• Certains récits ne font pas mention du condom. N'oubliez pas que ceux-ci sont essentiels pour une relation sexuelle sécuritaire... Dans votre lit, vous n'êtes pas dans un récit! Protégez-vous!!!
    Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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    Je comprends...

    J’ai 53 ans, assez sportif, marié, des enfants, je fantasme de temps ne temps sur les mecs, mais je ne suis jamais passé à l’acte.

    Bien sur quelques réminiscence de jeunesse avec touche pipi dans les caves de mon immeuble ou en colonie de vacances. Une vie sexuelle au ralenti, normal après 30 ans de mariage. Je lis souvent les histoires sur ce site, j’ai décidé de vous raconter la mienne. Elle paraitra certainement très banale, mais elle est vraie et rien qu’à me la rappeler j’en ai une érection.

    Cela s’est passé l’année dernière, j’étais dans les landes avec ma femme. En faisant du tennis celle-ci s’est fait une entorse à la cheville donc 2 semaines d’immobilité complète à la maison de campagne.
    Comme un bon mari, je restais auprès d’elle, je faisais les courses, le ménage, etc. Bien entendu, au bout de quelques jours elle me dit que je ne vais pas gâché mes vacances et que je devrais en profiter pour trouver un partenaire de tennis. Ce que je fis immédiatement, je m’inscrivis au club en recherche de partenaire.
    Le lendemain, je reçu un coup de téléphone du club pour me prévenir que 3 personnes recherchaient un quatrième pour faire un double. J’ai répondu que cela me convenait et rendez vous pris pour le lendemain à 9h.

    Quand je suis arrivé, j’étais attendu par 3 jeunes hommes (Alain, Frédéric et Gilles) entre 20 et 23 ans, des étudiants en vacances qui avaient pris une location ensemble pour 15 jours et profiter de la mer, et du club sportif. Je leur ai demandé si jouer avec un vieux ne les dérangeaient pas, connaissant la fraicheur physique que l’on a à cet âge. Très gentiment ils me répondirent que non, et tout en blaguant l’un d’eux me dit que Gilles préférait jouer avec les vieux…..Je ris de la blague…..

    On a commencé à faire des balles sur le cours et il s’est avéré que des 4 j’étais le meilleur joueur, je vous passe les quolibets vers mon partenaire de la part des deux autres et le match à débuta. Premier set, nous le gagnons 6-3, encore une fois les vannes sur mon partenaires fusèrent et nous en rions tous. Deuxième set nous le perdons 4-6 et entamons le 3ème et décisif set. Toujours sous forme de blagues nos adversaires interpellèrent mon partenaire en lui disant que si on gagnait ils le mettraient à poil au milieu de la piscine du club. Et nous avons gagné le 3ème set. On plaisantait, refaisait le match, et je leur dit que je filais au vestiaire prendre une douche.
    Dès que nous avions quitté le cours, je rejoignais les vestiaires et arrivé près de la piscine, nos deux adversaire se sont jetés sur mon équipier, le déshabillèrent  complètement et le jetèrent dans la piscine.
    Ne voulant pas participer à ces jeux, je me déshabillais et entrée dans une cabine de douche vide.

    A l’extérieur j’entendais les cavalcades de mes nouveaux amis qui apparemment courrait après Gilles qui avait réussi à leur échappé.
    J’étais en train de me savonner quand la porte de ma douche s’ouvrit et un Gilles complètement nu entra , refermant la porte avec le loquet et me disant surtout ne dites rien sinon je suis cuits.
    Nous étions nus, serré l’un contre l’autre, nos corps se touchaient et je me sentais dans une situation assez gênante.

    Soudain L’autre équipe Alain et Frédérique entrèrent dans les douches pour chercher Gilles. Ils ouvraient toutes les douches et bien sur arrivèrent à la mienne qui était fermé. Je sentais dans mon dos Gilles qui se collait à moi, je sentais son sexe sur mes fesses et cela commençait à me donner un début d’érection dont je pensais qu’il ne pouvait voir en étant dans mon dos.
    Voyant ma porte fermée, ils demandèrent qui étaient là et je leur répondis que c’était moi. Avez-vous vu Gilles ? Non en tout cas pas dans ma douche, je leur répondis et ils allèrent chercher ailleurs.

    Gilles était collé à moi, pratiquement incrusté, ses mains serrés sur mon torse.
    Je bandais vraiment et j’en étais très honteux. Je lui dis qu’il pouvait y aller, qu’il ne risquait plus rien en essayant de cacher mon érection. Bien sûr il regardait mon sexe tendu, et il me dit très doucement – je dois vous remercier, et il me pris le sexe en main, se mis à genou et avant de prendre mon sexe dans sa bouche, il me regarda et me dis – Je continue ? Je lui fis oui de la tête et il s’accroupit  et engouffra ma queue dans sa bouche. Léchant le gland tout d'abord puis en enfonçant profondément la queue dans sa bouche et le masturbant avec le fond de sa gorge.
    Je fermais les yeux et me laissais faire sa bouche était chaude, il me léchait les bourses et même mon anus. A ce rythme là, je n’allais pas résister très longtemps. Je lui tenais la tête et le guidais vers mon plaisir.

    Tu aimes me demanda t il, moi j’aime te le faire, j’aime ton sexe, je veux boire ton jus … A ces mots je ne pu résister et eu un orgasme d’une force incroyable, j’étais tétanisé de plaisir, j’éjaculai dans sa bouche à grand jet et lui me suçait de plus belle pour tout boire. Il continua encore 2 minutes puis je lui demandais d’arrêter, mon gland était hypersensible. Il se redressa et très chatte il m’embrassa, un vrai baiser, sa langue dans ma bouche cherchait ma langue, ses mains me caressait, c’était la première fois que j’embrassais un homme, je répondis à son baiser avec fougue et sensualité. Je me suis accroupis pour lui rendre le même plaisir, Il me dit : tu n’es pas obligé tu sais.

    Il bandait très fort et sa queue était collé sur son ventre. Il avait une queue superbe, droite, dure et souple à la fois. Circoncis. Son gland était un peu gros par rapport à sa tige mais fuselé, bien dessiné. Lui aussi très ferme. Et des couilles très serrées, mais grosses malgré tout. Il était rasé. Je lui ai presque sauté dessus pour la lui sucer et j’ai beaucoup aimé. C’était doux et souple. Très agréable dans la bouche. Il me caressait et me  guidait. J’ai pour ma première fellation tout avalé, le gout légèrement acre n’était pas désagréable. J’ai continué à le sucer délicatement tout le temps ou il était bandé et me suis ensuite relevé.

    Nous avons continué à nous caresser et reprenant la notion de temps, je lui dis qu’on ne pouvait pas s’éterniser ici.
    J’avais, en me rhabillant un sentiment de honte, mais le plaisir que j’avais ressenti était si fort que je me posais la question de savoir si je n’avais pas basculé du coté obscure de la sexualité.
    Nous nous sommes dit au revoir comme si de rien n’était et nous avons fixé un RdV de tennis pour le lendemain sans pour autant laisser supposer qu’il y aurait une suite.
    Le lendemain, dès 9heure, je suis impatient de retrouver mon jeune amant. Il arrive en voiture et me dit immédiatement : allez vient les deux andouilles sont parti pour la journée à Bayonne, je te veux à moi.
    Je montais en voiture mais je n’essayais pas d’imaginer ce qui allait se passer. Sur le trajet, je me suis très souvent dit que je pouvais reculer et arrêter là cette situation. Mais l’envie de ressentir encore cette jouissance sans retenue que je n’avais jamais connu avec une femme me taraudait l’esprit.

    Aussitôt entrer dans l’appartement, nous nous sommes mis nu, et nous nous sommes jeter l’un sur l’autre comme deux mort d’amour. Suçant, léchant, caressant toutes les partis de notre corps. Je me suis même surpris à enfoncer ma langue dans son anus, chose que je n’avais jamais faite, je l’ai fait jouir dans ma bouche et j’aimais ça. Puis tout naturellement, je l’ai mis en levrette, pointait mon sexe sur sa rosette et délicatement je me suis enfoncé en lui. Pourtant j’en ai connu des femmes, mais jamais je n’avais ressenti le plaisir comme dans ce moment là. J’entendais ses gémissements et ses feulements à mes allers et venus et les mots tendre qu’il me disait, pas salaces ni grossiers, des mots simples : viens, je te sens bien, aime moi, tu me fais du bien…..Dire que j’ai résisté longtemps, non ! J’ai jouis en lui, comme jamais. Et je sais qu’il a ressenti mon plaisir car il a jouit lui aussi sur le couvre lit.

    Après une bonne douche et un petit déjeuner câlin, nous avons remis cela, mais cette fois c’est lui qui m’a pénétrer. Cela m’a fait mal au début car il avait un gros gland, mais petit à petit je me suis habitué et j’ai commencé à apprécier d’être sodomisé. Il m’a fait prendre un certain nombre de position, certaines humiliante, mais je les acceptais parce que je voulais lui faire plaisir. Quel plaisir aussi de recevoir au fond de soi le sperme de l’autre, chaud et en quantité.

    Nous sommes restés une semaine ensemble, à faire l’amour dès qu’on le pouvait, dans les dunes, en forêt, chez moi quand ma femme allait à l’hôpital se faire soigner, chez lui.
    J’ai demandé à ma femme de pratiquer la sodomie, je ne vous donne même pas la réponse, elle m’a dit d’aller voir un psychiatre, qu’elle n’était pas une pute. Et depuis plus rien on a dû faire une fois l’amour en 6 mois.

    Mais je revois toujours Gilles. Comme je travaille boulevard Saint Michel et qu’il a une chambre près de la Sorbonne, tous les midis et le soir nous nous retrouvons, pas seulement pour faire l’amour mais aussi pour discuter, sortir.

    Je ne sais pas où cela va nous mener, mais beaucoup de sentiment passe entre nous deux.
    Voilà, je vous ai confié mon histoire, elle est banale et en même temps pas banale. Je comprends maintenant ce que l’on peut ressentir entre hommes.

    samuel

    minoucou41@yahoo.fr

    aucun commentaire
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    Soumission / Domination 28

    La veille au soir, nous avions tardé à nous coucher discutant de choses et d’autres, affranchissant Seb des pratiques en vigueurs dans notre « groupe » si bien qu’il nous avait fallu porter Ric au lit. La fatigue avait eu raison de sa résistance et comme souvent quand ils restent tous à la maison, il s’est retrouvé dans le lit d’Eric.

    Je me suis réveillé il faisait grand jour, Marc allongé contre moi bandait ferme. Je me suis glissé vers le pied du lit et entama la journée par une bonne fellation. Il ne mit pas de temps à se réveiller et j’ai soudain senti ses mains sur ma tête appuyer pour approfondir le propos.

    Rapidement je me prenais ma dose de sperme faisant bien attention de ne rien perdre. Alors que je reprenais position à ses cotés, Marc m’excita en me pinçant les tétons, me tirant les couilles et alors qu’il me mettait deux doigts dans l’oignon et que j’allais juter, il me bascula en arrière jusqu’à ce que ma bite se retrouve au dessus de ma bouche. Quelques coups de poignet et je me gavais de mon propre jus.  Trop bon !!

    Une petite douche plus tard, un jock sur ma bite et Marc en short , en descendant à la cuisine, nous sommes passés réveiller Seb. Nous l’avons attendus alors qu’il procédait aux même ablutions que nous précédemment, puis sommes allés lever les deux derniers.

    A la porte nous nous sommes rendu compte qu’ils étaient bien réveillé. Les bruits passant au travers ne laissaient aucun doute quand à l’activité se déroulant dans la chambre. Marc a alors poussé la porte et nous avons pu admirer Ric se défoncer le cul en chevauchant les cuisses d’Eric. L’angle de vision du pas de la porte nous découvrait les pieds et jambes d’Eric couché sur le lit et au dessus le cul de Ric faire des montés et descentes sur la batte de base ball noire puis le dos arrondi, les muscles bandés par l’effort.

    Les grandes mains d’Eric contrastaient sur les hanches blanches et aidaient aux va et vient.
    Occupés à atteindre la jouissance, ils n’ont pas remarqué notre présence et comme ils s’éclataient, Eric maintenant Ric enfoncé à fond sur son pieu, nous les avons surpris par nos applaudissements.

    5 mn plus tard nous étions tous à la cuisine pour un petit déjeuner/ déjeuner reconstituant. Seb un peu jaloux d’être le seul à n’avoir pas encore baisé, n’arrivait pas à débander. Marc envoya Ric sous la table pour le soulager ce qui fut fait 10 mn plus tard.

    Après un café dans le salon et pour certains une mini sieste, Marc a décidé de faire découvrir le « donjon » au nouveau membre du groupe.
    Sans nous habiller plus, nous avons mis sur nos épaules les grands manteaux de fourrure et l’avons conduit jusqu’à la porte de la grange. Je demandais à Seb de fermer les yeux puis de les rouvrir une fois la porte passée. Dans le noir complet, rien n’est perceptible hormis une odeur puissante de cuir. J’allume les spots groupe par groupe, découvrant petit à petit le domaine de jeux. L’apothéose vient avec l’illumination de la selle spéciale équipé du gode le plus gros que nous ayons.

    Durant toute la séance j’ai pu voir les yeux de Seb s’ouvrir comme des soucoupes. Je suivais Marc qui par le bras lui fit faire le tour des « agrès » et arrivant au fond de la salle éclaira la partie sanitaire carrelée de noire.

    Seb ne revenait pas de l’installation que nous avions montée.
    Alors que nous revenions vers les selles, nous avons vu Ric s’installer lentement sur le modèle modifié et vu son anus bien graissé s’ouvrir pour avaler le gland. La couronne de 6cm lui demanda un petit effort et par un fléchissement appuyé sur les étriers, il s’est pris d’un coup un bon tiers du gode.

    Eric prenait soin de la rondelle en plein effort en assurant un graissage du pieu synthétique. Seb s’est rapproché afin de mieux voir, il croyait qu’un engin de cette taille servait juste pour la déco et n’imaginait pas un mec s’asseoir dessus.

    Ric progressait doucement, son anus s’écartant progressivement, avalant cm par cm la colonne de plastique. Je tendais les bras et lui après lui avoir attrapé les tétons commença à les tordre. Aussitôt nous avons vu sur son visage monter l’excitation d’un degré supplémentaire et alors que ses tétons s’étaient gonflés, une dernière torsion le fit s’asseoir sur la selle avalant les deniers 5 cm les plus large en une fois lui tirant un couinement de salope.
    J’allais chercher un flacon de poppers dans le frigo, le présenta sous le nez de Ric qui me remercia de la détente que cela lui procurait au cul.

    Il se releva jusqu’à déculer et Eric en profita pour ajouter une nouvelle couche de graisse sur le gode. Une nouvelle dose de poppers et il se ré enfila le gode plus rapidement.
    Marc lui demanda un trot. Prenant appui sur les étrier Ric simula les soubresauts du cheval, glissant sur le gode sur environ 10cm. Quand Marc lui demanda d’aller au galop, le mouvement s’est amplifié et c’est sur plus de 20cm en faisant attention à ce que le gland ne sorte pas que Ric s’est limé le cul.

    Tous les 4 autour, nous admirions la prestation. Ce corps imberbe à l’aspect juvénile et à la musculature harmonieuse se défoncer le cul sur un monstre en plastique, c’était presque de l’art !
    Seb tout à l ‘excitation de ce qu’il découvrait comme pratique sexuelle, me laissa lui enfoncer 2 puis 3 doigts dans le cul. Je le poussais en travers de la selle d’à coté afin qu’il continu à profiter du spectacle et commença à le pénétrer de mes 20cm graissés. Doucement je sentais ses chaires s’écarter sous l’avancée de mon gland. Bien serré, après avoir fait une petite pause au fond de son cul, lentement, j’ai entamé un va et vient, déculant complètement de temps en temps avant de le réinvestir.

    Je me suis retiré quand Eric et Marc ont fait descendre Ric de l’engin de plaisir. Seb, du coup à cru que nous allions lui dire de monter à sa place et pris peur. Je le rassurait en lui disant que même moi je ne m’asseyais pas sur celui là !

    Marc m’a appelé  pour la double sodomie. Nous nous sommes allongés sur une table basse te étroite mais assez longue pour supporter totalement nos corps allongés tête bèche, collés par nos périnées (table faite sur mesure pour cette position). Eric ordonna alors à Ric de nous enjamber et de s’asseoir sur nos deux bites accolées. Sous les yeux ébahis de Seb, Ric s’est vaillamment pris, avec l’aide de quelques passage de poppers sous le nez, l’ensemble.
    Eric pris alors la place que j’avais laissé vacante et son dard bien graissé, il se mit à enculer Seb, le plaquant de nouveau en travers de la selle.

    Il fallu quand même une bonne dose de poppers pour que son anus accepte la déformation nécessaire à l’intrusion complète du mandrin d’Eric.  
    De la où j’étais, je pouvais voir que cela ne l’avait pas fait débander et que sa bite passée sous la selle n’avait jamais été aussi grosse.

    Ric commençant à fatiguer des jambes, Marc l’avait attiré sur ses abdos, je me redressais et à partir de ce moment là, c’est moi qui m’activa, massant la bite de Marc calée bien à fond, par mes aller et retour. A coté de nous, Eric se régalait de cul presque neuf de Seb. Ce dernier bien parti, acceptait de mieux en mieux la saillie. Et comme Eric jutait dans sa Kpote en le maintenant enfoncé sur sa bite jusqu’à la garde, je le vis éjaculer sur le sol sans même s’être touché, vaincu par l’excitation procuré par son cul.

    De notre coté, quelques instants plus tard, nous unissions nos spermes au fond de Ric quand il se répandait à son tour, sur les abds de Marc. Couchés les uns sur les autres, nous avons repris notre souffle doucement, nos queues débandantes libérant progressivement Ric de notre possession.

    Ce n’est qu’un bon ¼ heure plus tard que nous avons gagné les douches collectives. L’eau bouillante et les savonnages/massages mutuels à défaut d’un jacuzzi, nous ont bien délassé.

    De retour à la maison devant un thé bien chaud, après qu’Eric nous ait quitté, Seb demanda l’autorisation à Marc de pouvoir baiser des meufs à l’occasion afin de voir si ce qu’il préférait c’était les mecs seulement ou bien les deux, mecs et meufs !

    Marc lui dit que c’était Ok mais qu’il devait impérativement se Kpoter pour que de notre coté nous puissions continuer sans en toute confiance. Comme il nous en faisait la promesse, je lui dis que je le comprenais car c’était même la première chose que j’avais faite après m’être fait dépuceler par Marc. Mais avec le temps, le meufs ne m’intéressent plus sauf  la mère de Jean mais là c’est purement intellectuel. Soumettre toute la famille à ma bite, me donne un sentiment de puissance qui flatte mon égo !!

    Rompu de fatigue tant musculaire que nerveuse Seb est rentré chez lui alors que je remmenais Ric à son paternel.

    L’hivers passant, je retournais chez Jean pour une vérification de l’état du jardin, et voir par la même occasion les dégâts des différents coups de vent.

