moi même.
Nous sommes mariés depuis bien longtemps maintenant. Maeva est une jolie Tahitienne que j’ai connue lors de mes nombreux séjours en Polynésie, comme militaire. Au début de notre mariage, comme beaucoup d’homme, je fantasmais sur ma femme. L’imaginant avec d’autres, dans des situations les plus inavouables et invraisemblables. Nous avions tous les deux beaucoup de fantasmes. Elle aimait partager et jouer à nos jeux intimes. Il lui arrivait de porter une perruque et d’accepter d’être menottée ou d’avoir les yeux bandés. Le viol simulé, la visite médicale, l’exhibition étaient les scénarios que nous aimions.
L’idée d’associer réellement et non plus en imaginations d’autres personnes, d’autres hommes à nos jeux, est vite devenu un sujet de discutions brulantes entre nous deux. Il n’a pas été aisé de la convaincre. Le soir dans notre lit, elle voulait bien. Mais se rétractait le lendemain matin. Elle mettait des conditions démesurées pour le faire. Bien sur et je le comprenais, il était hors de question de le faire chez nous. Souvent seule a la maison, elle aurait pus être importunée durant mes absences par un de nos invités qui serait revenu.
Nous habitions Toulon à cette époque. Et nous ne voulions pas prendre le risque de nous retrouver avec une ou des personnes susceptibles de nous connaître de près comme de loin. C’était donc Marseille qui a eu notre préférence. Il n'a pas été trop compliqué de trouver des lieux d’échanges, de rencontres. Plusieurs demandes de renseignements par téléphone ont été toute fois nécessaires avant de faire notre choix. Les choix, en plus étaient pour le moins limité. Deux ou trois saunas qui organisaient des rencontres entre couple certains après midi ou certaines soirées. Autrement nous devions chercher et répondre à des petites annonces souvent mensongères. Ce qui était plus frustrant.
Nous nous sommes enfin décidé pour un sauna. Avec Maeva, nous étions excités de préparer ce moment. Nous l’avons vécu plusieurs fois dans nos têtes les jours précédant. Nous ne voulions pas le faire le soir ou la nuit, car on nous avait dit qu’il risquait d’y avoir trop de monde. On nous avait conseillé de venir pour une première fois un après midi de préférence en semaine. Tout était en fonction de ce que nous recherchions.
Maeva est très jolie, elle a le type Polynésien bien sur, elle est magnifique. De longs cheveux noirs souvent retenus par un chignon. Un visage agréable à regarder, toujours souriante, un corps toujours splendide. Une couleur de peau pain d’épices, et miel.
Elle était déjà très élégante. Aimait s’habiller et choisir ses vêtements et sous-vêtements avec soins et beaucoup de gout. Ils nous arrivaient de choisir ensemble sa lingerie dans des magasins spécialisés. Nos préférences ont souvent été les couleurs clairs ou pastels, ou les ensembles en voile et dentelle blanche ou noir aussi.
J’avais du prendre un jour de congé. Durant le trajet, le matin nous étions pour le moins anxieux. Nous nous répétions ce que nous accepterions et ce que nous refuserions. Il était évident qu’il ne ce passerait rien si cela ne nous convenait pas. Nous avions confiance l’un dans l’autre. Jamais je ne l’aurais forcée à faire quoi que ce soit avec une personne qui ne lui convenait pas. Pour cette toute première fois nous voulions trouver un homme pas trop vieux, pas trop moche, propre et gentil. Rien ne s’est passé comme nous le souhaitions.
Nous avons déjeuné à Marseille dans un petit restaurant proche du lieu de rendez vous qui se trouvait dans une toute petite rue tout en haut de la canebière. Nous n’avions pas vraiment faim. Mais il fallait bien attendre l’ouverture, et nous ne voulions pas arriver les premiers.
Le responsable qui était certainement homosexuel nous a informé des conditions et nous a fourni deux serviettes de bain propres mais rêches, tant elles avaient du être lavées, ainsi qu’une clé et un cadenas me semble-t-il.
L’endroit, était sordide. Glauque, sombre. De nombreux couloirs étroits desservaient de minuscules alcôves qui fermaient par de simples rideaux. Un matelas en mousse posé sur le sol, recouvert d’un drap douteux en était le seul objet présent. A l’étage, une immense pièce recouverte de matelas devait être un lieu de débauche sans retenu. Une ou deux cabines de sauna étaient en fonction, des douches, un vestiaire avec plusieurs caissons pour ranger nos vêtements. Il y avait aussi un bar avec une télévision qui diffusait des films pornographiques homosexuels. C’était sordide. Il n’y avait pas grand monde, cinq ou six personnes, que des hommes d’âges divers mais qui semblaient tous être homo. Ils déambulaient allant d’un endroit à l’autre uniquement drapé d’une serviette de bain. Je me souviens un moment d’avoir croiser un homme d’âge mur qui tenait par la main un jeune qui devait avoir dix huit ans à peine. Je n’étais pas trop enthousiasmé, Maeva encore moins. J’avais honte de l’avoir entrainée dans un endroit pareil. Nous venions de payer et nous étions dans le vestiaire. Nous, nous parlions à voix basses. Nous demandons quelle attitude prendre, partir ou rester. Maeva n’était pas très chaude de rester. Mais, malgré le peu d’engagement que donnait le lieu, c’était excitant de ce trouver la, de voir ma femme dans cet endroit. Je l’encourageais lui disant, que nous le regretterions peut-être si nous partions de suite et n’oserions plus jamais revenir. Cela ne nous engagés a rien de voir plus loin. Nous nous sommes déshabillés et enveloppés le corps de la serviette que l’on nous avait donnée. Maeva la portait attachée au dessus de la poitrine et moi autour de la taille. Je me souviens, qu’elle voulait et avait gardée sa petite culotte. Moi, j’étais nu dessous ma serviette. Nous sommes sortis du vestiaire après avoir bien sur enfermés à clé nos vêtements.
Il y avait de la musique douce en sourdine. Nous sommes rentrés dans un des deux saunas qui étaient vide. Nous nous sommes assis l’un a coté de l’autre les jambes allongés sur le banc. Il faisait chaud bien sur. Nous avions décidé de rester au sauna une trentaine de minutes et de partir après avoir pris une douche si rien ne se passait.
Au bout d’une dizaine de minutes, un couple est rentré. Je ne pourrais pas dire à ce moment s’ils étaient dans le club avant nous ou s’ils venaient de rentrer. Lui avait la soixantaine, grand, les cheveux clairs tirés en arrière, maigre et très bronzé. Elle semblait plus jeune, avait peu être cinq ou six ans de moins, les cheveux clairs, petite et mince bronzée aussi. J’ai pensé de suite qu’ils devaient être mari et femme, comme nous. Ils se sont assis et de suite elle a baissée sa serviette sur les hanches dévoilant une petite poitrine qui tombait. Maeva pudique et timide avait gardée la sienne autour de son corps. Ils se sont adressés à nous et nous avons sympathisés. Nous leur avons avoué que c’était notre toute première fois que nous nous rendions dans ce genre d’endroit. Ils nous on mit au courant des us et coutumes de l’endroit. Des dangers, de ce qu’il fallait faire et ne pas faire.
Ils nous ont indiqué qu’il y avait beaucoup d’homosexuels en semaine. Que bien sur il était préférable de venir lors des soirées organisées. La femme demanda à son mari d’aller cherchée pour une heure la clé d’une alcôve privée. Elle nous expliqua ensuite, qu’il existait aussi quatre ou cinq petites alcôves dans lesquelles nous pouvions nous enfermer. Elles étaient rassemblées dans un couloir qui lui aussi fermait a clé. C’était beaucoup mieux pour s’y reposer et y être tranquille. Alors que dans celles qui fermaient par de simples rideaux nous étions sur d’être continuellement dérangés. Les alcôves privées étaient bien sur payantes et se louaient à l’heure.
Le type est revenu avec les clés. Avec Maeva nous étions convenus de rester encore une quinzaine de minutes et de partir après une douche. De temps en temps, un homme rentrait et s’asseyait, il restait quelques minutes et ressortait. La femme nous dit que pour être tranquille, je ne devais pas emmener Maeva dans une des alcôves qui fermait avec un rideau et encore moins dans la pièce du haut. A moins bien sur d’en accepter les conséquences. Il m’était difficile de lui dire que nous voulions le faire qu’avec un homme. Nous avons discutés ensemble de choses et d’autres. Il faisait très chaud. Maeva était en sueur bien sur comme moi. La femme proposa a Maeva de l’accompagner dans l’alcôve que son mari venait de louer pour qu’elle se repose un moment. Elle insista disant qu’elle pourrait se reposer un moment en toute tranquillité. Faire du sauna est fictivement quelque chose de très fatigant.
Maeva m’interrogea du regard. Je n’y voyais bien sur aucune objection. Elles se sont levées, me laissant seul avec le type.