    J’arrivais en début d’après midi un samedi où je savais le mari pris par ses affaires. La mère de Jean me viola carrément. Les jeunes bites des copains de son fils ne savaient la satisfaire et surtout son cul était en manque de défonce !

    Happé dès le passage de la porte d’entrée, je me suis retrouvé propulsé sur un canapé, chevauché par une meuf en furie ! mes fringues ont volées autour de nous et je me suis vite retrouvé à poil. Excité par la situation, je bandais bien et sans attendre mon gland s’est retrouvé au plus profond de sa gorge. A croire qu’elle s’était entraînée sur un gode tellement ça entrait facile ! Sa fellation valait presque celle de son fils.

    2mn après elle me Kpotait et m’enjambait pour enfiler ma bite dans sa chatte. Elle était brûlante ! d’elle même, après deux ou trois va et vient, elle changea de trou et profitant de la lubrification de la Kpote enfonça ma bite au fond de son cul. Après 5 bonnes minutes de sodo,
    Jean attiré par le vacarme, nous trouva dans cette position. Sa mère ne fit aucun commentaire, j’en déduisis qu’elle s’était habitué à sa fonction de « pute ».

    J’ordonnais à sa mère de me chevaucher en me tournant le dos afin de libérer sa chatte et dis à Jean de ramoner sa mère. elle se coucha sur moi et bientôt je sentais le sexe de Jean progresser dans son vagin. Nos deux bites se frottaient l’une contre l’autre juste séparées par les deux fines parois vaginale et intestinale.
    De mes mains, je pressais se seins et comme elle avait les tétons bandés, j’ordonnais à Jean de les sucer.

    A partir de ce moment là, elle a vraiment décollé et nous l’avons entendu gémir de plaisir, nous demandant de la défoncer encore plus, qu’elle était notre pute, notre vide couille, que pour une telle baise elle serait prête à tout…un vrai délire !!
    Alors qu’elle jouissait pour la deuxième fois, Jean s’est vidé dans sa mère alors que je déculais et arrosais copieusement ses couilles, la chatte et le cul de sa mère d’une bonne dose de sperme.
    Comme Jean s’était retiré, je basculais la mère sur le canapé et ramassant mes affaires nous sommes montés à sa chambre, la laissant seule malgré ses envies de câlins !
    Après une bonne douche, il me fit voir sur son PC les enregistrements de sa mère en train de baiser avec ses potes.

    Alors que je m’étonnais des mecs qui la baisaient, il me dit qu’il avait préféré ouvrir le « marché » aux terminales car seuls 4 de ses potes de cours avaient été intéressés.
    J’ai donc pu admirer quelques beaux mecs, correctement foutus (sports-co oblige)et quelques un bien montés. On pouvait voir d’ailleurs que sa mère en profitait bien et qu’elle appréciait plus la chose qu’avec les petites bites de ses potes.

    Il y eu notamment un couple de jumeaux super mignon et bien foutus, (dans les 1m80, 65 Kg, montés 18/19 larges, de l’équipe de foot du lycée selon Jean) qui l’on prise chacun à leur tour et à la demande de la mère à deux comme nous venions de le faire. Là j’ai pu voir qu’ils kiffaient comme jamais ! dans l’enregistrement, nous les entendions la traiter de salope qui n’en n’avait jamais assez. D’elle même nous la voyons se limer toute seule sur les deux bites, le mec du dessous caressant les hanches de son frère. Vers la toute fin alors que l’excitation était au plus fort, les deux jumeaux se sont rapproché par dessus la meuf et se sont roulé une pelle. C’est à ce moment là que nous avons pu voir leurs corps se crisper sous l’effet de leurs plaisirs.

    Le spectacle des deux corps semblables s’embrassant amoureusement par dessus le réceptacle de leur jouissance ma fait bander aussitôt. On devinait que la femme ne servait que d’intermédiaire et qu’il y avait plus entre eux que de baiser la même meuf !
    Comme je demandais plus de renseignement à Jean, il me dit qu’effectivement quand après ils ont pris leur douche ensemble, leurs savonnages réciproque ressemblait plus à des caresses qu’autre chose.

    J’enregistrais sur ma clef USB l’ensemble des baises des terminales. Et en attendant la fin du chargement je descendis mon pantalon pour que Jean me suce la bite. Comme toujours il le fit avec beaucoup d’enthousiasme et de « profondeur ». Me repassant le film des jumeaux dans ma tête, je me dis qu’il faudrait que j’arrive à me les faire !
    Par contre la mère allait payer l’offre de son cul aux jumeaux. Je ne lui avais autorisé que l’utilisation de sa chatte dans ses dépucelages !!
    Je me concentrais sur la superbe fellation de Jean et finalement la trouvais quand même meilleurs que celle de sa salope de mère !

    Jean me Kpota et baissant juste son jeans sous ses fesses vient s’asseoir sur mes genoux, s’enfilant ma bite au fond de son cul. J’appréciais la douce chaleur de son intérieur et la puissance de contraction de son anneau. Malgré l’usage assez intensif que je lui faisais subir, il continuait les exercices et si son anus était devenu capable d’accepter les très très gros calibres, mes 5cm de diamètre se trouvaient encore bien serrés.

    Je le basculais sur le sol, à 4 pattes et les mains sur ses hanches j’augmentai la cadence et la puissance/violence de la pénétration. Je sortais mon gland de son cul tout en restant serré entre ses fesses puis le rentrais d’un puissant coup de reins. Ce petit jeu eut vite fait de faire monter mon excitation au top et dans une dernière pénétration, je me verrouillais au fond de son cul le temps de remplir la Kpote de 6 bons jets de sperme, dépassant la capacité de la réserve de la Kpote et noyant mon gland d’un gel gluant.
    Après m’être retiré et jeté la Kpote , Jean est venu nettoyer mon gland avec sa langue. c’était trop bon pour que je l’arrête ! 
    Je décidais de sacrifier un samedi matin de muscu avec le père de jean afin de surprendre sa mère baiser avec les jumeaux. J’ordonnais à Jean d’organiser ça le plus tôt possible .

    Arrivé à la maison, je copiais les enregistrements sur le disque dur et les montra à Marc. Le passage avec les jumeaux a attiré son attention plus particulièrement. Et lorsqu’il les a vu s’embrasser avant de jouir, j’ai vu son jeans se tendre sous la pression. Vite je me suis agenouillé entre ses cuisses et après avoir sorti avec difficulté son sexe, je me suis mis à téter son gland puis l’ensemble de sa bite. Il repassait en boucle sur le PC la baise des jumeaux et surtout la fin où on les voit se bouffer la langue. 5mn lui ont suffi pour envoyer la purée. Comme je me relevais en me léchant les lèvres, il me demanda de me débrouiller pour les lui amener. Je ne le surpris pas en lui disant que j’avais déjà envisagé la chose et que j’étais en piste pour cela, ayant prévus de les surprendre sur la mère de Jean un des 3 samedis suivants.

    Marc me caressa la joue, me félicita pour mon initiative puis se pencha pour me rouler la pelle du siècle ! comme je n’avais pas encore joui et que je bandais comme un âne, Marc me coucha sur le dos puis me relevant le cul jusqu’à ce que je ne repose que sur la nuque, il entreprit de me bouffer l’oignon. Pendant ce temps là je me branlais et rapidement sous la double stimulation, j’ai juté. Ma bite, au dessus de ma tête, libérait mon sperme directement dans ma bouche. Comme Marc m’interdisait de l’avaler, je me suis retrouvé les joues gonflées de jus. Il abandonna mon anus et posant sa bouche sur mes lèvres fermées me demanda de les entrouvrir. Lentement alors que je les desserrais, j’ai senti mon jus couler entre mes dents vers sa langue qui venais le chercher. Bientôt, bouches grandes ouvertes, nos langues se battaient dans ma sauce.

    Trop bon ! Nous n’avons cessé que lorsque tout le sperme a été bu !

    Il fallu 15 jours à Jean pour réorganiser une baise entre les jumeaux et sa mère. Ces derniers s’étaient fait un peu tirer l’oreille sous prétexte que la nouveauté n’y serait plus ! Jean avait trouvé les arguments qu’il fallait car finalement, ils étaient revenus.
    J’arrivais de bonne heure et après avoir installé la mère à poil sur les matelas de la maison de la piscine et passé 10 mn à l’exciter histoire que sa chatte soit brulante, j’attendis avec Jean leur arrivée. Installé devant le PC, je voyais l’enregistrement en direct des caméras et pouvais choisir l’une ou l’autre en particulier.
    Dès leur entrée, Jean les a conduit à sa mère. J’ai vue leur entrée dans le bungalow. La mère de Jean en bonne salope, s’était roulée à 4 patte le cul vers la porte et d’une main passée entre ses cuisses, elle se stimulait le clito ou s’enfilait deux doigts une fois dans la chatte, une fois dans le cul. 

    Les deux jeunes se sont mis à poil instantanément et leurs bites se sont raidies direct.
    Jean leur a donné une boite de Kpote et est venu me rejoindre. Sur l’écran j’ai pu les voir tourner autour de la meuf, cette dernière essayait de leur attraper la bite pour les sucer. Finalement un des jumeaux lui enfila sa bite au fond de la gorge en la traitant de pompe à foutre et lui tenant la tête fermement s’est mis en devoir de lui limer la gorge.
    Le second s’est placé derrière son frère et collé contre son dos, il se mit à le caresser et a l’embrasser. Soudain celui qui se faisait pomper a tourné la tête en arrière et son frère est venu l’embrasser sur les lèvres.
    Je bandais bien serré par le jeans.
    Jean et moi avons pu voir leur grande complicité en matière de sexe quand celui qui était derrière est venu se placer au dessus de la meuf et que celui qui se faisait pomper s’est penché pour lui sucer la bite.

    Là, j’ai ouvert mon jeans et Jean s’est mis à genoux entre pour me sucer. Je lui demandais d’y aller cool car j’étais très excité.
    Puis celui qui se faisait sucer par son frère s’est écarté et après s’être Kpoté, il s’est enfilé entre les lèvres brûlantes de la meuf en chaleur. Deux coup de rein seulement et je l’ai vu changer de trou et il a dit  alors que « quand même, un cul c’est meilleur qu’une chatte, la température est plus modérée et surtout on y est plus serré ! » son frère était d’accord et il ajouta  « pour les pipes aussi dans une bouche de mec c’est mieux fait ».
    On ne pouvait plus douter que ces jumeaux étaient de bon petit PD qui venaient, à l’occasion qui leur était offerte, de tester les meufs !

    Celui qui se faisait piper, se dégagea et glissant entre les jambes de la mère se plaça pour lui baiser la chatte. Quand il y fut, il commenta que « le seul truc fun était de pouvoir sentir leurs deux bites se frotter l’une contre l’autre dans la même meuf ! ».
    Là je me dis qu’il y avait une piste pour les attirer : la double sodomie !

    Je décidais avec Jean de débarquer dans la mini-partouze. Nous avons abandonnés l’écran et sommes descendu au jardin. 1mn plus tard, nous entrions dans le cabanon et les trouvions dans la même position.
    Les deux mecs furent surpris car il ne connaissaient pas.
    Je leur dis de continuer et Jean confirma sous leurs regards interrogatifs. Je m’approchais d’eux et mettant un doigt dans la bouche de sa mère, je tirais pour qu’elle me regarde dans les yeux. Je l’engueulais en lui rappelant que son cul m’était réservé exclusivement et finissait en lui mettant une claque. Les jumeaux étaient un peu troublés de me voir si directif avec la mère de Jean.

    Pour détendre l’atmosphère, je leur demandais s’ils étaient content de la meuf , ce à quoi ils me répondirent que c’était pas mal car ils pouvaient être tous les deux sur le même « chantier » et en même temps !
    Je leur faisait remarquer qu’on pouvait même être trois. Je me suis mis à poil et ai présenté mes 20 cm à la bouche de la mère. La tenant fermement je me suis mis à lui ruiner la gorge en enfonçant totalement ma bite. J’ai senti un regain de vigueur chez les jumeaux. En me penchant un peu, j’ai pris celui du dessus par les lèvres et profitant de l’effet de surprise j’ai introduis ma langue pour un  palot bien appuyé. Ma main droite est descendu le long de sa colonne vertébrale et le doigt que j’ai glissé entre ses fesses a pu apprécier la souplesse de son anus. Ce dernier n’était sûrement plus vierge ! et mon doigt est entré sans douleur.
    Je leur ai proposé alors un truc encore plus fun qui les rapprocherait à se toucher. Intrigués, il me dirent OK.

    Je sorti ma bite de la bouche de la mère et leur demanda de faire de même des trous qu’ils bouchaient. Je relevais la meuf et lui ordonna de nous laisser et de se finir seule si elle le désirait mais hors de vue. Les jumeaux étaient stupéfaits du ton que j’avais pour parler à la mère de Jean.

    Je demandais à Jean encore vêtu de se mettre à poil. Aussitôt fait, je lui mis deux puis trois doigts dans le cul puis mon sexe Kpoté l’envahi. Les jumeaux n’avaient pas imaginé que Jean pouvait être PD. Mais ils se reprirent vite et en se plaçant de chaque coté de nous, lui ont présenté leurs bites à sucer. Alors que je l’enculais virilement, sa tête passait de droite à gauche pour avaler jusqu’aux couilles les bites jumelles. Juste en tendant les bras, j’ai rapproché leurs visages du mien et nous nous sommes roulés une pelle à trois. Les deux « petits » étaient bien ferrés, je pouvais maintenant y aller. Je me retirais de Jean et leur dit de me remplacer pour éviter qu’il ne se referme. Aussitôt le trou fut bouché et alternativement ils se sont relayés. Quand je demandais à Jean de masser leurs bites en serrant bien son anneau, les mecs ont trouvé cela bien meilleur que la chatte de sa mère. De mon coté, à l’aide du jumeau restant, je palpais, caressais, plantais un ou deux doigts dans le cul de celui qui enculais Jean.
    L’excitation montait bien, je ralentissais tout le monde quand je voyais que ça frisait l’éjaculation.

    Je demandais aux jumeaux, quelles étaient leurs expérience en ce domaine et ils me dirent qu’ils s’étaient jusque là principalement contentés de leurs relations incestueuses, que la mère de Jean était leur deuxième meuf et Jean leur  « premier mec ».
    Je leur proposais alors de prendre Jean à deux. Ils m’ont regardé avec des yeux ronds, je leur expliquais alors que si ils voulaient essayer, ils pouvaient enculer Jean en même temps.
    Ils n’ont pas réfléchi longtemps pour me demander comment.
    J’en ai fait coucher un sur le dos, ai demandé à Jean de le chevaucher. Une fois la bite bien au fond de son cul, je l’ai poussé aux épaules pour le plaquer sur le torse de son enculeur puis ai dit au second jumeau de s’agenouiller et de placer son gland contre l’anneau sur la bite de son frère.

    D’une poche de mon jeans je tirais un flacon de poppers et en même temps que Jean en sniffait, j’ai ordonné au deuxième de rentrer sa bite.
    Jean a poussé un cri au passage du gland ce qui a figer l’ensemble. Les jumeaux ayant eu peur d’avoir « cassé » quelque chose !
    Je refaisais sniffer Jean et leur dit qu’ils pouvaient le limer. Il leur fallut quelques minutes pour régler les mouvement et enculer de concert le trou de notre petit Jean. Ils prenaient vraiment leur pied et kiffaient de sentir leurs deux bites bien serrées au chaud du même cul.
    Absorbés par l’étrangeté du plan, ils ont accepté sans problème ma participation, baiser, prise de couilles en mains, doigts dans le cul…

    Quand ils ont été bien chaud, j’ai remis une Kpote et plaquant l’enculeur du dessus sur le dos de Jean, j’ai entré mes 20cm dans son cul d’une seule poussée lente mais ferme et inexorable.
    Sous l’effet de ma pénétration, il s’est redressé et comme il tournait la tête vers moi, j’ai pris ses lèvres pour lui rouler une pelle avant qu’il ne se mette à protester.
    Son frère, prisonnier de nos trois corps, nous dit alors que la bite de son frère avait encore grossie tout contre la sienne. L’effet de mon enculage sûrement !
    C’est dans cette position que nous avons tous joui, les enculeurs dans leur Kpotes et Jean sur les abdos d’un jumeaux.

    Après un bon ¼ heure de récupération, nous avons pris une douche, et discuté un peu. Les jumeaux voulaient en savoir plus sur mes relation avec Jean et sa mère, etc.
    Je me contentais de leur demander si ce genre de plan leur avait plut. Ils me dirent qu’ils avaient kiffé à mort, alors je leur proposais d’autres expériences chez moi (et Marc) sans leur en dire plus et leur demandais leurs disponibilités. Ils me dirent OK, qu’ils étaient très libre de leur emploi du temps le WE, leur père les laissait gérer leur vie comme ils le désiraient en totale confiance. Lui même, veuf, vivait sa vie sans complexe, découchant ou ramenant des meufs chez eux.

    Je téléphonais à Marc et après une brève discussion, nous les avons invité pour le lendemain. Je leur proposai de venir les chercher en voiture (le trajet en scooter serait un peu long), à 10h.
    Ils demandèrent à Jean si ça craignait pas et ce dernier leur a garanti qu’il n’y aurait aucun problème que nous étions réglos.

    Jardinier

    sasha72@hotmail.fr

     

     

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  • Certains récits ne font pas mention du condom. N'oubliez pas que ceux-ci sont essentiels pour une relation sexuelle sécuritaire... Dans votre lit, vous n'êtes pas dans un récit! Protégez-vous!!!
    Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
    Pour plus d'info : www.sida-info-service.org

    Soumission / Domination.


    En arrivant à la maison, je lui fais signe de garer sa voiture et part ranger la moto avec les autres. Il me rejoint dans le garage et me demande à qui est le VFR. Je lui dis que les deux motos sont à Marc car je ne me suis pas encore décidé de ce que je vais acheter.
    Il prend son sac et nous entrons. Il admire la baraque. Je me défait de ma combinaison et me retrouve en shorty et Tshirt.

    Marc n’est pas encore rentré. Je l’emmène à l’étage, l’installe dans une chambre d’ami et lui dis de se mettre à l’aise.
    Je pousse jusqu’à notre chambre pour me changer et enfiler ma tenue habituelle (jock, short fendu, marcel).

    Je le rejoins, il est en jeans et polo. Nous descendons et comme Marc se fait attendre, je lui fais visiter la maison. Il hallucine devant la salle de muscu et ses sanitaires. Il me dit mieux comprendre ma musculature après avoir vu ça. Je lui précise quand même qu’elle sert aussi à plein d’autres choses que le développement musculaire ! il rit ayant compris le sous entendu.
    Nous remontons quand Marc arrive enfin.
    Je vais l’accueillir laissant Seb au salon. Je lui saute au cou, lui roule un palot bien senti pendant que je sens sa main gauche s’égarer vers mon anus, profitant de la modification des coutures à cet endroit là, la droite réussissant à conserver les pizzas à l’horizontal

    Par la double porte s’ouvrant de l’entrée vers le salon, Seb n’a pu manquer ces retrouvailles !
    Je me décolle et présente Seb à Marc. Marc, le samedi, travaille en tenue décontractée, jeans, pull assez moulants.
    Je lui dis que nous venions juste de remonter du sous sol, il se tourne alors vers Seb pour lui demander comment il a trouvé l’aménagement ?
    Nous immigrons vers la cuisine et comme il est 14h passé, nous attaquons direct les pizzas prédécoupées encore chaudes. Je débouche un rosé et nous déjeunons debout tout en discutant.
    Marc a le don pour mettre les gens à l’aise et rapidement Seb se comporte comme un ami de longue date.

    Nous continuons à parler autour d’un café devant la cheminé où j’entretiens un bon feu qui maintient facilement un bon 25°C dans la pièce.
    Deux heures passent et Marc se sent prêt pour une séance de gym !
    Nous descendons tous les trois à la salle et je quitte mes rares vêtements pour ne rester qu’en jock. Marc se dévêt et passe un jock en précisant que c’est la seule tenue autorisée dans cette salle. Seb nous dit ne pas avoir prévu cela et qu’en plus il n’en a pas. Pas de problème, je lui ouvre un placard ou 4 étagères sont remplis de jock strap de diverses tailles, marques et modèles et lui dis de choisir ce qui lui plait.

    Un peu gêné par la situation (nous sommes tous les deux en train de le regarder), il en choisit un au hasard et s’aperçoit après que c’est un truc à lacets sur la poche. Il me regarde d’un air désemparé. Je lui dit de le mettre et que je l’ajusterais sur lui. Il se met nu tout en nous tournant le dos, sans remarquer les grandes glaces qui nous dévoilent la face cachée puis enfile rapidement le jock. Quand il se tourne, il bande un peu et son paquet écarte bien les lacets. Je m’agenouille et en tirant un peu sur les lacets, moule de façon suggestive son beau service trois pièces.
    Nous nous répartissons sur les appareils et j’assure Marc au développé couché quand Seb travaille ses dorsaux au tirage nuque.
    Une bonne heure et quelques étirements plus tard, nous allons nous doucher histoire d’éliminer la sueur et surtout attirer Seb dans nos filets !
    Sous les douches communes, nous nous savonnons seuls puis réciproquement, il y a toujours un morceau de peau qui résiste à une auto-application du gel douche !
    Le savonnage se mue en caresses, les bites se dressent et alors que me collant à Seb, je me mets à l’embrasser, Marc se plaque contre son dos, la bite bien collée au sillon de ses fesses. Lui mordillant le cou et glissant ses mains entre nous deux, il lui pince les tétons.
    Seb gémis de plaisir sous ce double traitement. L’eau qui coule nous ayant totalement rincés, je glisse doucement sur mes genoux et arrivé devant son sexe, commence une fellation destinée à lui faire perdre la tête.

    Sa bite est raide comme jamais ! je repousse doucement son prépuce de mes lèvres et attaque le gland, je me limite à lui dans un premier temps, faisant tourner ma langue autour, la glissant sous la couronne, agaçant le frein et essayant de pénétrer le méat. Mes mains posées sur ses fesses écartent doucement les deux globes, permettant ainsi à la bite de Marc de venir coller l’anus ainsi dévoilé.
    Je concentre l’attention de Seb sur sa queue en approfondissant ma pipe. Tout à l’écoute des sensations procurées par son organe, il ne se rend pas compte que Marc enfile une Kpote et l’enduit de gel.
    Comme je l’avale en entier, massant son gland dans ma gorge par de rapides déglutitions, Marc investi son anus en une seule et puissante poussée. Seb se laisse aller à gueuler un coup et j’ai juste le temps de bloquer sa jouissance en appuyant très fort sur le périnée !
    Nous nous immobilisons tous les trois pour faire retomber la pression.
    Quand je sens que Seb est prêt, je recommence ma pipe tout doucement aidé par Marc qui lime lentement le petit trou de Seb.

    Le plaisir remonte en Seb. Si les premiers va et vient lui ont arraché quelques grimaces, la bite de Marc étant plus imposante que la mienne, surtout à la base (un bon 6cm), la suite lui donne du plaisir et Marc peut accélérer le rythme. Légèrement penché en avant, Seb, d’une main, se tient au mur pour supporter les assauts de Marc alors qu’avec l’autre posée sur mon crane, il me pousse sur sa tige (comme si j’avais besoin d’encouragements !!).
    L’excitation atteint son paroxysme et brutalement, Seb explose dans ma gorge. Surpris je manque de m’étouffer avant d’avaler son jus. Marc la bite compressée par l’orgasme de Seb continu ses coups de reins. Je me redresse et embrasse Seb pour lui refiler une part de sa semence puis le dos collé à la faïence, je le penche, afin qu’il me rende la pareille avant que son excitation soit totalement retombée.

    Il met tout son cœur à l’ouvrage et il ne me faut pas longtemps pour que je lui envoi ma sauce alors que Marc remplit sa Kpote.
    Les jambes un peu coupées, nous nous asseyons laissant l’eau évacuer le sperme généreusement distribué.

    Marc félicite Seb. Ce dernier lui demande alors si c’est une chose que nous faisions souvent, le sexe à trois ? Marc éclate de rire et lui dit que c’est assez souvent que nous baisons à beaucoup plus ! que l’on est une bande d’amis qui aime le sexe et que nous nous retrouvons souvent le WE et que si cela l’intéresse (ce dont on ne peut plus douter) il pourrait intégrer le groupe.

    Alors que nous regagnons le rez de chaussée, Marc nous laisse seuls. Seb est encore un peu gêné de se promener les fesses à l’air, nous passons alors à l’étage et je lui prête un de mes shorts en jeans fendu. Nous faisons tous les deux un 38. Avant de redescendre, je pousse la porte du baisodrome et il happé par les miroirs. Je le pousse sur un des grands lits et sur le dos, il voit que nous avons aussi équipé le plafond ! il me presse de questions ? il veut tout savoir !

    Je lui explique alors en détail que nous sommes tous les deux (Marc et moi) de furieux jouisseurs et que notre activité principale après le travail c’est le sexe.  Il veut savoir qui compose la bande. Je lui décris alors notre petit groupe et les caractéristiques de chacun, Eric et la bate de baise ball qu’il a entre les cuisses, Jean et sa capacité à prendre tout les calibres des deux cotés, Phil et Luc, les deux étudiants, motards et recto/verso puis les deux jeunes Pierre et Richard plutôt très obéissants !
    A chaque nom ajouté à ma petite liste, je le voyais kiffer. A la fin il me demanda si je croyais possible qu’il soit actif avec un mec, car il avait bien compris que pour Marc et moi c’était plutôt son cul qui nous intéressait.

    Je le rassurais et lui affirmais que sans problèmes, Phil, Luc, Jean, Pierre et Richard seraient tous intéressés par ses 19cm dans leur cul et que moi aussi le cas échéant.
    Tout ses propos l’ont remis en forme et nje devine sous le jeans sa belle bite qui se dresse emprisonnée par les tissus. Je me couche à coté de lui à l’envers et nous entamons un 69. après avoir défait avec difficulté les boutons de la braguette tant la pression exercée pare en dessous était forte, nous nous goinfrons respectivement de nos sexes bandés ! c’est à qui en avalera le plus et le plus vite ! je glisse vers son cul, il fait de même et nous nous bouffons l’anus à grand coup de langue. la salive coule et imbibe les bord du jeans. Seb me demande si il peut m’enculer, excité par l’idée de recevoir ses 19cm bien droits, j’accepte et tire de dessous du lit une caisse plate à roulette contenant tout ce qu ‘il faut pour cela. Gel, Kpote et même plugs, godes…

    Je lui mets la Kpote alors qu’il me masse la rondelle avec du gel, réussissant à y mettre deux puis trois doigts.
    Je me mets en levrette età genoux entre mes cuisses, il vient enfiler sa bite dans mon cul. Il prend tout son temps, bloquant mon impatience et me tenant bien aux hanches. Il savoure le moment où pour la première fois on pénètre un cul. Centimètre par centimètre, il progresse, envahissant mon antre. Je sens bien passer le gland sur ma prostate ce qui me fait bander encore plus.

    Bien calé au fond, il stoppe, je sens ses couilles contre les miennes. Il commence alors un lent retrait. Je l’arrête avant qu’il ne sorte totalement. Il replonge dans mon intérieur, puis se met à me limer régulièrement. Il me dit que c’est génial, 10 fois meilleur qu’une chatte toujours trop large. Il apprécie la sensation d’anneau qui lui serre la bite tout au long de la progression.
    Alors qu’il augmente le rythme, la porte s’ouvre sur Marc qui nous cherchait.
    A la vue du tableau, il vient se poster devant moi, je m’empresse de lui sortir le sexe et de le faire gonfler sous mes coups de langue et les aspirations de ma gorge.
    Bien raide, il passe derrière Seb et juste Kpoté, lui remet ses 22cm dans le cul. Je ressens dans mon propre intérieur la pénétration de Marc. Seb s’enfonce plus profond et je sens son dard gonfler plus encore. Marc se positionne à la bonne distance et plaçant ses mains sur la taille de Seb imprime les mouvements qui le font coulisser sur sa bite et par la même dans mon cul.

    J’admire le tableau dans les glaces situées en face du lit. Je me couche, sortant Seb de mon cul, je me retourne et relevant les jambes lui représente mon anus. Il n’hésite pas et replonge sa bite bien au chaud. Ses épaules pèsent sur mes chevilles et comme je l’attire par le cou, il se penche pour me rouler une pelle. Dans les glaces du plafond, je vois bien la queue de Marc faire ses va et vient dans le trou de Seb.
    Cette position, m’excite bien, je ne suis pas le seul, les halètements de chacun traduisent bien notre montée vers la jouissance. Alors que Seb se bloque au fond de mon boyau pour juter dans sa Kpote, j’explose, mon sperme éclaboussant mon visage et celui de Seb. Marc ne tient pas plus longtemps et sort vite pour juter sur le dos de Seb.

    Marc récupère allongé à coté de nous pendant que nous nous lavons nos faces de mon sperme à coup de langue, le partageant avec une bataille de langue qui nous fait exploser de rire.
    Marc remonte son pantalon qui pendant l’action avait glissé sur ses chevilles et avec Seb, nous nous changeons pour descendre dîner, les short en jeans n’étant plus très présentables et surtout un peu graisseux de gel et autres fluides lubrifiants !

    Le dimanche matin, après une soirée sympathique et alcoolisé, le réveil a été assez laborieux. Quelques piverts dans le coin du crâne s’évertuaient à me picorer le cerveau.
    Je descendais vite prendre la médication adéquate et surtout un bon demi litre d’eau !
    Pendant que Marc préparait le café, je suis aller réveiller Seb. Comme il dormait encore, j’ai pu le mater, nu sur le lit, le spectacle me fit un petit effet au niveau du bas ventre !

    Je le secouais et quand il me demanda l’heure, le prévint qu’il était déjà 11h. je lui laissais ¼ d’heure pour être en tenue de jogging.
    Marc nous entraîna dans la variante de la ruine (cf. soumission 16) et à la pause de la ruine, nous lui avons fait une pipe à deux bouches, profitant d’arriver sur le gland pour nous rouler des pelles. A genoux l’un en face de l’autre, nous nous masturbions réciproquement.
    Marc a juté sur le visage de Seb et je l’ai nettoyé entièrement à coup de langue pour qu’il puisse finir le parcours sans honte !

    Une bonne douche et surtout un solide en cas nous a remis sur pied.
    Alors que nous prenions notre café tranquilles enfoncés dans les confortables fauteuils du salon, nous avons entendu des motos se rapprocher. Eric ayant été décommandé, ce ne pouvait être que Phil et Luc.
    Je vais ouvrir et effectivement, c’est eux qui sont devant la porte. je les fais entrer en leur précisant que nous avons un  invité, histoire de limiter les gaffes !
    Ils nous disent que comme ils tournaient dans le coin en moto, l’idée leur avait pris de se faire payer un café. Comme j’en fais toujours des tonnes, j’ai vite sorti deux mugs pour les servir. Au moment des présentation et à l’énoncée de leur prénom, j’avais vu Seb réagir en affûtant son regard sur les deux physiques essayant de deviner ce que cachaient les combinaisons.
    A mots couverts, Phil me demande des conseils de musculation pour réussir à tenir certaines positions que leur  font prendre les deux frères (cf. soumission 15).

    A la fin Marc nous dit qu’on ferait mieux de descendre à la salle. Alors que j’y descend avec Phil, Luc et les deux autres nous emboîtent le pas. Sans fausses pudeur, nous nous mettons tous en jock et je commence à m’occuper de Phil pendant que les trois autres s’échauffent tranquillement. J’entends Luc admirer le corps de Seb et Marc faire quelques remarques sur Luc, comme quoi les « exercices » physiques entretenaient bien ses muscles.

    Comme je montrais a Phil les mouvements pour renforcer ses fessiers et ses cuisses, les trois autre sont venus le voir faire. C’est assez suggestif de mater un mec à 4 pattes qui lève la cuisse sur le coté, découvrant ainsi son trou du cul !
    Luc pour mieux m’expliquer leurs problèmes de position, se place derrière Phil et commence à lui bouffer le cul.
    Quand il se relève, le trou de Phil a commencé a bien s’ouvrir. Je lui en fait la remarque et il me dit alors que se prendre une à deux fois par semaine les deux frères ça laissait des traces ! et Luc de confirmer.

    Alors que Marc expliquait à Seb de quoi il retournait, je demandais à mes deux compères s’ils faisaient bien les exercices que je leur avais recommandés de faire avec leurs plugs. Ils m’avouèrent qu’ils ne les faisaient pas très souvent ! je leur disais qu’ils n’avaent alors pas à se plaindre ! mais que bientôt ce ne seraient plus de mignons petits trous fermes et appréciés mais de grosses chattes larges qui n’intéresseraient plus personne !
    Ils ont pris assez mal mes remarque et me dirent de les tester pour que je vois le contraire.

    Comme nous étions tous à bander, j’allais chercher les Kpotes et Avec Seb, nous avons commencé à enculer chacun le sien. Avec la seule lubrification de la Kpote, nous avons entré assez facilement nos bites au fond des anus. Même si nous sentions bien les bords, je trouvais que le sphincter manquait de tonus. Vexé Phil, se mit à serrer son anus et là j’ai commencé à apprécier la sodomie. Seb à coté de moi ne disait rien mais appréciait le fait d’être actif dans le trou de Luc. Comme je lui demandais son avis, il me dit que de son coté c’était parfait.

    Comme j’en doutais, en me penchant, je viens passer un doigts le long de sa verge  et profitant d’un va et vient le fit pénétrer avec sa bite. Sans problème, le cul de Luc laissa passer l’ensemble. En quelques mouvement, je me rendais compte que le cul de Luc était dans le même état que celui de Phil. Corrects mais avec un début de fainéantise !

    Pour Seb qui ne connaissait que les chattes de meufs, c’est vrai que sa bite se trouvait plus comprimée que dans un vagin. D’ailleurs, il prenait son pied à limer profondément  prenant exemple sur moi, de temps à autres, il sortait totalement et replongeait dans le cul avant la fermeture totale du trou.
    Dans le groupe, cela fera un nouvel adepte du recto/verso soit : 2 actifs, 4 actifs/passifs, et 3 passifs. 

    Marc n’était pas resté à nous regarder mais se faisait piper alternativement par nos deux enculés. Comme il était bien raide, je lui cédais ma place pour avoir son avis.
    Il parvint à la même conclusion que moi, ses 22x6 entrant sans résistance dans le cul de Phil.

    Marc demanda à Phil et Luc de se mettre en 69 sur un banc de muscu et alors qu’il enculait Luc, je proposais à Seb de se faire Phil. Quelques minutes plus tard, je rejoignais le quatuor en sodomisant Seb. A partir de là, cela s’est vite terminé, Seb trop excité n’a pu retenir sa jouissance et enfoncé à fond dans Phil a explosé dans sa Kpote. je l’ai suivi de près et Marc dans le même temps dosait Luc. Les deux enculés se sont repus de leurs spermes respectifs, et malgré leur voracité, leurs bouches débordaient.

    Après un passage aux douches, une fois propres, nous avons fini le point sur les exercices de musculation et surtout sur l’intérêt d’exercer le sphincter sur les plugs régulièrement.
    Luc et Phil promirent à Marc de le faire. Je pense que le risque de se faire éjecter de notre petit groupe a du germer dans leurs petites cervelles car même si j’apprécie leurs culs et leurs bites, si Marc et Eric ne leur trouvent plus d’intérêt, je ne pourrais pas faire grand chose !!

    Après leur départ, Marc a demandé à Seb si il désirait « pénétrer » le groupe. Devant la réponse positive et enthousiaste, il lui précisa quand même les quelques règles implicites.

    - Marc et Eric ont tous les droits,
    Tous les autres doivent obéir à leurs désirs,
    - Obligation de rester physiquement en forme, sport, muscu et entretien des « outils » sexuels (comme il avait pu s’en rendre compte avec Phil et Luc),
    - Pas de baise hors du groupe sauf accord de Marc et Eric et toujours en protection totale (Kpote impérative),
    - Confiance totale exigée pour sexe sans Kpote,
    - Interdiction de divulguer les actions du groupe aux personnes extérieures.

    Si cela lui convenait, nous serions heureux de l’accepter. Seb réfléchit quelques instant et nous confirma son accord nous précisant que pour le moment, il n’avait plus de meuf, car il venait de la larguer pour cause de désir de môme.

    Comme il allait nous quitter, Marc le prévint que le we suivant, il devra venir à la maison faire connaissance d’Eric. La prochaine partouze n’étant pas prévue avant 3 semaines.

    Mon petit commerce avec Jean, va son train les mercredi après midi et mes clients TTBM sont impatient de le tester en gang bang comme ils l’ont fait avec Ric. Je pense que le fait d’être plusieurs TTBM réunis flatte leurs égos car autant pour Ric il y avait une découverte, autant pour Jean, chacun connaît le moindre détail de son anus !!
    Si je veux organiser cela il va pas falloir que je tarde car l’approche des examens scolaires va diminuer sa disponibilité !

    Je me suis enfin décidé et j’ai acheté une MONSTER 1100S (DUCATI). Elle est trop ! très réactive, je suis content de m‘être fait la main sur le X11 de Marc. Maintenant j’ai ma moto à moi !A ma mère qui s’étonne que j’ai les moyen d’acheter cela, je lui dis qu’avec mon salaire et surtout mes travaux en dehors et le faible loyer que me fait Marc, j’ai pu économiser assez.

    Le WE suivant, après le samedi matin consacré au père de Jean, je suis passé chercher Ric avec ma nouvelle moto. Pas de changement pour lui, l’ancrage se fait toujours sur mon paquet.
    Ce WE Marc a invité Seb à nous rejoindre car il doit faire la connaissance d’Eric. J’ai ajouté Ric pour que Seb puisse se rendre compte de ce qui est humainement possible de « prendre ».
    Ca devrait le faire tous les 5 !