Le type, est venu prendre la place de Maeva à mes côtés. Nous avons discuté un peu avant que lui aussi me propose de venir me reposer dans une alcôve. Ayant envoyé Maeva avec sa femme je ne pouvais guerre refuser son invitation. Nous sommes sortis du sauna, et avons circulé dans le couloir cherchant une alcôve de libre. Elles l’étaient toutes, il me montra le petit couloir ou était parti les femmes. Nous nous sommes allongés l’un a côté de l’autre. Restant silencieux un moment, puis il me posa quelques questions sur ma femme, son âge, son prénom, d’ou elle venait, comment je l’avais connue et depuis combien de temps étions nous marié. Il me dit qu’elle était ravissante et jolie. Il me demanda si je désirais vraiment la voir dans les bras d’un autre homme. Si cela m’exciterais que cela soit lui. Et de la savoir dans les bras d’une autre femme… de sa femme.
J’étais excité par ses propos et ses suggestions. Et aussi le fait qu’il se soit penché sur moi et me tenait par les épaules. J’étais complètement largué. Je venais de saisir son manège et de comprendre la situation. Il murmurait qu’elles étaient en ce moment en train de faire l’amour.
Tout en me parlant, il cherchait à m’embrasser. Il me caressait les cuisses, le corps. Je ne savais que dire que penser. Je n’osais le croire, et le voulais de tout mon cœur. Il me touchait doucement. Je bandais pour la première fois sous la caresse d’un homme. Je me taisais et écoutais ce qu’il disait tout bas pour m’exciter encore plus.
Il me fit remarquer que cela faisait plus de dix minutes qu’elles étaient parti. Que si cela n’avait pas marché entre elles, ma femme serait déjà revenue. La porte du couloir privé était toute proche.
Ils nous avaient remarqués à l’extérieur du club. Tout les deux avaient flaché sur Maeva avent de s’apercevoir que nous aussi nous nous rendions au sauna. Je fermais les yeux pour visualiser ce qu’il me racontait. Qu’elles étaient nues, l’une contre l’autre. Que chacune connaissaient maintenant le gout des lèvres de la sueur de l’autre. Je sentais qu’il ouvrait ma serviette. Je gardais les yeux clos. Je me demandais pourquoi ils avaient agis ainsi. Je me sentais profondément frustré. Mon rêve le plus cher, mon fantasme le plus érotique le plus fou se déroulait à quelque mètre de moi sans que je puisse le vivre. J’aurais voulu être avec elle, la voir, l’entendre l’aider pouvoir lui tenir la main. Mais son épouse voulait être seule. Elle préférait être seule avec des jeunes femmes. Et au lieu de cela je me retrouvais dans les bras du mari. Pour Maeva comme pour moi c’était une grande première. Plus tard si nous le voulions toujours, me disait-il.
Il me tenait et me serrait doucement dans sa main, il cherchait mes lèvres, et murmurait toujours. Elle se fait branler en ce moment la jolie Maeva…comme toi. Comme toi, je suis sur qu’elle aime… Comme toi elle se laisse faire… Elle va se faire lécher. Il me demandait si elle aimait ça ? Oui elle adorait que je lui fasse.
Je m’attendais à chaque instant la voir, à l’entendre surgir en trombe. J’en avais peur et le redoutais. Comme si il lisait dans mes pensées, il me disait tout bas "Ne t’inquiète pas". Elle prend son pied ta jolie petite femme.
De l’imaginer en ce moment avec une autre femme. Et son mari m’embrassait, léchait les gouttes de sueurs dans mon cou. Il me caressait doucement. Me racontait tout bas ce qu’elles faisaient toutes les deux.
Nous ne pouvions plus les rejoindre. Le couloir était fermé à clé. Cela ne prendrait plus beaucoup de temps maintenant. De toute façon sa femme ne voulait pas. Elles sont l’une contre l’autre maintenant, bouche contre bouche. Elles se font l’amour en frottant doucement leur corps, leurs seins, leur ventre. Elle la serre très fort contre elle. Elle va jouir en frottant sa chatte contre la sienne, contre ses jolies cuisses. J’imaginais, je devenais fou.
Je me laissais faire. Je l’écoutais. Cela n’avait plus aucune importance qu’une personne homme ou femme rentre. Que même Maeva rentre et me voit. Je n’en pouvais plus. Il faisait durer le plaisir stoppant sa caresse alors que j’étais au bord de l’orgasme, j’étais en sueur. Il me disait que lui aussi, elle le faisait bander, lui aussi aimerait la tenir, la forcer « ce la faire ». Qu’il aimerait la baiser, la faire jouir. Il s’est penché sur moi, et ses lèvres ont entouré mon sexe, j’étais si excité qu’au bout de quelques secondes j’ai jouie dans sa bouche.
Je suis resté un long moment sans pouvoir comprendre, sans pouvoir faire le moindre geste. Il me regardait. Il me disait qu’elle aussi devait jouir en ce moment. Il s’est levé me disant et m’invitant à le suivre pour prendre une douche froide. Plus tard, assis au bar. Je n’arrivais pas à croire la réalité de ce qui ce passé en ce moment. Que Maeva elle si timide, si réservée était depuis trois quart d’heure dans les bras d’une autre femme qui aurait pu être sa mère. Et que je sortais de ceux de son mari.
Je trouvais le temps long. Elles ne revenaient toujours pas. Il me dit de ne pas m’inquiéter que certainement elles avaient fini maintenant… et se reposaient l’une contre l’autre. Qu’elles avaient une heure de location de l’alcôve. Effectivement au bout de longues minutes elles sont sorties. Maeva se dirigea vers les douches sans un regard. Sa femme qui nous avait vus, vient nous rejoindre et donna à son époux la clé qu’il devait rendre pour ne pas avoir à payer une heure de plus. Elle lui donna en plus la petite culotte blanche de Maeva qui était mouillée de sueur.
– Tiens garde en souvenir. Dit-elle. S’adressant à moi elle me dit.
- Votre femme est délicieuse… dans tous les sens du terme. Timide un peu au début, mais je ne déteste pas.
Elle alla rejoindre Maeva sous la douche. Le mari rendit la clé et vient me chercher pour rejoindre les femmes. Il tenait la petite culotte en boule dans sa main. Et de le voir la porter à son visage pour en respirer l’odeur m’excitait. Maeva était sous la douche, les cheveux lâchés. Elle était belle. La femme à ses côtés l’aidait à se savonner. Elle nous tournait le dos, et nous montrait ses jolies fesses. Ou, n’osait pas soutenir mon regard. Elle avait un visage impassible. Je ne savais pas ce qu’elle pensait. En nous séchant, je lui demandais si elle allait bien. Un petit oui fut sa réponse. Le type la regardait avec des yeux gourmands. C’est sa femme qui lui dit qu’elle était fatiguée.
Ils nous accompagnèrent dans les vestiaires. Nous nous sommes rhabillés chacun de notre côté. Elle dut enfiler son collant sans la petite culotte qui était de toute façon trempée de sueur et que gardait le Monsieur.
Ils nous invitèrent à boire un dernier verre à l’extérieur. Je ne n’osais pas lui parler devant eux. Je lui prenais la main. Elle était comme a l’ordinaire, et ne semblait pas m’en vouloir. Au bistrot, il sortit de son sac la petite culotte et la porta de nouveau en boule à son visage en regardant dans les yeux ma femme qui rougissait. Sa femme lui demanda d’arrêter de l’ennuyer. Puis s’adressant à elle, elle lui demanda si cela allait. Plus bas elle dit qu’elle avait beaucoup appréciée de passer un moment avec elle. Faisant remarquer que cela n’avait pas été aussi pénible que cela, qu’elle aussi avait appréciée ses instants.
Maeva rougissait de plus en plus et n’osait pas croiser et soutenir mon regard. J’avais mille questions à lui poser, mais je voulais bien sur être seul avec elle. La femme s’adressa à son mari à voix basses. Puis, elle nous proposa de rester ensemble encore un peu, de louer une chambre d’hôtel. Ou alors de venir chez eux pour le reste de la journée, voir la nuit, mais ils habitaient Aix-en-Provence.
Je ne pouvais bien sur pas prendre de décision seul. Je demandais à ma femme de venir avec moi un peu plus loin pour que l’on en discute. Je la prenais dans mes bras et lui demandais à voix basse si cela allait bien. Si cela c’était bien passé avec elle. Le regard et le sourire qu’elle me rendit me soulagea. Un petit « un, un » était agréable à entendre. Je n’osais pas lui dire ma propre expérience. Je lui demandais si elle voulait aller plus loin. Elle n’osait pas répondre. Faisait la moue. Puis me dit qu’elle ne voulait pas aller jusqu'à Aix-en-Provence maintenant.
A ce moment, la femme qui elle aussi discutait avec son mari nous interpela pour nous dire qu’elle ne verrait aucun inconvénient à nous laisser seul avec son mari. Qu’elle devait faire des courses a Marseille et que de toute façon nous étions certainement appelés a nous revoir.
J’attendais une réponse de Maeva. Je savais qu’elle ne me la donnerait pas. Elle me sera dans ses bras et murmura « fais comme tu veux », « c’est toi qui décide ». Je lui murmurais à l’oreille que le type la désirait vraiment. Nous sommes revenus à la table du bistrot. Je voulais la voir dans les bras d’un homme, de cet homme…
Nous avons laissées les voitures en stationnement et avons pris un taxi avec le mari uniquement. Nous devions nous retrouver au même endroit d’ici une heure ou deux avec sa femme. Il paya le taxi et la chambre d’hôtel. Depuis le départ nous n’avions pas échangé le moindre mot. Je serrais très fort la main de ma femme, l’ascenseur, le couloir interminable, la porte, la chambre avec ce lit immense.