    Marc ne devant rentrer que vers 14h, Eric et Seb doivent nous rejoindre vers 18h. En attendant, comme nous sommes seuls Ric et moi, je décide de faire un peu de muscu, ça sert toujours.
    Direction la salle au sous sol. Mise en tenue réglementaire (jock) et nous voilà en train de suer sur les différents bancs.

    Il est 13h 30 quand nous passons aux douches. J’inspecte Ric et admire le travail d’épilation que lui fait subir son père. Il ne lui reste plus rien sur le corps épilation totale et définitive des bras, jambes et du torse (il n’y avait pas grand chose). Pour le sexe, même chose pour les couilles, par contre sur le pubis il ne fait qu’une épilation simple laissant la possibilité plus tard d’y laisser pousser quelques poils.

    Nous nous savonnons mutuellement et malgré le fait que nous sommes excités et bandants, nous nous retenons pour la soirée.
    En jock seul, nous remontons accueillir Marc. La vue de nos accoutrement le fait sourire et nous avons droit à une tape sur le cul.

    18h juste quand la voiture de Seb entre dans la cour. Nous avons juste le temps de faire la présentation de Ric qu’une moto se fait entendre. Eric nous rejoint vite.
    Seb est surpris, le physique de Ric l’interpelle et la masse d’Eric l’impressionne. Même habillé, Eric impose sa masse musculaire et surtout celle qu’il possède en haut des cuisses.
    Marc donne le signal en décidant que nous allions tous nous doucher à la salle de muscu. Cela en plus nous permettra de préparer le cul de Ric !

    C’est la première fois que Seb assiste à un lavement. Il observe bien la manip et pose quelques questions. Nous nous gardons bien de lui dire que c’est en prévision d’une double sodomie. J’y passe aussi, j’aime bien avoir le cul propre ! de me voir le faire et sachant qu’il va se faire enculer par Marc et Eric, Seb intrigué par la chose accepte de le faire.

    Je m’occupe spécialement de lui, graissant bien l’embout de la canule, je l’enfile de 15cm avant d’ouvrir doucement l’eau. Je lui dis de bien serrer son anus et quand il me dit ne plus en pouvoir, je le libère et il courre sur les wc. Quand il revient il me dit que ce n’était pas très sale, une autre fois devrait alors suffire. Je le lui dis et répète l’opération. Les trois autres nous attendent dans la salle de muscu histoire de ne pas trop gêner Seb pour son premier lavement (c’est suffisamment space la première fois pour ne pas en rajouter avec 3 mecs qui matent !).
    Quand nous les rejoignons, Ric est à genoux entre les deux en train de sucer alternativement la bite de Marc et le mastard d’Eric.

    Seb est impressionné par le sexe d’Eric alors qu’il n’est pas encore totalement bandé.
    Nous rejoignons le baisodrome deux étages plus haut, non sans s’être pris quelques mains aux fesses et doigts dans le cul dans les escaliers !
    Couchés sur le dos sur un des grands lit, Ric et Seb se font enfiler leur gorges par les bites respectives d ‘Eric et de Marc. L’insistance de l’une ou l’autre à rester calée bien au fond, tire quelques tentatives de renvois.

    Pour ne pas être en reste, je m’occupe des queues des deux suceurs. Leurs tiges bien raide se ressemblent beaucoup. 19/20cm de long pour 5cm de diamètre environ, bien droites, non circoncises mais le prépuce souple découvrant totalement les glands. Là une petite différence, le gland de Ric est plus large avec un bord type champignon alors que celui de Seb est plus en obus. Dans les deux cas, ils sont sensibles à mes coup de langue, et à la profondeur de ma gorge. Habituée au 22 x 6 de Marc, je n’ai aucune difficultés à bouffer leur tige jusqu’à la racine !

    De se sentir pompé de la sorte leur donne du cœur à l’ouvrage et bientôt, Marc et Eric échangent leurs pompeurs.
    Je reste sur la bite de Seb alors qu’Eric tente une pénétration complète. J’entend Marc conseiller à Seb d’avaler mais ça ne suffit pas et il s’étrangle avec le gland calé derrière la glotte et éructe violemment.

    Je cesse ma pipe et m’allonge tout contre Seb afin de glisser dans son oreille encouragements et conseils.
    Il se calme, Ric reprend la grosse bite noire dans sa bouche et doucement l’aspire jusqu’à se retrouver le nez dans les grosses couilles rasées. Il maintient le gland au fond de sa gorge une bonne 30aine de secondes puis doucement le recrache et respire un bon coup avant de recommencer.

    La démonstration montre à Seb que c’est possible. à mon tour je m’y colle et aspire le gros gland d’Eric dans ma propre gorge. Je suis moins habitué que Ric à de tel format et je me recule aussitôt pour recommencer. Seul Ric arrive à garder Eric un certain temps bloqué au fond de sa gorge sans mourir !!

    Seb décide de s’y attaquer de nouveau. Il reprend le gland d’Eric dans sa bouche et joue un peu avec, passant sa langue autour de la couronne, titillant le frein, tétant, avant de nous imiter et après avoir pris une bonne respiration, commence à avaler le gourdin. Je lui murmure dans l’oreille que c’est bien , qu’il va adorer la douceur du gland dans sa gorge, je lui penche un peu plus la tête en arrière et d’un coup de rein, Eric en rentre les trois quarts. Il se retire aussitôt et Ric et moi félicitons Seb même si tout n’est pas rentré. Après tout le WE n’est pas terminé !

    Après deux ou trois autres tentatives, Eric retrouve la gorge totalement accueillante de Ric et Seb apprécie la taille raisonnable de Marc ! moi je commence a leur préparer le cul et le leur bouffe à grand coup de langue. préparer deux cul demande plus de salive que je ne peux en produire, je demande aux deux sucés qui se mettent à me cracher dans les mains. Je peux alors commencer les dilatations une mains par cul, j’enfile un, deux et rapidement trois doigts. Ils tournent plus facilement dans Ric mais lui à l’entraînement et il sait détendre son sphincter. Seb prend son pied et je dois faire attention à ne pas aller trop vite.

    Je remplace la salive par un bonne dose de gel, ce dernier à l’avantage de ne pas sécher aussi vite. Les deux jeunes sont soulevés et retournés. A 4 pattes sur le bord du lit, cote à cote, il se font mettre. Je vois le visage de Ric s’épanouir sous la poussée ferme d’Eric. Il ne soupire que lorsque ce dernier fait entrer ses cm les plus larges. Seb, après une petite grimace, se laisse pénétrer par les 22 cm de Marc.

    Je me place entre les deux et leurs deux bouches me dévorent le chibre. Ils passent plus de temps à se rouler des pelles en se bataillant mon gland qu’à coulisser sur la hampe mais c’est bon quand même. Seb maintient de sa main posée sur le crane rasé de Ric leurs bouches soudées. Mon gland apprécie ce traitement et je commence à différencier les langues par la différence de rugosité de leurs papilles. Ric à la langue la plus douce.
    Après ¼ d’heure de sodomie, je vois les deux enculeurs se retirer. J’en déduis qu’un échange de cul ne va pas tarder.

    Je prend une bouteille de poppers stockée sous le lit et alors qu’Eric pose ses mains sur les hanches de Seb et son gland sur son anus, je débouche le flacon et rapidement fait sniffer à Seb les vapeurs qui en sortent. Une narine, l’autre, la réaction ne se fait pas attendre et Eric en profite pour le saillir (il n’y a pas d’autre mots pour une bite de cheval !). Malgré ma préparation, le travail de dilatation effectué par Marc et les effets du poppers, la pénétration d’Eric lente mais inexorable lui tire quelques larmes. Je m’empresse de les lécher et embrasse Seb, écrasant ses lèvres sous les miennes, j’essaye avec ma langue de lui attraper la sienne. Je lui remets une dose de poppers et en sniffe aussi par la même occasion ! je vois ses yeux s’ouvrir plus grand et je devine que les derniers cm d’Eric sont entrés.

    Je suis chaud et Marc m’ayant vu prendre du poppers sait que je suis en manque. Il se retire de Ric et abandonnant la Kpote vient m’enculer brutalement. J’adore me faire dominer de la sorte quand j’ai pris du poppers ! ses mains posées sur mes épaules, il me lime, me faisant profiter de ses 22cm. Dès qu’il s’écarte trop, je donne un coup de cul pour me ré enfiler sur sa queue. Je suis bien quand j’ai son morceau entier en moi. Je passe mes bras en arrière et bloque le mouvement en le tirant par les hanches.

    Seb, délaissé, trouve sa place.  Sur le dos, il se glisse sous moi et vient me téter la bite. Son entraînement est tel qu’il pourrait presque respirer avec mon gland au fond de sa gorge !
    Sa queue raide devant nos bouches reçois alternativement les hommages de nos gorges. De temps en temps j’appui sur la tête de Seb pour qu’il s’entraîne la gorge.
    La situation ne va pas durer très longtemps, l’excitation générale va crescendo et les uns après les autres nous jutons, giclons, éjaculons, jouissons, balançons la purée, Marc au fond de mon cul, Eric dans sa Kpote, moi dans la gorge de Ric, Ric sur nos visages et cheveux et Seb sur le matelas !

    Tous les 5 allongés sur le dos, nous regardons notre reflet dans les glaces du plafond.
    Les muscles se détendent et les bites se recroquevillent. Nous reprenons pieds dans la réalité. Notre petite histoire aura quand même duré 3heures !
    J’ai faim !! nous descendons tous à poil vers la cuisine pour nous restaurer. Il va falloir tenir le rythme demain !

    Jardinier

    sasha72@hotmail.fr

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  • Certains récits ne font pas mention du condom. N'oubliez pas que ceux-ci sont essentiels pour une relation sexuelle sécuritaire... Dans votre lit, vous n'êtes pas dans un récit! Protégez-vous!!!
    Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
    Pour plus d'info : www.sida-info-service.org

    Soumission / Domination.

    Après une bonne bière siroté au fond du canapé, nous gagnons notre lit, faisant une place à Ric entre nous deux (on ne sait jamais, une envie brutale en pleine nuit ? il vaut mieux l’avoir sous la main ? sous la bite plutôt !).   

    Durant la nuit, j’ai fait un rêve érotique. Je rêvais que je me faisait sucer, j’ai repris conscience quand je me suis mis à éjaculer. Ouvrant les yeux, je vis Ric me ventouser la bite jusqu’aux couilles avec une telle force qu’il a réussi à tout avaler avant que je n’émerge du coaltar.
    Alors que je l’engueulais tout bas pour ne pas réveiller Marc, il m’avoua lui avoir fait la même chose ½ heure au paravent. Je le traitais d’inconscient car il ne connaissait pas notre statu sérologique. Il me répondit assez justement que comme nous baisions Pierre sans Kpote c’est que nous étions clean et que son père avait fait faire des analyses et qu’ils étaient tous les deux ok aussi (son père ne baisant plus ailleurs depuis qu’il avait ce qu’il fallait à la maison).
    Nous nous sommes rendormis et je me réveillais vers 10h, cette fois seul dans le lit avec Ric.
    Une douche rapide en commun pour gagner du temps et juste une serviette sur le cul, nous rejoignons Marc à la cuisine. Le café nous attend chaud.

    Comme je lui raconte notre nuit avec notre pompeur de rêve, il se rapproche de Ric et lui tire l’oreille lui interdisant ce genre de pratique pour sa propre sauvegarde !
    Comme la piscine est hivernée, nous allons pousser de la fonte au sous sol. Les serviettes dépliées sur le skaï des bancs, c’est à poil que Ric et moi faisons nos exercices. Marc lui ne porte qu’un short vague qui laisse passer bite et couilles par les jambes.
    Après 1h1/2 de bon travail, nous filons nous détendre sous les douches. Nous y restons tellement longtemps que Marc se demande si il ne ferait pas installer un petit hammam et / ou sauna dans une partie du reste du sous sol.
    La présence de Ric nous fait bander tous les deux (même sans lui les douches à deux nous excitent). Marc nous dit de nous calmer car Eric doit nous rejoindre pour le café. Comme il est déjà 13h ça devrait le faire.

    Nous remontons nous « habiller » pour le déjeuner. Marc passe un cycliste et un tshirt, moi j’enfile un de mes « short » en jeans à même la peau et un marcel et Ric reste avec un jock pour seul vêtement.

    Eric nous rejoint 1heure plus tard, Marc lui dit de retirer son cuir pour être plus à l’aise. Il nous apparaît alors avec un shorty Aussibum qui lui fait un paquet encore plus gros que d’habitude et retirant son sweet, laisse voir un marcel débordant de muscle.
    Je m’approche et examine de plus près pour m’apercevoir que ce modèle fait partie de la collection qui soutient les boules et les empêche de glisser entre les cuisses. Ça le fait bien et je pense que je ne tarderais pas à faire l’achats de quelques exemplaires.
    Nous prenons le café et Eric demande le programme des réjouissances. Marc lui dit que nous ne serions que tous les quatre mais qu’entre moi et Ric, il y aura déjà quelques trous à boucher !
    Nous allons au donjon, pour traverser la cour en hiver, Marc a acheté une demi douzaine de grand manteaux en peau retournée qui nous arrivent aux chevilles et qui nous permettent d’être quasiment nus dessous sans avoir froid dehors.
     Ric et moi sommes menottés au mur, bras et jambes en croix. Rapidement, nous nous prenons un, deux puis trois doigts graisseux dans le cul avant de subir les assauts de leurs bites. Marc m’encule nokpote quand Ric se fait saillir par les 26cm couverts d’Eric.  Secoués par les coups de reins, nous contractons dorsaux et abdos pour éviter l’écrasement sur le mur. 
    Un bon ¼ heure de ce régime met nos muscles à rude épreuve. Le soulagement d’être détachés ne dure que l’intervalle de temps qu’il faut pour nous placer sur les slings et d’être de nouveau entravés.

    A tour de rôle, Marc et Eric s’occupe de nous. Pendant que j’avale la bite d’Eric dans ma gorge et celle de Marc dans mon cul, Ric peut nous mater et inversement quand c’est au tour de Ric de passer à la casserole.
    Nous en redemandons dès que l’un de nos deux enculeurs cesse un instant. Un peu de poppers et c’est à mon tour de subir la teub d’Eric dans mon trou du cul pendant que je pompe Marc comme un affamé depuis 8jours au moins !

    Comme j’ai déplacé et modifié le système de suspension au plafond que j’avais installé dans la salle de muscu, (cf. soumission 14), nous allons le tester.
    Le nouveau système prend les poignets et les cuisses. Les chevilles sont tirées vers le haut de façon réglable (le but est de faire passer les jambes au dessus du plan de l’anus), le tout suspendu à une grosse chaîne dont nous pouvons maîtriser la montée et la descente d’une grosse poulie accrochée à une poutre par l’intermédiaire d’un gros ressort.
    Nous y installons Ric et le suspendons à environ 1m du sol. Mar et Eric se couche l’un en face de l’autre pour accoler leurs deux bites ensemble. Je les équipe de Kpotes et fait couler dessus une grosse dose de lubrifiant. Doucement je fais descendre Ric jusqu’à ce que son anneau soit posé sur les deux glands. Marc tient l’ensemble serré et d’un signe m’ordonne de relâcher d’un coup. 

    Dans un cri, Ric se fait empaler par les deux grosses bites. Je le laisse, les fesses posées sur les 4 cuisses le temps qu’il se fasse à la nouvelle dilatation de son anus puis doucement remonte la chaîne jusqu’à ce que seuls les deux glands soient prisonniers de son trou et la bloque.

    Maintenant, il suffit à Marc ou à Eric d’appuyer sur ses hanches pour l’enfoncer sur leurs bites. Dès qu’ils le relâchent, le ressort fait son effet et le remonte à sa position initiale.
    J’enjambe Marc et présente ma bite aux lèvres de Ric. Pour leur éviter le « travail »,c’est moi qui impulse le mouvement en appuyant sur les épaules de Ric ce qui permet aux deux enculeurs de restés couchés sur le dos à ne s’occuper que des sensations de plaisir que leur transmettent leurs queues.

    Aux désir de nos deux « maîtres », je ralentis ou j’accélère le rythme, alternant de courts massages des glands avec des limages sur toute leur longueur de bite. De temps en temps je fixe Ric au plus bas, maintenant la pression pour qu’il reste emmanché à fond sans bouger.
    C’est très excitant d’autant plus qu’il ne cesse de me bouffer la bite. J’accélère le mouvement, je me recule brusquement et jute su les pecs de Ric une quantité de sperme dont je ne me croyais pas capable ! Ric que je maintiens enculé au maxi pendant que je me vide sur lui se met à gicler sur Marc et lui en met jusque dans les cheveux. Du niveau du sol nous parviennent deux feulements. Je relâche brusquement Ric et le ressort le remonte cette fois jusqu’à le déculer, laissant apparaître les deux glands baignant dans le sperme prisonniers des Kpotes.
    Doucement, je détache les chevilles et les cuisses du harnais pour que Ric se tienne debout et lui défait les poignets. Je le soutiens le temps qu’il se fasse à la position verticale. Puis nous allons nous asseoir sous les douches ouvertes en grand nous laver, reposer, notre énergie vidée par la dernière baise. Nous sommes vite rejoint par nos deux aînés. Un bon bouchonnage mutuel et nous voilà bien secs. Nous regagnons la maison nus, emmitouflés dans nos grands manteaux. Nous restons un bon moment devant la cheminée à somnoler pour récupérer nos forces.

    Encore un peu fatigué, je ne me sens pas de piloter une moto et je reconduis Ric chez son père en voiture.
    Comme à chaque fois, dès que nous avons passé la porte, son père lui ordonne de le sucer pendant que je lui fait mon rapport.
    Se soir, il semble avoir envie de parler et m’invite à entrer au salon. Nous nous installons dans de vastes fauteuils et Ric trouve sa place à genoux entre les jambes de son père à continuer sa fellation.

    Au bout de 5 mn, le père, bien chaud, me dit qu’il aimerait bien voir son fils se faire enculer par plusieurs mecs. Je lui dis que ce qu’il souhaite s’appelle un gang bang où un seul mec se fait utiliser par plein d’autre.
    Il me dit que par contre il ne sait pas comment faire. Je lui dis qu’il faut que j’y réfléchisse mais que cela ne m’a pas l’air impossible à organiser. (dans ma tête je pense à mes « clients » de Jean qui ne seraient sûrement pas contre un tel trip, avec Marc et Eric nous pourrions être 9 !).
    Je le quitte en promettant de le rappeler dans la semaine pour en discuter.

    Dès mon retour à la maison, je parlais à Marc de l’envie du père de Ric de faire un gang bang sur son fils.
    Cela ne l’a pas surpris, il était évident que ce type allait en vouloir plus avec le potentiel de sa progéniture.
    Je lui propose alors d’organiser cela avec tous les clients que m’avait refilé Eric. En plus du père, il y aurait les 6 autres plus Eric, lui et moi. Soit 9 grosses bites plus la mienne (moyenne) pour le larver !