Il fermait les rideaux, je la prenais dans mes bras. Premier baiser depuis une éternité. A ses yeux, son regard je voyais qu’elle était nerveuse, un peu anxieuse. Il se déshabillait entièrement dans son dos. Je prenais ses lèvres une nouvelle fois. Nu, il s’est approché elle dans son dos. Il la tenait par les épaules. Il caressait les épaules, les bras les hanches. Puis il a soulevée sa robe la faisant passer sur sa tête. Elle tremblait un peu, n’était pas si rassurée. Il a dégrafé le soutien-gorge. Je l’aidais à l’en débarrasser. Je la serrais contre moi. Je sentais les mains du type collé dans son dos venir sur ses seins, les presser un moment avant de descendre sur les hanches.
Elle avait la bouche entrouverte et les yeux fermés. Elle respirait plus rapidement. Ses mains son venues entre nous au bas de son ventre. Je sentais contre moi qu’il la caressait à travers le fin collant. Elle avait plus tôt de nouveau relevés ses cheveux sur la tête. Il avait le visage dans son cou. Il l’embrassait, la mordait doucement respirait l’odeur de sa nuque de ses cheveux. Je bandais aussi en ressentant ses doigts bougeaient entre moi et elle sur son sexe. Elle gémissait tout bas. Elle me tenait. Avait du mal à se tenir debout seule. Il l’a poussée doucement vers le lit. L’aidant à s’allonger. Il est venu dans son dos. Il est resté collé à elle dans son dos. Elle avait toujours son collant en voile noir sur elle. Ils étaient allongé sur le coté. Je pouvais voir qu’il le désirait très fort. Elle, pouvait le sentir sur ses reins, ses fesses. Il bandait contre elle. Il l’a masturbée un très long moment à travers le voile du collant.
Elle avait les yeux fermés et serrait le couvre lit dans sa main. Il semblait être sur de lui. Il la regardait et lui léchait le cou. Il bougeait ses doigts doucement de bas en haut. Cela devait lui être très agréable car elle gémissait, ronronnait doucement.
Puis, il a baissé son collant juste ce qu’il fallait, dégageant uniquement les fesses. Elle a relevés les genoux, et s’est penché sur l’avant. Il a pris son sexe et l’a guidé sous le collant. Je me suis agenouillé sur le sol devant elle et je lui ai pris les mains. Elle a gardés les yeux ouverts tout le temps. J’ai pus voir son regard, ses yeux au moment ou il la pénétrait, ou il s’enfonçait dans son ventre. Puis, ce qu’elle ressentait. J’ai pus suivre sur son visage, dans ses yeux la monté de son plaisir. Elle semblait souffrir de temps en temps, elle était vraiment belle. Je lui disais que je l’aimais. Elle avait de petits gémissements, de petites plaintes qui sortaient de sa bouche entrouverte au même rythme qu’il lui imposait. Il lui serrait les seins, ou la tenait par les hanches, il lui mordait l’épaule. Elle me serrait très fort les mains. Des fois j’avais l’impression qu’il voulait réellement lui faire mal, la faire souffrir. Il venait en elle de façon brutale, la maintenait sur le lit. Il était sur elle, et elle presque allongée sur le ventre, soumise a son désir.
Puis, enfin la voir l’entendre jouir avec un autre homme dans son corps dans son ventre. La voir se donner, s’abandonner. Voir sa bouche ouverte, voir ses yeux à ce moment précis, la voir ce crisper a était un des plus beaux moments de ma vie. L’entendre gémir, entendre sa respiration à ce moment. Et voir le visage du type contre elle lui aussi qui semblait souffrir, jouir dans son corps.
Ils sont restés un long moment sans bouger. Elle semblait endormie. Puis, il c’est dégagé d’elle doucement. Laissant sur ses fesses, le collant le lit une épaisse trace blanche et odorante de sperme. Il est resté contre elle, la main sur le bras ou les hanches. Elle était épuisée. Il parlait à voix basse disant que j’avais beaucoup de chance d’avoir une aussi jolie femme. Doucement elle est revenue à la réalité. Elle c’est levée sans un mot et a filée dans la salle de bain non sans avoir récupéré sa robe et son soutien-gorge. Nous l’entendions prendre sa douche. Lorsqu’elle est revenue, elle avait remis sa robe mais sans ses collants qui étaient tachés.
Plus tard de retour avec sa femme, ayant remarqué qu’elle aimait les jolis sous-vêtements et qu’elle avait bien involontairement perdu définitivement sa petite culotte qui était considérée comme une prise de guerre. Elle lui offrit un cadeau qui s’avérait être un magnifique ensemble slip et soutien gorge en voile transparent blanc, d’une très grande marque. Lui disant qu’elle devrait le porter a notre prochaine rencontre si elle avait lieu et que nous le désirerions bien sur. Elle rouspéta son mari et l’excusa pour les collants. Voulant même aller de suite en acheter une autre paire, ainsi qu’une petite culotte pour rentrer, car sous sa jupe elle était maintenant nue. Nous avons refusé, ce n’était pas si grave que cela.
Elle nous demanda si cela c’était bien passé. Demanda à son mari comment il trouvait Maeva. Pour eux elle était très jolie et ils avaient hâte de nous revoir. Bien sur plus ici au sauna mais plutôt chez eux à Aix-en-Provence. Nous avons échangé nos numéros de téléphone avant de nous séparer.
Je n’osais pas poser de questions trop précises à Maeva durant le trajet de retour sur Toulon. Elle me disait simplement qu’elle ne regrettait pas cette expérience. Chez nous nous sommes jeté sur notre lit sans même nous déshabillés tant nous étions excité. Les jours suivant nous faisions l’amour avec plus de vigueur encore je crois que les fois précédentes. Nous remémorant souvent les moments de cette journée. Je savais maintenant les moments qu’elle avait vécus dans cette alcôve sordide.
C’est eux qui nous on recontacté. Nous ne voulions pas le refaire de suite. Nous ne voulions plus nous rendre dans un sauna aussi lugubre. C’est je crois au moins deux mois plus tard que nous avons accepté leur invitation chez eux.
Voilà le récit réel de notre toute première expérience libertine. Nous en gardons toujours un très agréable souvenir. Bien sur c’est avec beaucoup de plaisirs que je raconterais nos autres expériences si cette histoire reçoit un accueil chaleureux.
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Par Francky 94 le 8 Mai 2009 à 15:04Cherche homme de ménageaucun commentaire
Je vis en couple avec une femme à laquelle je suis fidèle en tous points sauf un : la fessée. Elle ne partage pas mon goût pour cette pratique. Point final. C’est donc avec son accord que je m’échappe de la maison de temps en temps pour assouvir ce fantasme. La seule condition que j’ai toujours respectée est de ne pas la tromper. Préférant être fessé par un homme, chose que je me suis bien gardé de lui dire, je risquais d’autant moins de manquer à ma parole. Enfin, jusqu’au jour où …
En parcourant un site web gay où je rode parfois pour essayer de trouver un adepte partageant mes goûts, je suis tombé sur ceci :
« Cherche homme de ménage pour entretien grande maison. Attends un travail réel et soigné. Barème de punitions et de rémunération à établir »
Le texte de la petite annonce était plutôt prometteur.
Après un premier dialogue très chaste sur le site, je fis plus ample connaissance avec mon futur ‘employeur’ via MSN. Rapidement, il est évident que nous semblions avec les mêmes goûts pour les mêmes jeux. Ce monsieur d’une cinquantaine d’années (j’en ai 28) m’a rapidement proposé de m’inviter à dîner. Je fus un peu surpris par une offre si directe mais l’échange de photos étant satisfaisant, j’ai accepté.
Il me reçoit dans sa maison, un peu retirée de la ville. A vue de nez, 300 m² repartis sur deux étages, un parc de bonne taille et une piscine. En bref, la maison d’un homme qui a réussi dans la vie.
Quand il m’ouvre la porte, je suis rassuré : il est bel et bien tel que sur la photo. Environ 1m95, soit une bonne tête de plus que moi, les cheveux et une barbe courte, poivre et sel. Des mains immenses mais belles et puissantes que je remarque tout de suite lorsque nous nous saluons. Il porte un costume sans cravate. L'absence de trace d’embonpoint et la largeur de ses épaules laissent deviner qu’il prend soin de lui en faisant régulièrement du sport.
A l’apéritif, nous nous racontons un peu nos vies. Il est veuf et vit seul. Ses deux fils vivent à l’étranger et ne viennent qu’une fois par an. Il cherche à faire d’une pierre deux coups : un piment pour son quotidien et une aide sérieuse pour entretenir une maison devenue trop grande. Il insiste lourdement sur ce point : il est très attaché à ce que, sur la forme, la relation employeur-employé soit clairement établie. Etant donné que je serai rémunéré, il attend de moi que le travail soit fait et bien fait. L’amusement viendra en plus. Je constate ainsi avec plaisir que nous pratiquons notre jeu favori de la même manière : on en parle beaucoup au début mais une fois qu’on est lancé, on joue à fond.
Nous nous étions mis d’accord sur un pseudo-salaire (bien que nous ne soyons pas là pour ça, cela fait partie du jeu) et les horaires de nos rencontres lors de nos dialogues sur le Net. J’attendais poliment la fin du dîner pour lui demander son avis sur ma ‘candidature’ (il m’a avoué que son annonce avait eu beaucoup de succès) quand il prit les devants :
- Alors, toujours partant ? On fait un essai ce soir ?
- Bien sûr ! Avec plaisir ! répondis-je, soulagé
- Que dirais-tu de débarrasser la table et de faire la vaisselle ?
- Pas de problème, allez vous détendre dans le salon, je m’occupe de tout !
- Bon, comme on commence tout de suite, on peut mettre en place ce dont on avait convenu ?
- Euh … C'est-à-dire ?
- J’aimerais que tu termines tes phrases par ‘Monsieur’
- Ah oui ! J’avais oublié. Désolé Monsieur.
Un échange de sourire complice et voilà, c’est parti ! De toutes façons, j’ai eu le temps d’y réfléchir et le moment passé avec lui autour du repas me donne vraiment envie de découvrir la suite. J’ai croisé beaucoup de gays pour qui la fessée n’est qu’un petit panpanculcul érotique pour passer ensuite au sexe ‘classique’. J’espérais avoir enfin trouvé la perle rare. Il me restait encore à lever un doute : nous nous étions échangés nos certificats VIH négatifs car pour lui, les jeux de fessées pouvaient rapidement déraper et il convenait d’être prudent. Reste à savoir quelle partition serait jouée …
Je me lève donc et entreprend de débarrasser la table pendant qu’il va s’installer devant la télévision.
Une quinzaine de minutes plus tard, il revient. J’en suis encore à faire des allers-retours dans cette maison décidemment immense (j’étais loin de la vérité avec mes 150 m² par étage). La cuisine est à l’autre bout d’un couloir interminable et je sens bien qu’il s’impatiente.
- Pas encore terminé ? Dis-moi, tu es toujours aussi lent ?
Son ton a changé, il est semble très sérieux. Je me pose même la question si c’est un très bon acteur ou s’il y croit vraiment …
- Non Monsieur, c’est simplement que la maison est très grande
- Oui, et il va falloir t’y faire si tu veux cette place. Accélères un peu, veux-tu ?
- Bien Monsieur.
Immanquablement, je confonds vitesse et précipitation. J’échappe un verre de vin rouge à moitié plein sur le tapis du salon ! Même si le bruit est faible, il est debout près de moi dans la seconde (si moi je ne l’ai vraiment pas fait exprès, je le soupçonne très fortement de guetter ma première faute pour me tester).
- Bon, voilà qui met fin à ton essai mon garçon.
- Je suis désolé. Je ne l’ai pas fait exprès
- Il ne manquerait plus que ça !
- Je vais nettoyer, ne vous en faîtes pas
- Oui, je sais que tu vas nettoyer. Tu devrais même déjà être en train de le faire.
Je fonce dans la cuisine pour aller chercher le nécessaire et je me mets à l’œuvre. A peine un quart d’heure que l’on a commencé et je suis déjà à quatre pattes devant lui en train de frotter le tapis du salon. Quel début !
Coup de chance, la tache part entièrement. Je suis plutôt satisfait. Lui continue sur le registre de la colère.
- Bon, et bien maintenant tu peux partir.
- Mais, j’ai enlevé la tache.
Il approche de moi à grands pas, s’arrête juste devant moi. Il me domine de son mètre quatre vingt quinze.
- Je t’ai déjà dit de m’appeler Monsieur. Ca aussi c’est trop compliqué pour toi ?
Son regard noir me fait bafouiller un ‘Non Monsieur’ des plus pitoyables.
- Tu crois que j’ai du temps à perdre à former un domestique ? J’ai l’embarras du choix, figures-toi. Je n’ai qu’à décrocher mon téléphone pour qu’un autre te remplace dès demain, tu comprends ?
- Oui, Monsieur
- Mais bon, je t’ai dit que je te donnais ta chance ce soir. Je vais aller au bout de l’idée. Si à la fin de la soirée, je ne vois aucun signe d’amélioration, tu vires ! Compris ?
- Oui Monsieur. Je vais m’appliquer je vous le promets. J’ai vraiment besoin de cet emploi, ajoutais-je pour lui donner le change
- Si c’est vraiment le cas, alors tu me remercieras après avoir reçu ta punition. Va dans l’entrée et rapporte-moi ce que tu trouveras dans le premier tiroir de la commode.
Hou la la ! Ca démarre fort ! Il est très doué pour créer de suite une ambiance très propice à la fessée punitive et j’adore ça. Je vais dans l’entrée en courant, pour lui faire plaisir mais surtout pour échapper enfin à son regard qui me fiche quand même un peu la frousse. Je sais que nous avions convenu d’un mot de passe pour arrêter le jeu mais j’ai encore l’appréhension de la première fois avec lui.
Ce que je trouve dans le tiroir n’est qu’une demi-surprise et je reviens vers lui, un martinet en cuir à la main. C'est un modèle ancien, genre anglais période victorienne, avec une dizaine de grosses lanières carrées en cuir noir. Son manche est lourd. Pour moi qui suis habitué aux modèles achetés à la sauvette au rayon animalerie des supermarchés, il a l’air terrifiant.
- Penche-toi sur la table, jambes serrées et tendues. Les mains sur la tête.
Je m’exécute maladroitement et il corrige ma position. Il se met sur le côté et je reçois alors une dizaine de coups rapides qui me chauffent instantanément les fesses.
- Qu’est-ce qu’on dit ?
- Merci
L’oubli du Monsieur rituel (je n’arrive pas encore à m’habituer mais je crois qu’il va m’apprendre) !
Une autre dizaine de coups. Je croyais que les premiers étaient forts, j’ai eu tort : j’ai déjà le derrière qui chauffe ! Même à travers le jean !
- Qu’est-ce qu’on dit ?
- Merci Monsieur
- C’est mieux. Allez, au travail maintenant. Et je te préviens, j’ai le martinet à portée de main. A la prochaine bêtise, il viendra caresser tes fesses nues, compris ?
- Oui, Monsieur
La suite se passe plutôt bien et je réussis à allier la vitesse et la qualité. Enfin, c'est ce que je crois. Il vient dans la cuisine inspecter la vaisselle que je viens de terminer et trouve de nombreuses traces. Furieux, il me prend par l'oreille et me conduit manu militari dans le salon. Il tire tellement fort que je ne sais toujours pas aujourd’hui si mes pieds ont touché le sol durant le voyage. Dans le même geste, il prend une chaise, s'assoit et me courbe sur ses genoux. Je reçois une pluie de claques sur les fesses et, malgré la protection de mon jean, les larmes me montent aux yeux. La fessée continue, de plus en plus fort, et ses mains de bucheron ont un effet dévastateur.
- Allez, redresses-toi.
Je me lève et porte tout de suite par réflexe mes mains sur mes fesses. Il sourit franchement quand je le remercie comme je pense qu’il aimerait que je le fasse. Son sourire un peu carnassier prend aussi surement sa source dans le début de larmes qui fait briller mes yeux.
- Mais ce n’est pas fini, qu’est-ce que tu crois ? Maintenant que tu pleurniches comme une fillette, je vais pouvoir te donner ta vraie fessée. Et pour me montrer que tu sais être obéissant et acceptes mon éducation, tu vas toi-même baisser ton jean et ton caleçon et venir te remettre en position.
Comme il voit que j’hésite, il ajoute :
- Plus tu me feras attendre et plus ta fessée sera sévère !
J’obéis à ses ordres et, honteux comme jamais, je m’allonge en travers de ses genoux. Il me repositionne à sa guise et recommence de suite à me donner de grandes claques sur les fesses et le haut des cuisses. J’ai beau me tortiller mais rien n’y fait. Il passe un temps sa jambe par-dessus les miennes pour me maintenir plus fermement mais se ravise en me remettant à plat sur ses genoux, pensant à juste titre que la fessée n’en sera que plus douloureuse.
Quand il s’arrête et me fais me redresser, je me surprends moi-même à pleurer à chaudes larmes. Adepte des fessées dites ‘punitives’, c’est un moment que j’attendais depuis très longtemps et lui a réussi à me l’apporter dès notre première rencontre. Mon érection trahit mon excitation et le pousse à aller plus loin :
- Allez, la suite !
Je ne comprends pas. Que veux-t-il encore ?
- Le martinet ! Allez, dépêches-toi un peu ! Tu as encore du travail.