    Je pense que là je peux me faire un max. de blé. Du Père qui me commandite la séance et des 6 autres clients qui je pense seront près à raquer pour ça.
    Comme Marc est d’accord, je commence à passer quelques coups de téléphone. Le Père de Ric que j’appelle en premier est enchanté de mon idée, il me demande juste d’organiser cela en terrain neutre , je propose un gîte rural il est d’accord et me dit qu’il règlera ça, que je dois aussi prévoir de quoi se restaurer et aussi tout ce qu’il faut en matière d’hygiène et de protections.
    Marc me demande combien je vais prendre aux participants ? et me dit de le décider avant de les appeler. Sachant que tous les frais seront supportés par le père de Ric, en plus de mon cachet d’ « organisateur de festivités », je propose le double d’une séance avec Jean. Cela lui semble raisonnable.
    Je commence à appeler mes « clients ». ils sont tous partant mais il me faut en faire trois fois le tour pour réussir à trouver un jour commun. La proposition tarifaire passe sans remarques.

    Dans la semaine qui a suivit, j’ai trouvé un gîte qui correspondait à notre histoire. Isolé, avec 5 chambres, toutes avec WC, bain ou douche et un grand séjour avec un grand écran plat fixé au mur, où nous ferons notre affaire.
    Après l’avoir montré à Marc, je le retiens pour le W E fatidique (opération prévue à 21h le samedi), il se pourrait que certains aient du mal à repartir aussitôt ! je préviens de l’heure du rendez vous et leur donne l’adresse.

    Dans la semaine qui a précédé, j’ai acquis le matériel nécessaire. Outre les Kpotes et le gel en quantité, Marc m’a fait acheter de quoi protéger les literies (alaises et draps).

    Dans l’après midi du jour J, je suis allé installer la réception, seul, Marc m’en laissant l’entière responsabilité. Je plaçais un bon dvd de cul dans le lecteur CD et vérifiait le bon fonctionnement, ça marchait. Je remplissait le frigo des plateaux préparé par le traiteur et des boissons reconstituantes (Red Bull, Coca black, reconstituant pour sportif) et de flacons de poppers. Quelques bouteille d’alcool prirent place sur la table basse repoussé contre un mur. Puis je tirais un lit une place au centre de la pièce principale et le recouvrait de sa protection ce sera le lieu ou nous nous finirons tous sur Ric. J’accrochais à chaque pied une petite chaîne équipées de menottes en cuirs qui si on le désirait nous permettrait de fixer Ric en croix. La table à manger servirait aussi pour le larvage de Ric.
    Je choisis la plus grande chambre pour la préparation de Ric. Je plaçais la canule au flexible de la douche et sur la table basse devant le lit, plugs et godes au cas ou.

    19h tout est prêt. J’attend Ric et son père à 20h pour le préparer. Trop tendu pour manger, j’enfile un Red Bull.
    il est 19h 45 quand j’entends la Merco arriver. Je sors accueillir L’Objet du soir et son père. Il porte juste un shorty très moulant, et une paire de Converse.
    Je les fais entrer, leur fait faire le tour du gîte et de l’organisation que j’ai prévu, le père approuve. J’envoie Ric à la salle de bain commencer à se laver intérieurement pendant que nous parlons affaire avec son vieux. Je lui donne le montant des coûts factures à l’appuis. Il me remercie de tant de sérieux et me fait un cheque auquel il ajoute les 2 000 euros de mon salaire d’organisateur. J’empoche et part voir où en est Ric. Je le trouve accroupi dans la baignoire, la canule enfoncée jusqu’au flexible (20 bons cm) pour la troisième fois. Je surveille quand il se vide, nickel !

    ce soir, une bête de concours !). Je vérifie que pas un poil ne subsiste. C’est le cas car il sort d’un rendez vous chez l’esthéticienne.
    Bien sec, je lui enfonce un tube de lubrifiant au fond du trou et en vide la moitié. Il en aura besoin pour ne pas se faire arracher les parois quand il se prendra les mastards qui équipent le groupe.

    Il est 21h, avec son père, nous le plaçons à 4 pattes sur le lit au centre de la pièce. Tout est dégagé autour, ceux qui arriverons ne verrons que lui.
    Je mets en route le dvd et sur l‘écran géant, on peut voir une jeune mec qui va se faire partouzer dès que Marc et Eric arrivent.
    Marc fait le tour du « propriétaire » et me félicite de l’organisation. Je les présente au paternel. Les 6 autres arrivent dans la demi heure qui suit. Je récupère leur participation à leur descente de voiture puis après les avoir fait entrer, présente tout le monde par leurs prénoms, et nous nous retrouvons à prendre l’apéro autour de Ric qui est palpé, caressé, pincé, puis dans un deuxième temps, doigté. Les mecs lui ouvrent la bouche et le cul, le bol de graisse que j’ai placé au pied du lit, se vide a vue d’œil et j’en place un deuxième. Tous les mecs lui ont mis au moins trois voir quatre doigts dans le cul.

    Pour lancer l’affaire, je me mets à poil et commence à défoncer la gueule de Ric. Aussitôt, tous les autres se déloquent et les paquets retenus dans les slips, se déploient. Sans en avoir l’air tous se matent pour savoir qui a la plus grosse ! connaissant les engins du groupe, je me presse d’aller faire mon passage dans le cul de Ric avant qu’il ne soit tellement dilaté que je ne sentirais plus rien ! je fais signe à Marc de me succéder, malgré ses 22x6, il sera vite dépassé.
    Ric à 4 pattes, subit sans broncher les assauts de sa bouche. tous arrivent à lui mettre leur bite dans la gorge. Seules les trois plus grosses laissent quelques cm en dehors. Je remarque qu’il faudra mettre Ric sur le dos pour les faire entrer totalement. Son cul est lui aussi prit d’assaut. Et les 10 bites le ramone à tour de rôle. Les Mecs se succèdent sans jouir pour en profiter un maximum, alternant les passage de la bouche au cul. (la consommation de Kpote est impressionnante).

    Je déplace Ric sur une table haute dans un autre coin de la pièce et le fait se coucher sur le dos. Je lui regroupe les poignets et chevilles et les lie ensemble.
    Les trois mecs qui n’avaient pu se faire sucer totalement tirent la tête de Ric en dehors du plateau, poussent le menton en arrière et ce coup ci lui défoncent la gorge totalement. Ils sont tellement excités de voir la pomme d’Adam de Ric se soulever au passage de leur gland qu’il ne tardent pas à lui jouir dessus entraînant tous les participants à juter sur ses pecs, son ventre ou sa bite.
    C’est impressionnant la quantité de foutre que l’éjaculation de 10 mecs représente. Ça lui coule sur les abdos et dégouline de chaque coté. Je le détache et à 4, nous le portons par l’alaise de protection jusqu’à la baignoire. J’ouvre en grand le robinet et nous le laissons sous le jet de la douche.
    Les mecs se rince leurs bites dans les diverses salle d’eau et nous nous retrouvons tous autour des plateaux de bouffe à reprendre des forces.
    Je retourne voir Ric et le sort puis le sèche. Je lui demande si cela va, il me répond qu’il a pris un super pied. Je lui dit de se pencher et lui remet une dose de gel dans le cul avant de venir lui boucher le trou par un plug de belle taille.

    Nous rejoignons les mecs qui discutent entre eux des prouesses de Ric. Je pousse ce dernier à genoux et lui ordonne de raidir les mecs par une bonne pipe. Tout en continuant à discuter, les sexes se redressent sous la langue experte et les massages buccaux.
    Le premier qui aventure une main vers son cul, trouve le plug en place et rameute les autres avant de jouer avec, sortant et enfonçant le jouet sous les yeux excités de ses comparses.
    Son père décide de passer à la vitesse supérieur et décide de tenter les doubles sodo !
    Je le prend à part et lui explique qu’avec deux queues de 24 à 27 x 7 il risque de l’abîmer méchant ! et j’arrive à convaincre tout le monde de ne le faire qu’avec moi qui ait la plus petite bite. Par groupe de 5 nous investissons le corps de Ric. Deux dans son cul, un dans sa bouche et un dans chaque main. J’ai du mal à me retenir de jouir sous les frottements et compressions de ma bite par toutes celles du groupe, au fond du cul de Ric. C’était trop bon de sentir nos glands se frotter bien serrés par les parois du trou de Ric
    Lorsque la deuxième fois nous le recouvrons de sperme, le gang bang se termine. Sans s’en apercevoir, cela fait 4 heures que nous baisons !

    Les mecs partent se doucher et se rhabiller. Je m’occupe de Ric qui ne tiens plus sur ses jambes tellement nous l’avons sollicité puis rejoint les mecs avant qu’ils ne partent.
    Je dis à Marc que je ne rentrerais que le lendemain après avoir déposé Ric car il me reste a remettre le gîte en état et que je suis trop naze pour revenir en moto et que Ric a besoin d’une bonne nuit de sommeil.

    Seuls, nous nous endormons (Ric dans mes bras) dans le grand lit.
    Je me réveille, il fait grand jour et Ric me pipe en expert de la chose. Je contient mon plaisir et savoure les stimuli qui excitent mon gland, ma hampe et même mes couilles. Arrivé au seuil de mon éjaculation, je le repousse en arrière et lui jute au visage.
    Nous nous douchons ensemble et nous nous lavons réciproquement. Il me remercie du plan que j’ai organisé. Je lui précise que l’idée vient de son paternel. Ça l’étonne car il le pensait très possessif. Je lui confirme qu’il est surtout très vicieux !
    Il m’aide à faire disparaître toutes les traces de la nuit précédente et nous nous débarrassons des déchets dans de grands sacs poubelle noirs.

    Je le reconduis chez son paternel. Ce dernier nous accueille avec effusions, il félicite son rejeton pour les exploits qu’il a réalisé la nuit précédente et me glisse en supplément quelques billets pliés dans ma poche de poitrine. Comme je vais pour protester, il me coupe me disant n’avoir jamais pris un tel plaisir à baiser. Il me dit qu’il me rappellera bientôt.
    Je les quitte, enfourche ma moto et rentre à la maison.
    Je retrouve Marc. Il me serre dans ses bras et me complimente pour la soirée d’hier. Il a trouvé que c’était pas mal, bonne organisation et bon trip. Je sors les billets de ma poche et les froissant entre mes doigts lui assure que c’est aussi l’avis du père de Ric. Nous finissons le dimanche bien calme moi, passant la majorité du temps au creux de ses bras.

    Le samedi suivant le gang bang, je reprenais mes « cours » de sport. Le boss étant pressé ce jour là m’avait fixé rendez vous en début de matinée., du coup j’avais fixé ma séance de sport avec Seb pour 10h.
    Quand je passe l’entrée, ce n’est pas mon pote qui est de garde. Il faudra que je fasse attention aux caméras !

    La secrétaire qui m’accueille me prévient que Monsieur a une réunion importante et que la séance devra être terminée dans 1 heure douches comprises.
    Je le rejoint, il m’a l’air un peu stressé. Je lui propose juste un peu de footing sur 5 Km ce qui devrait nous prendre ½ heure à peine et un bon « massage » pour le détendre.
    Je me change dans sa salle de bain et nous partons courir.

    Au retour, nous nous douchons ensemble dans sa salle de bain privée, pas question de laisser des enregistrements traîner sur le PC ! il est distrait en ne profite pas de mon excitation sexuelle. Nous nous séchons et comme il me tourne le dos et se penche pour essuyer ses pieds, je m’enKpote discrètement crache dessus et le bloquant par les hanches lui enfonce mes 20cm dans son cul. Il se redresse en protestant mais je le tiens bien bloqué contre le meuble lavabo. Il gueule qu’il n’a pas la tête à cela mais après quelques va et vient, il abdique et se concentre sur ses sensations.

    Comme je le sais pressé, je cadence rapide et dans le ¼ heure qui suit, nous jutons tous les deux, moi dans ma Kpote au fond de son cul et lui sur la faïence du lavabo.
    Alors que nous nous rhabillons, il me remercie pour le moment de détente qui l’a finalement bien dé stressé.
    Je prend mon salaire en partant et part à la salle de muscu où je dois retrouver Seb.

    Je remets en tenue de sport et commence un peu de cardio en attendant Seb.
    10 h il me rejoint. Nous nous coursons sur les rameurs 1/4heure avant de passer aux poids. Vers 11h30 nous rejoignons les douches et comme il n’est pas très tard, il me propose de passer chez lui après.

    En moto, je suis son Audi jusque chez lui.
    Dès que j’ai posé mon sac dans l’entrée, Seb me saute au cou et me roule une pelle impatiente. Je le plaque contre moi et sent au travers des tissus et de mon cuir, la barre bien dure que fait sa bite se frotter contre la mienne qui ne tarde pas à arriver au même état.
    Je le déshabille rapidement alors qu’il peine à me sortir de ma combi moto.
    Nous nous retrouvons finalement en shorty face à face.
    Il glisse le long de mon corps et s’agenouille le nez sur mon sexe. Il baisse l’élastique, libérant du même coup ma bite qui lui saute au nez. Je n’ai rien à dire car il l’engouffre aussitôt dans sa bouche. je le laisse faire. Il suce bien le gland puis doucement, cm par cm, il absorbe une bonne partie de mes 20cm.

    Je suce deux de mes doigts et les faisant glisser le long de sa colonne vertébrale, les pousse jusqu’à sa rondelle. Penché en avant, ma queue s’enfonce encore un peu plus dans sa bouche et après avoir massé son anus, je pousse difficilement un doigt dedans.
    Je me redresse et l’entraîne dans sa chambre. je me couche sur le dos et lui demande de venir s’agenouillé au dessus de moi en 69.
    Il reprend ma queue en bouche et moi, passant mes bras derrière ses genoux, lui écarte les fesses de mes deux mains afin de dégager sa rosette.
    Il me montre alors un superbe anus bien fermé, la peau nickel plissée en rayons bien réguliers.
    Je pose mes lèvres dessus et pointe ma langue sur son petit trou. Il sursaute, en lâche ma bite et j’entend sa respiration s’accélérer sous le stimuli.

    Quand je cesse, il recule par dessus ma tête et vient m’embrasser en me disant qu’il n’avait jamais ressenti cela avant. Je lui dis de se replacer et de continuer à me sucer. Je reprend ma feuille de rose et doucement, fait pénétrer ma langue de plus en plus profondément.
    Je suce mon majeur droit et l’enfonce ce coup ci facilement. Rapidement j’y joint mon majeur et tout en bavant autour, les fait doucement tourner.
    Il se redresse de nouveau et me souffle que c’est trop bon ce que je lui fais. Je pense qu’il est mûr pour la sodomie !

    Je me dégage et après l’avoir placé à 4 pattes, recommence à lui bouffer le cul tout en lui écartant l’anus avec mes deux majeurs. Il gémit de plaisir et réclame « plus fort » !
    Je m’enkapote, ajoute une bonne dose de lubrifiant et pose mon gland devant son petit trou. Je pose mes mains sur ses épaule et lui demandant de pousser fort, je m’enfonce en lui. Le passage du gland lui tire une grimace. Je le laisse s’habituer à l’idée et à l’écartement. Je sors puis rentre rapidement un cm de plus. J’exécute ce mouvement jusqu’à ce que je sois entré d’environ 15cm. Il souffle à chacun de mes coup de reins. Je passe mes mains sur son torse, attrape ses tétons et les fait rouler entre mes doigts.
    L’excitation supplémentaire se traduit par un relâchement de son sphincter et j’en profite pour investir totalement la place.

    J’attend quelques instant puis commence à le limer doucement, ajoutant du lubrifiant à chaque nouvelle entrée. Il me faut bien ¼ h avant que je ne coulisse confortablement dans son boyau et que lui même commence à y prendre du plaisir. Le passage répété de mon gland sur sa prostate finit par l’exciter tellement qu’il se met à jouir. Les contractions de son anus à chaque éjaculation massent ma bite si fort qu’avant son dernier jet, je rempli ma Kpote d’une bonne dose de jus.

    Nous nous affalons cote à cote sur le dos, en silence. Quelques minutes plus tard, je me redresse sur un coude et l’observe, nu, sur le dos, la bite mole posée sur une cuisse, la respiration apaisée, le visage serein. Je vois quand même une larme couler le long de sa joue.
    Je lui demande si ça va et sa réponse me rassure. Il me dit avoir joui comme jamais avec une meuf !

    Je retombe sur le dos. Il roule vers moi, et vient poser ses lèvres sur les miennes pour un baiser léger puis vient caler sa tête dans mon cou.
    Je le laisse gérer ce moment je me souviens de ma première avec Marc et je sais ce qui peut lui passer dans la tête : enculé = pédale, fiotte…, tout le monde va s’en apercevoir en me regardant …

    Le résultat de ses cogitations doit être positif car je ne me prends pas de pains dans la gueule et ne me fait pas éjecter de son appart.
    Nous prenons ensemble notre douche, en profitant pour nous caresser le corps avec nos mains savonneuses. Comme nous nous séchons mutuellement, l’excitation revient et les sexes se regonflent un peu. Je lui propose de finir le w e à la maison. Il hésite car il sait que je n’y vis pas seul. Je le rassure en lui certifiant qu’il ne lui arrivera rein qu’il n’aura voulu.

    Il accepte et je téléphone aussitôt à Marc pour lui annoncer la nouvelle. Il n’est pas encore renté mais me dit que c’est Ok qu’il n’a qu’Eric à décommander car il devait passer le dimanche, car il ne faut pas effrayer notre petit poisson trop vite !

    Je raccroche et confirme l’invitation à Seb. Je l’aide à faire son sac, lui précisant d’emporter des fringues et chaussures de sport.
    Il me suit en voiture jusqu’à la maison.

    Jardinier

    sasha72@hotmail.fr

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  • Certains récits ne font pas mention du condom. N'oubliez pas que ceux-ci sont essentiels pour une relation sexuelle sécuritaire... Dans votre lit, vous n'êtes pas dans un récit! Protégez-vous!!!
    Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
    Pour plus d'info : www.sida-info-service.org

    Soumission / Domination.




    Il est 13h 30 quand nous passons aux douches. J’inspecte Ric et admire le travail d’épilation que lui fait subir son père. Il ne lui reste plus rien sur le corps épilation totale et définitive des bras, jambes et du torse (il n’y avait pas grand chose). Pour le sexe, même chose pour les couilles, par contre sur le pubis il ne fait qu’une épilation simple laissant la possibilité plus tard d’y laisser pousser quelques poils.

    Nous nous savonnons mutuellement et malgré le fait que nous sommes excités et bandants, nous nous retenons pour la soirée.
    En jock seul, nous remontons accueillir Marc. La vue de nos accoutrement le fait sourire et nous avons droit à une tape sur le cul.

    18h juste quand la voiture de Seb entre dans la cour. Nous avons juste le temps de faire la présentation de Ric qu’une moto se fait entendre. Eric nous rejoint vite.
    Seb est surpris, le physique de Ric l’interpelle et la masse d’Eric l’impressionne. Même habillé, Eric impose sa masse musculaire et surtout celle qu’il possède en haut des cuisses.
    Marc donne le signal en décidant que nous allions tous nous doucher à la salle de muscu. Cela en plus nous permettra de préparer le cul de Ric !

    C’est la première fois que Seb assiste à un lavement. Il observe bien la manip et pose quelques questions. Nous nous gardons bien de lui dire que c’est en prévision d’une double sodomie. J’y passe aussi, j’aime bien avoir le cul propre ! de me voir le faire et sachant qu’il va se faire enculer par Marc et Eric, Seb intrigué par la chose accepte de le faire.

    Je m’occupe spécialement de lui, graissant bien l’embout de la canule, je l’enfile de 15cm avant d’ouvrir doucement l’eau. Je lui dis de bien serrer son anus et quand il me dit ne plus en pouvoir, je le libère et il courre sur les wc. Quand il revient il me dit que ce n’était pas très sale, une autre fois devrait alors suffire. Je le lui dis et répète l’opération. Les trois autres nous attendent dans la salle de muscu histoire de ne pas trop gêner Seb pour son premier lavement (c’est suffisamment space la première fois pour ne pas en rajouter avec 3 mecs qui matent !).
    Quand nous les rejoignons, Ric est à genoux entre les deux en train de sucer alternativement la bite de Marc et le mastard d’Eric.

    Seb est impressionné par le sexe d’Eric alors qu’il n’est pas encore totalement bandé.
    Nous rejoignons le baisodrome deux étages plus haut, non sans s’être pris quelques mains aux fesses et doigts dans le cul dans les escaliers !
    Couchés sur le dos sur un des grands lit, Ric et Seb se font enfiler leur gorges par les bites respectives d ‘Eric et de Marc. L’insistance de l’une ou l’autre à rester calée bien au fond, tire quelques tentatives de renvois.

    Pour ne pas être en reste, je m’occupe des queues des deux suceurs. Leurs tiges bien raide se ressemblent beaucoup. 19/20cm de long pour 5cm de diamètre environ, bien droites, non circoncises mais le prépuce souple découvrant totalement les glands. Là une petite différence, le gland de Ric est plus large avec un bord type champignon alors que celui de Seb est plus en obus. Dans les deux cas, ils sont sensibles à mes coup de langue, et à la profondeur de ma gorge. Habituée au 22 x 6 de Marc, je n’ai aucune difficultés à bouffer leur tige jusqu’à la racine !

    De se sentir pompé de la sorte leur donne du cœur à l’ouvrage et bientôt, Marc et Eric échangent leurs pompeurs.
    Je reste sur la bite de Seb alors qu’Eric tente une pénétration complète. J’entend Marc conseiller à Seb d’avaler mais ça ne suffit pas et il s’étrangle avec le gland calé derrière la glotte et éructe violemment.

    Je cesse ma pipe et m’allonge tout contre Seb afin de glisser dans son oreille encouragements et conseils.
    Il se calme, Ric reprend la grosse bite noire dans sa bouche et doucement l’aspire jusqu’à se retrouver le nez dans les grosses couilles rasées. Il maintient le gland au fond de sa gorge une bonne 30aine de secondes puis doucement le recrache et respire un bon coup avant de recommencer.

    La démonstration montre à Seb que c’est possible. à mon tour je m’y colle et aspire le gros gland d’Eric dans ma propre gorge. Je suis moins habitué que Ric à de tel format et je me recule aussitôt pour recommencer. Seul Ric arrive à garder Eric un certain temps bloqué au fond de sa gorge sans mourir !!

    Seb décide de s’y attaquer de nouveau. Il reprend le gland d’Eric dans sa bouche et joue un peu avec, passant sa langue autour de la couronne, titillant le frein, tétant, avant de nous imiter et après avoir pris une bonne respiration, commence à avaler le gourdin. Je lui murmure dans l’oreille que c’est bien , qu’il va adorer la douceur du gland dans sa gorge, je lui penche un peu plus la tête en arrière et d’un coup de rein, Eric en rentre les trois quarts. Il se retire aussitôt et Ric et moi félicitons Seb même si tout n’est pas rentré. Après tout le WE n’est pas terminé !

    Après deux ou trois autres tentatives, Eric retrouve la gorge totalement accueillante de Ric et Seb apprécie la taille raisonnable de Marc ! moi je commence a leur préparer le cul et le leur bouffe à grand coup de langue. préparer deux cul demande plus de salive que je ne peux en produire, je demande aux deux sucés qui se mettent à me cracher dans les mains. Je peux alors commencer les dilatations une mains par cul, j’enfile un, deux et rapidement trois doigts. Ils tournent plus facilement dans Ric mais lui à l’entraînement et il sait détendre son sphincter. Seb prend son pied et je dois faire attention à ne pas aller trop vite.

    Je remplace la salive par un bonne dose de gel, ce dernier à l’avantage de ne pas sécher aussi vite. Les deux jeunes sont soulevés et retournés. A 4 pattes sur le bord du lit, cote à cote, il se font mettre. Je vois le visage de Ric s’épanouir sous la poussée ferme d’Eric. Il ne soupire que lorsque ce dernier fait entrer ses cm les plus larges. Seb, après une petite grimace, se laisse pénétrer par les 22 cm de Marc.

    Je me place entre les deux et leurs deux bouches me dévorent le chibre. Ils passent plus de temps à se rouler des pelles en se bataillant mon gland qu’à coulisser sur la hampe mais c’est bon quand même. Seb maintient de sa main posée sur le crane rasé de Ric leurs bouches soudées. Mon gland apprécie ce traitement et je commence à différencier les langues par la différence de rugosité de leurs papilles. Ric à la langue la plus douce.
    Après ¼ d’heure de sodomie, je vois les deux enculeurs se retirer. J’en déduis qu’un échange de cul ne va pas tarder.

    Je prend une bouteille de poppers stockée sous le lit et alors qu’Eric pose ses mains sur les hanches de Seb et son gland sur son anus, je débouche le flacon et rapidement fait sniffer à Seb les vapeurs qui en sortent. Une narine, l’autre, la réaction ne se fait pas attendre et Eric en profite pour le saillir (il n’y a pas d’autre mots pour une bite de cheval !). Malgré ma préparation, le travail de dilatation effectué par Marc et les effets du poppers, la pénétration d’Eric lente mais inexorable lui tire quelques larmes. Je m’empresse de les lécher et embrasse Seb, écrasant ses lèvres sous les miennes, j’essaye avec ma langue de lui attraper la sienne. Je lui remets une dose de poppers et en sniffe aussi par la même occasion ! je vois ses yeux s’ouvrir plus grand et je devine que les derniers cm d’Eric sont entrés.

    Je suis chaud et Marc m’ayant vu prendre du poppers sait que je suis en manque. Il se retire de Ric et abandonnant la Kpote vient m’enculer brutalement. J’adore me faire dominer de la sorte quand j’ai pris du poppers ! ses mains posées sur mes épaules, il me lime, me faisant profiter de ses 22cm. Dès qu’il s’écarte trop, je donne un coup de cul pour me ré enfiler sur sa queue. Je suis bien quand j’ai son morceau entier en moi. Je passe mes bras en arrière et bloque le mouvement en le tirant par les hanches.

    Seb, délaissé, trouve sa place.  Sur le dos, il se glisse sous moi et vient me téter la bite. Son entraînement est tel qu’il pourrait presque respirer avec mon gland au fond de sa gorge !
    Sa queue raide devant nos bouches reçois alternativement les hommages de nos gorges. De temps en temps j’appui sur la tête de Seb pour qu’il s’entraîne la gorge.
    La situation ne va pas durer très longtemps, l’excitation générale va crescendo et les uns après les autres nous jutons, giclons, éjaculons, jouissons, balançons la purée, Marc au fond de mon cul, Eric dans sa Kpote, moi dans la gorge de Ric, Ric sur nos visages et cheveux et Seb sur le matelas !

    Tous les 5 allongés sur le dos, nous regardons notre reflet dans les glaces du plafond.
    Les muscles se détendent et les bites se recroquevillent. Nous reprenons pieds dans la réalité. Notre petite histoire aura quand même duré 3heures !
    J’ai faim !! nous descendons tous à poil vers la cuisine pour nous restaurer. Il va falloir tenir le rythme demain !

    La veille au soir, nous avions tardé à nous coucher discutant de choses et d’autres, affranchissant Seb des pratiques en vigueurs dans notre « groupe » si bien qu’il nous avait fallu porter Ric au lit. La fatigue avait eu raison de sa résistance et comme souvent quand ils restent tous à la maison, il s’est retrouvé dans le lit d’Eric.

    Je me suis réveillé il faisait grand jour, Marc allongé contre moi bandait ferme. Je me suis glissé vers le pied du lit et entama la journée par une bonne fellation. Il ne mit pas de temps à se réveiller et j’ai soudain senti ses mains sur ma tête appuyer pour approfondir le propos.

    Rapidement je me prenais ma dose de sperme faisant bien attention de ne rien perdre. Alors que je reprenais position à ses cotés, Marc m’excita en me pinçant les tétons, me tirant les couilles et alors qu’il me mettait deux doigts dans l’oignon et que j’allais juter, il me bascula en arrière jusqu’à ce que ma bite se retrouve au dessus de ma bouche. Quelques coups de poignet et je me gavais de mon propre jus.  Trop bon !!

    Une petite douche plus tard, un jock sur ma bite et Marc en short , en descendant à la cuisine, nous sommes passés réveiller Seb. Nous l’avons attendus alors qu’il procédait aux même ablutions que nous précédemment, puis sommes allés lever les deux derniers.

    A la porte nous nous sommes rendu compte qu’ils étaient bien réveillé. Les bruits passant au travers ne laissaient aucun doute quand à l’activité se déroulant dans la chambre. Marc a alors poussé la porte et nous avons pu admirer Ric se défoncer le cul en chevauchant les cuisses d’Eric. L’angle de vision du pas de la porte nous découvrait les pieds et jambes d’Eric couché sur le lit et au dessus le cul de Ric faire des montés et descentes sur la batte de base ball noire puis le dos arrondi, les muscles bandés par l’effort.

    Les grandes mains d’Eric contrastaient sur les hanches blanches et aidaient aux va et vient.
    Occupés à atteindre la jouissance, ils n’ont pas remarqué notre présence et comme ils s’éclataient, Eric maintenant Ric enfoncé à fond sur son pieu, nous les avons surpris par nos applaudissements.

    5 mn plus tard nous étions tous à la cuisine pour un petit déjeuner/ déjeuner reconstituant. Seb un peu jaloux d’être le seul à n’avoir pas encore baisé, n’arrivait pas à débander. Marc envoya Ric sous la table pour le soulager ce qui fut fait 10 mn plus tard.

    Après un café dans le salon et pour certains une mini sieste, Marc a décidé de faire découvrir le « donjon » au nouveau membre du groupe.
    Sans nous habiller plus, nous avons mis sur nos épaules les grands manteaux de fourrure et l’avons conduit jusqu’à la porte de la grange. Je demandais à Seb de fermer les yeux puis de les rouvrir une fois la porte passée. Dans le noir complet, rien n’est perceptible hormis une odeur puissante de cuir. J’allume les spots groupe par groupe, découvrant petit à petit le domaine de jeux. L’apothéose vient avec l’illumination de la selle spéciale équipé du gode le plus gros que nous ayons.

    Durant toute la séance j’ai pu voir les yeux de Seb s’ouvrir comme des soucoupes. Je suivais Marc qui par le bras lui fit faire le tour des « agrès » et arrivant au fond de la salle éclaira la partie sanitaire carrelée de noire.

    Seb ne revenait pas de l’installation que nous avions montée.
    Alors que nous revenions vers les selles, nous avons vu Ric s’installer lentement sur le modèle modifié et vu son anus bien graissé s’ouvrir pour avaler le gland. La couronne de 6cm lui demanda un petit effort et par un fléchissement appuyé sur les étriers, il s’est pris d’un coup un bon tiers du gode.

    Eric prenait soin de la rondelle en plein effort en assurant un graissage du pieu synthétique. Seb s’est rapproché afin de mieux voir, il croyait qu’un engin de cette taille servait juste pour la déco et n’imaginait pas un mec s’asseoir dessus.

    Ric progressait doucement, son anus s’écartant progressivement, avalant cm par cm la colonne de plastique. Je tendais les bras et lui après lui avoir attrapé les tétons commença à les tordre. Aussitôt nous avons vu sur son visage monter l’excitation d’un degré supplémentaire et alors que ses tétons s’étaient gonflés, une dernière torsion le fit s’asseoir sur la selle avalant les deniers 5 cm les plus large en une fois lui tirant un couinement de salope.
    J’allais chercher un flacon de poppers dans le frigo, le présenta sous le nez de Ric qui me remercia de la détente que cela lui procurait au cul.

    Il se releva jusqu’à déculer et Eric en profita pour ajouter une nouvelle couche de graisse sur le gode. Une nouvelle dose de poppers et il se ré enfila le gode plus rapidement.
    Marc lui demanda un trot. Prenant appui sur les étrier Ric simula les soubresauts du cheval, glissant sur le gode sur environ 10cm. Quand Marc lui demanda d’aller au galop, le mouvement s’est amplifié et c’est sur plus de 20cm en faisant attention à ce que le gland ne sorte pas que Ric s’est limé le cul.

    Tous les 4 autour, nous admirions la prestation. Ce corps imberbe à l’aspect juvénile et à la musculature harmonieuse se défoncer le cul sur un monstre en plastique, c’était presque de l’art !
    Seb tout à l ‘excitation de ce qu’il découvrait comme pratique sexuelle, me laissa lui enfoncer 2 puis 3 doigts dans le cul. Je le poussais en travers de la selle d’à coté afin qu’il continu à profiter du spectacle et commença à le pénétrer de mes 20cm graissés. Doucement je sentais ses chaires s’écarter sous l’avancée de mon gland. Bien serré, après avoir fait une petite pause au fond de son cul, lentement, j’ai entamé un va et vient, déculant complètement de temps en temps avant de le réinvestir.

    Je me suis retiré quand Eric et Marc ont fait descendre Ric de l’engin de plaisir. Seb, du coup à cru que nous allions lui dire de monter à sa place et pris peur. Je le rassurait en lui disant que même moi je ne m’asseyais pas sur celui là !

    Marc m’a appelé  pour la double sodomie. Nous nous sommes allongés sur une table basse te étroite mais assez longue pour supporter totalement nos corps allongés tête bèche, collés par nos périnées (table faite sur mesure pour cette position). Eric ordonna alors à Ric de nous enjamber et de s’asseoir sur nos deux bites accolées. Sous les yeux ébahis de Seb, Ric s’est vaillamment pris, avec l’aide de quelques passage de poppers sous le nez, l’ensemble.
    Eric pris alors la place que j’avais laissé vacante et son dard bien graissé, il se mit à enculer Seb, le plaquant de nouveau en travers de la selle.

    Il fallu quand même une bonne dose de poppers pour que son anus accepte la déformation nécessaire à l’intrusion complète du mandrin d’Eric.  
    De la où j’étais, je pouvais voir que cela ne l’avait pas fait débander et que sa bite passée sous la selle n’avait jamais été aussi grosse.

    Ric commençant à fatiguer des jambes, Marc l’avait attiré sur ses abdos, je me redressais et à partir de ce moment là, c’est moi qui m’activa, massant la bite de Marc calée bien à fond, par mes aller et retour. A coté de nous, Eric se régalait de cul presque neuf de Seb. Ce dernier bien parti, acceptait de mieux en mieux la saillie. Et comme Eric jutait dans sa Kpote en le maintenant enfoncé sur sa bite jusqu’à la garde, je le vis éjaculer sur le sol sans même s’être touché, vaincu par l’excitation procuré par son cul.

    De notre coté, quelques instants plus tard, nous unissions nos spermes au fond de Ric quand il se répandait à son tour, sur les abds de Marc. Couchés les uns sur les autres, nous avons repris notre souffle doucement, nos queues débandantes libérant progressivement Ric de notre possession.

    Ce n’est qu’un bon ¼ heure plus tard que nous avons gagné les douches collectives. L’eau bouillante et les savonnages/massages mutuels à défaut d’un jacuzzi, nous ont bien délassé.

    De retour à la maison devant un thé bien chaud, après qu’Eric nous ait quitté, Seb demanda l’autorisation à Marc de pouvoir baiser des meufs à l’occasion afin de voir si ce qu’il préférait c’était les mecs seulement ou bien les deux, mecs et meufs !

    Marc lui dit que c’était Ok mais qu’il devait impérativement se Kpoter pour que de notre coté nous puissions continuer sans en toute confiance. Comme il nous en faisait la promesse, je lui dis que je le comprenais car c’était même la première chose que j’avais faite après m’être fait dépuceler par Marc. Mais avec le temps, le meufs ne m’intéressent plus sauf  la mère de Jean mais là c’est purement intellectuel. Soumettre toute la famille à ma bite, me donne un sentiment de puissance qui flatte mon égo !!

    Rompu de fatigue tant musculaire que nerveuse Seb est rentré chez lui alors que je remmenais Ric à son paternel.

    L’hivers passant, je retournais chez Jean pour une vérification de l’état du jardin, et voir par la même occasion les dégâts des différents coups de vent.

    J’arrivais en début d’après midi un samedi où je savais le mari pris par ses affaires. La mère de Jean me viola carrément. Les jeunes bites des copains de son fils ne savaient la satisfaire et surtout son cul était en manque de défonce !

    Happé dès le passage de la porte d’entrée, je me suis retrouvé propulsé sur un canapé, chevauché par une meuf en furie ! mes fringues ont volées autour de nous et je me suis vite retrouvé à poil. Excité par la situation, je bandais bien et sans attendre mon gland s’est retrouvé au plus profond de sa gorge. A croire qu’elle s’était entraînée sur un gode tellement ça entrait facile ! Sa fellation valait presque celle de son fils.

    2mn après elle me Kpotait et m’enjambait pour enfiler ma bite dans sa chatte. Elle était brûlante ! d’elle même, après deux ou trois va et vient, elle changea de trou et profitant de la lubrification de la Kpote enfonça ma bite au fond de son cul. Après 5 bonnes minutes de sodo,
    Jean attiré par le vacarme, nous trouva dans cette position. Sa mère ne fit aucun commentaire, j’en déduisis qu’elle s’était habitué à sa fonction de « pute ».

    J’ordonnais à sa mère de me chevaucher en me tournant le dos afin de libérer sa chatte et dis à Jean de ramoner sa mère. elle se coucha sur moi et bientôt je sentais le sexe de Jean progresser dans son vagin. Nos deux bites se frottaient l’une contre l’autre juste séparées par les deux fines parois vaginale et intestinale.
    De mes mains, je pressais se seins et comme elle avait les tétons bandés, j’ordonnais à Jean de les sucer.

    A partir de ce moment là, elle a vraiment décollé et nous l’avons entendu gémir de plaisir, nous demandant de la défoncer encore plus, qu’elle était notre pute, notre vide couille, que pour une telle baise elle serait prête à tout…un vrai délire !!
    Alors qu’elle jouissait pour la deuxième fois, Jean s’est vidé dans sa mère alors que je déculais et arrosais copieusement ses couilles, la chatte et le cul de sa mère d’une bonne dose de sperme.
    Comme Jean s’était retiré, je basculais la mère sur le canapé et ramassant mes affaires nous sommes montés à sa chambre, la laissant seule malgré ses envies de câlins !
    Après une bonne douche, il me fit voir sur son PC les enregistrements de sa mère en train de baiser avec ses potes.