Mes supplications (à peine jouées) n'y feront rien, il restera intraitable. Je vais cherche le martinet en pleurant, les jambes empêtrées dans mon pantalon et en frottant mes fesses qui cuisent littéralement. Il se met debout près de moi, me courbe sous son bras et fait tomber plusieurs fois le martinet. Je trépigne comme je peux, me débat mais il est plus grand et plus fort que moi, mes efforts pour m'échapper sont vains. Une fois qu'il est satisfait de la couleur de mes fesses, il me redresse et m’ordonne :
- Allez, au piquet ! Et enlèves tout sauf ton polo. Tu resteras cul nu pour le reste de la soirée. Je sens que je vais avoir du travail avec toi et on va gagner du temps si tes fesses sont toujours à portée.
Au bout d'une dizaine de minutes, il me libère :
- Tu peux retourner travailler. Va refaire la vaisselle, tu as 10 minutes.
Lorsque je passe devant lui, la claque sur les fesses que je reçois me rappelle, si besoin était, qu’il a la main lourde.
La fin de la soirée approche. Bilan ? La vaisselle est très propre et bien rangée. La table de la salle à manger est impeccable, tout comme le tapis du salon. En bref, mon ‘patron’ semble satisfait. De mon côté, j’ai profité d’un petit instant de répit pour inspecter mes fesses dans le miroir du couloir : elles sont très rouges mais moins que je croyais. Par contre, le martinet laisse de vilaines boursouflures qui mettront du temps à disparaitre.
Mais cela en valait la peine car je repars, non seulement avec une érection douloureuse d’avoir duré presque toute la soirée, mais aussi avec le droit de revenir.
Deux autres séances un peu identiques et les choses vont évoluer rapidement. A ma quatrième venue, il prend le prétexte que les carreaux du salon sont sales (il a plu dans la journée) pour de me menacer d’arrêter le ‘contrat’. Mais cette fois, pas de fessée à l’horizon. Les choses ont l’air plus sérieuses. Il semble furieux et me refait le coup du regard noir. Il aurait tort de s’en priver, cela marche à merveille !
- Je commence vraiment à en avoir assez. Tu fais tout de travers. Je ne vais jamais y arriver avec toi ! Je me demande carrément si tu veux réellement ce travail ?
- Oui Monsieur, je veux vraiment ce travail ! Je suis désolé pour les vitres mais c’est la pluie !
- Des excuses, toujours des excuses ! Tu ne te rends pas compte de la chance que tu as ? Je t’offre un bon travail, bien payé et pas compliqué. Je prends même du temps, beaucoup de temps, à t’éduquer et voilà comment tu me remercies ! D’autres seraient prêts à me supplier à genoux pour cet emploi !
C’est bon, j’ai compris. Je le vois venir. Il veut que je le supplie vraiment. Entre son regard qui me fait trembler et mon envie sincère de rester, il ne me reste plus qu’à le satisfaire. Je me mets donc à genoux devant lui, je joins les mains et les yeux dans les yeux, le supplie :
- S’il vous plait Monsieur. Je vous en prie, gardez-moi à votre service.
- Et pourquoi est-ce je devrais te garder, tu n’es qu’un bon à rien !
- Je vais m’appliquer encore plus Monsieur, je vous le promets. Je vais être encore plus obéissant.
- Tu me saoules avec tes paroles et tes promesses. Au lieu de parler, tu ferais mieux de me montrer comment un bon domestique doit calmer les nerfs de son patron !
Là aussi, je compris vite là où il voulait en venir. Et j’avoue que cette idée me trottait dans la tête depuis un petit moment : quand allait-il me tester à ce sujet ? La réponse est ‘maintenant’ ! Nous avions fait la liste de ce que nous aimions, pour l’avoir déjà fait ou simplement eu l’envie d’essayer. C’est très facile de cocher des cases sur une feuille, un peu moins de se lancer à l’eau pour passer à l’acte. Je n’avais pratiqué la fellation qu’une seule fois, avec un fesseur particulièrement doué qui me l’avait gentiment demandé. Sans y avoir pris de réel plaisir, j’avoue que je n’ai pas détesté. Quant à la sodomie, à part un doigt féminin de temps en temps, je suis vierge. Seulement voilà, lors de nos échanges préliminaires, j’ai vite senti que j’avais affaire à un fesseur amoureux de son Art et, le voyant un peu insister sur ce sujet, j’ai préféré indiquer que j’aimerais bien essayer. Histoire de laisser la porte ouverte, de ne pas le perdre avant d’avoir passé un moment en travers de ses genoux. Les séances passées m’ont non seulement donné confiance en lui mais j’avoue qu’il m’a offert tellement de plaisir par la qualité de ses jeux que j’ai vraiment envie de lui rendre la pareille. C’est donc toujours à genoux que je m’approche vers lui et tend maladroitement mes mains vers sa boucle de ceinture. Il me cueille à froid avec une grande gifle :
- On ne t’a jamais appris à demander la permission ?
En me frottant la joue, je tente :
- S’il vous plait, est-ce que je peux vous sucer Monsieur ?
- C’est bien, tu apprends vite. Vas-y et appliques toi, c’est ta dernière chance !
Nouvel essai et nouvelle gifle !
- Mets toi nu ! Tu dois toujours être nu et à genoux quand tu voudras te faire pardonner !
Il est là, debout devant moi, les mains sur les hanches et il attend. Je déboucle sa ceinture et baisse sa braguette, sort son sexe de son slip et commence à le lécher doucement. Quand il est dur, je le prends dans ma bouche et le suce plus goulument, sans oublier de caresser ses couilles velues. Il ajoute à ma gêne apparente :
- Regardes moi dans les yeux quand tu t’occupes de moi
Son sexe est beaucoup plus gros et plus long que le mien. Je n’arrive pas à le pomper comme je voudrais et, comme je pense, il aimerait. J’espère compenser en lui léchant souvent les couilles.
- Mouais, c’est pas mal. Mais arrête toi un instant, je veux vérifier quelque chose.
Il va vers la table basse du salon et retire du tiroir un petit plug anal.
- On m’a toujours dit que les garçons dans ton genre suçaient mieux quand ils se faisaient sodomiser en même temps. Alors tu vas sucer un peu ça, histoire de le lubrifier et on va vérifier tout de suite. Et pour ma part, ayant déjà expérimenté que les domestiques suçaient mieux les fesses en feu, tu sais ce qui t’attends …
Il me tend le plug devant le visage et je m’applique à le sucer en y laissant le maximum de salive, étant donné la suite qu’il compte donner à ce préliminaire.
- C’est bon, ça suffit ! Lèves-toi !
Il me courbe sous son bras et m’introduit l’objet sans ménagement. Le petit cri de douleur que je pousse le fait sourire :
- Ah oui, c’est vrai, j’oubliais que tu es vierge ! Allez, viens sur mes genoux que je m’occupe un peu de la couleur de tes fesses.
Après une bonne fessée bien cuisante dont chaque coup résonnait au plus profond de moi par le plug interposé, il me fait lever mais reste assis dans le canapé :
- Allez, au travail !
Je me mets à quatre pattes entre ses jambes et je le reprends en bouche. Il est resté très dur et c’est vrai que l’effet combiné de la fessée et du plug semble fonctionner. Je suis très mais alors ce qui s’appelle très appliqué ! Je ne peux pas le regarder dans les yeux mais je sens que lui n’en perds pas une miette :
- Oui, c’est beaucoup mieux en effet, c’est bien, continues comme ça. Et tortilles un peu des fesses aussi ! Elles sont bien rouges tu sais ! Prends ton temps, va doucement, j’aime quand ça dure !
Après plusieurs minutes des caresses, il semble à point. Il se redresse un peu et repousse ma tête de son sexe :
- Ca va, tu suces correctement au moins. Maintenant, il s’agit de savoir si tu comptes aller jusqu’au bout …
- Oui Monsieur
- Tu ne sais pas faire de phrase ?
Que dire ?
- Commences par « Est-ce que je peux être votre vide-couilles Monsieur ? »
Je répète poliment.
- Mieux que ça ! Et tortilles des fesses en disant ça, si tu veux que je te crois sincère !
Je m’applique et il accepte :
- Et bien c'est parfait ! Dorénavant, tu seras, en plus de mon domestique, mon vide-couille ! Reste à savoir si tu saurais faire ...
Il se remet debout et, en me tirant par une oreille, me remets à genoux puis me fait asseoir sur mes talons.
- Mets tes mains derrière le dos, ouvre la bouche en grand et ferme les yeux. Il faudra t’habituer à cette position. Tu devras la prendre dès que je te ferai savoir que j'en envie de me soulager.
Il prend ma tête à deux mains et m’enfonce son sexe brutalement dans la bouche. Après m’avoir ordonné de bien serrer les lèvres, il commence alors de brusques va et vient. Il jouit alors longuement et ses râles de plaisir sont là pour attester qu’il aime beaucoup cela. Il se retire et ajoute :
- Et bien, mon cher domestique, fais moi voir un peu comment tu fais le ménage avec ta langue.
Je m’applique alors à effacer avec des petits coups de langue les traces du sperme que je n’aurais pas déjà avalé. Il remet lui même son sexe dans son pantalon et ajoute en riant :
- Et bien, il est très clair que tu es meilleur avec ta bouche qu’avec un plumeau. Pour peu que tu sois aussi doué avec ton cul, je me demande même si je ne devrais pas te prendre plutôt à mon service comme soubrette !