    Alors que je m’étonnais des mecs qui la baisaient, il me dit qu’il avait préféré ouvrir le « marché » aux terminales car seuls 4 de ses potes de cours avaient été intéressés.
    J’ai donc pu admirer quelques beaux mecs, correctement foutus (sports-co oblige)et quelques un bien montés. On pouvait voir d’ailleurs que sa mère en profitait bien et qu’elle appréciait plus la chose qu’avec les petites bites de ses potes.

    Il y eu notamment un couple de jumeaux super mignon et bien foutus, (dans les 1m80, 65 Kg, montés 18/19 larges, de l’équipe de foot du lycée selon Jean) qui l’on prise chacun à leur tour et à la demande de la mère à deux comme nous venions de le faire. Là j’ai pu voir qu’ils kiffaient comme jamais ! dans l’enregistrement, nous les entendions la traiter de salope qui n’en n’avait jamais assez. D’elle même nous la voyons se limer toute seule sur les deux bites, le mec du dessous caressant les hanches de son frère. Vers la toute fin alors que l’excitation était au plus fort, les deux jumeaux se sont rapproché par dessus la meuf et se sont roulé une pelle. C’est à ce moment là que nous avons pu voir leurs corps se crisper sous l’effet de leurs plaisirs.

    Le spectacle des deux corps semblables s’embrassant amoureusement par dessus le réceptacle de leur jouissance ma fait bander aussitôt. On devinait que la femme ne servait que d’intermédiaire et qu’il y avait plus entre eux que de baiser la même meuf !
    Comme je demandais plus de renseignement à Jean, il me dit qu’effectivement quand après ils ont pris leur douche ensemble, leurs savonnages réciproque ressemblait plus à des caresses qu’autre chose.

    J’enregistrais sur ma clef USB l’ensemble des baises des terminales. Et en attendant la fin du chargement je descendis mon pantalon pour que Jean me suce la bite. Comme toujours il le fit avec beaucoup d’enthousiasme et de « profondeur ». Me repassant le film des jumeaux dans ma tête, je me dis qu’il faudrait que j’arrive à me les faire !
    Par contre la mère allait payer l’offre de son cul aux jumeaux. Je ne lui avais autorisé que l’utilisation de sa chatte dans ses dépucelages !!
    Je me concentrais sur la superbe fellation de Jean et finalement la trouvais quand même meilleurs que celle de sa salope de mère !

    Jean me Kpota et baissant juste son jeans sous ses fesses vient s’asseoir sur mes genoux, s’enfilant ma bite au fond de son cul. J’appréciais la douce chaleur de son intérieur et la puissance de contraction de son anneau. Malgré l’usage assez intensif que je lui faisais subir, il continuait les exercices et si son anus était devenu capable d’accepter les très très gros calibres, mes 5cm de diamètre se trouvaient encore bien serrés.

    Je le basculais sur le sol, à 4 pattes et les mains sur ses hanches j’augmentai la cadence et la puissance/violence de la pénétration. Je sortais mon gland de son cul tout en restant serré entre ses fesses puis le rentrais d’un puissant coup de reins. Ce petit jeu eut vite fait de faire monter mon excitation au top et dans une dernière pénétration, je me verrouillais au fond de son cul le temps de remplir la Kpote de 6 bons jets de sperme, dépassant la capacité de la réserve de la Kpote et noyant mon gland d’un gel gluant.
    Après m’être retiré et jeté la Kpote , Jean est venu nettoyer mon gland avec sa langue. c’était trop bon pour que je l’arrête ! 
    Je décidais de sacrifier un samedi matin de muscu avec le père de jean afin de surprendre sa mère baiser avec les jumeaux. J’ordonnais à Jean d’organiser ça le plus tôt possible .

    Arrivé à la maison, je copiais les enregistrements sur le disque dur et les montra à Marc. Le passage avec les jumeaux a attiré son attention plus particulièrement. Et lorsqu’il les a vu s’embrasser avant de jouir, j’ai vu son jeans se tendre sous la pression. Vite je me suis agenouillé entre ses cuisses et après avoir sorti avec difficulté son sexe, je me suis mis à téter son gland puis l’ensemble de sa bite. Il repassait en boucle sur le PC la baise des jumeaux et surtout la fin où on les voit se bouffer la langue. 5mn lui ont suffi pour envoyer la purée. Comme je me relevais en me léchant les lèvres, il me demanda de me débrouiller pour les lui amener. Je ne le surpris pas en lui disant que j’avais déjà envisagé la chose et que j’étais en piste pour cela, ayant prévus de les surprendre sur la mère de Jean un des 3 samedis suivants.

    Marc me caressa la joue, me félicita pour mon initiative puis se pencha pour me rouler la pelle du siècle ! comme je n’avais pas encore joui et que je bandais comme un âne, Marc me coucha sur le dos puis me relevant le cul jusqu’à ce que je ne repose que sur la nuque, il entreprit de me bouffer l’oignon. Pendant ce temps là je me branlais et rapidement sous la double stimulation, j’ai juté. Ma bite, au dessus de ma tête, libérait mon sperme directement dans ma bouche. Comme Marc m’interdisait de l’avaler, je me suis retrouvé les joues gonflées de jus. Il abandonna mon anus et posant sa bouche sur mes lèvres fermées me demanda de les entrouvrir. Lentement alors que je les desserrais, j’ai senti mon jus couler entre mes dents vers sa langue qui venais le chercher. Bientôt, bouches grandes ouvertes, nos langues se battaient dans ma sauce.

    Trop bon ! Nous n’avons cessé que lorsque tout le sperme a été bu !



    Il fallu 15 jours à Jean pour réorganiser une baise entre les jumeaux et sa mère. Ces derniers s’étaient fait un peu tirer l’oreille sous prétexte que la nouveauté n’y serait plus ! Jean avait trouvé les arguments qu’il fallait car finalement, ils étaient revenus.
    J’arrivais de bonne heure et après avoir installé la mère à poil sur les matelas de la maison de la piscine et passé 10 mn à l’exciter histoire que sa chatte soit brulante, j’attendis avec Jean leur arrivée. Installé devant le PC, je voyais l’enregistrement en direct des caméras et pouvais choisir l’une ou l’autre en particulier.
    Dès leur entrée, Jean les a conduit à sa mère. J’ai vue leur entrée dans le bungalow. La mère de Jean en bonne salope, s’était roulée à 4 patte le cul vers la porte et d’une main passée entre ses cuisses, elle se stimulait le clito ou s’enfilait deux doigts une fois dans la chatte, une fois dans le cul. 

    Les deux jeunes se sont mis à poil instantanément et leurs bites se sont raidies direct.
    Jean leur a donné une boite de Kpote et est venu me rejoindre. Sur l’écran j’ai pu les voir tourner autour de la meuf, cette dernière essayait de leur attraper la bite pour les sucer. Finalement un des jumeaux lui enfila sa bite au fond de la gorge en la traitant de pompe à foutre et lui tenant la tête fermement s’est mis en devoir de lui limer la gorge.
    Le second s’est placé derrière son frère et collé contre son dos, il se mit à le caresser et a l’embrasser. Soudain celui qui se faisait pomper a tourné la tête en arrière et son frère est venu l’embrasser sur les lèvres.
    Je bandais bien serré par le jeans.
    Jean et moi avons pu voir leur grande complicité en matière de sexe quand celui qui était derrière est venu se placer au dessus de la meuf et que celui qui se faisait pomper s’est penché pour lui sucer la bite.

    Là, j’ai ouvert mon jeans et Jean s’est mis à genoux entre pour me sucer. Je lui demandais d’y aller cool car j’étais très excité.
    Puis celui qui se faisait sucer par son frère s’est écarté et après s’être Kpoté, il s’est enfilé entre les lèvres brûlantes de la meuf en chaleur. Deux coup de rein seulement et je l’ai vu changer de trou et il a dit  alors que « quand même, un cul c’est meilleur qu’une chatte, la température est plus modérée et surtout on y est plus serré ! » son frère était d’accord et il ajouta  « pour les pipes aussi dans une bouche de mec c’est mieux fait ».
    On ne pouvait plus douter que ces jumeaux étaient de bon petit PD qui venaient, à l’occasion qui leur était offerte, de tester les meufs !

    Celui qui se faisait piper, se dégagea et glissant entre les jambes de la mère se plaça pour lui baiser la chatte. Quand il y fut, il commenta que « le seul truc fun était de pouvoir sentir leurs deux bites se frotter l’une contre l’autre dans la même meuf ! ».
    Là je me dis qu’il y avait une piste pour les attirer : la double sodomie !

    Je décidais avec Jean de débarquer dans la mini-partouze. Nous avons abandonnés l’écran et sommes descendu au jardin. 1mn plus tard, nous entrions dans le cabanon et les trouvions dans la même position.
    Les deux mecs furent surpris car il ne connaissaient pas.
    Je leur dis de continuer et Jean confirma sous leurs regards interrogatifs. Je m’approchais d’eux et mettant un doigt dans la bouche de sa mère, je tirais pour qu’elle me regarde dans les yeux. Je l’engueulais en lui rappelant que son cul m’était réservé exclusivement et finissait en lui mettant une claque. Les jumeaux étaient un peu troublés de me voir si directif avec la mère de Jean.

    Pour détendre l’atmosphère, je leur demandais s’ils étaient content de la meuf , ce à quoi ils me répondirent que c’était pas mal car ils pouvaient être tous les deux sur le même « chantier » et en même temps !
    Je leur faisait remarquer qu’on pouvait même être trois. Je me suis mis à poil et ai présenté mes 20 cm à la bouche de la mère. La tenant fermement je me suis mis à lui ruiner la gorge en enfonçant totalement ma bite. J’ai senti un regain de vigueur chez les jumeaux. En me penchant un peu, j’ai pris celui du dessus par les lèvres et profitant de l’effet de surprise j’ai introduis ma langue pour un  palot bien appuyé. Ma main droite est descendu le long de sa colonne vertébrale et le doigt que j’ai glissé entre ses fesses a pu apprécier la souplesse de son anus. Ce dernier n’était sûrement plus vierge ! et mon doigt est entré sans douleur.
    Je leur ai proposé alors un truc encore plus fun qui les rapprocherait à se toucher. Intrigués, il me dirent OK.

    Je sorti ma bite de la bouche de la mère et leur demanda de faire de même des trous qu’ils bouchaient. Je relevais la meuf et lui ordonna de nous laisser et de se finir seule si elle le désirait mais hors de vue. Les jumeaux étaient stupéfaits du ton que j’avais pour parler à la mère de Jean.

    Je demandais à Jean encore vêtu de se mettre à poil. Aussitôt fait, je lui mis deux puis trois doigts dans le cul puis mon sexe Kpoté l’envahi. Les jumeaux n’avaient pas imaginé que Jean pouvait être PD. Mais ils se reprirent vite et en se plaçant de chaque coté de nous, lui ont présenté leurs bites à sucer. Alors que je l’enculais virilement, sa tête passait de droite à gauche pour avaler jusqu’aux couilles les bites jumelles. Juste en tendant les bras, j’ai rapproché leurs visages du mien et nous nous sommes roulés une pelle à trois. Les deux « petits » étaient bien ferrés, je pouvais maintenant y aller. Je me retirais de Jean et leur dit de me remplacer pour éviter qu’il ne se referme. Aussitôt le trou fut bouché et alternativement ils se sont relayés. Quand je demandais à Jean de masser leurs bites en serrant bien son anneau, les mecs ont trouvé cela bien meilleur que la chatte de sa mère. De mon coté, à l’aide du jumeau restant, je palpais, caressais, plantais un ou deux doigts dans le cul de celui qui enculais Jean.
    L’excitation montait bien, je ralentissais tout le monde quand je voyais que ça frisait l’éjaculation.

    Je demandais aux jumeaux, quelles étaient leurs expérience en ce domaine et ils me dirent qu’ils s’étaient jusque là principalement contentés de leurs relations incestueuses, que la mère de Jean était leur deuxième meuf et Jean leur  « premier mec ».
    Je leur proposais alors de prendre Jean à deux. Ils m’ont regardé avec des yeux ronds, je leur expliquais alors que si ils voulaient essayer, ils pouvaient enculer Jean en même temps.
    Ils n’ont pas réfléchi longtemps pour me demander comment.
    J’en ai fait coucher un sur le dos, ai demandé à Jean de le chevaucher. Une fois la bite bien au fond de son cul, je l’ai poussé aux épaules pour le plaquer sur le torse de son enculeur puis ai dit au second jumeau de s’agenouiller et de placer son gland contre l’anneau sur la bite de son frère.

    D’une poche de mon jeans je tirais un flacon de poppers et en même temps que Jean en sniffait, j’ai ordonné au deuxième de rentrer sa bite.
    Jean a poussé un cri au passage du gland ce qui a figer l’ensemble. Les jumeaux ayant eu peur d’avoir « cassé » quelque chose !
    Je refaisais sniffer Jean et leur dit qu’ils pouvaient le limer. Il leur fallut quelques minutes pour régler les mouvement et enculer de concert le trou de notre petit Jean. Ils prenaient vraiment leur pied et kiffaient de sentir leurs deux bites bien serrées au chaud du même cul.
    Absorbés par l’étrangeté du plan, ils ont accepté sans problème ma participation, baiser, prise de couilles en mains, doigts dans le cul…

    Quand ils ont été bien chaud, j’ai remis une Kpote et plaquant l’enculeur du dessus sur le dos de Jean, j’ai entré mes 20cm dans son cul d’une seule poussée lente mais ferme et inexorable.
    Sous l’effet de ma pénétration, il s’est redressé et comme il tournait la tête vers moi, j’ai pris ses lèvres pour lui rouler une pelle avant qu’il ne se mette à protester.
    Son frère, prisonnier de nos trois corps, nous dit alors que la bite de son frère avait encore grossie tout contre la sienne. L’effet de mon enculage sûrement !
    C’est dans cette position que nous avons tous joui, les enculeurs dans leur Kpotes et Jean sur les abdos d’un jumeaux.

    Après un bon ¼ heure de récupération, nous avons pris une douche, et discuté un peu. Les jumeaux voulaient en savoir plus sur mes relation avec Jean et sa mère, etc.
    Je me contentais de leur demander si ce genre de plan leur avait plut. Ils me dirent qu’ils avaient kiffé à mort, alors je leur proposais d’autres expériences chez moi (et Marc) sans leur en dire plus et leur demandais leurs disponibilités. Ils me dirent OK, qu’ils étaient très libre de leur emploi du temps le WE, leur père les laissait gérer leur vie comme ils le désiraient en totale confiance. Lui même, veuf, vivait sa vie sans complexe, découchant ou ramenant des meufs chez eux.

    Je téléphonais à Marc et après une brève discussion, nous les avons invité pour le lendemain. Je leur proposai de venir les chercher en voiture (le trajet en scooter serait un peu long), à 10h.
    Ils demandèrent à Jean si ça craignait pas et ce dernier leur a garanti qu’il n’y aurait aucun problème que nous étions réglos.

    Le dimanche matin je klaxonnai devant la maison des jumeaux.
    Aussitôt, ils nous rejoignirent avec juste un petit sac. Dans la voiture l’un des jumeaux s’installa près de moi, l’autre se plaça derrière son frère et le pris dans ses bras avec le dossier du fauteuil. Je demandais le contenu du sac. Il contenait slip, Kpotes et gel. Je les assurais que pour les deux derniers éléments, la maison fournissait.
    A l’arrivée à la maison, Marc nous accueilli dehors. Il me prit dans ses bras et nous nous sommes roulés un patin (histoire de faire comprendre aux jumeaux les pratiques de la maison) avant que je lui présente mes nouveaux amis.

    J’ai senti les jumeaux un peu impressionnés par Marc. Il faut dire qu’il est loin de faire ses 40 ans et que sa forme physique vaut la mienne !

    Il leur proposa de faire un  peu de sport et nous sommes descendu à la salle de muscu. Cette dernière fait toujours de l’effet. Ils allaient entrer quand Marc leur signala les conditions d’utilisation : Jock uniquement.
    Les jumeaux étaient gênés car ils n’en avaient pas. Je leur ouvris le placard et leur dis de choisir dans la 30aine de modèles et couleurs présente.
    Ça été l’occasion de se retrouver tous à poil. Marc les félicita pour leur physique. Il rougirent un peu et l’un des jumeaux lui retourna le compliment s’arrêtant juste avant de dire « pour un vieux ».
    J’ai vu que Marc  remarquait les toisons indisciplinées et je me suis dis intérieurement qu’avant la fin de la journée ils seraient rasés aux moins sur les couilles.
    Les jock enfilés, nous avons fait le tour de la salle, laissant les jumeaux tester les appareils (Marc et moi nous nous étions entraînés plus tot dans la matinée).
    Nous profitions des conseils pour les toucher, tâter, palper et caresser.
    Les 4 bites ne tardèrent pas à se dresser et à déformer le filets des jocks.
    A l’occasion d’un changement de machine, Marc et moi avons attrapé chacun un des jumeaux et serré dans nos bras, nous les avons embrassé en leur bouffant la langue. Si la virilité de la prise les a surpris, aucun des deux ne s’est reculé, et rapidement ils répondirent à nos avances.

    Nous avons échanger nos jumeaux, pas de différence !! impossible de les distinguer l’un de l’autre. Physique identique, bouche et langue de même nervosité et avidité… il va falloir en tatouer un !!!
    Les queues impatientes sortent de la poche des jocks et viennent se frotter les unes contre les autres. Les 22cm de Marc le place en tête et hallucine les deux nouveaux, mes 20cm suivent et ils nous dévoilent de bons 18 larges qui n’ont rien de ridicule.
    Marc leur demande si ils verraient un inconvénient à passer chez le « coiffeur ». ils ne comprennent pas du premier coup et il leur montre le travail fait sur moi (rappel il ne me reste qu’une bande de 1cm de large de ma bite à mon nombril).
    Après réflexion et la remarque que lors des pipes les poils entre les dents c’est moyen, ils se laissent emmener dans la salle d’eau contiguë et se laissent raser et épiler. Lorsque c’est fini, ils se tâtent les couilles, le périnée et l’anus lisses comme à leur naissance !

    De retour dans la salle, Marc vérifie le travail. Le passage de sa mains sur leurs zones nouvellement défrichées les fait bander et leurs 18cm viennent se plaquer contre leurs ventres.
    Nous reprenons nos activités où nous les avions laissées et les langues se battent de nouveau.
    Nous nous retrouvons bientôt tous les 4 par terre sur les tapis de gym embrassant et lèchant tout ce qui passe à portée de nos bouches. Les 69 arrivent vite et chacun se régale de la bite de son voisin. En s’écartant un peu, nous faisons un cercle où je suce un des jumeaux qui suce Marc, ce dernier pipant le deuxième jumeau qui lui avale ma bite.

    Des bites, Marc et moi glissons vers les anus après une étape à leur bouffer les couilles lisses comme de grosses prunes, nous sommes aller détendre leurs anus à grands coups de langue.
    Après un léger arrêt sous l’effet de surprise, ils ont augmenté la cadence de leurs pipes, au moins ils ne sont pas insensibles du cul !

    Alors que celui de Marc se détendait bien, d’un coup d’œil, j’avais remarqué qu’il lui avait déjà mis 2 doigts, le mien faisait de la résistance et j’eu du mal à faire pénétrer mon majeur. Par contre à partir du moment où j’ai pu lui masser la prostate intérieurement, il s’est ouvert comme une fleur et j’ai pu rapidement lui enfiler un 2ème doigt.
    Sous cette nouvelle stimulation anale, ils ont cessé de nous sucer, concentrés sur les sensations que nous leur provoquions.

    Nous les avons redressés sur les genoux à 4 pattes l’un à coté de l’autre et avons continuer notre massage interne. De temps en temps je vérifiais l’excitation de mon jumeau en passant ma main entre ses jambes pour tâter sa bite turgescente. Sur les avant bras, il se sont rapprocher et se sont roulés une pelle tout en geignant de plaisir.
    Nous en avons profité pour nous Kpoter et présenter nos queues lubrifiées à leurs anus.
    D’un même mouvement et en même temps, Marc et moi avons investi notre jumeau. D’un coup sec, nous avons pénétré nos glands. Bien que plus fin que Marc, j’ai eu autant de résistance à mon entrée. Bien accrochés aux hanches nous avons continué notre progression. Le mien avait tendance à souffler plus fort que son frère mais il acceptait quand même la situation.
    Bien bloqué au fond, nous y sommes restés quelques instants qu’ils s’habituent à nos sexes.
    Celui que j’enculais, s’est retourné vers moi pour me dire que c’était sa première sodomie passive, car dans leur « couple » c’était lui qui enculais son frère.
    Je lui demandais alors comment il trouvait cela, et il me dit que c’était bon.

    A partir de la, nous nous sommes mis en mouvement et leur avons limer le cul de concert, alternant mouvements longs et lents avec du pilonnage intensif du fond de cul.
    Trois fois nous avons cessé tout mouvements pour faire retomber l’excitation et éviter leurs éjaculations. Mais ½ heure plus tard, ils jutaient sur les tapis en gueulant. Les spasmes de leurs anus nous amenèrent au même état et nous retirant brusquement, nous leur avons recouvert le dos de notre sperme avant de rouler sur le coté. Chacun est venu nous remercier en nous roulant un palot bien profond. Je demandais alors si le dépucelage n’avait pas été trop douloureux. Il me dit que les fois où son frère avait essayé, c’avait pas été top mais que là, le fait de se faire mettre tous les deux en même temps l’avait excité au point d’accepter facilement la chose.

    Après une bonne douche à 4, style salle de sport, je leur ai massé leurs petits trous d’une crème apaisante histoire que leurs anus garde un bon souvenir de notre premier passage.
    L’heure du déjeuner était dépassée depuis longtemps et les exercices que nous venions de faire nous avaient creusé l’appétit. Nous sommes remontés à la cuisine juste vêtus de nos slips.
    Du frigo j’ai sorti de quoi se restaurer, et pendant que nous récupérions nos forces, Marc a essayé d’en savoir plus sur nos jumeaux. D’abord leurs prénoms, car depuis que Jean me les avait présenté sous le vocable des « jumeaux », nous n’avions pris le temps d’aller plus loin. D’origine russe, leur père les avait affligé de prénom slave et celui dont je m’étais occupé nous a dit s’appeler Vassili et son frère Ptior.
    Marc leur demanda alors ce qu’ils cherchaient comme rapports sexuels ? il leur demanda ce qu’ils pensaient des meufs et ils lui répondirent qu’ils ne connaissaient que la mère de Jean. Quand je leur ai assuré qu’avec elle, ils avaient tirer le maximum d’une femme, pipe gorge profonde, chatte, cul, double sodomie et seins, que beaucoup d’entre elles n’en feraient pas le quart, il ont reconnu que les mecs leur assuraient plus de plaisirs, même s’ils ne connaissaient que Jean, Marc et moi, en dehors de leurs rapports quasi masturbatoires.
    Marc leur demanda alors si cela les intéressaient d’approfondir leurs connaissances sur le sujet. D’un même cri, ils nous assurèrent de leur envie d’aller plus loin, mais pas uniquement comme passif ci cela était possible.

    Marc les assura qu’ils feraient ce qu’ils voudraient et iraient jusqu’où ils décideraient. La philosophie de notre « groupe » étant le plaisir avant tout.

    La discussion nous a remis les bites au garde à vous. J’avais envie de me faire défoncer le cul et proposais alors à Marc de leur faire connaître le baisodrome de l’étage. Sous leurs regards interrogatifs, nous les avons conduit à la chambre spéciale (2 lits de 2mx2m et des glaces partout (murs et plafond).
    Là, Marc et moi les avons projetés sur un des lits et les avons pipés directe en gorge profonde. Ils étaient très excité par les effets que cela procurait sur leurs glands. Ils n’avaient jamais imaginé pouvoir entrer une bite entière dans une bouche avant que je le fasse dans la gorge de la mère de Jean et que nous le répétions actuellement sur eux.
    Je cessai un instant pour leur dire que je leur montrerais comment faire. Ils étaient très intéressés par cela.

    Bien raide, je Kpotais le miens et après avoir graissé le bout, me retournais et lui dit de m’enculer. Marc dit alors au sien (de jumeau) de venir me clouer le bec avec sa pine.
    Rapidement , je me suis trouvé avec les deux extrémités bouchées par une bite similaire.
    Mon enculeur après être entré doucement, à accéléré et agrippé à mes hanches me rentrait sa bite entièrement. Ma bouche recevait de la même manière celle de son frère. J’avais l’impression qu’un seul mec arrivait à me remplir des deux bouts.
    Après un bon moment où les deux frères pendant lequel ils ont échangé deux ou trois fois leurs places, Marc est venu m’achever. Il m’a mis sur le dos. J’ai relevé mes jambes sur sa poitrine et il a pris possession de mon cul. Les jumeaux sont alors venus devant moi et se sont branler jusqu'à me juter sur le torse.
    Marc, lui, m’a rempli le cul bloqué au fond alors que de le sentir me doser, je jutais à mon tour sur mes abdos.
    Enculer et me faire mettre = un WE parfait !!

    Comme je reconduisais les jumeaux chez eux, nous avons discuté un moment. Cette journée leur avait fait comprendre ce qu’ils aimaient vraiment et surtout leur avait ouvert les yeux sur un potentiel de baise autrement plus intéressant et varié que leur simple relation fraternelle.
    Ils étaient prêts à tout pour participer à nos WE de baise.

    A leur demande je suis descendu saluer leur paternel. Alors que ce dernier reconduisait à la porte de leur maison une belle femme, ça a été une surprise de constater qu’il avait le même type physique et le même age que Marc.

    Les jumeaux sont venus l’embrasser et ils lui ont demandé si elle avait été bonne au lit. Ça été à mon tour d’halluciner ! et à la réponse positive de leur père, Vassili lui dit que de leur coté, ils avaient passé une journée de baise fantastique, que vraiment leur truc c’était plutôt les mecs et qu’ils s’étaient trouvés un groupe pour leur apprentissage. Gêné, je ne savait plus où me mettre quand leur père me salua en me demandant si j’en faisait partie du groupe. Toujours troublé par sa présence, je bafouillais un oui, les jumeaux tordu de rire devant mon manque d’assurance inhabituel. Jetant un regard interrogatifs à ses fils concernant mon émoi, ils lui dirent que mon ami lui ressemblait beaucoup. Je le lui confirmais, cela le fit rire et il me dit qu’il n’y avait pas de problème, il n’aimait que les femmes.

    Les jumeaux réagirent en lui disant qu’ils avaient essayé mais que ça valait pas un mec ! et que même se faire une meuf  tous les deux en même temps ne valait pas de sodomiser en couple un cul de mec.

    Je ne revenais pas de la liberté de propos qu’ils avaient avec leur père.
    Enfin, cette dernière déclaration leur valu une demande d’explication. Ils durent alors s’expliquer en détail.
    A la fin, il reconnu que là, ses fils avaient été plus loin que lui qui se contentait de baiser une meuf par les trois trous.

    Je les laissais à leur échange d’expérience, regrettant que chez mes parents le ton n’y soit pas aussi libre !  peut être que la position quasi célibataire du père y était pour quelque chose ?
    Je suis rentré tout songeur vers Marc qui m’a accueilli d’un grand câlin en me remerciant pour les jumeaux.

    Quand je lui ai parlé de leur père, il s’est amusé de mon trouble et me dit qu’à mon air, il fallait s’attendre à élargir encore le groupe. Comme je me récriais, il me dit qu’il commençait à bien me connaître !

    La vie suis son cours, j’emmène Jean chez les « clients » le mercredi, je passe 2 samedis matin sur 3 à coacher son père et à l’enculer avec de temps en temps un extra avec un des gardiens de sa société. Le reste des WE se passe chaud avec souvent le passage d’Eric, de Phil et Luc ou des partouses avec tout le groupe. Le reste du temps, je bosse chez mon patron à lui designer les jardins des ses clients.

    La deuxième fois où je suis venu chercher les jumeaux, leur père était là et il m’a fait entrer en attendant qu’ils descendent de leur chambre.

    Il m’a questionné un peu sur qui j’étais, mon age et comment était mon copain. Quand je lui ai redit qu’il lui ressemblait beaucoup, il m’a souri. Il m’a questionné après sur ses fils, il voulait savoir si c’était des bons coups au lit. Quand je lui ai dis que de ce coté là c’était de vrais bêtes de sexe et qu’ils en voulaient toujours plus que ce soit en tant qu’actifs que passifs, il m’a dit que ça ne l’étonnait pas vu que lui il devait encore juter deux fois par jour minimum pour être bien et qu’il disposait de 4 femelles bien salopes pour se vider les couilles!

    Alors que les jumeaux descendaient l’escalier, je me suis tourné et j’ai senti une main qui s’attardait sur ma fesse droite. Ça je ne m’y attendais pas ! je me suis retourné et j’ai croisé le sourire hilare du père.
    Comme ses fils arrivaient à notre niveau, ils nous a souhaité une bonne journée de baise et m’a fait un clin d’œil avant que je ne me retourne.
    J’ai discuté avec les deux garçons et leur ai demandé comment son père avait pris la chose le WE précédent ?

    Ils m’ont dit qu’ils avaient eu une discussion franche. Ils lui avaient tout raconté, il avait accepté leur choix et même ils avaient eu l’impression que cela l’intéressait plus qu’intellectuellement vu les questions précises qu’il leur avait posé quand au plaisir qu’ils retiraient des mecs par rapport aux meufs! Je leur dis alors qu’en partant il m’avait mis la main au cul. Ils ont éclaté de rire, ils s’y attendaient mais pas si tôt !

    Comme je leur demandais si cela ne les gênait pas, ils me dirent que leur père faisait ce qu’il voulait et que ce serait fun si il passait de notre coté. Ils m’assurèrent que pour l’avoir vu souvent à poil, qu’il était aussi bien monté que Marc et aussi bien conservé.
    Il m’avouèrent qu’une partie de l’excitation de baiser avec Marc était sa ressemblance avec leur père, ce qui leur donnait un semblant d’inceste. Quand je leur ai demandé si cela ne les gênerait pas de baiser avec leur géniteur, ils ont éclaté de rire avant de me dire qu’ils aimeraient bien tester sa bite en duo avec celle de Marc. Ça les intéressait de savoir intimement si la réputation de super baiseur de leur père était véridique. Ils ont ajouté que si je le voulais, ce ne me serait pas dur de le faire basculer vers les mecs, vu qu’il avait fait le tour des meufs depuis longtemps déjà.

    Arrivés à la maison nous étions déjà bien chauds. Ce dimanche après midi, nous attendions la venue de Phil et Luc, Eric nous ayant fait faux bond.
    Comme nous claquions les portières de la voiture de Marc, les deux motos entrèrent dans la cour.

    Attiré par le bruit Marc est sorti nous accueillir. Comme presque à chaque fois que nous nous voyons,  Phil et Luc avaient acquis de nouveaux équipements. Cette fois ci nous avons pu admirer leurs nouveaux casques Arai. En aparté ils me dirent qu’ils  leurs avaient coûté plus de 800 euros pièces ! et il me remercièrent encore pour les deux frères(cf. soumission 15). Quand je leur demande comment cela se passe, ils me disent que le rythme s’est fixé à une fois par semaine, en général une fin d’après midi toujours dans le même hôtel d’affaire et que cela leur assurait un meilleur « salaire » que leurs copains qui bossent chez Mac Do !
    ça ne m’étonne pas avec environ 4 passes par mois au tarif que je leur avais négocié ils se font quand même deux fois le SMIC chacun pour 8 à 10 heures de « boulot » par mois et sans impôts !!

    Je présente les jumeaux et déjà je vois Luc se passer la langue sur ses lèvres. Marc nous envoi au sous sol nous préparer.
    Dès le passage de la porte Luc et Phil commencent à se déshabiller et ils arrivent à poil aux douches. Je les suis de près veillant à ce que les jumeaux fassent de même.

    Alors nous sommes tous sous les douches, un peu serrés (il n’y a que 4 pommes de douches et nous sommes 5), Luc commence à se faire un lavement à l’aide d’un des flexibles équipé d’une canule en inox. Le jumeaux regardent avec intérêt et me demandent à quoi cela sert. Je les laisse deviner et ils comprennent vite quand Luc nous quitte pour les WC. Nous utilisons chacun un flexible différent et les jumeaux avides de tester ça se partagent le 4ème,
    (pour des raisons d’hygiène, nous les faisons bouillir entre deux utilisations).
    Les jumeaux se font aux sensations spéciales que procure le lavement. Nous nous rinçons quand Marc arrive. Nous nous séchons vite et il nous dit que nous allons plutôt baiser au « donjon ». je distribues alors les manteaux et les tongs Luc et Phil qui ne connaissaient pas encore ça, trouvent l’idée géniale, les jumeaux ne disent rien mais suivent le mouvement.
    Arrivés devant la porte de la grange  « spéciale », nous leur disons le fermer les yeux et les faisons entrer. Dans le noir complet, je recommence le petit jeu que j’ai avec chaque nouvel entrant dans le donjon. J’allume progressivement les spots pour faire découvrir les équipements en finissant par illuminer la partie sanitaire.

    Les jumeaux restent bouches bées. Marc nous demande de les placer sur les slings centraux. Je pense que leur dimanche va être très instructif !
    Après avoir attaché leur membres aux chaînes de suspension, Phil et Luc s’occupent à leur détendre l’anus à grand coup de langue. ils bouffent leurs culs tirant des jumeaux des couinement fort peu virils.
    De mon coté, à genoux devant Marc, je m’occupe de sa bite lui prodiguant une gorge profonde de ma spécialité.   
    Quand Marc sent que les Jumeaux sont bien excités et que leurs lécheurs d’anus les certifient prêt pour l’enculage, je Kpote sa belle bite et la graisse. Se plaçant devant Vassili, il pose son gland sur son anus et commence la pénétration. Phil Luc et moi le regardons faire. C’est beau ce moment où une bite majestueuse entre délicatement dans un anus qui se laisse faire gentiment enserrant bien la hampe tout au long de la progression. Vassili halète, il a chaud ! comme Marc se retire puis commence un limage en règle, je me place à la tête du sling et me penche pour rouler une pelle à l’enculé. Sa bouche aspire ma langue et je me bats pour la garder tellement il joue avec d’excitation.

    Après 15/20 mn Marc change de jumeau et va saillir Ptior nous disant de faire ce qu’on voulait de Vassili. Il recommence la même pénétration  pour ne pas faire de jaloux. Je le suis sur ce nouveau corps pendant que Phil et Luc utilisent Vassili. Du coin de l’œil, je vois Luc prendre la place de Marc dans son cule et Phil lui remplir la bouche, poussant sa tête en arrière pour entrer ses 19cm.

    Quelques instants plus tard, Marc laissait les jumeaux à Luc et Phil et je m’empressais de m’occuper de sa pine après l’avoir débarrassée de son enveloppe caoutchoutée. Pendant que les jumeaux se faisaient tirer, je me suis assis sur la bite de Marc appréciant comme à chaque fois la fermeté de son désir pour moi.
    L’apothéose se fit quand Mac enculait Vassili et moi, Ptior, pendant que Phil et Luc leur pinaient leurs gorges.

    Vassili jouit le premier envoyant sa crème sur les abdos de Luc, Marc se retira en même temps que Luc et leurs deux spermes sont allés se mêler sur le ventre de leur proie.
    De notre coté la même aventure nous est arrivée et j’ai juté sur Ptior au moment où Phil faisait de même, Ptior ajoutant sa crème l‘instant d’après.
    Avec Luc, j’ai détaché les jumeaux qui sont restés pantelants sur leurs slings, trop cassés pour s’en extraire.

    ¼ heure plus tard Marc secouait tout le monde. Nous sommes allés nous laver. Le revêtement noir nous renvoyait notre image comme dans une glace. L’eau brûlante, nous décontracta et je dus couper l’eau pour faire sortir les traînards. Enroulés dans de grands draps de bain, nous sommes allés dans la partie « salon » nous rafraîchir d’une boisson pour sportif, reconstituante.
    Les jumeaux, curieux demandèrent à Marc quand il essayeraient les autres « agrès » ? Il leur promis que cela viendrait en son temps. J’informais Marc des propos de leur père et de sa main sur mon cul. Il trouva cela très drôle. Il questionna les jumeaux pour savoir s’ils avaient des surnoms car Vassili et Ptior … Ils nous avouèrent que leur père les appelait Tic et Tac depuis qu’il les avait surpris il y a 4 ans en train de se pomper mutuellement en 69, rapport aux deux écureuils du dessin animé qui aiment tant les noix ! Il fut décidé que nous adopterions ces surnoms.

    Puis il les questionna sur leur père. Ils nous en apprirent de belles. Comme ce dernier ne se cachait pas, ils ont très vite su comment faire l’amour à une meuf pour l’avoir vu baiser un bon nombre de femme. C’est lui qui leur avait appris à se masturber en faisant une démonstration sur sa propre bite et qui leur avait fait leur éducation sexuelle à l’aide d’une de ses copines d’un soir.

    Le « groupe » se compose maintenant de 3 salopes passives (Jean, Ric et Pierre) de 5 actifs/passifs (Phil, Luc, Tic, Tac et moi) et de 2 actif purs (Marc et Eric), Marc pense alors que le père de Tic et Tac équilibrerait bien en intégrant en 3ème actif pur.
     C’est décidé, quand je raccompagnerai les jumeaux ce soir, j’en profiterai pour tester ses envies de mec. Ils nous disent que dès leur arrivée, ils nous laisserons seuls pour que nous soyons plus à l’aise en prétextant des devoirs à faire.

    Jardinier

    sasha72@hotmail.fr

     

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