En y repensant, c’est clairement là que tout a basculé. Du simple jeu de fessée punitive nous sommes passés clairement à une relation Maître-esclave. Cela m’a surpris parce que je ne pensais pas y prendre goût à ce point, si vite. C’est surement comme beaucoup de choses : il suffit de trouver la bonne personne !
Après deux mois de rencontres régulières, nous continuons sur le même mode : je suis un domestique, puni par la fessée et faisant pardonner ses bêtises par ses attentions buccales. J’ai eu le plaisir de goûter au paddle en bois d'une manière à la fois cuisante et délicieuse : comme à l'accoutumée, il m'avait courbé sous son bras mais avait pris soin de prendre ma queue dans sa main. Chaque coup de paddle avait pour effet de me bruler les fesses mais aussi de faire bouger ma queue dans sa main. Il a arrêté la punition quand j'ai joui et m'a forcé à lécher mon sperme.
Je n'ai eu besoin de le 'calmer' que trois fois en le suçant, même si j'avoue que j'aurais aimé le faire plus souvent. J'aime devoir lui quémander le droit de le sucer. Mais ce que je préfère, c'est quand il entre dans la pièce où je me trouve, plante ses yeux dans les miens et m'ordonne de me mettre à genoux devant lui pour qu'il se soulage. Je me dépêche alors de prendre la position qu'il m'a apprise et qu'il semble affectionner. Je me surprends souvent à prendre des poses osées devant lui. Je tortille des fesses quand il est dans les parages, me penche outrageusement en avant si je sais qu'il est derrière moi et n'hésite pas à faire le ménage à quatre pattes, les fesses bien cambrées, quand il est dans la même pièce que moi. Surtout s’il est dans la même pièce que moi. Je suis du genre plutôt viril dans la vie de tous les jours et me voilà en train de me comporter avec lui comme … comme quoi ? Comme une femelle en chaleur ! Voilà le bon terme.
Autant dire qu’il me plait beaucoup et que j’aimerais aller plus loin avec lui. Mes fesses ont été visitées plusieurs fois par le plug, durant les gâteries et des punitions plus sévères qu’à l’accoutumée. Mais si je dois me donner entièrement à un homme, le sentir bouger et avoir du plaisir en moi, j’aimerais que ce soit lui. Je sais qu’il pourra me demander, me faire n’importe quoi, j’aimerais ça. Et comme apparemment il ne suffit pas de tortiller de la croupe devant lui pour le décider, je vais devoir aller plus loin.
Je me lance à l'eau après une fessée particulièrement sévère. Pas de paddle érotique cette fois. Juste la grosse fessée sur les genoux et les coups de martinet. Je ravale vite mes larmes et viens vers lui, me met à genoux en lui demandant :
- Merci Monsieur. Vous êtes vraiment très bon de vous occuper de moi comme ça. Est-ce que je peux vous remercier avec ma bouche s’il vous pait ?
A ma surprise, il accepte volontiers et je le trouve déjà en pleine érection. Je le regarde toujours dans les yeux quand je le suce et je profite du moment où je sais qu'il va jouir pour ralentir. Je lui avoue alors, entre deux coups de langue sur son gland :
- J’ai repensé à votre idée d'être votre soubrette et je pense que j'aimerais beaucoup cela.
Il me fait un sourire en coin qui parle de lui-même et me dit de finir de le sucer, qu'il va y réfléchir. Mon ‘Merci Monsieur’ est très sincère mais incompréhensible car j’ai la bouche pleine. En tout cas, je pense mettre toutes les chances de mon côté en me retirant de moi-même avant qu’il ne jouisse et me mettant dans la position qu’il aime, à genoux, les mains dans le dos et la bouche grande ouverte. J’éprouve vraiment beaucoup de satisfaction à lui donner du plaisir de cette façon. Je veux qu’il le sache et qu’il accepte d’aller plus loin. En écrivant ces lignes, je m’aperçois que je n’ose même pas dire la simple vérité : j’aime être son vide-couille.
Dès le lendemain, après m'être déshabillé en arrivant (dorénavant je ne porte plus qu’un marcel blanc et passe mes journées les fesses nues), il me dit qu'il accepte de me prendre à l'essai comme soubrette. Mais pour vérifier si la qualité de mon travail ne s'en ressentira pas, je vais devoir, pendant quelques temps porter des talons hauts. Il me tend alors une paire d'escarpins noirs avec des talons de 9 cm. Le rendement est évidemment catastrophique car je manque de tomber à chaque pas. Il ne se donne même pas la peine de me fesser et me dit simplement de retirer les chaussures. Je tente alors mon va tout. Je lui tourne le dos, me mets à quatre pattes à ses pieds et cambre bien mes fesses. Je lui dis, par dessus mon épaule :
- C’est dommage que vous ne poussiez pas l’essai de votre soubrette jusqu’au bout, Monsieur.
J'appuie mes paroles en humidifiant un doigt que je passe doucement sur ma rondelle. Je le sens s'agenouiller derrière moi. J'entends sa boucle de ceinture et sa braguette. Je sens rapidement son sexe contre mes fesses. Il est déjà très dur. Même si j'attendais ce moment avec excitation, l’appréhension me crispe. Cette peur, associée à l’absence coutumière de ménagement de sa part, me fait attendre plus de douleur que de plaisir. J’essaie de me détendre un maximum quand, toujours sans un mot, d'une main il écarte la fente de mes fesses et de l'autre, tenant son sexe comme un pieu, s'enfonce en moi. Je crie plus de surprise que de douleur : il m’a pénétré d’un coup, jusqu’à la garde, et ses mains puissantes fermement agrippées sur mes hanches me retiennent prisonnier. Ses premiers coups de rein m’arrachent d’autres petits cris, résultat du savant mélange douleur-plaisir que j’affectionne tant. La fessée m’apportait déjà cette sensation et j’ai découvert une nouvelle façon de l’éprouver ! La nouveauté est dans le plaisir de l’autre. On sait qu’on régale un fesseur par nos gestes, nos mots et la rougeur de nos fesses. Je tenais avec la sodomie une autre occasion de l’amener à l’orgasme.
Toujours au milieu de mes petits cris et des claquements de son bas ventre sur mes fesses, tous deux provoqués par ses coups de boutoir, j'entends sa voix me sermonner :
- Tu n'attendais que ça, hein ? Tu crois que je n'ai pas remarqué ton petit manège ? Allez, fais moi voir comme tu sais faire la soubrette en train de se faire dépuceler ! Je veux t’entendre miauler comme une petite chatte en chaleur !
Je pousse alors le vice à m’appliquer à pousser des cris plus féminins, à onduler des hanches et à devancer ses mouvements. Je vais même jusqu’à pincer mes tétons. Ses coups de rein redoublent de vitesse. Et si une main quitte mes hanches, ce n'est que pour m'assener des grandes claques sur les fesses. Je sens monter en moi un plaisir inconnu : je sens que je pourrais jouir comme ça, en me donnant à lui. Je l’encourage donc à me baiser plus fort et plus vite. Je sens que j’oublie toute pudeur devant lui et cet abandon augmente tellement mon plaisir que je jouis bruyamment. Ejaculer sans toucher son sexe ! Un ami homo m’avait dit que cela pouvait arriver mais je ne l’avais pas cru. Et pourtant voilà que mon Maître arrivait à me faire jouir comme une femme. Juste après ma jouissance, je le sens se raidir : son jus me remplit. Il se retire, toujours brusquement, et exige de moi une toilette intime. Je me retourne et me penche vers sa queue gluante que je lèche jusqu'à ce qu'il soit satisfait. Je ne m’interromps que pour le remercier à de nombreuses reprises. Ces ‘Merci Monsieur’ ne font pas partie du jeu. Ils sont très réels et proportionnels au plaisir qu’il m’a donné.
Il m’a avoué plus tard avoir été lui-même surpris que je puisse jouir comme ça. C’est cela et aussi de me voir ainsi, à peine dépucelé, lui nettoyer le sexe en le remerciant sincèrement, presque amoureusement, et en tortillant des fesses comme si j’en redemandais, qui l’a poussé à aller encore plus loin.
Il se remet debout et, tout en m'ordonnant de garder cette position, la tête près du sol et les fesses en l’air, quitte la pièce. Il revient quelques instants plus tard, le plug à la main. Plug qu'il prend bien soin de me montrer en souriant. Il passe derrière moi et l'enfonce dans un anus que je sens encore très ouvert.
- Tu vas garder ça toute la journée. Je veux que tu ne le retires qu’une fois chez toi. En regardant mon sperme s’écouler de ton cul, tu vas réfléchir très sérieusement au fait de ce que cela implique de devenir ma soubrette. Attends-toi à des exigences plus grandes. Tu devrais être rasé entièrement en permanence et porter des vêtements féminins toute la journée. Je serai intraitable sur la qualité de tes tenues et de ton maquillage. Tu devras apprendre aussi à être efficace avec des talons hauts. Attends-toi donc à de nombreuses fessées ! Dernier point, tu t’imagines bien que ta bouche et ton cul seront à ma disposition. Alors réfléchis bien ! En attendant, remets-toi au travail. Tu me donneras ta réponse samedi prochain : si tu prends ton service normalement, tu resteras mon domestique et nous continuerons nos jeux habituels. Si tu es nu, entièrement rasé, les ongles des pieds vernis en rouge et que tu attends sur le paillasson que je vienne t’ouvrir, alors tu seras ma soubrette ! Petite précision, tu devras attendre à quatre pattes, le plug entre les dents. Je commence à te connaître un peu et je sens que très rapidement, tu deviendras ma chienne soumise ! Autant t’habituer tout de suite !
Programme très alléchant mais parfaitement irréaliste : comment justifier auprès de ma compagne le fait de se raser entièrement ? C’est déjà suffisamment difficile de subir son regard lorsqu’au sortir de la douche elle contemple les marques laissées par les fessées précédentes. La seule solution serait de tout lui avouer : autant dire la perdre. Je ne me vois pas lui avouer que je prends du plaisir à des pratiques carrément SM, avec un homme qui plus est. Je n’ai pas réfléchi longtemps à ce dilemme : elle est plus importante que mes fantasmes et je décide d’en donc d’en parler au téléphone, dès le lendemain, à mon Maître, puisqu’il faut bien un jour commencer à l’appeler comme il se doit. Il est très compréhensif. Il a lui-même dû cacher à sa femme sa passion pour ces jeux. Nous confirmons donc que notre prochaine rencontre sera basée toujours sur le jeu patron-domestique.
Aussi quelle ne fut pas ma surprise lorsque le samedi matin, me préparant à partir, ma femme me dit :
- Tu sors ? Mais je croyais que tu faisais ça ici aujourd’hui ?
A mes yeux ébahis, elle poursuit :
- Michel a appelé hier soir avant que tu ne rentres du travail
J’ai cru que j’allais tomber dans les pommes !
- Qu’ … qu’ … qu’est-ce … qu’est-ce qu’il t’a dit ?
- Et bien nous avons bien papoté. Il est très gentil. Et il a fini par m’avouer qu’il regrettait de n’avoir jamais mis sa femme au courant de ses jeux. Il trouvait très triste que je ne puisse pas participer au moins une fois, juste pour voir. Mais dis-moi, je ne savais pas que tu faisais ça avec des hommes ?
- Et bien … euh … disons que j’aime bien les deux mais je préfère avec un homme. Et puis tu comme l’as dit, Michel est quelqu’un de très sympa avec qui je m’entends bien.
- Ne t’inquiètes pas, ça me va très bien comme ça ! me dit-elle en souriant. Au moins, je suis sûre que tu ne me trompes pas.
- Oui, c’est vrai, comme ça tu es sûre, mentis-je
- Mais je pensais qu’il t’avait mis au courant. Cela ne te gêne pas si je suis là ?
- Non pas du tout. Bien au contraire. N’oublies pas que j’ai essayé de te faire participer dès le début de notre relation.
- Oui, c’est vrai et je reste sur mes positions. Mais là, en tant que simple spectatrice, c’est complètement différent ! Je ne sais pas encore si je vais aimer mais en tout cas je suis très curieuse de voir ça ! Mais dis-moi, pour parler crument, il te fesse comment ? Pas tout nu quand même ?
- Euh … si, cela arrive quelques fois
- J’ai hâte de voir ça ! me lance-t-elle avec un sourire en coin
J’avais l’air malin moi, empêtré dans mes mensonges. ‘Cela arrive quelques fois …’, tu parles ! Pour peu qu’il vienne avec le martinet, je vais avoir l’air fin. Et s’il me fait pleurer ? Et si cela dérape côte SM ? Côté sexe ? Mais bon, pas de recul possible : j’ai tellement insisté pour qu’elle soit ma compagne de jeux que je ne peux plus lui demander de partir.
Dans les épisodes suivants, vous découvrirez :
- que ma femme, pourtant si rétive au départ, prendra une part active à nos jeux.
- que Michel est un bon père qui sait faire profiter de ses largesses ses fils lorsqu’ils sont en vacances chez lui.
- que prenant goût au travestissement, je poursuis d’autres aventures de mon côté et réalise d’autres fantasmes.
Si vous avez aimé ce texte, encouragez-moi en me laissant un message à mon adresse marc_clfd63@yahoo.fr.
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Par Francky 94 le 24 Avril 2009 à 18:40
Certains récits ne font pas mention du condom. N'oubliez pas que ceux-ci sont essentiels pour une relation sexuelle sécuritaire... Dans votre lit, vous n'êtes pas dans un récit! Protégez-vous!!!
Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
Pour plus d'info : www.sida-info-service.org6925
Mon premier black.
étudiant à Lyon, j'avais fait la connaissance d'un black étudiant également de trente ans.
Il était trés nostalgique de son pays (afrique de l'ouest) ou il avait laissé femme et enfants.Aprés plusieur rencontre, notre relation qui jusque là étaiy resté amicale devait évoluer.
Un aprés midi aprés un petit footing, je lui proposais de venir se désaltééré chez moi.
Il m'avais dit que sa femme lui manquait, et moi trés exité par son physique, lui avait fait remarqué qu'il n'aurait pas de mal a trouver QUELqu'UN pour le satisfaire, il m'avait regarder l'air éétonné puis devant mon regard "coquin" avait rit géné.
c'est ainsi que l'on se retrouve sur mon canapé en train de siroter une petite biére.tout en discutant je m'alongait, je pris le pretexte du canapé trop petit pour deux, pour poser ma tete sur ses cuisses puissantes. Nous discution de chose et d'autres, et petit à petit ma tete se raprochat de son sexe qui sous son pantalon de sport était "un gros paquet" qui se mis à grossir et durçir sous ma tet qui ne cessa pas de bouger.
Trés vite son sexe devient vraiment dur il en fut gené et ssaya de se lever. je le retiens en lui disant que ca ne me derangais pas....il resta donc assis ne sacha pas se qu'il devait faire . Lentement ma tete lui massa sa bite devenu enorme, moi meme tres exité avait mon sexe qui me faisait mal dans mon boxer j'entendit sa respiration se faire plus brillante, je me mis alors a lui masser sa bite a travers son fut , il n'osait pas bouger malgrés son exitation, je ne pense pas qu'il avait pu imaginer se qui se passait, mais n'ayant pas toucher de femme depuis plusieur semaine, ne lui permet pas de se maitriser completement.
pourtant quant je voulu lui sortir l'engin de son fut, il me dit "qu'il ne voulait pas faire ça " je lui dit que cela restera entre nous et que ça lui fera le plus grand bien.c'esrt alors qui changa completement d'attituyde, il sortie sa bite et enleva son tshirt, je me mis a petit coup de langue à le gonfler au max (20cm au moins) avant dele gober completement pendant de longues mn ; il etait comme u fou et moi aussi, il me careesait mon cul m'enleva mes vetments et membrassa tres nerveusement. il me caressa mes fesse tres fortement parfois ses doigt effleuraient m rondelle se qui m'exitait bcp. je le pompait furieuselment entre sa bouche et sa queue, je lui mordillait ses teton se qui le mis dans un etat... , il me dit qu'on lui avais jamais faitça, qu'il avait envie que je continu, je lui dit qu'a mon tour je souhaitais qu'il s'occupe de moi, il refusa de me sucer, je lui demadait alors si il avait deja sodomiser sa femme il me que oui, -alors va s'y defonce moije me mis a 4 patte et aprés mettre enduits la rondelle d'un lubrifiant je luis massa la queue avec la meme huile sa queue etait vraiment enorme d'un gros calibre et je commencait à m'inquité pour mn cul mais là il n'etait pas possible de dire non; je senti son glands chaud sur ma rondelles, je me cambrais un max , et je sentit sa queue rentre petit à petit, il mis 3 mn à l'enfoncer completement , je lentendait gemir comme un fou , les premiere mn furent douloureuse, puis le feu qu'il me mis aucul accompagna un plair incroyable à le sentir aller et venir avec se mebre exeptionel me limer le cul, il explosa dans mon cul au bout de 5 mn etje jouit desuite apres lui.
tres gené il parti apres s'etre rebiller.
3h apres il revient s'excusait dese qu'il m'avait fait, je lui dit que ç'avait ete un plasir et pour lui prouver je lui adminitrer un pipoe d'enfer. mon cul d'en pouvant plus je le pomp jusqu'a epuisement
silvio.
6945 -
Par Francky 94 le 24 Avril 2009 à 18:35
Certains récits ne font pas mention du condom. N'oubliez pas que ceux-ci sont essentiels pour une relation sexuelle sécuritaire... Dans votre lit, vous n'êtes pas dans un récit! Protégez-vous!!!
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Fab.
Comme tout les gays, quand j’ai envie d’un plan cul, je vais au sauna ou dans un bar gay et là, on trouve facilement des mecs.
Je m’appelle Fabien, j’ai 26 ans, 1,78 m, les yeux bleus les cheveux châtain clair et suis plutôt pas mal, donc jusque-là je me suis fait tous les mecs qui m’excitaient.
Mais depuis que j’ai emménagé dans un appart pas loin d’un lieu de drague, j’ai eu envie d’y aller. Au sauna, on tombe sur des mecs qui assument le fait d’être gay, mais dans les lieux de drague, j’ai eu l’impression d’avoir affaire à d’autres types de mecs.
Là, ils m’avaient l’air d’être des hétéros ou des bis qui cherchaient à baiser discrètement ou a assouvir une pulsion longtemps réprimée. Ils étaient plus âgés que moi, et l’idée de me faire niker par l’un d’eux n’était pas faite pour me déplaire. J’y suis allé plusieurs fois et je me suis aperçu qu’il y avait pas mal de mecs genre turc ou rebeu dans les 35-40 ans encore bien foutus et j’ai fantasmé sur eux en pensant à leur bonne bite bien dure qui me limait le fion.
Jusqu’à il y a deux jours, je n’osais pas en aborder un, mais quand j’ai vu un black faire semblant de se promener, je me suis dit qu’il fallait que je me le fasse, et j’étais près à tout pour le chauffer et pour qu’ensuite il me baise comme une bête en rut.
Au moment où il est passé devant moi, je l’ai bien maté dans les yeux et il ne pouvait pas douter de mes intentions. Il devait avoir dans les 40 ans mais il était encore bogosse et bien foutu surtout : environ 1,75 m, la crâne rasé, belle gueule de black avec un bouc qui entourait une bouche bien pulpeuse qu’on avait envie d’embrasser. Il semblait bien charpenté et ça ne faisait qu’augmenter mon envie de lui.
On se croise, il fait quelques pas, je me retourne, lui aussi, puis il revient sur ses pas. Après quelques banalités, il me demande ce que je cherche :
-- Ben, un bon actif viril qui me baise bien à fond, lui répondis-je, un peu étonné de ma propre hardiesse. Au moins, il sait à quoi s’en tenir.
-- Cool ! Hmmm ! Moi je cherche un mec qui s’occupe bien de ma queue et que je puisse baiser.
-- Cherche pas plus loin, ça colle.Tu parles que ça colle ! Je me voyais déjà à genoux devant ce beau black en train de lui pomper la queue en lui jetant des regards de salope pour l’exciter. On a encore un peu parlé et puis je lui ai dit qu’il pouvait venir chez moi.
Cinq minutes plus tard, on arrivait dans mon appart. On a pas trop parlé pendant le trajet, mais j’ai bien senti qu’à plusieurs reprises, il m’a maté le cul. J’ai eu envie de lui dire « T’inquiète pas, mec, tu pourras le défoncer autant que tu voudras, j’suis à toi !!! » On s’installe sur le canapé, une bière à la main, mais il n’a pas fallu longtemps pour que je passe à l’attaque, j’en avais trop envie. Je pose ma main sur sa cuisse et je sens des muscles bien fermes je remonte doucement jusqu’à sa bite.
En même temps, je m’approche de sa bouche pour qu’il me roule un bon patin avec sa belle bouche. Il m’embrasse timidement (merde !) et je sens tout de suite la pression de sa main sur mon épaule pour que je descende plus bas et je l’entends me murmurer : « J’ai envie que tu me suces, mec … » Hmm, pas de problème, j’en ai envie depuis le début de toutes façons ! Il défait son jean et écarte les jambes. Moi, je me mets à genoux devant lui, ouvre son jean et sors sa bite déjà raide de son boxer. Hmmmm, bel engin ! Pas trop gros, mais bien dur et droit ! Je commence à le sucer et peu à peu il se détend, s’enfonce dans le canapé et écarte un peu plus les jambes pour que je puisse bien le pomper.
Je saisis sa bite et l’avale sans retenue, en suçant bien, en entourant son gland de ma langue pour lui procurer un plaisir maximum. Putain !!! J’aime sucer une bite !!! C’est trop bon ! Peu après, il se lève, la queue super raide et se déshabille. Il est super bien foutu, le salopard ! Il est debout devant moi sur ses jambes musclées et assez poilues et j’ai juste temps d’apercevoir son torse bien dessiné avant que sa main droite ne me chope la tête et m’oblige à continuer de le sucer. Tout en m’exécutant, je me dessape. Quand je suis moi aussi à poil, je suis toujours à genoux et lui jette un bon regard de salope, histoire de le chauffer un peu plus.
Ca ne rate pas et il me lance :
-- Hmmm, ouais, vas-y, suce-moi bien, salope. Hmmm, t’aime ça, la bite, hein ???
Pour toute réponse, je gémis un peu, j’engouffre un peu plus encore sa queue et j’accélère le mouvement.
Putain, ouais que j’aime ça les queues à sucer !!! Et de voir que le mec prenait son pied et commençait à me traiter de salope, ça ne faisait que renforcer mon envie d’être traité comme tel. Alors, j’ai pris sa tige dans ma main et je l’ai branlé un peu avant d’engloutir sa bite de nouveau. Avec mes mains, je caresse ses cuisses bien poilues et son cul bien ferme. Oh putain !!!! C’est trop bon !!! Maintenant il se met à me bourrer la gueule en donnant des coups de bassin.
-- Ah, salope, tu suces drôlement bien, ouaaah, je kiffe grave !
Moi, je gémis de plaisir, je veux me relever, serrer ce corps dans mes bras, mais lui ne l’entends pas de cette oreille et me fait remettre à genoux et me dit d’un ton ferme « Non, non, continue à me sucer, ma petite pute, continue, c’est trop bon !!! » Sa façon de me parler et son langage m’électrisent et je m’exécute avec plus d’ardeur. A présent, il tient ma tête entre ses deux mains et me baise la gueule comme un sauvage et j’essaye de lui donner un max de plaisir avec ma langue. Je suis à lui, je le laisse se servir de ma bouche comme un trou. Hmmm, c’est trop bon. Tout à coup il s’arrête, me saisit par les cheveux et me dit entre les dents :
-- Putain salope tu m’as trop chauffé ! J’vais te jouir dans ta gueule de salope mais dans 10 mn je vais m’occuper de ton cul, t’inquiète pas !Sur ce, tout en me maintenant la tête, il se branle et en 5 seconde m’envoie sur le visage et dans la bouche de longues giclées de foutre chaud en râlant de plaisir. Moi je ne suis plus qu’une bouche vide-couille, j’en veux, j’avale sa semence en criant « oui, vas-y, mec, gicle, vas-y, j’aime ça !!! » Je ne me reconnais plus, mais je prends mon pied, j’avale tout goulûment. Ensuite, je prends sa queue et nettoie mon visage avec et puis je nettoie sa queue et je jouis à mon tour dans une vague de plaisir intense. Putain que c’était bon ! Donner tant de plaisir à un beau mec qui te remercie en te giclant dans la bouche ! Ouaah ! J’ai tout avalé et j’ai adoré être une bonne lope à genoux devant un mec et le faire gicler sur ma gueule. Hmmm !
On s’écroule sur le canapé, essoufflés.
-- Putain, j’ai trop bien joui grâce à toi. Tu suces hyper bien !Sa queue a à peine dégonflé et je mate son beau torse velu de beau black viril. Il est pas hyper musclé, mais vraiment bien foutu pour son âge.. Je lui caresse le torse ; il a la peau douce. Hmmm, c’est un régal ! Il se penche ensuite vers moi et on s’embrasse et il ne lui faut pas longtemps pour que sa queue soit dure de nouveau. Je la prends dans ma main et commence à le branler. Il rejette la tête en arrière et semble apprécier. Puis il me dit :
-- J’ai envie de ton cul ma petite salope, viens sur moi… Alors je chope un préservatif, le déroule sur sa queue bien dure, ajoute un peu de gel et hop, je m’empale sur son manche et gémissant comme la bonne salope qu’il veut que je sois et que j’ai envie d’être pour lui.
-- Hmmm, ouiiii ! C’est trop bon ta queue, mec, dis-je en me tortillant sur lui pour bien sentir sa tige au fond de moi.Lui me prend par les hanches et ondule aussi pour me niquer bien à fond.
Au bout de quelques minutes, on change de position : on est debout, il me sert fort contre lui, m’enfonce sa tige dans le cul en murmurant des insanités dans l’oreille qui me rendent encore plus chienne. Hmmm, je kiffe grave d’avoir un mec qui me bourre bien le cul, qui me montre qui c’est qui est le mâle. J’écarte un peu le jambes et je me cambre pour bien lui filer mon fion de lope et là il accélère les coups de reins et me dit :
-- Alors, petite pute, t’as ce que tu veux ??? T’aimes ça, la bite, hein ??? T’aimes sentir une queue qui te lime bien à fond, hein ??? Salope !
-- Ouiiiii ! Vas-y mec, défonce, défonce, défonce !
Je me contrôle plus, je lui appartiens et je prends un pied d’enfer à sentir les va-et-vient de sa queue dans mon cul.Il résiste encore quelques minutes et enfin, dans un râle et un dernier coup de reins magistral, il m’envoie son jus de mec, ce qui a pour effet de me faire jouir aussi. Putain quel pied j’ai pris ! J’aime vraiment sentir une bonne bite dure et me faire niquer défoncer par un bon mâle viril.
Depuis ce jour-là, il vient régulièrement se faire vider les couilles et moi j’adore toujours bouffer son foutre !Fab.
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